Adultère non consentie

Mon histoire s’est déroulée il y a quelques mois. Je m’appelle Léa, suis mariée, et pourtant j’ai en une aventure avec un collègue de travail, pour lequel je n’ai aucun sentiments, aucune affinités, seulement des relations de travail. Je pense qu’étant lui aussi marié, il n’est pas attiré sexuellement, malgré ma beauté.
Mais alors, que sait-il passé, pourquoi cette attirance soudaine.
Marc, nouveau venu dans la société, est un quasi inconnu pour moi. Il est très séduisant, sans pour autant tromper mon mari avec lui. Cette relation a eu lieu dans sa voiture, et a durée à peine une heure. Une heure, je dois l’avouer, très intense.
Un Vendredi, en sortant du bureau, nous décidons de prendre un verre au bar tout proche, pour fêter les congés.
Nous sommes assis sur la terrasse, quand éclate un violent orage, comme souvent en cette période de forte chaleur. Dans un premier temps, nous rentrons dans le ba, et m’inquiète, car mon bus part dans un quart d’heure.
Devant mon désarroi, Marc propose de me ramener, ses parents habitant près de chez moi. J’acceptais par la force des choses.
Sur le trajet, on parlait de tout et de rien, de nos familles, et me disait que son couple traversait des turbulences. De mon côté, je me laissais moi aussi aller à des confessions intimes, sur mes rapports sexuels avec mon époux.
L’orage faisait rage, le temps était obscur, et les essuies glaces balayaient avec peine l’eau du pare-brise. Par sécurité, Marc décida de s’arrêter sur un parking.
Voulant attraper un chiffon dans le coffre à gants, sa main frôla la mienne. Ce fut comme une décharge électrique. Nos regards se croisèrent, sans pouvoir se détacher. Il gardait ma main dans la sienne, puis la posa sur ma cuisse.
Pensant qu’il avait manqué le levier de vitesse, pour mettre au point mort, me paraissait stupide. D’autant que sa main faisait glisser ma robe de bas en haut, sur mes cuisses. La manœuvre n’était pas donc accidentelle.
Malgré le manque de sentiments à son égard, mon sang ne fit qu’un tour.
« Mais que t’arrive-t-il Léa ?.
Dans un premier temps, je le repoussais, mais il insistait, cette fois, sa main était à même ma peau. La douceur de la caresse sur ma cuisse, m’électrisa. C’est à ce moment qu’il fallait le courage de la repousser. Pourquoi ne l’a-je pas fait...
Devant ma faible résistance, il faufila sa main sous ma robe, jusqu’à la lisière de ma culotte. Un doigt tentait d’écarter l’élastique, et suivant le désir de mon corps, j’ouvris les jambes pour lui faciliter l’accès. Je commençais à sentir une agréable chaleur au creux de mon ventre.
Ce n'est que lorsque nous nous sommes installés sur la banquette arrière de la voiture, que j'ai réalisé que j’allais tromper mon mari.
Nous nous sommes embrassés, enlacés, nos langues se sont emmêlées.
Suite à des gestes périlleux, nous somme parvenus à ôter nos vêtements.
Il a caressé mes seins, joué avec les bouts.
Je palpais ses couilles, prenais son énorme bite en main, la décalottais, la branlais. On gémissait ensemble.
Au sommet de mon excitation, j'avais envie de profiter et je laissais Marc prendre les initiatives. Aussitôt dit, aussitôt fait, il vint glisser sa tête entre mes jambes et commença à me lécher la chatte d'un coup de langue appuyé, jusqu’à mon clito.
Il sentait bien que les pressions effectuées m’excitaient. J'écartais de plus en plus les jambes et j'avais envie qu'il enfonce sa grosse queue en moi. Après m’avoir bien léchée, il me fit comprendre qu’il espérait un retour.
Je me penche à mon tour, et lui accorde la fellation qu’il me réclamait. J'ai bien l'intention de lui montrer que malgré les apparences de femme coincée, je peux lui tailler une pipe, et que je peux avaler. Ce que mon mari n’a jamais connu à ce jour.
Ce soir je suis si chaude que j'ai envie de me faire prendre par tous les bouts. Il le comprends très bien, le courant passe à merveille avec cet homme que je connais à peine, et qui me donne tant de plaisir.
Quel bonheur de retrouver l’excitation perdue ces derniers jours.
J’ai l'impression que je lui fait de l'effet, à en sentir les spasmes qui animent sa grosse bite entre mes lèvres. Mais je sens que ce soir il va me défoncer alors je garde son énergie sexuelle, et viens m’asseoir sur sa bite.
D'un trait, celle ci se glisse au plus profond de ma chatte et je commence a la lui masser par des contractions intenses. Sa respiration lourde et saccadée en dit long sur son excitation et je sens son souffle chaud sur mes seins. Je lui mors
littéralement les lèvres, le traite d’enfoiré, de salaud, de profiter de la situation.
Il me demanda de me retourner, de prendre appuie sur le siège, qu’il voulait me prendre par derrière. Cet enfoiré, il sais que je ne peux rien lui refuser.
Sans contester, je fis ce qu’il me dit, je me retournais. D’un coup, je sentis des claques sur mes fesses, ce qui m’excitait encore plus, je me sentais comme électrocutée de plaisir, il introduisit un doigt dans mon petit trou.
Je suis en levrette, le feu entre ma chatte et mon petit orifice. Sans prévenir, il me pénétra avec force, déflora le seul endroit encore préservé.
Entre douleur et plaisir, mon excitation prit un second tournant dans son intensité. Il me sodomisa comme une vrai salope, avec une expertise hors du commun, ce qui me déclencha un orgasme tellement fort que j’étais sur le point de m’évanouir, avant de le sentir jouir en moi. Je fus comblée et toute inondée de plaisir, tout en moi tremblait de cette prestation hors norme.
Mais mon corps n’étais pas rassasiée, il réclamait plus, d’autres caresses, d’autres pénétration. Marc était encore entier, et n’hésitait pas à tout reprendre depuis le début. Pour mon plus grand plaisir
Nôtre orage se termina à même temps que celui de la météo.
Ce fut un moment mémorable, intense, sans interdit. On se donnait un sulfureux baiser qu’on voulait interminable. Puis, avec difficulté, nous rhabillons.
Je me sentis mal à l’aise d’avoir trompé mon mari, avec un homme pour qui je n’avais aucune attirance, qui m’a aimé autant que je l’ai aimé pendant un instant, me faisant découvrir une autre facette de l’amour. On s’est promis que désormais, nôtre seule relation serait de travail, que c’était mieux ainsi.
Marc me déposa devant chez moi. Je sortis toute honteuse de la voiture, terrain de jeux insolite de nos torride ébats.
Je fis le tour du pâté de maison avant de rentrer chez moi, pour remettre mes idées en place. Bizarrement, le n’éprouvais aucun remords, aucun regrets. J’ai bien pris conscience que pour la première fois, je venais de tromper mon mari, mais quelle importance.
Il n’y avait aucun sentiment, juste une attirance physique. Le coup d’un soir, comme quand j’étais célibataire.
Je suis enfin rentrée chez moi et j’étais ravie de voir que mon mari n’était pas encore rentré.
Je me suis précipitée à la salle de bains pour prendre une bonne douche, pour effacer les traces de sperme qui souillaient mon corps.
J’avais son parfum sur ma peau. Le pire, c’est que je ne peux absolument rien reprocher à cet homme, parce que j’ai cédé à ses avances, et que je suis tout aussi fautive que lui, si ce n’est plus.
Le soir, j’accueillis mon mari avec mon plus beau sourire, sautais à son cou, le couvrais de baisers. J’étais toujours la même épouse, fidèle, aimante.
Je n’ai rien dit à mon mari. Je ne pouvez pas d’ailleurs, lui avouer ce que j’avais fait à un amant d’un jour, ce à quoi il n’avait jamais eu droit.
Mais il a vu que ce soir-là, au lit, mon attitude avait changée, que j’étais plus câline, plus vicieuse, et m’engageais avec lui, sur des terrains qu’il n’espérait plus.
Je mis un doigt sur sa bouche, pour qu’il ne me pose aucune questions.
Cela a d’ailleurs relançait nôtre couple sexuellement. Je m’offre désormais, comme une épouse doit s’offrir à son mari, sans interdit.
Je ne sais pas si je lui avouerai un jour, d’où m’est venu cette fougue soudaine, et si je pourrais la retrouver avec lui. En tout cas, je ne veux pas briser mon couple pour une relation certainement sans lendemain...Heu...à moins qu’un orage...