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A pretty special game

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Lue : 12402 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 11/12/2011

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De longues heures de route pour enfin arriver dans le nord de la France.
François attend mon arrivée.
Je suis là pour un anniversaire. L’anniversaire de Julie. Cette jeune et belle femme qui a tendance à hanter mes nuits, très régulièrement…

Je lui ai fait croire que je ne pourrais pas être là à sa soirée. Elle y croit. Tous les invités sont au courant, mais tous gardent le secret bien au chaud. Cette soirée me rend perplexe mais j’ai hâte d’y être et je compte bien en profiter.

Nous arrivons enfin chez Julie. Les bras chargés d’alcool nous passons la porte l'un après l'autre. François, passe devant moi. Julie, tellement occupée à accueillir tous le monde, ne fait pas immédiatement attention à moi.
Son regard fini enfin par rencontrer le miens. Un beau et grand sourire s’illumine sur son visage. Elle s’approche de moi et malgré mes mains chargées de bière, elle me serre fort contre elle. Qu’elle sensation agréable…

Le monde est au rendez-vous. Un verre, deux verres, trois verres, puis je ne les comptes plus. Je discute avec un peu tout le monde, fait connaissance, mais j’ai toujours un œil qui cherche à savoir où est Julie. Au un moment, je sens mon état devenir rapidement secondaire.

Un peu plus tard dans la soirée, elle vient me voir et me demande si je vais bien et si je trouve mon compte. Je lui réponds que je suis un peu joyeuse et alcoolisée mais que non, je n’ai pas encore trouvé mon compte. Elle me demande alors pourquoi. Mon état étant alcoolisé, il est plus facile pour moi de dire ce que je pense. Alors je lui réponds fièrement que c’est Elle, mon compte. Elle me rétorque droit dans les yeux qu’elle n’est pas encore assez bourrée pour m’embrasser puis s’en va en lâchant un sourire taquin. Je ne sais pas comment je dois le prendre, mais je ne peux pas m’empêcher de me diriger vers François pour lui raconter ce qu’il vient de se passer. J’étais surexcitée.

Ayant une bière à la main, il me dit d’aller la voir et de la faire boire. L’occasion ne se serait pas prêter deux fois. Je rentre dans la maison, aperçoit Julie sur le canapé et me précipite pour la rejoindre. Je n’ai pas eu le temps de dire quoique ce soit que ses mains m’ont attrapées le visage et ses lèvres ont attrapées les miennes passionnément. Et pour la première fois, nos langues ce sont enfin rencontrées. Ce fût un moment riche en émotions...

Elle se lève, me fixe droit dans les yeux et s’en va en souriant. Son regard envieux en disait long. Elle voulait que je la suive.
Ne sachant pas où elle est allé, je demande à quelqu’un si il sait où se trouve la chambre de Julie. Il m’y emmène puis s’en va. J’ouvre délicatement la porte, y jette un œil et la voit, allongée sur son lit. Elle me regarde langoureusement puis me fait signe de rentrer. Elle se lève et ferme la porte à clé.

J’ai l’impression d’avoir extrêmement chaud. Elle passe ses mains autour de ma taille puis sans m’y attendre, me plaque contre le mur avant de m’embrasser langoureusement et passionnément. J’en ai des frissons, partout. Je sens qu’elle a envie de prendre le contrôle, elle me serre contre elle et je sens sa magnifique poitrine se poser contre moi. Elle m’excite et elle le sait. Je veux reprendre le contrôle. Echanger les rôles. J’ai envie de la plaquer contre le mur à mon tour. Tout en continuant de l’embrasser, j’essaie de me dégager. En vain. Elle me résiste. Non elle ne veut vraiment pas que je prenne le contrôle. Je dois dire que en sois, ça ne me pose pas de problème. Je sais pertinemment que je l’aurai à un moment, à moins qu’elle n’ait raison de moi.
Elle plonge ses yeux dans les miens puis je sens ses mains remontées le long de mes côtes, jusque sur mes seins. Je frissonne de plaisir et de désir.
Ses lèvres parcours mon cou et finissent une fois de plus sur les miennes. Ma respiration s'accélère, la sienne ne met pas plus longtemps à faire de même.

Ni une, ni deux, ses mains s'agrippent à mon chemisier, et le déboutonne en quelques secondes.
Je ne résiste pas à faire la même chose. Sa poitrine généreuse s'offre enfin à moi.
Nos chemises jonchent désormais le sol, et nos corps enlacés terminent allongés sur son lit.
Nos chaleur corporel ne font plus qu'une.

Je la sens hésitante. C’est sa première fois. Je sens une de ses mains passer derrière mon dos -pourtant appuyé aux draps de son lit- dégrafer lentement mais surement mon soutien-gorge. Puis d’un coup sec elle me l’enlève et le jette non loin de là. Sa langue sort de son antre et telle une carte aux trésors, se fraye un chemin sur mon torse, nu. Sa respiration était haletante. Je sentais son envie de me faire plaisir mais de ne pas réellement savoir comme faire.

Il ne m’a fallu qu’une seconde de faiblesse corporelle de sa part pour prendre le contrôle. Je me retrouve alors assise sur ce corps parfaitement dessiné.

Je l’embrasse langoureusement pendant de longues minutes en prenant bien soin de maintenir ses bras afin qu’elle ne bouge pas. Je la sens remuante sous mon corps. Son désir décuple. Ma langue descend le long de sa joue pour finir dans son cou. Je la mordille doucement. Elle frissonne. Ma langue divague sur son épaule droite puis descend sur sa poitrine. Son soutien-gorge se serai défait tout seul tellement elle est excitée. D’un coup de main je lui enlève. Ses tétons sont au garde à vous, et ma langue ne patiente pas longtemps et fait cette rencontre tant attendu avec ces deux magnifiques petits boutons, bandés à souhait. Je décide de lui lâcher les mains tout en faisant attention à ce qu’elle ne prenne pas trop ses aises. Ses bras m’enlacent et je sens peu à peu ses doigts s’enfoncer de plaisir dans mon dos. Ses jambes s’écartent. Mon corps s’installe entre celle-ci et lentement, fait des va-et-vient contre son entrejambe.
De légers gémissements sortent de sa bouche. Ce qui m’excite au plus au point. Mes mains déboutonnent son jean puis lui enlève fougueusement. Voilà qu’elle se retrouve là, avec pour seul vêtement, un string. Nos regards se plongent l’un dans l’autre pendant de longues secondes. Elle se mordille les lèvres de désir et d’envie. Mes yeux ne décollent pas des seins, mais je n’ai pas besoin d’eux pour lui ôter ce petit bout de tissu.

Je ne peux m’empêcher de scruter son corps sous tous les angles. Elle est magnifique. Elle me fait encore plus envie. J’ai l’impression de voler, l’alcool en moi doit jouer très certainement sur mon état. Je n’ose plus bouger, j’ai juste envie de la regarder, là, allongée nue sous mon corps. Je n’ai pas eu le temps de faire quoi que ce soit qu’elle se retrouve à nouveau sur moi. Un regard malicieux rugit de son visage. Elle n’est pas peu fière d’être arrivé à me maitriser à nouveau.

J’ai tellement envie d’elle que je n’essaie même pas de me débattre. Ses gestes sont frêles mais ont envie d’arriver à leurs fins. Je suis tellement sur un nuage et envieuse que j’ai envie de finir de me déshabiller moi-même pour que ça aille plus vite. Mais j’ai hâte de voir comme elle va s’y prendre. Tout d’un coup, j’entends un « j’ai envie de toi » au creux de mon oreille. Ca me met dans tous mes états.

Sa main se retrouve rapidement dans mon pantalon déboutonné par ses soins. Elle se glisse entre mes cuisses vibrantes d’impatience et brulantes. Entre deux gémissements, je lui supplie de me déshabiller. Ce qu’elle fît sans sourciller. Elle me caresse les cuisses, de haut en bas, à l’intérieur à l’extérieur. Sa main remonte sur la partie la plus intime de mon corps. Je ne peux me retenir de gémir de plaisir, et elle en fait autant. Ses doigts me titillent de haut en bas. Je sens mon ‘bouton’ se contracter comme jamais. Je bande. Oui, je bande. Je suis tellement en transe que je ne me rends même pas compte que c’est sa première fois. Tout est parfait. Tout. Ses doigts continuent de me caresser pendant que sa langue descend petit à petit sur mon torse, entre mes seins, sur mes seins, le long de mon nombril, puis sur mon bas ventre. Je n’en peux plus. Sa langue est encore plus brulante que ma peau mais j’arrive quand même à la sentir sur mon sexe humide. Je m’éprends de tremblements orgasmiques. Ses doigts sont entrés en moi, un puis deux, en va-et-vient, de plus en plus vite. Mon souffle saccade, se bloque puis reprend. Je n’en peux plus, je suis au bout. Elle gémit dans mes oreilles. Ma main se faufile rapidement entre ses cuisses et à mon tour je m’occupe d’elle. Je la caresse, puis la pénètre, elle aime ça, elle me le dit, elle veut que je continue. Plus vite. Plus fort. La chaleur est quasi intenable. Nos respirations battent la cadence. Nos gémissements s’intensifient. Se transforme en cris, jouissifs.
Nous nous baisons en rythme. Comme si nous faisions la course pour savoir laquelle de nous deux fera jouir l’autre en premier. Et c’est dans un orgasme simultané que nous nous lâchions l’une à l’autre pour de bon.

Elle retire ses doigts de mon corps et les emmènent jusqu’à mes lèvres, comme pour me faire gouter ma fragrance. C’est avec plaisir que je suce ses doigts chauds et trempés. Ma langue me démange à mon tour. D’un coup de reins, je la bascule sur le côté et m’agenouille sur elle. Ma langue divague sur son corps comme une folle. Je suis dingue. Dingue. Je n’ai même pas envie d’attendre. Je me retrouve la tête entre ses cuisses moites, je dépose ma langue sur sa petite fleur toute gonflée. Ses mains sont agrippées à mon crâne, comme si elle ne voulait pas que je m’en aille. J’ai envie que ce moment dur une éternité. Elle joui. Si fort. Elle me rend folle. Folle.

Nous avons passé la quasi totalité de la nuit l'une agrippée à l'autre. Mais exténuées, nous finissons cette magnifique 'nuit' nue et enlacées..
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Histoire de kezor

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Commentaires du récit : A pretty special game

Le 25/05/2015 - 21:34 par douce3302
vraimen exitant
Le 11/09/2013 - 21:17 par virgi
Vraiment,bon!!....merci
Le 31/12/2011 - 17:02 par She
Superbe récit ! J'adore :)

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