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1974 partie 3

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/01/2023

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1974
PARTIE 3
Fred, c'était une légende dans l'établissement. Il avait trente-cinq ans, et il était plutôt bien fait de sa personne. Difficile d'évaluer la capacité de séduction de quelqu'un, Il plaisait en tout cas à pas mal de femmes, alors que d'autres, sans aucun doute, auraient été rebutées par son physique musculeux, sa moustache, et la certitude qu'il avait d'être irrésistible. Il avait une tendance naturelle, quelque chose de même pas conscient en fait, à approcher toutes les femmes qui avaient tant soit peu de charme, et à tenter d'obtenir leurs faveurs. S'il échouait assez souvent, il avait aussi pas mal de réussites. Il semblait d'ailleurs nullement rebuté par ses flops. Il vivait plutôt dans une sorte d'équilibre, ou crédit et débit s'équilibraient.
Marie-Jo le connaissait plutôt bien. Comme elle connaissait tous et toutes les collègues de sa mère. Elle le voyait régulièrement. Elle avait su analyser la situation et elle comprenait pas mal de choses. Qu'il appréciait sa mère, mais certainement pas sous l'angle du désir. Par contre, à partir du jour où elle s'était métamorphosée, en quelques mois, transformation encore plus visible parce qu'elle était partie deux mois en vacances, il posait sur elle un regard sans équivoque. Ces derniers temps, il avait formulé de manière très claire ce qui jusqu'alors transparaissait surtout dans son regard et son attitude. C'était toujours à peu de choses près la même scène qui se jouait. Croisant Marie-Jo, dans un endroit où il avait la certitude, parfois à tort, qu'ils étaient seuls, il formulait son désir, comme il avait l'habitude de le faire, avec une absence totale d'originalité. Ilse rapprochait d'elle, sans vraiment la toucher, et lui disait des phrases supposées la faire succomber. 'Tu es vraiment belle, tu me plais énormément, j'ai envie de toi...On pourrait passer un moment ensemble...' Elle l'écoutait quelques secondes avant de partir vers sa destination. Son échec ne semblait d'ailleurs par le freiner, puisqu'ils revenait à la charge régulièrement, semblant penser qu'elle céderait à la longue. Il était indéniablement beau gosse, mais elle le trouvait terriblement creux.
Elle avait été témoin, sans le vouloir, de deux scènes où les capacités de séduction et ses conséquences de Fred s'étaient plus que largement exposées. Deux scènes qui l'avaient troublée. Ca ne lui avait pas pour autant donné envie de céder à ses charmes, mais elle s'était masturbée de nombreuses fois en repassant dans sa tête les moments surpris, parce que c'étaient de purs moments de sexe, et qu'ils étaient excitants. Dans un cas comme dans l'autre, c'était en cherchant sa mère, en allant la rejoindre alors qu'elle vérifiait la fermeture des bâtiments, qu'elle les avait surpris.
Le tout premier, c'était une fellation, qui lui était administrée par une de ses collègues, une brune dans la quarantaine, qui avait succombé à ses charme. Il l'avait rejointe dans l'un de ces cagibis où les femmes entreposaient leur matériel de nettoyage. Elle lui faisait une fellation, accroupie devant lui, moment qui avait permis à Marie-Jo d'apercevoir sa queue, une queue qui l'avait faite défaillir, longue et épaisse, mais ne lui avait pas donné pour autant envie de jouer avec. C'était le moment qui l'avait troublé, la manière dont l'un comme et l'autre étaient décalés par rapport à la vie quotidienne, la femme en transes, avec quelque chose d'hypnotique dans le regard, Lui était cambré en arrière.
La jolie brune faisait aller et venir sa langue le long de la tige de chair. Elle l'avait pris dans sa bouche, pour un mouvement de va-et-vient. Finissant par le masturber vivement, faisant jaillir sa semence en traits épais et crémeux.
Marie-Jo s'était éloignée, troublée. Elle avait aimé le savoir-faire de l'agent de service, mais détesté en même temps la posture de Fred, qui disait l'homme attendant de la femme qu'il lui donne son plaisir, comme si c'était un du,sans se soucier du sien.
L'autre scène s'était produite dans les cuisines. Elle cherchait encore une fois sa mère. Elle aimait bien l'aider à fermer, dans ce qui était une petite aventure et réservait parfois des surprises. Des objets oubliés, des élèves qui étaient encore là, finissant un devoir alors qu'il fallait partir...
Il y avait aux cuisines un espace qui permettait au personnel de se laver, si nécessaire. Avec un lavabo et une douche.
Elle avait entendu du bruit, et avait entrebaillé la porte.
On disait que Maggy était la plus belle femme parmi les agents de service, et Marie-Jo n'était pas loin de le penser. Grande, élancée, elle avait un visage superbement dessiné, et sous sa blouse, elle cachait des formes très féminines qui ne se révélaient qu'au début ou à la fin de ses tâches journalières. Pas étonnant que Fred se soit intéressé à elle. Marie-Jo n'avait par contre pas su qu'ils vivaient une liaison.
Au vu du spectacle qui s'offrait, c'était apparemment le cas. Ils étaient tous les deux nus, l'eau ruisselait sur eux. Maggy avait effectivement un très beau corps. Ils s'embrassaient, et elle le masturbait en même temps. Elle avait fini par se plier en deux contre le mur de gauche de la cabine de douche, et il était venu en elle, la fouillant de sa queue. Marie-Jo avait joué les voyeuses, consciente de ne pas avoir la bonne attitude, mais trop fascinée, fascination dont l'apex avait été le moment où il avait dégagé sa queue d'elle et craché son sperme sur les fesses pleines tendues vers lui, sperme que l'eau avait lavé trop rapidement.
Ce qui avait changé la donne, c'était son acolyte. En effet, le nombre exponentiel de formés, baby-boom oblige, permettait plus d'embauches. Depuis quelques mois, Fred arpentait le bâtiment avec Guy, son acolyte qui était très différent de lui. Son charme, aux yeux de Marie-Jo tenait essentiellement au fait qu'il était tout sauf le cliché du mâle sûr de lui, à son corps bien découpé, et à son visage bien dessiné. Plus fin, plus fluet, blond, il avait un visage dont la finesse était pour ainsi dire symbolique d'une finesse intellectuelle que Fred était loin d'avoir. Marie-Jo se rendait compte qu'elle préférait quelqu'un qui avait une épaisseur intellectuelle plutôt que physique. Et pensait plutôt à Guy, et à son charme discret.
Elle se demandait si Fred, rusé, ne s'était pas rendu compte que Guy lui plaisait quand il lui avait proposé, un jeudi soir :
--Dimanche prochain, on fait un poker avec Guy. Ca te dit de te joindre à nous ?
Il jouait sur du velours. Il avait en effet également remarqué qu'effectivement Marie-Jo jouait énormément aux cartes. Elle et sa mère n'avaient pas forcément beaucoup de goûts en commun, mais Josiane lui avait appris à jouer aux cartes quand elle était petite, et elles avaient continué ensemble, jouant quand elles avaient un moment. Marie-Jo avait toujours pris du plaisir à jouer aux cartes, et elle s'était rendue compte au fil du temps qu'il y avait un réel plaisir à maîtriser le jeu, souvent plus que ses adversaires...Fred le savait qui la voyait souvent jouer avec sa mère en fin de journée.
Elle avait regardé Fred. Un rien surprise qu'il bascule sur une proposition qui se voulait plus sérieuse, sans aller dans ses habituelles outrances. Elle savait pourtant parfaitement qu'il avait toujours une idée en tête. Et que la présence de Guy était censée la faire venir.
--On jouera un peu d'argent, prends quelques pièces.
Ce fut sans doute cette perspective-là qui la motiva. Elle commençait à avoir une cagnotte conséquente, qu'elle s'efforçait d'agrandir. Elle envisageait de partir dans une école de commerce privée et elle savait qu'elle aurait des frais.
--Je serai là. Je passe vers 14 heures, après le repas, ça sera bon ?
Marie-Jo se demanda quel sens donner à ce sourire. Une victoire sans doute...Il pourrait enfin se rapprocher d'elle. Il se sentait maître du jeu, mais Marie-Jo se sentait elle avoir, et c'était le cas de le dire, toutes les cartes en main.
Le dimanche matin, elle dit à Josiane, elle était obligée, bien sûr, mais ça avait la valeur d'un test :
--Fred m'a invité à jouer aux cartes cet après-midi...
Elles étaient près de la machine à laver, sa mère faisait le tri dans le panier à linge pour une lessive. Elle avait un réflexe, toujours, qui était, elle le faisait même devant Marie-Jo, d'examiner soigneusement ses culottes, à la recherche sans doute de traces qui disaient qu'elle avait été avec un homme.
--Vous jouerez de l'argent ?
--Sans doute un peu, oui.
Marie-Jo fut surprise. Elle s'attendait à tout, sauf à cette réaction. Sa mère laissa la machine ouverte, le linge en attente et disparut. Elle revint avec quelques billets, et des pièces, et les tendit à Marie-Jo.
--Tiens, tu es très fortes aux cartes...Ecrase-les, prends leur tout leur argent. Tu le garderas pour toi.
C'était un de ces rares moments où il existait une complicité entre elle. Moments qui ne duraient jamais.
La matinée se déroula comme se déroulaient tous les dimanche matin. Un moment de pause, où le futile et le plus sérieux se mêlaient. Après le repas, elle passa dans sa chambre. Si elle ne les portait pas souvent, elle avait de très jolies robes dans sa penderie. Elle choisit une robe qu'elle n'avait portée qu'une fois encore, longue, comme c'était la mode en 1974, qui jouait sur des dégradés de jaune et d'orange...Elle la passa et s'examina dans le miroir de pied. Surprise par l'effet, presque choquée. Elle ne se rappelait pas avoir été aussi féminine. Sans doute avait-elle changé, et cela faisait la différence...Elle prit l'argent, le glissant dans un petit réticule et se glissa hors de l'appartement, après avoir crié :
--Je monte !
Elle préférait que sa mère ne la voie pas. Qu'elle ait changé de tenue aurait peut-être alarmé sa mère qui l'aurait empêchée de rejoindre Fred.
Il y avait deux étages à monter, pour arriver à l'appartement de fonction qu'occupait Fred, sur le palier partir sur la gauche, le troisième appartement au fond. Marie-Jo ressentait un sentiment étrange, un mélange de curiosité et de plaisir. Elle se demandait comment les choses allaient se passer. Elle écrivait mille scénarii dans sa tête, sans parvenir à en choisir aucun.
Devant la porte grise, elle appuya sur la sonnerie, qui résonna dans l'appartement. La porte s'ouvrit quelques secondes plus tard. Fred se tenait devant elle. Elle le voyait constamment en bleu de travail, ça faisait tout drôle qu'il soit autrement, simplement en jean et chemise ouverte. Elle visualisa, un peu surprise d'avoir une vision aussi crue, sa queue, dans son caleçon, se gorgeant de sang, et se gonflant. A cet instant, toutes les préventions qu'elle pouvait avoir se dissolvèrent, et elle se vit, devant lui, sortant sa queue de son pantalon, la caressant de la main, donnant des coups de langue dessus, faisant glisser sa bouche le long d'une tige qu'elle imaginait bien raide, gorgée de sang. C'était curieux comme on pouvait changer de perspective, selon les moments. En tout cas toute son hostilité était totalement envolée. Elle se surprit de se rendre compte que son corps réagissait déjà, une sensation de chaleur dans le ventre, mais aussi son sexe qui commençait à s'ouvrir, à couler, trempant le tissu de sa culotte. Elle vit un instant une queue s'enfoncer entre les lèvres de son sexe, et glisser au fond d'elle. Se haissant pour cela. Elle ne voulait pas de queue en elle...Elle avait toujours pensé que c'était quelque chose qu'elle pouvait tenir très loin d'elle, que ne jamais avoir envie était la garantie qu'il n'y aurait pas de catastrophe, mais cette image soudaine mettait à mal toute une construction. Elle se ressaisit, faisant remonter cette certitude qui était la sienne : Quels que soient les jeux sexuels auxquels ils se livreraient dans les minutes qui suivaient, puisque, il ne fallait pas se voiler la face, ils prendraient forcément cette voie, à un moment ou à l'autre, il n'y aurait pas de pénétration. Un gosse dans neuf mois, ce n'était pas une perspective qui lui plaisait.
Elle se glissa dans le grand living. Un arrangement très spartiate, une grande table, ovale, des chaises autour, un divan dans un coin, et dans l'autre un buffet. Guy était là, et elle fut un peu surprise de la joie qu'elle éprouva à l'apercevoir. Il lui sourit.
Sur la table il y avait un paquet de cigarettes et un briquet. En 1974 tout le monde fumait, pour une multitude de raisons, se donner une contact, la sociabilisation...Les deux hommes avaient chacune une clope au bec, et Marie-Jo, qui fumait rarement eut elle aussi envie d'allumer une cigarette. Elle attrapa le paquet, le briquet, et alluma la cigarette, tirant dessus pour une première bouffée qu'elle recracha. Elle sentait leurs regards sur elle, des regards qui exprimaient le désir, qui venaient caresser ses fesses, ses seins, son ventre...C'était bon que ça soit ainsi. Elle savait, déjà, qu'il y aurait un jour, même s'il pouvait sembler lointain pour le moment, où elle n'attirerait plus le regard des hommes et n'éveillerait plus leur désir.
Il y eut un moment figé, où ils tiraient tous les trois sur leur cigarette, sans mot dire, leurs regards sur ele. Elle cassa ce moment qui s'éternisait en attrapant le jeu de cartes qui était posé sur la table.
--Un poker ?
Ils avaient déjà posé chacun billets et pièces sur la table, et elle en fit de même. Les premiers jeux lui firent comprendre très vite qu'aucun des deux hommes ne maîtrisait ce qui fait un bon joueur de poker, pas tant les cartes qu'on pouvait avoir, c'était à la limite tout sauf le point important que la capacité à analyser les autres, et le bluff. Elle gagna très facilement les premiers jeux. Elle fit exprès de perdre, avant de gagner à nouveau.
En une heure c'était plié. Elle avait devant elle tous les billets et toutes les pièces.
Elle devait se demander plus tard ce qui lui avait pris, quand elle leur proposa :
--Je vous propose un enjeu vraiment intéressant. Une seule manche, un seul jeu. L'enjeu est le suivant. Du sexe. Si je gagne, vous ferez ce dont j'ai envie. Si vous gagnez...
C'était prendre un risque énorme. Comme lui aurait dit sa mère 'Quand on est trop sûr de soi, c'est à ce moment-là qu'on se casse la gueule...' S'ils gagnaient, elle savait très bien qu'ils auraient envie de mettre leur queue dans son vagin...Elle n'avait pas pris la pilule. Ils devaient bien évidemment avoir pris des capotes, mais si le latex se déchirait...
Mais c'était trop tard. C'était dit.
Ce fut dans une excitation un rien teintée d'inquiétude qu'elle attrapa le jeu de cartes et distribua son jeu à chacun. Le regard des deux hommes était collé à elle. Ils avaient la certitude, l'un comme l'autre, que ce qu'ils étaient venus chercher était enfin à leur portée. Un moment de sexe, de plaisir ensemble. Fut-ce pour cela qu'elle gagna si facilement ou alors parce qu'ils n'avaient pas de bonnes cartes ? Guy mit deux paires sur la table, quand Fred se coucha, mais Marie-Jo avait une quinte flush. Même si la victoire lui accordait le droit de faire ce qu'elle voulait, ils ne semblaient pas perturbés pour autant. Il était vrai que ce serait un moment de sexe malgré tout.
Elle fourra l'argent dans son réticule et leur proposa :
--Très bien...Vous allez venir l'un et l'autre devant moi, et je vais m'occuper de vos queues.
Elle recula sa table, le sexe mouillé et ouvert, pour se tourner sur le côté. Elle avait l'envie folle de se caresser, pour apaiser la tension qui était en elle, mais il aurait fallu relever la robe longue. Elle préférait pour l'instant bloquer l'accès à son corps.
Il y avait des moments qui ne s'épuiseraient jamais, dans leur intensité, dans le plaisir qu'ils lui donnaient. Elle les défit habilement et mit leurs queues à nu. Deux queues qui, bien que de configurations différentes partageaient d'être déjà bien gonflées de désir. Deux jouets magnifiques, sur lesquels elle eut envie, dans ce moment un peu différent, qui n'avait rien à voir avec les rapides caresses, voire fellations, dans les toilettes, de déployer tout son savoir-faire. C'était la première fois qu'il se passait quelque chose entre eux, et elle avait envie de leur montrer de quoi elle était capable, de leur laisser au moins, s'il n'y avait qu'une fois unique, des souvenirs.
Elle les masturba d'une main habile, consciente à ce moment, plus qu'à d'autres peut-être de son habileté, une habileté acquise à forces de branler des garçons. Elle se souvenait de la toute première fois, comme elle avait été si malhabile sur la queue du garçon qu'elle avait caressé. Aujourd'hui, elle disposait d'une gamme conséquente, capable de jouer avec un doigt, plusieurs, avec sa paume... Et de couvrir toutes les zones d'une queue masculine, y compris les couilles d'un homme, depuis qu'elle avait compris à quel point cette partie du corps masculin était ultra sensible.
Elle se délecta de ce sentiment de pouvoir, si intense. Ils étaient vraiment à la merci de ses caresses, s'abandonnant totalement, dans leur plaisir.
Ce fut dans un deuxième temps qu'elle commença à balader sa langue sur eux, caresses aussi habiles qu'avec la main. Il y eut ce moment, qui disait bien leur excitation, où leurs jus commencèrent à sortir. De véritables fontaines, auxquelles la jeune femme vint s'abreuver. Elle aimait boire les jus d'un homme, que ce soit son sperme ou ses liquides pré-sementiels.
Il y eut aussi un moment où elle prit les deux queues, une dans chaque main, et elle les rapprocha pour les frotter l'une contre l'autre, utilisant le gland de l'un pour caresser l'autre, tournant sur son gland, mais aussi caressant sa queue, sans que l'un ou l'autre ne se révoltent. En souriant intérieurement, elle repensa à ce que lui avait dit Sandra, qui, contrairement à elle, éprouvait énormément de mépris pour la gent masculine, et ne souhaitait pas avoir de rapport avec eux, aussi dégoûtée que Marie-Jo était fascinée : 'Les hommes, ils ne l'avoueront jamais, mais ce dont ils ont tous envie, et ils pousseraient les haut-cris si tu leur disais, ce serait de coucher avec leur meilleur pote...Et pas qu'une fois...' En tout cas, ils appréciaient l'un comme l'autre cette caresse, puisque, très rapidement l'une des deux queues cracha des jets de sperme qui vinrent maculer la verge de l'autre. Marie-Jo les lapa consciencieusement, avant de faire aller et venir sa bouche sur les deux queues. C'est avec le goût de leurs spermes mélangés qu'elle leur proposa :
--J'ai envie que vous me preniez l'un et l'autre, mais pas par la chatte...J'ai trop peur d'être en cloque. Il y a une seconde option, et elle me convient, si elle vous convient aussi.
Les deux hommes se regardèrent, surpris. Pour l'un comme pour l'autre, sodomiser une fille, c'était l'éléphant blanc. Un plaisir immense que peu leur accordaient, alors que c'était le nirvana que d'être dans un conduit étroit, bien serré, la certitude d'un plaisir plus fort et d'une jouissance plus intense. Ils avaient tous les deux pensé passer un bon moment avec Marie-Jo, dont la beauté et la fraicheur les séduisait l'un comme l'autre, et qu'ils voyaient comme une fille qui n'hésitait pas quand il s'agissait de prendre du plaisir, ils en avaient la preuve à ce moment précis.
Ca s'était imposé à elle en quelques secondes. Elle avait envie d'être pénétrée, de jouir, et la zone la plus proche de celle qui leur était interdite, c'était son cul...Ce serait la première fois, mais ainsi ils ne seraient pas frustrés. Pour un homme une pénétration, c'était essentiel. Et elle non plus, elle ne serait pas frustrée. Elle avait envie de sentir un sexe en elle. Au moins, par là, elle ne risquait rien, et les sensations seraient très fortes, semblables et différentes à la fois de ce qu'elle aurait pu ressentir par la chatte.
Fred les entraina vers sa chambre à coucher. Un grand lit, aux draps défaits. Ils la regardrent, les yeux quasiment exorbités, faire passer sa robe par dessus ses épaules. Elle prit son temps, un vrai strip-tease, se dévoilant très lentement. Une bombe aurait explosé pas loin, ils n'auraient pas pour autant détourné leur attention...Ca la fit sourire intérieurement.
Il lui restait son slip et son soutien-gorge.
--Vous en enlevez un chacun ?
Il ne fallait pas leur dire deux fois. Avides et fébriles, ils s'approchèrent de Marie-Jo, Guy défaisant l'attache du soutien-gorge dans son dos, le rattrapant, et venant caresser ses tétons de sa bouche, pendant que Fred tombait à genoux devant elle et descendait son slip. Elle souleva une jambe, puis l'autre pour le récupérer. Une très large tâche de mouille s'étalait sur le tissu, sur le devant et l'entrejambe. Fred porta le tissu à ses narines, et respira longuement l'odeur forte des sécrétions de la jeune femme, avec une expression qui disait son plaisir. Marie-Jo avait déjà remarqué que, plus elle était excitée plus son odeur était intense, et elle la sentait bien remplir la pièce. Il y eut un moment où les deux hommes se consacrèrent à son plaisir, plutôt qu'au leur, l'un jouant avec ses tétons, l'autre, mains accrochées à ses fesses, lui délivrant un cunni appliqué, les deux pratiqués ensemble faisant naître deux sources de chaleur qui se rejoignaient et lui donnaient un plaisir intense. Elle n'avait pas à regretter d'être montée jouer aux cartes.
Le reste vint tout seul, signe peut-être d'une harmonie qui, pour n'être que momentanée, n'en était pas moins forte. Sur la table de nuit, une boite de préservatifs était posée. Elle en extrayit deux et vint envelopper leurs queues de latex, dégageant le réservoir. Elle entraina Guy sur le lit, elle voulait commencer par lui, parce qu'elle avait un énorme mouvement vers lui, depuis la première seconde sans doute. Sa queue, roide, était collée contre son ventre. Elle le fit s'asseoir et vint se placer au-dessus de lui. Elle attrapa sa queue et la guida vers sa muqueuse anale. Si elle avait eu un peu d'appréhension, celle-ci s'était totalement envolée. Elle fut d'ailleurs surprise de la facilité avec laquelle la queue pénétra en elle, alors que c'était la première fois. Il y eut juste une légère brûlure...Et ce plaisir, dont elle n'aurait pas imaginé qu'il puisse être aussi fort, lorsque la verge congestionnée glissa en elle, venant frotter contre les parois de son rectum...
Elle ne savait pas comment ça pouvait être par la chatte, aucune queue n'ayant glissé par là, et elle se demanda si c'était aussi bon, meilleur, ou plus fade. L'obsession qu'avaient les hommes de vouloir sodomiser les filles pouvait laisser penser que le plaisir était meilleur par là. C'était en tout cas très fort, et le plaisir s'amplifia alors que la queue bougeait en elle, allant et venant, la caressant à l'intérieur en lui donnant l'impression d'aller plus loin à chaque fois, plus profond.
Pendant que Guy, la tenant par les hanches, la faisait bouger sur lui, Fred avança jusqu'à elle, lui mettant sous le nez son membre, gorgé de sang. Elle eut dans la bouche le goût fraise du latex parfumé, tournant sur la queue comme elle savait bien le faire.
Ce fut d'elle-même qu'elle bascula sur une autre position, se dégageant, glissant à quatre pattes sur le lit. Comme les deux hommes s'entendaient, logiquement, ce fut Fred qui vint en elle...Guy glissa sur le lit, s'allongeant de manière à lui présenter sa queue. Elle ôta le préservatif souillé pour prendre la queue nue, la suçant avec avidité. Fouillée par Fred sur un rythme différent, plus rapide.
Il y eut d'autres positions, d'autres combinaisons, qui leur donnèrent du plaisir, jusqu'à ce moment, où, sur le fil du rasoir, ils sentirent qu'ils basculaient sur la jouissance. Guy était el elle quand il explosa, et sentir son sperme taper violemment contre les parois internes de son rectum la fit jouir comme elle n'avait jamais joui. Elle eut plusieurs orgasmes d'affilée, ce qui ne lui était encore jamais arrivé, le corps secoué par les spasmes, éjaculant avec violence comme ça ne lui était non plus jamais arrivé, des jets de liquide qui trempèrent les draps. Sa main, qui branlait Fred, accéda par instinct le rythme, la semence jaillissant dans le préservatif.
Il fallut revenir à la réalité, après avoir été loin de tout. A ce dimanche après-midi dont la banalité était l'écrin de moments aussi forts. Un petit tour par la salle de bains, se rhabiller. Marie-Jo se glissa sous la douche...Elle avait peur de sentir la sueur, le plaisir, et que sa mère ne s'en rende compte, elle qui avait un instinct hyper-développé, lié à ses obsessions, pour détecter tout ce qui rapportait au sexe. Elle repensa sous la douche, avec l'envie de se caresser, alors même qu'elle venait de jouir, à la sensation du sperme jaillissant en elle. Elle s'adonnerait sans aucun doute au plaisir, au lit, tard dans la soirée, en repensant à ce détail, mais aussi à ce moment, en général. Tout avait été tellement excitant. En tout cas, se faire prendre par les fesses était sans aucun doute la solution pour aller au-delà de sa peur d'être enceinte, et d'éprouver le plaisir d'être pénétrée. A méditer pour l'avenir...
Elle repassa dans le living. Les deux hommes buvaient un café. Elle ramassa tout l'argent le glissa dans son réticule. Elle allait partir sans un mot quand Guy l'interpella :
--On pourrait refaire un poker, dimanche prochain ?
Elle lui fit un clin d'oeil et partit.
De retour plus bas, elle tendit l'intégrale de la somme à sa mère.
--Je mets l'argent de côté pour toi.
Elle savait que, même si ce n'était pas vrai, ce n'était pas un souci. Demain lundi, elle avait trois rendez-vous à honorer qui lui rapporteraient. Cagnotte qui se trouvait chez Sandra.
--Dis-moi ?
Elle se retourna.
--Ils ne t'ont pas fait des avances, au moins ?
--Ils n'auraient pas osé...
Soulagée, Josiane glissa dans une autre pièce, sans voir le sourire de Marie-Jo.




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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : 1974 partie 3

Le 09/01/2023 - 22:23 par Balista
Histoire très sympa, maligne la guêpe. Cela me rappelle ma jeunesse.

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