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Activités matinales
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ACTIVITÉS MATINALES
- Hummm. C’est bon Carmen. Oh oui continue ma chérie. Il n’y a rien de mieux qu’une bonne pipe pour se réveiller le matin. Mais ne fait pas de bruit tu sais que notre couple de meilleurs amis sont couchés dans le lit à côté.
- Laisse-toi aller mon Stéphane, je suis réveillé parce que je suis en train de manger ta femme.
- Mais c’est qui qui me suce Jean? C’est pas vrai. Ta femme Isabelle est en train de me faire une fellation. Et toi Carmen, tu te fais manger par Jean.
- Ben oui Stéphane. J’avais hâte de pouvoir goûter à ta queue depuis que je l’ai vu en action cette nuit quand tu prenais ta Carmen en levrette. Elle était si grosse et elle me donnait tellement envie que quand j’ai vu ta femme dans la salle de bain ce matin pendant qu’elle pissait, je l’ai rejoint et on a voulu échanger parce qu’elle aussi désirait bénéficier de la longue verge de mon Jean.
- Puis moi je me suis fais réveiller il y a quelques minutes quand ta femme s’est assise sur ma face pour que je la mange. Elle goûte vraiment bonne surtout que je goûte le mélange de ses jus avec ton sperme de cette nuit que tu lui as répandu dans le vagin.
- Elle suce vraiment bien ta femme.
- Oui pis ta queue goûte vraiment bon avec le jus séché de Carmen dessus. J’ai hâte de le goûter de la source.
- Tu veux vraiment venir chercher mon jus dans ma chatte?
- Mais non c’est une blague.
- Isabelle, arrête de me sucer je vais jouir. Trop tard. Ahhhhhh. Ouiiiiiiiiiii. Je jouis.
- Cochonne d’Isabelle tu avales le sperme de mon meilleur ami devant moi.
- Arrête de parler Jean. Fais-moi jouir moi aussi. Je suis porche. Je vais t’inonder de mon jus. C’est trop bon. Je jouis, je jouis.
- Wow. Tu jouis vraiment fort ce matin. En plus de trembler de tout tes membres, tu m’inondes la bouche. C’est bon, ça coule comme un robinet. On dirait que tu pisses. Je suis tout mouillé et le lit aussi.
- Bon c’est pas tout ma chère Isabelle. Avec la petite pilule jaune que j’ai pris hier soir et qui va me permettre de bander dur pendant deux jours, j’ai le goût de te pénétrer. Je vais laisser ton mari s’arranger avec ma femme et je vais te montrer mes talents après t’avoir manger pour que tu mouilles.
- Pendant que je suis sur toi, je vais continuer à te sucer pour que tu deviennes dur, mais toi fais-moi mouiller pour que tu glisses ta grosse verge dans le corps.
- Bon, maintenant qu’Isabelle et Stéphane se sont mis d’accord sur la suite, moi aussi Jean j’aimerais avoir ta longue queue en moi. Mais afin de m’assurer que je vais bénéficier de la pleine mesure de ce membre que je regarde depuis tout à l’heure, je vais m’en occuper un peu.
- Oh oui Carmen. Lèche-moi et prend moi dans ta bouche. Après je vais te défoncer l’utérus. Oh oui. Ta bouche est tellement chaude et douce. Crache-moi dessus. Mouille ma queue. Crosse-moi en même temps. Tu me fais bander. Ta femme est vraiment chaude Stéphane.
- C’est une cochonne, une vraie salope ma Carmen. Mais je vais m’occuper de ta petite cochonne maintenant.
- J’allais dire la même chose de mon Isabelle. Profites-en, elle aime quand on lui parle vulgairement.
- Même chose pour la mienne.
- Salope. Tu me mets un doigt dans le cul. Tu me masses la prostate. Je ne pourrai pas me retenir. Je vais jouir dans ta bouche.
- Vas-y. envoie-moi toute ta semence. J’aime ça. Je vais te boire comme Isabelle a bu mon mari. Oh. Salaud. C’est pas croyable. Quelle grosse dose de sperme. Pourtant tu as rempli ta femme cette nuit et tu es capable d’en verser encore autant. C’est bon.
- Bon. Maintenant que tu as jouis, il va falloir que je recommence. La cochonne de ton meilleur ami va te faire rebander. Comme Isabelle m’a dit que toi aussi tu avais pris une petite jaune, tu ne devrais pas avoir de problèmes pour me m’envoyer au ciel souvent.
- Oh oui. Masturbe-moi à deux mains et suces-moi en même temps. C’est vraiment bon. Tu vas me faire bander en un temps record avec cette technique. Comment ça va cher ami? Jean es-tu toujours avec nous?
- Désolé. J’avais la langue dans la plotte de ta femme.
- Vite remets-moi ta langue dans la plotte. Elle va et vient tellement loin et vite. Salaud tu me lèche le cul et tu me doigte la chatte en même temps. Arrêtes. Je vais jouir. Non, pas mon clito en plus. Je jouis. Je jouis.
- Elle est tellement bonne ta chatte et tes lèvres sont si longues. J’ai l’impression que je te frenche la bouche et la langue. Tu coules comme une fontaine. Ça va bien glisser quand je vais te mettre ma grosse queue. Tourne-toi sur le dos. On va commencer tranquillement en missionnaire, mais avant je veux te téter les seins. Tes boules sont magnifiques et je te faire bander les pointes.
- Ta langue est bonne Jean. Je sens mes pointes devenir dures. Pince-moi l’autre téton. Plus fort. Oui mon cochon mange-moi les seins et pince-les. Tire dessus. Tu m’excites trop. Prends-moi. Vite. Embrasse-moi. Ta langue est bonne; je vais la sucer comme j’ai sucé ta bite. Wow. Tu m’as léché les amygdales je pense. Pénètre-moi, mais doucement. Tu es tellement gros. Ahhhhhhhh! Vieux porc. Tu m’as défoncé. Tu es entré comme un animal. T’es tellement gros.
- Je savais que tu voudrais te faire défoncer brutalement. Stéphane m’as déjà dit que tu aimais quand c’était brutal. Eh bien profites-en ma petite cochonne. Tu es une salope qui aime être défoncé fort et je vais t’en mettre plein le ventre. T’es une vraie putain qui aime la bite.
- Stéphane, ton ami as une très grosse queue et je sens ses boules frapper mes fesses. C’est un vrai salaud. Il m’écarte les parois. Il va me déchirer. Tu as bien fait de lui dire que j’aimais ça hard. Mais toi aussi tu peux te laisser à tes bas instincts. Isabelle aime ça aussi.
- C’est bien noté Carmen. Je vais lui entrer profondément dans le ventre.
- C’est bon Jean. Continue à me défoncer avec ta grosse queue. Fourre-moi mon gros porc. T’es tellement vicieux.
- Viens ici Isabelle. Mets-toi à quatre pattes comme une chienne. Je vais te prendre par derrière.
- Parfait, c’est ma position préférée. Sale chien tu vas pouvoir rentrer ta longue queue dans ta chienne. Mais entre lentement pour ne pas aller trop loin et me faire mal. Non plus lentement. Humph. Salaud. Pervers. Sadique. Je te sens contre mon utérus. Tu vas me défoncer le ventre. Oh oui. Prends-moi les totons. Tire dessus. Carmen, ton mari me traie comme une vache. Je vais….jouirrrr. C’est booooon. Je jouiiiiis…
- Oui t’es une vraie vache. Tu viens de faire sortir ton jus comme la vache fait sortir son lait. Maintenant c’est à mon tour de décharger dans ton ventre. T’es trop bonne. J’aime ça te remplir de décharge juteuse. Et maintenant je vais te mettre un doigt dans le cul pour voir si tu es serrée.
- Non pas ça. Je n’aime pas ça dans le cul. Ça fait trop mal. Jean, dis à ton ami d’arrêter. Tu sais que je ne veux jamais dans mon cul.
- Vas-y mon Stéphane. Comme ta queue est moins grosse que la mienne, tu vas pouvoir la sodomiser et elle va pouvoir goûter à la sodomie pour la première fois.
- Vous êtes des salauds et des pervers. S’il te plaît Stéphane. Arrête. Il vient de me cracher dans le cul. Il est en train de me lécher. Ouuu. C’est délicieux. Oui. Avec ta langue tu peux. Entre ta langue dans mon petit trou. Oui c’est bon. C’est doux. Ça tu peux continuer comme tu veux. J’aime ça. Non pas ton doigt. Arrête.
- Putain, mon doigt est entré en entier et facilement dans ton trou plissé. Es-tu certaine que tu ne te doigte pas le cul en cachette ou que tu ne prends pas un gode ou un vibrateur pour te faire jouir du cul.
- Il n’y a rien jamais rien qui est entré là-dedans. Carmen, aide-moi.
- Ma belle, je suis trop occupée avec la grosse queue de ton conjoint. Il me ramone comme un marteau-pilon. Il me déchire la plotte, mais c’est bon. Je jouis encore. Continue Jean.
- Je jouis encore Carmen. Tu es vraiment serrée. T’es une bonne pute. Tu me fais jouir. Tu es complètement rempli de sperme et j’aime ça entendre les bruits de fouc-flouc qui sortent de ta chatte inondée de mon sperme qui te coule sur les cuisses. Tourne-toi et mets-toi à quatre pattes comme ta chienne d’amie. Je vais te manger pour enlever le surplus de sperme. J’aime avoir mon sperme dans la bouche. Relève-toi et viens m’embrasser, je vais te faire encore goûter à ma décharge.
- Pis toi Stéphane, mon amour, amuse-toi avec son petit cul vierge, mais soit quand même doux un peu, du moins plus que quand tu m’encules.
- Oui mon amour. Pas de problème. Tu vois Isabelle, tout le monde veux que je t’encule. Mais je vais être doux.
- Non je ne veux pas. J’ai peur. Non pas ton pouce dans mon cul. Ça fait mal, c’est pas drôle, arrête, non pas deux doigts arrête. Arrête de me cracher dans le cul.
- Et maintenant, je vais planter mon pieu dans ton sexe pour bien l’humidifier avec ton jus et mon sperme. Hum ¸ ça glisse bien. Et voilà il est bien lubrifié.
- Bon là ça va faire Stéphane. Je ne ris plus. Enlève ta main dans mon dos pour que je me redresse et que l’on continue à baiser dans une autre position.
- Dans cette position, tes fesses sont bien écartées et je vois bien ton cul plissé qui est entrouvert. Bouge pas. Voilà, ça rentre.
- Ahhhhhhhh. Il m’a défoncé. Ça fait mal. Ne bouge plus. Ça brûle. Sors. Oui sors doucement comme ça. Ah je sens que ça va aller mieux quand tu vas être complètement sorti. Non, n’entre pas à nouveau. Sors.
- Arrête de couiner. Tu aimes ça salope. Tu es une chienne et tu aime qu’on te prenne par derrière.
- Oui j’aime ça par derrière, mais dans ma plotte, pas dans le cul. Arrête. Je promets que je vais faire tout ce que tu veux après.
- Ce que je veux c’est t’enculer je vais continuer. Détends-toi et force comme si tu voulais chier. Ça va bouger tout seul
- Non arrête. Qu’est-ce que tu fais? Non pas des va-et-vient. Arrête. Stoppe. Cesse. Oh. Euh. Ça glisse mieux. Ça commence à faire moins mal. C’est bon. Oui continue. Défonce-moi lentement.
- Jean, pendant qu’on baise regarde ta femme se faire enculer. Je pense qu’elle apprécie maintenant. Stéphane a seulement une queue longue, mais pas énorme comme la tienne. La tienne n’entrerait nulle part. Quand lui m’encule, même s’il est violent, c’est tellement bon.
- Ma chère Carmen, ma queue est plus grosse que celle de Stéphane, c’est vrai. Mais comme tu vois, elle est bien lubrifiée et dégoulinante de ton jus et de mon sperme. Donc, comme le disait ma mère quand elle voulait m’arracher une dent de bébé, ça fait moins mal quand on ne s’y attend pas.
- Ouch. Ahhhhh. Non. Stéphane, Jean vient de m’enfoncer son gros pieu d’un seul coup. Vient le retirer. Ça fait trop mal. Isabelle, parle à ton mari.
- Qu’est-ce que tu dis Carmen? C’est toi qui encourageais ton mari tout à l’heure. Alors c’est à ton tour de souffrir ma belle. Moi, j’aime ça maintenant car Stéphane va lentement. Il glisse jusque dans mes intestins. Il est tellement log que je le sens dans mon ventre.
- Salope. Tu es supposée être ma meilleure amie et me protéger et me défendre. Ton vieux porc ne cesse d’entrer et sortit de mon cul serré. Mais, là je commence à m’habituer. Ça devient bon. Oui, lentement Jean. Continue.
- Bon là, maintenant qu’elles semblent apprécier, qu’est-ce que tu dirais Jean si on leur payait toute une virée. On augmente la force et la vitesse.
- Han Han Han, C’est bon de les fourrer dans leur cul dégoûtant. Écoute les crier comme des truies. Elles aiment ça les cochonnes se faire enculer par des vieux porcs comme nous.
- Han. Han. Han. Oui c’est sûr. Ce sont des putes qui vivent pour les queues. On est vraiment chanceux d’avoir des putes comme ça comme épouses et comme maîtresses. Écoute-les crier. Mais moi je vais venir bientôt
- Ça vient. Je vais décharger.
- Oui Stéphane. Jouis dans mon cul. Je sens que je vais jouir aussi Je me pince le clitoris et je jouis du vagin. Ahhhhhh. Ça coule. J’ai jamais jouis comme ça.
- Jean ramone-moi. Je vais jouir du cul. Et toi Isabelle, tu as jouis du cul aussi. Oui tire sur mes seins comme on trait une vache et tire mon clito. C’est trop bon. Je jouis maintenant du cul et de la plotte. C’est bon Jean. Tu me remplis de ta décharge.
- Ah mes cochonnes de putes. Vous nous avez tués. Nous sommes hors service pour un bout.
- Mes gros porcs, vous êtes aussi bien de vous remettre en forme bientôt, car vous nous avez allumé et excité et je crois qu’Isabelle, comme moi, on a encore besoin de découvrir d’autres jeux.
- Bon Stéphane, que dirais-tu si nous allions prendre une douche pour se remettre en forme?
- Hummm. C’est bon Carmen. Oh oui continue ma chérie. Il n’y a rien de mieux qu’une bonne pipe pour se réveiller le matin. Mais ne fait pas de bruit tu sais que notre couple de meilleurs amis sont couchés dans le lit à côté.
- Laisse-toi aller mon Stéphane, je suis réveillé parce que je suis en train de manger ta femme.
- Mais c’est qui qui me suce Jean? C’est pas vrai. Ta femme Isabelle est en train de me faire une fellation. Et toi Carmen, tu te fais manger par Jean.
- Ben oui Stéphane. J’avais hâte de pouvoir goûter à ta queue depuis que je l’ai vu en action cette nuit quand tu prenais ta Carmen en levrette. Elle était si grosse et elle me donnait tellement envie que quand j’ai vu ta femme dans la salle de bain ce matin pendant qu’elle pissait, je l’ai rejoint et on a voulu échanger parce qu’elle aussi désirait bénéficier de la longue verge de mon Jean.
- Puis moi je me suis fais réveiller il y a quelques minutes quand ta femme s’est assise sur ma face pour que je la mange. Elle goûte vraiment bonne surtout que je goûte le mélange de ses jus avec ton sperme de cette nuit que tu lui as répandu dans le vagin.
- Elle suce vraiment bien ta femme.
- Oui pis ta queue goûte vraiment bon avec le jus séché de Carmen dessus. J’ai hâte de le goûter de la source.
- Tu veux vraiment venir chercher mon jus dans ma chatte?
- Mais non c’est une blague.
- Isabelle, arrête de me sucer je vais jouir. Trop tard. Ahhhhhh. Ouiiiiiiiiiii. Je jouis.
- Cochonne d’Isabelle tu avales le sperme de mon meilleur ami devant moi.
- Arrête de parler Jean. Fais-moi jouir moi aussi. Je suis porche. Je vais t’inonder de mon jus. C’est trop bon. Je jouis, je jouis.
- Wow. Tu jouis vraiment fort ce matin. En plus de trembler de tout tes membres, tu m’inondes la bouche. C’est bon, ça coule comme un robinet. On dirait que tu pisses. Je suis tout mouillé et le lit aussi.
- Bon c’est pas tout ma chère Isabelle. Avec la petite pilule jaune que j’ai pris hier soir et qui va me permettre de bander dur pendant deux jours, j’ai le goût de te pénétrer. Je vais laisser ton mari s’arranger avec ma femme et je vais te montrer mes talents après t’avoir manger pour que tu mouilles.
- Pendant que je suis sur toi, je vais continuer à te sucer pour que tu deviennes dur, mais toi fais-moi mouiller pour que tu glisses ta grosse verge dans le corps.
- Bon, maintenant qu’Isabelle et Stéphane se sont mis d’accord sur la suite, moi aussi Jean j’aimerais avoir ta longue queue en moi. Mais afin de m’assurer que je vais bénéficier de la pleine mesure de ce membre que je regarde depuis tout à l’heure, je vais m’en occuper un peu.
- Oh oui Carmen. Lèche-moi et prend moi dans ta bouche. Après je vais te défoncer l’utérus. Oh oui. Ta bouche est tellement chaude et douce. Crache-moi dessus. Mouille ma queue. Crosse-moi en même temps. Tu me fais bander. Ta femme est vraiment chaude Stéphane.
- C’est une cochonne, une vraie salope ma Carmen. Mais je vais m’occuper de ta petite cochonne maintenant.
- J’allais dire la même chose de mon Isabelle. Profites-en, elle aime quand on lui parle vulgairement.
- Même chose pour la mienne.
- Salope. Tu me mets un doigt dans le cul. Tu me masses la prostate. Je ne pourrai pas me retenir. Je vais jouir dans ta bouche.
- Vas-y. envoie-moi toute ta semence. J’aime ça. Je vais te boire comme Isabelle a bu mon mari. Oh. Salaud. C’est pas croyable. Quelle grosse dose de sperme. Pourtant tu as rempli ta femme cette nuit et tu es capable d’en verser encore autant. C’est bon.
- Bon. Maintenant que tu as jouis, il va falloir que je recommence. La cochonne de ton meilleur ami va te faire rebander. Comme Isabelle m’a dit que toi aussi tu avais pris une petite jaune, tu ne devrais pas avoir de problèmes pour me m’envoyer au ciel souvent.
- Oh oui. Masturbe-moi à deux mains et suces-moi en même temps. C’est vraiment bon. Tu vas me faire bander en un temps record avec cette technique. Comment ça va cher ami? Jean es-tu toujours avec nous?
- Désolé. J’avais la langue dans la plotte de ta femme.
- Vite remets-moi ta langue dans la plotte. Elle va et vient tellement loin et vite. Salaud tu me lèche le cul et tu me doigte la chatte en même temps. Arrêtes. Je vais jouir. Non, pas mon clito en plus. Je jouis. Je jouis.
- Elle est tellement bonne ta chatte et tes lèvres sont si longues. J’ai l’impression que je te frenche la bouche et la langue. Tu coules comme une fontaine. Ça va bien glisser quand je vais te mettre ma grosse queue. Tourne-toi sur le dos. On va commencer tranquillement en missionnaire, mais avant je veux te téter les seins. Tes boules sont magnifiques et je te faire bander les pointes.
- Ta langue est bonne Jean. Je sens mes pointes devenir dures. Pince-moi l’autre téton. Plus fort. Oui mon cochon mange-moi les seins et pince-les. Tire dessus. Tu m’excites trop. Prends-moi. Vite. Embrasse-moi. Ta langue est bonne; je vais la sucer comme j’ai sucé ta bite. Wow. Tu m’as léché les amygdales je pense. Pénètre-moi, mais doucement. Tu es tellement gros. Ahhhhhhhh! Vieux porc. Tu m’as défoncé. Tu es entré comme un animal. T’es tellement gros.
- Je savais que tu voudrais te faire défoncer brutalement. Stéphane m’as déjà dit que tu aimais quand c’était brutal. Eh bien profites-en ma petite cochonne. Tu es une salope qui aime être défoncé fort et je vais t’en mettre plein le ventre. T’es une vraie putain qui aime la bite.
- Stéphane, ton ami as une très grosse queue et je sens ses boules frapper mes fesses. C’est un vrai salaud. Il m’écarte les parois. Il va me déchirer. Tu as bien fait de lui dire que j’aimais ça hard. Mais toi aussi tu peux te laisser à tes bas instincts. Isabelle aime ça aussi.
- C’est bien noté Carmen. Je vais lui entrer profondément dans le ventre.
- C’est bon Jean. Continue à me défoncer avec ta grosse queue. Fourre-moi mon gros porc. T’es tellement vicieux.
- Viens ici Isabelle. Mets-toi à quatre pattes comme une chienne. Je vais te prendre par derrière.
- Parfait, c’est ma position préférée. Sale chien tu vas pouvoir rentrer ta longue queue dans ta chienne. Mais entre lentement pour ne pas aller trop loin et me faire mal. Non plus lentement. Humph. Salaud. Pervers. Sadique. Je te sens contre mon utérus. Tu vas me défoncer le ventre. Oh oui. Prends-moi les totons. Tire dessus. Carmen, ton mari me traie comme une vache. Je vais….jouirrrr. C’est booooon. Je jouiiiiis…
- Oui t’es une vraie vache. Tu viens de faire sortir ton jus comme la vache fait sortir son lait. Maintenant c’est à mon tour de décharger dans ton ventre. T’es trop bonne. J’aime ça te remplir de décharge juteuse. Et maintenant je vais te mettre un doigt dans le cul pour voir si tu es serrée.
- Non pas ça. Je n’aime pas ça dans le cul. Ça fait trop mal. Jean, dis à ton ami d’arrêter. Tu sais que je ne veux jamais dans mon cul.
- Vas-y mon Stéphane. Comme ta queue est moins grosse que la mienne, tu vas pouvoir la sodomiser et elle va pouvoir goûter à la sodomie pour la première fois.
- Vous êtes des salauds et des pervers. S’il te plaît Stéphane. Arrête. Il vient de me cracher dans le cul. Il est en train de me lécher. Ouuu. C’est délicieux. Oui. Avec ta langue tu peux. Entre ta langue dans mon petit trou. Oui c’est bon. C’est doux. Ça tu peux continuer comme tu veux. J’aime ça. Non pas ton doigt. Arrête.
- Putain, mon doigt est entré en entier et facilement dans ton trou plissé. Es-tu certaine que tu ne te doigte pas le cul en cachette ou que tu ne prends pas un gode ou un vibrateur pour te faire jouir du cul.
- Il n’y a rien jamais rien qui est entré là-dedans. Carmen, aide-moi.
- Ma belle, je suis trop occupée avec la grosse queue de ton conjoint. Il me ramone comme un marteau-pilon. Il me déchire la plotte, mais c’est bon. Je jouis encore. Continue Jean.
- Je jouis encore Carmen. Tu es vraiment serrée. T’es une bonne pute. Tu me fais jouir. Tu es complètement rempli de sperme et j’aime ça entendre les bruits de fouc-flouc qui sortent de ta chatte inondée de mon sperme qui te coule sur les cuisses. Tourne-toi et mets-toi à quatre pattes comme ta chienne d’amie. Je vais te manger pour enlever le surplus de sperme. J’aime avoir mon sperme dans la bouche. Relève-toi et viens m’embrasser, je vais te faire encore goûter à ma décharge.
- Pis toi Stéphane, mon amour, amuse-toi avec son petit cul vierge, mais soit quand même doux un peu, du moins plus que quand tu m’encules.
- Oui mon amour. Pas de problème. Tu vois Isabelle, tout le monde veux que je t’encule. Mais je vais être doux.
- Non je ne veux pas. J’ai peur. Non pas ton pouce dans mon cul. Ça fait mal, c’est pas drôle, arrête, non pas deux doigts arrête. Arrête de me cracher dans le cul.
- Et maintenant, je vais planter mon pieu dans ton sexe pour bien l’humidifier avec ton jus et mon sperme. Hum ¸ ça glisse bien. Et voilà il est bien lubrifié.
- Bon là ça va faire Stéphane. Je ne ris plus. Enlève ta main dans mon dos pour que je me redresse et que l’on continue à baiser dans une autre position.
- Dans cette position, tes fesses sont bien écartées et je vois bien ton cul plissé qui est entrouvert. Bouge pas. Voilà, ça rentre.
- Ahhhhhhhh. Il m’a défoncé. Ça fait mal. Ne bouge plus. Ça brûle. Sors. Oui sors doucement comme ça. Ah je sens que ça va aller mieux quand tu vas être complètement sorti. Non, n’entre pas à nouveau. Sors.
- Arrête de couiner. Tu aimes ça salope. Tu es une chienne et tu aime qu’on te prenne par derrière.
- Oui j’aime ça par derrière, mais dans ma plotte, pas dans le cul. Arrête. Je promets que je vais faire tout ce que tu veux après.
- Ce que je veux c’est t’enculer je vais continuer. Détends-toi et force comme si tu voulais chier. Ça va bouger tout seul
- Non arrête. Qu’est-ce que tu fais? Non pas des va-et-vient. Arrête. Stoppe. Cesse. Oh. Euh. Ça glisse mieux. Ça commence à faire moins mal. C’est bon. Oui continue. Défonce-moi lentement.
- Jean, pendant qu’on baise regarde ta femme se faire enculer. Je pense qu’elle apprécie maintenant. Stéphane a seulement une queue longue, mais pas énorme comme la tienne. La tienne n’entrerait nulle part. Quand lui m’encule, même s’il est violent, c’est tellement bon.
- Ma chère Carmen, ma queue est plus grosse que celle de Stéphane, c’est vrai. Mais comme tu vois, elle est bien lubrifiée et dégoulinante de ton jus et de mon sperme. Donc, comme le disait ma mère quand elle voulait m’arracher une dent de bébé, ça fait moins mal quand on ne s’y attend pas.
- Ouch. Ahhhhh. Non. Stéphane, Jean vient de m’enfoncer son gros pieu d’un seul coup. Vient le retirer. Ça fait trop mal. Isabelle, parle à ton mari.
- Qu’est-ce que tu dis Carmen? C’est toi qui encourageais ton mari tout à l’heure. Alors c’est à ton tour de souffrir ma belle. Moi, j’aime ça maintenant car Stéphane va lentement. Il glisse jusque dans mes intestins. Il est tellement log que je le sens dans mon ventre.
- Salope. Tu es supposée être ma meilleure amie et me protéger et me défendre. Ton vieux porc ne cesse d’entrer et sortit de mon cul serré. Mais, là je commence à m’habituer. Ça devient bon. Oui, lentement Jean. Continue.
- Bon là, maintenant qu’elles semblent apprécier, qu’est-ce que tu dirais Jean si on leur payait toute une virée. On augmente la force et la vitesse.
- Han Han Han, C’est bon de les fourrer dans leur cul dégoûtant. Écoute les crier comme des truies. Elles aiment ça les cochonnes se faire enculer par des vieux porcs comme nous.
- Han. Han. Han. Oui c’est sûr. Ce sont des putes qui vivent pour les queues. On est vraiment chanceux d’avoir des putes comme ça comme épouses et comme maîtresses. Écoute-les crier. Mais moi je vais venir bientôt
- Ça vient. Je vais décharger.
- Oui Stéphane. Jouis dans mon cul. Je sens que je vais jouir aussi Je me pince le clitoris et je jouis du vagin. Ahhhhhh. Ça coule. J’ai jamais jouis comme ça.
- Jean ramone-moi. Je vais jouir du cul. Et toi Isabelle, tu as jouis du cul aussi. Oui tire sur mes seins comme on trait une vache et tire mon clito. C’est trop bon. Je jouis maintenant du cul et de la plotte. C’est bon Jean. Tu me remplis de ta décharge.
- Ah mes cochonnes de putes. Vous nous avez tués. Nous sommes hors service pour un bout.
- Mes gros porcs, vous êtes aussi bien de vous remettre en forme bientôt, car vous nous avez allumé et excité et je crois qu’Isabelle, comme moi, on a encore besoin de découvrir d’autres jeux.
- Bon Stéphane, que dirais-tu si nous allions prendre une douche pour se remettre en forme?
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