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Accompagnatrice

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Lue : 8139 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/04/2013

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Il faut bien manger, vivre en un mot. Mes parents sont justes au point de vue finances. Mon ex m’a oublié depuis je ne sais combien de temps. Grand bien lui fasse. J’arrive à contenter seule mes envies. Je devais avoir une douzaine d’années quand je me suis touché la chatte, seule, la première fois. C’était agréable sans plus. C’est après qu’il m’ait dépucelé qu’il m’a demandé de me caresser devant lui : c’était excitant. Je l’ai fait facilement : il se touchait la queue devant moi.

Une copine de fac me disait qu’il lui arrivait de faire l’amour pour de l’argent. Elle sortait dans des bars, ne triait pas ses futurs amants. Il s’en fichait totalement pourvu qu’un portefeuille s’ouvre pour elle. J’avais besoin de brouzoufs, mais pas comme elle. J’ai laissé mes coordonnées téléphoniques dans les annonces d’un journal local. Depuis je suis tranquille : je vis à l’aise. Etre une accompagnatrice est agréable surtout avec des « vieux ». Mes amants sont tous plus âgés que moi de 5 à 10 ans au moins. Des fois j’ai affaire à un couple. J’aime bien les couples. Le triolisme est la meilleures des choses au monde. Une fois, après une bonne nuit avec le couple, c’est elle qui m’a invité pour les vacances.

Ils possèdent une villa dans le midi, pas loin de la plage. Si nous avons des maillots pour le bain de jour, par contre et dans la journée et la nuit, nous sommes nus. J’aime voir sa bite tranquille le matin. Les premiers baisers avec elles sont doux. Sa main sait où se poser sur moi. Me seule obligation est de lui lécher la chatte le matin après qu’elle ait fait pipi. J’aime le goût de son urine sur ma langue. J’entre le bout relevé de la langue dans le trou. Je la sors en léchant toute la fente. Si elle ne me le rend pas, elle passe sa main dans ma fente à la recherche du petit trou. Je la laissé écarter mes fesses, passer et repasser sur l’anus que j’ouvre. J’aime la sensation de la pénétration d’un doigt. S’il est là, il prend ma bouche la fait ouvrir pour que je m’occupe de sa bite. Elle me paraît grosse alors qu’elle est normale. Je lui lèche le gland doucement, lentement en variant la pression. Je l’entends gémir pendant la fellation. J’anticipe la jouissance en ouvrant large les lèvres. Le jet de foutre m’atteint au fond de la gorge. J’attends qu’il finisse pour déguster la liqueur d’amour. Je la partage avec elle. Notre baiser d’échange et prolongé.

Leur aide ne me suffit pas, il me faut d’autres relations. J’ai trouvé ainsi deux copains, un peu gays qui aiment aussi les filles au moins leurs culs. Et moi j’aime vois les hommes qui s’amusent ensemble, ça m’excite beaucoup de vois une pine entrer dans un cul d’homme. Avec eux, je n’étais que la fille à enculer ou qui suce. Et j’aime les deux façons. La première fois je me suis trouvée nue un peu malgré moi. Nous étions en groupe, nous devions baiser simplement. Enfin baiser en groupe. Je venais de tirer un coup avec une copine connue depuis longtemps quand un des eux m’a demandé gentiment de me la mettre au cul. Je venais de jouir avec une langue de fille, alors pourquoi par une queue dans le cul. Il était presque trop bien monté. Mais une fois entrée qui se soucie de la grosseur qu’on a dans le cul ? Il faisait mon bonheur. Son copain a voulu que je le suce. Lui était encore mieux monté. Je me demandais comment il faisait pour enculer son copain. Mes lèvres se sont ouvertes doucement sur le mandrin. Plus j’ouvrais la bouche plus il grossissait. Je sentais venir sa première goutte sur la langue : il était salé, agréable en un mot. J’étais en levrette, la bouche pleine comme le cul, c’était bon, extrêmement bon. Il me tenait les fesses comme s’il avait peur que je le quitte. Seule la bouche restait collée contre son bas ventre. Je sentais les poils contre mon nez. Ils ont joui presque ensemble. C’était bon leur jet dans mon corps. Ils m’ont payé la séance cash ; comme je voulais. De quoi tenir une petite semaine.

Je me suis donnée à une femme qu’on qualifierait de cougar. Elle avait, disons quoi, 40 ans. Evidement à coté de mes 22 ans, il y avait de l’écart. Qu’elle majesté dans sa dépravation. Je me doutais bien qu’elle avait eu des aventures féminines avant de se marier. Je ne me souviens pas avoir eu ni avant ni après à de si merveilleux orgasmes saphiques. Elle me payait, je jouissais. Je la faisais jouir au moins autant. Ses seins durcissaient au fur et à mesure que nous baisions. Ses tétons étaient agréables sous ma langue et mes doigts. Et sa main avec ses doigts sur ma chatte. Elle savait me branler avec simplicité et bonheur pour moi. Je tenais sa tête quand elle venait lécher ma chatte doucement partout. Sa bouche tétait mon clitoris pendant qu’une main allait sur le cul pour y mettre un ou deux doigts. Si elle se tournait c’était pour faire un 69 rare. Je sentais ses lèvres, sa langue sur mon intimité. Nous nous tordions l’une sur l’autre, sans complexe, avec désir, toujours du désir. Un jour elle m’a dit que c’était fini. Malgré que je me fasse payer, j’en avais comme un creux. J’aimais cette femmes set son corps et ses caresses intimes.

Je me suis vengé en me vendant sans jouir une seule fois : je simulais toujours, sauf avec une nouvelle de ma fac. Elle s’appelait Janie. C’est elle qui m’a cherchée et trouvée. Qu’elle était belle, attirante même et surtout pour les garçons. Elle m’a conquise en nous rhabillant après un match de tennis. Sous la douche, elle a commencé à se branler devant moi en me regardant franchement. J’en ai fait autant avant qu’elle me touche la chatte directement, comme une chose normale. Sa langue est venus sur moi, m’a léché le ventre, les seins, et le petit oiseau d’en bas. Je ne sais pourquoi elle m’a choisi. Je sais qu’elle m’a fait du bien partout, que j’ai joui sans limite, sans pudeur avec elle. Depuis, je ne me vends plus, sauf des fois avec elle.
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Histoire de fabrissa

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