Agnès (2)

- De la chance. Je ne sais pas si c’est de la chance d’avoir une bite dans chaque main s’interroge-t-elle avant d’être brusquement interrompue par Buto qui lui lance
- Mets-toi à genoux.

Toujours dans un état second, elle s’agenouille entre les deux compères qui rigolent en lui donnant des coups de bite sur les joues.
- Alors, ton mari a la même, demande Bibo en exposant fièrement son membre devant les yeux d’Agnès tandis que Buto fait de même avec le sien.
Elle ne répond pas mais elle découvre que celle de Bibo est du même diamètre que celle de Daniel mais un peu plus longue tandis que Buto en a une de la même longueur que son mari mais plus grosse.
- Allez, prends-la dans ta jolie bouche, dit Bibo.

Il y a de la crainte dans son regard. Elle est à la merci de ces deux hommes mais, en même temps, elle est émoustillée à la vue de ces deux sexes dressés devant elle et, intérieurement, est heureuse de constater qu’à son âge, elle peut encore rendre durs des jeunes hommes.

Toutefois, elle ne veut pas prendre cette chose dans sa bouche car elle n’a jamais aimé ça même si elle l’a fait quelques fois pour faire plaisir à son mari.
- Ouvres la bouche brusque Bibo en pressant sa queue sur ses lèvres qu’elle maintient soudées jusqu’à ce qu’elle les ouvre pour respirer.
- Ah, enfin se satisfait le clown en précipitant son gland dans l’ouverture.

La sexagénaire recule la tête
- Je n’aime pas ç… commence-t-elle avant que Bibo lui saisisse la tête et lui fourre son sexe dans la bouche avant d’imprimer un va-et-vient.
- On va te faire aimer la bite ricane-t-il en accélérant son mouvement et en forçant plus profondément la gorge d’Agnès.
- Eh, moi aussi je veux ma part objecte Buto qui prend la tête de l’infortunée puis la tourne vers sa queue.

Agnès, le souffle court, la salive dégoulinant sur son menton, les yeux larmoyants, a un mouvement de recul à la vue de ce gros membre tendu comme un arc
- Elle est trop gros… commence-t-elle à dire avant d’être interrompue une fois de plus par le sexe que venez de lui enfourner Buto.
- Tais-toi et suce lui ordonne-t-il en appuyant sur la tête de la malheureuse qui sent les commissures de ses lèvres se fendre avec la grosseur de l’engin.

Le clown continue de presser sur la tête d’Agnès qui essaye de le stopper en poussant avec ses mains sur les cuisses de Buto pour l’empêcher de se glisser plus profondément dans sa bouche. C’est alors que Bibo lui prend les bras et les maintient dans le dos permettant à Buto d’atteindre son objectif
- Merci frérot, s’extasie-t-il d’un air béat en faisant disparaître entièrement sa queue entre les lèvres d'une Agnès sidérée.

En effet, la pauvre épouse qui n’a, au grand jamais, eu dans sa bouche ne serait-ce que la moitié du pénis de son mari, a le nez dans les poils pubiens et le menton contre les bourses de son martyriseur. La grosseur de l’intrus au fond de sa gorge lui donne des hauts-le-cœur et un sentiment d’étouffement qui la rapproche de la syncope.
Lorsqu’il s’en aperçoit, Buto se retire et lui demande
- Tu n’avais jamais fait de gorge profonde.
-Non halète-t-elle entre deux quintes de toux et ne sachant pas vraiment ce qu’il veut dire.
- Ben on ne le dirait pas, tu es une vraie avaleuse de bites remarque-t-il avant de poursuivre
- Maintenant, tu vas nous pomper bien gentiment.
- Je n’aime pas ça répète Agnès, agenouillée aux pieds des deux jeunes hommes, reprenant son souffle.
- Pourtant, ta performance nous dit le contraire. Allez, redresses-toi et prends nos queues en main, proclame Bibo en lui soulevant la main qu’il pose sur son membre, Buto faisant de son côté.

Pour la deuxième fois de la journée, Agnès a un sexe dans chaque main et sent de nouveau le plaisir monter en elle, tout en se sentant honteuse de ressentir ça. Elle se tourne vers le sexe de Bibo et, tout en grimaçant, lui lèche le gland, tourne sa langue autour et le gobe avant de l’aspirer à plusieurs reprises provoquant de légers gémissements de satisfaction de la part du clown. Après un moment, elle se tourne vers Buto et lui assène le même remède.
- Pour quelqu’un qui n’aime pas ça, tu es vachement douée intervient-il dans un sourire.
- Allez, lèves-toi. Maintenant, on veut voir ce que cachent tes jolis dessous dit Bibo en la relevant.

Elle n’a pas le temps d’esquisser le moindre geste que son soutien-gorge est enlevé et que sa culotte est à ses pieds. Elle voit leur regard lubrique aller de ses seins à sa toison blonde et, au lieu de les cacher, éprouve une certaine excitation à être entièrement nue, soumise.

Après un bref instant, leurs mains parcourent son corps et s’attardent sur les zones sensibles. Enfiévrée, elle arrive à saisir leurs bites qu’elle trouve plus dures et les branle.
- Oh mais on ne la tient plus ricane Buto en lui fouillant son triangle humide bien taillé.
- Tu penses, elle découvre qu’il existe des bites autres que celle de son mari
réplique Bibo tout en lui malaxant sans ménagement ses seins aux tétons durcis par la stimulation.

Puis, il avise des ballots de paille qui servent à la nourriture des animaux du cirque, les recouvre d’une couverture qui sert pour les chevaux tandis que Buto l’y mène tout en lui pelotant les fesses.
- Tu as un joli cul constate-t-il avant de l’allonger sur les ballots.

A peine est-elle étendue qui lui écarte les jambes et plonge sa tête entre les cuisses pour lui bouffer la chatte. Il passe sa langue sur ses lèvres gonflées puis s’attarde sur son clitoris. Bibo n’est pas en reste car il lui malaxe ses nichons bien ronds, lui pince ses tétons avant de les mordiller. La sexagénaire est aux anges, s’arc-boute et laisse entendre des gémissements de contentement.
- Attends, j’ai une idée. Tiens-lui les jambes bien ouvertes, lance Buto à son comparse.
Ce dernier lâche la poitrine d’Agnès et ouvre en grand ses jambes, offrant une vue imprenable sur sa touffe dégoulinante.
- Avec toute cette mouille, ça ne devrait pas être trop difficile lance Buto en insérant un puis deux doigts dans la vulve congestionnée de l’adultère qui gémit plus fort. Puis, en forçant un peu, ce sont trois, puis quatre et enfin la main entière qui disparaît dans son con. Elle pousse un cri vite réprimé par la jouissance extrême qu’elle ressent tandis que sa chatte est ravagée par le va-et-vient de la main de son tourmenteur jusqu’à ce qu’elle pousse un puissant cri qui déchire les oreilles des deux jeunes hommes.

Frénétiques, ils ne lui laissent pas le temps de reprendre ses esprits et la positionnent en travers des ballots, les fesses sur le bord d’un côté et la tête en arrière dépassant légèrement de l’autre côté. Tandis que Buto s’apprête à la pénétrer, Bibo lui introduit son sexe dans la bouche avant qu’elle ne puisse dire quelque chose.
- J’ai vu ça dans un film porno et depuis je rêve de pouvoir le faire confesse-t-il en poussant légèrement sur ses hanches jusqu’à ce que ses couilles atteignent le nez d’Agnès qui s’étouffe avec cette longue tige dans la gorge.
Puis, il recule et recommence. Dans le même temps, l’autre complice n’a eu aucun mal à entrer dans sa chatte élargie et la pilonne de plus en plus vite. La pauvre femme est baisée des deux côtés. Après un moment de ce supplice, Bibo retire sa queue de la bouche d’Agnès qui a du mal à respirer et lance
- Moi aussi je veux la sauter mais en levrette. Allez, montres-nous ton cul.

Avec peine, elle s’exécute et la voilà à quatre pattes, le clown derrière elle qui l’embroche d’un coup sec, lui faisant pousser un cri vite étouffé par la bite de Buto entre ses lèvres. Commence alors un va-et-vient de chaque côté dont l'intensité monte crescendo. Bibo est déchaîné. Il lui défonce le minou jusqu’à ce qu’elle atteigne le septième ciel pour la deuxième fois de la journée. Épuisée, elle se laisse tomber sur la couverture, sur le dos. Les deux hommes viennet alors se masturber au-dessus de son visage et de sa poitrine jusqu'à ce qu'ils les recouvrent de leur semence.
- J’espère que l’on ne t'a pas dégoûtée de la bite de ton mari s’esclaffe Buto.
- Elle va pouvoir comparer maintenant, renchérit Bibo.

Après s’être rhabillés, les deux associés partent dans un grand éclat de rire, la laissant seule, pantelante et dégoulinante de sperme, les yeux embués de larmes. Après avoir repris ses esprits, elle avise un morceau de tissu qu'elle trempe dans un seau d’eau traînant là et se nettoie tant bien que mal de la matière visqueuse qui la recouvre avant de se rhabiller et de retrouver son mari qui l’attend assis à la table d’un café.
A peine assise, il lui demande
- Tu étais où, je t’ai cherché partout. Tu t'es baladée. La prochaine fois, tu n’iras pas si longtemps au soleil, tu es toute rouge.
- Oui chéri, je serai plus prudente la prochaine fois.

Revenue à la réalité, Agnès se lève et prend, au fond d’un tiroir, une enveloppe qu’elle tend à sa sœur. Cette dernière l’ouvre et y découvre, horrifiée, des photos d'Agnès en compagnie des deux clowns.
- Voilà, maintenant tu sais pourquoi je suis divorcée sanglote-t-elle.