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1993 - L'été où je me suis trouvé, Suite

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 17/07/2023

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Chapitre 2 : Bretagne
Partie 1

Après avoir bien déjeuner, subit l’interrogatoire de ma grand-mère et pris le café sur la terrasse, nous passâmes l’après-midi à visiter la petite ville dans laquelle nous resterions deux semaines. Comme j’y allais tous les ans, j’avais des anecdotes et des souvenirs à raconter à plusieurs endroits. La ville comportait deux plages séparées par une avancé rocheuse avec une grande croix à son extrémité. D’un côté une plage avec du sable très fin, un petit bar de plage et des cabines. A mes yeux, c’était la plage pour les gens distingués en comparaison de l’autre plage, beaucoup plus grande avec un sable plus grossier ou il y avait une ambiance plus populaire. Chaque plage pouvait servir de départ aux deux randonnées que j’aimais bien faire. D’un côté, on pouvait rejoindre Dinard après environ trois heures de marches et de l’autre, St brieux mais la balade était plus longue. Il y avait un mini-golf et quelques courts de tennis. Beaucoup de crêperie et un marché au poisson. Il y avait aussi tout le long de la côte, plusieurs blokosse de la deuxième guerre mondiale que j’adorais aller explorer.
Comme nous étions arrivé assez tard, l’après-midi passa rapidement. Nous dinâmes et je lui montrais la chambre dans laquelle nous passerions les vacances. Elle était collée à la maison mais il fallait sortir pour s’y rendre. Ce qui nous donnais une impression d’indépendance et la possibilité de rentrer un peu tard sans réveiller personne. Il n’y avait pas beaucoup de place car on avait sorti le lit gigogne qui prenait presque tout la place et qui constituait un deuxième lit collé au mien mais beaucoup plus près du sol. Je m’installai sur la petite table pour rouler un joint que nous allions fumer devant le couché de soleil. Il était tard mais il faisait encore bon. Quand la marée était haute, la plus grande plage disparaissait presque complètement. Nous nous installâmes sur la digue, en haut de la grande plage, regardants les vagues venir s’y cogner. Dès le début du joint, je senti la fatigue m’envahir. Contrairement à Damien, je n’avais pas passé la matinée à dormir. Sous l’effet du cannabis, je voulu lui parler de mes expériences dans les stations-services mais je préférais garder ça pour moi. Après avoir vu disparaitre le soleil dans la manche, nous rentrâmes nous coucher. Il s’inquiétait de ne pas trouver le sommeil et je le rassurais en lui disant qu’on avait une bonne réserve de shit, et qu’on pouvait, même en pleine nuit, sortir fumer devant la chambre.
En rentrant, nous croisâmes mes parents qui questionnèrent Damien sur ses premières impressions et nous allions vite nous coucher. Je m’écroulais rapidement sur mon lit, qui, contrairement au sien, était confortable et moelleux et dans lequel j’avais toujours bien dormi. Je m’assoupi rapidement. De son coté, il lu un peu et sorti fumer dehors. N’étant pas habitué à la façon de fermer la porte discrètement, il la claqua accidentellement ce qui me réveilla brusquement. Il s’excusa et je refermais les yeux pour essayer de me rendormir. Cela ne fut pas immédiat et pendant un moment j’entendais tous les sons de la pièce. A un moment il finit par se coucher et je m’assoupi un instant. Je fus à nouveau réveillé un peu plus tard mais moins brusquement cette fois. Mon sommeil ne devait pas être profond. Je n’ouvris pas immédiatement les yeux mais j’entendais distinctement un mouvement de va et vient accompagné d’une respiration intense. Je compris très vite ce qu’il faisait. Au début, je n’osais pas ouvrir les yeux et je faisais semblant de dormir pour ne pas l’embarrasser. Après un moment j’eu moins de scrupule et je me décidais à écarquiller légèrement les yeux sans aucun autre mouvement. Je pouvais, de cet angle, voir sa tête, son torse et presque tout son bras. N’ayant jamais vu sa bite autrement que derrière son caleçon, ma curiosité me poussa, tout en refermant les yeux, de mimer un mouvement que j’aurais pu faire endormi. Je l’entendis ralentir ses mouvements. Quand il reprit son rythme initial, je réouvris un peu mes yeux pour constater que j’avais une vue de l’action complète. Je découvrais enfin son membre tendu dans sa main qui l’agitait. Il était en effet un peu plus grand que le mien mais son gland me parut plus petit. Alors que j’observais cette partie, je vis doucement apparaitre une grosse goute blanche, suivi d’une giclé qui atteint presque mon lit. Il avait coupé partiellement sa respiration pour ne pas faire de bruit mais je pense que, si je dormais à ce moment-là, ça m’aurait de toutes façons réveillées. Pendant qu’il finissait doucement sa masturbation nocturne, je décidai de me tourner. Je me rendis compte qu’involontairement ce mouvement pouvait lui laisser à penser que j’y avais assisté. En m’endormant je posais quelques questions et la principales était « Pourquoi se spectacle m’avait fait-il bander ? »
Au réveil, ne sachant pas s’il avait vu que j’étais réveillé, je décidai de ne pas lui en parler. Nous passâmes la matinée avec mes parents sur la plage. Ma mère nous conseilla vivement d’aller faire la balade vers Dinard, que c’était un peu la tradition quand on venait en Bretagne. Nous avions donc prévu d’y aller le lendemain. Nous partirions après le déjeuner et elle nous attendrait en voiture là-bas en fin d’après-midi. Cette journée se termina aussi en compagnie de mes parents péchant des crevettes dans les rochers. Après le diner nous allions fumer notre traditionnel joint du soir et je décidais de l’amener explorer le plus gros blokosse qui donnait sur la grande plage. C’était un endroit tranquille car la digue qui longeait la plage était remplis de promeneurs venus, comme nous, assister au coucher de soleil. Dans les galeries, on pouvait croiser quelques jeunes venus boire des bières ou faire la même chose que nous. Ce soir-là, nous y étions seul. Dans ce bloque de béton, nous nous sentions isolé des gens qui ne pouvaient pas nous voir, face à une large ouverture d’un mètre de haut à la hauteur de nos visages qui donnait sur l’horizon. Je lui demandais ses impressions sur cette première journée et il en était ravi. Après un silence de contemplation, en continuant à regarder le soleil qui disparaissait doucement, il me dit : « Tu m’as vu, hier soir ? Tu étais réveillé ? ». J’ai bien senti qu’il avait voulu m’en parler toute la journée mais qu’il n’avait pas trouvé d’occasions et qu’il ne savait pas bien comment aborder le sujet. Je lui dis en rigolant pour qu’il sache que ça ne m’avait pas mis mal à l’aise, que sa respiration m’avait réveillé à la fin. Un petit moment passa, il se tourna vers moi et me dit avec un sourire amusé : « Donc tu as vu ma bite ». Je lui avouai qu’en effet, j’avais pu assister au feu d’artifice final et que, par conséquent, j’avais pu voir sa queue. Après un rapide débat sur la taille moyenne des pénis, je le rassura en lui disant que d’après ce que j’avais vu, il en avait une plus grosse que moi. Il me confessa que ça l’étonnait car il avait jugé du contraire en se basant sur les bosses que laissés les quelques érections auxquelles il avait pu assister. Et sur ces mots, après s’être retourné pour s’assurer que nous étions seules, il me demanda de baisser mon short pour qu’on puisse comparer. Je me dis qu’après tout, nous serions à égalité, et que ça simplifierait les branlettes si on n’avait pas à se cacher. Un peu stressé, je me retournai à mon tour pour vérifier à nouveau que personne n’était là et je sorti ma queue qui commençait à s’alourdir. Il m’accorda qu’elle était plus petite que la sienne et remarqua que j’avais un début d’érection. Il me dit : « Elle à l’aire d’être contente de prendre l’aire ». Je lui dis en plaisantant que c’était dû à l’aire marin. Alors qu’elle continuait tranquillement à grossir, il me dit : « la mienne doit être jalouse, elle se réveille ». Sur ses mots, il l’a sorti à son tour et je constatai, qu’en effet, il commençait à bien bander. C’était vraiment agréable de sentir l’aire passer dans l’entre jambe. Je regardais les passants sur la digue et je trouvais ça très excitant d’être là, à quelques mètres d’eux, la bite à l’aire, en pleine érection. Je tirai une grosse bouffé sur le joint, me tourna vers l’horizon et succomba à l’envie irrésistible de me caresser. Damien me regarda faire, sans rien dire, et commença à faire de même. Je me tournais pour le regarder faire, et je dois bien avouer que cette situation me procurait un effet bien particulier. On se mis à rire ensemble tout en jetant des coups d’œil sur les passants. Je continuais à me branler et juste quand je sentais arriver l’éjaculation, on entendit un bruit à l’entrée du blokosse. En une demi seconde, on se rhabilla et partîmes de notre petit havre de paix. Nous croisâmes, en effet, un couple à la sorti des galeries. Il me demanda : « T’allais juter, toi ? Moi j’étais à deux doigts ». Je lui répondis que moi aussi et qu’on aurais été bien malin à s’enfuir si on en avait eu plein les mains.
Après cette fuite, nous avions tous les deux envies de terminer ce qu’on avait commencé. Le soleil était couché et on imaginait le couple qu’on venait de croiser, baiser à l’endroit où on s’était branlé juste avant. De retour dans notre chambre nous ne prime plus aucunes précautions et nous nous installâmes sur nos lits pour continuer nos branlettes respectives. C’était une sensation de liberté assez intense et je crois qu’il partageait mon impression. On feuilletait des revues porno mais, je pense que même sans elles, nous aurions été tout autant excités. Puis il décida de m’avouer que sa petite marionnette en plastique lui servait aussi pour se branler avec. Il alla la chercher pour me montrer comment il faisait. Il mit sa bite dans la bouche de la pauvre créature et me dit en rigolant : « Tu vois, je me fais tailler une pipe. C’est trop bon ». Je lui répondit que ça se voyait, vu qu’il avait l’aire de bander plus qu’avant. En continuant, il me dit qu’il était vraiment dure comme du bois. Après un moment, il me proposa d’essayer. Mais, à ma grande surprise, au lieu de me prêter sa marionnette, il la garda sur sa main et mis tout mon gland dans la bouche de la créature en serrant doucement avec ses doigts. Ça me procura un plaisir instantané. Je ne lui fit pas remarquer qu’il était littéralement en train de me branler. Je le laissa continuer sans rien dire, admirant le spectacle de cette fellation un peu spéciale. Je laissai passé un bon moment à profiter et il me demanda si j’appréciais la sensation du plastique. Je lui dis que je n’étais pas franchement emballé pour l’inciter à l’enlever. Il ne dit rien pendant quelques secondes puis fini par l’enlever délicatement en disant : « comme ça, c’est mieux ? ». Sentir ses doigts qui étaient les premiers, sans compter les miens, qui touchaient ma bite, était vraiment délicieux. Je ne pouvais plus bouger, complètement absorbé par le plaisir et remarqua qu’avec son autre main, il continuait à se branler en même temps. Il ne fallut pas très longtemps pour que je me laisse aller et répande une quantité plutôt impressionnante de sperme sur mon ventre et sur sa main. Il ralenti progressivement et fini, lui aussi, par éjaculer lentement sur sa cuisse. Nous restâmes un moment comme ça sans rien dire avant de nettoyer toute cette semence. On n’osait pas trop parler mais il fini par me dire que son cousin avait déjà branlé un pote à lui et qu’il n’y avait pas à flipper. Je lui répondais que j’était d’accord et que ça ne voulait pas dire qu’on était pédé. En lui disant ça, au fond de moi, les choses étaient bien plus confuses. Entre doutes sur mes gouts et l’excitation d’avoir trouvé un truc qui m’avais donné un plaisir que je n’avais jamais ressenti de cette façon, je me couchais en pensant que ces vacances devenaient déjà de plus en plus intéressantes.
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Histoire de Luc75

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