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Agnès et Jean un couple heureux

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 18/08/2025

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Les jours semblent se confondre dans un brouillard de confusion et de culpabilité. Léa s'était repliée sur elle-même, annulant des projets avec des amis et évitant les contacts avec Agnès. Les souvenirs de leur rencontre intime tournent en boucle dans son esprit, lui rappelant constamment les limites qu'elle a franchies. Elle ne peut se débarrasser du sentiment de malaise qui s'est installé au creux de son estomac, un doute qui la ronge et qui lui fait penser qu'elle a commis une grave erreur.
- Hé, Léa, ça va ? » Agnès passe la tête dans le bureau de Léa, les sourcils froncés par l'inquiétude. «
- Tu as l'air un peu ailleurs ces derniers temps, et tu ne réponds à aucun de mes messages refuses. Qu'est-ce qui se passe ?
Léa se force à sourire.
- Oui, c'est juste que...Je ne sais pas, Agnès. Je me sens un peu ailleurs ces derniers temps. Il s'est passé beaucoup de choses, et je crois que je ne sais pas trop comment y faire face.
L'expression d'Agnès s'adoucit, elle rentre dans le bureau en refermant la porte derrière elle.
- Léa, tu peux me parler, tu le sais. Quoi qu'il en soit, je suis là pour toi.
Léa soupire, se passe une main dans les cheveux, les yeux fixés sur l'écran de son ordinateur.
- J'ai juste...J'ai reçu un e-mail de Thomas ce matin. Sa mission a encore été prolongée. Trois mois de plus.
Agnès écarquille les yeux.
- Oh, Léa, je suis vraiment désolée. Ça doit être très dur pour toi.
- C'est vrai, Agnès. C'est vrai. C'est juste que...Je ne sais pas combien de temps je peux encore supporter ça, Agnès.
La voix de Léa se brise, ses larmes débordent et coulent sur ses joues. Agnès a le cœur serré en regardant le désarroi de sa jeune amie.
- Léa, tout va bien. Peu importe ce dont tu as besoin, peu importe ce dont tu veux parler, je suis là. Tu n'as pas à traverser cela toute seule.
Léa acquiesce, reniflant en attrapant un mouchoir en papier dans la boîte posée sur son bureau. Elle s'essuie les yeux et prend une profonde inspiration.
- Merci, Agnès. Je ne sais pas ce que je ferais sans vous. »
Agnès sourit doucement, sa main serrant l'épaule de Léa pour la réconforter.
- Tu n'as pas besoin de le savoir, ma belle. Pourquoi ne viendrais-tu pas chez moi ce soir ? Jean est en voyage d'affaires et ce serait merveilleux d'avoir un peu de compagnie. Nous pourrions boire un verre de vin, commander un bon dîner et juste... nous détendre.
Léa est un peu surprise devant cette invitation soudaine, son esprit se remémore leur dernière rencontre. Elle sent monter en elle un mélange de nervosité et d'excitation, les souvenirs de leur intimité sont encore frais dans son esprit.
- Agnès, je ne sais pas... Je veux dire, après la dernière fois, je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée, balbutie Léa, embarrassée.
Les yeux d'Agnès s'adoucissent, son expression est pleine de compréhension et de gentillesse.
- Léa, tu es libre de tes choix. Je veux juste que tu saches que tu n'es pas seule, et que parfois, c'est bien de se laisser aller et de profiter du moment présent. Viens, on va s'amuser, et si tu changes d'avis, il n'y aura pas de problème.
Léa leve les yeux vers Agnès, elle hésite, les souvenirs de leur dernière rencontre lui reviennent à l'esprit, mais elle a aussi envie d'explorer ce nouveau sentiment de liberté.
- D'accord. Je viendrai.
Le visage d'Agnès s'illumine.
- Je vais te dire, pourquoi ne viendrais-tu pas directement du travail ? Je vais commander à manger.
- D'accord Agnès
Plus tard ce soir-là, alors que Léa traverse la grande entrée de la maison d'Agnès, elle ressent un frisson de nervosité dans l'estomac. Les souvenirs de leur dernière rencontre reviennent sans cesse dans son esprit, avec un rappel constant des lignes qu'elle a franchies. Pourtant, à l'approche de la porte, la chaleur de la maison et le parfum familier de lavande et de vanille apaise ses nerfs. Agnès l'accueille avec un sourire chaleureux, ses yeux étincelant d'un véritable bonheur de la voir.
- Léa, chérie, je suis si contente que tu sois venue dit-elle en se mettant de côté pour laisser entrer Léa.
- Mais tu sembles contrariée. Qu'est-ce qui ne va pas ?"
Agnès n'a pas terminé sa phrase que Léa commence à sangloter. Agnès réagit instantanément, elle prend Léa dans ses bras en tentant de la réconforter.
- Léa, qu'y a-t-il ? Dis-moi ce qui ne va pas
Sa main caresse doucement les cheveux de la jeune femme. Léa penche sa tête sur l'épaule d'Agnès, son corps tremble, les premières larmes coulent sur ses joues. Elle se sent soulager, la présence réconfortante d'Agnès fait fondre la tension et la peur qui s'est accumulées en elle.
- Je...Je suis si seule, Agnès, avoue-t-elle, sa voix étouffée contre l'épaule de sa nouvelle amie.
- Thomas me manque tellement, et j'ai peur... j'ai peur de commencer à oublier ce que ça fait d'être aimée, d'être désirée.
Agnès recule, les mains en contact avec le visage de Léa, les pouces essuyant les larmes qui coulent sur les joues de Léa.
- Léa, tu n'es pas seule. Tu ne seras jamais seule, tant que je serai là. Et je veux te montrer, tout de suite, combien tu comptes pour moi. Combien je te désire.
Avec ces mots, Agnès s'incline, ses lèvres retrouvant celles de Léa dans un baiser passionné et affamé. Le baiser est tout ce dont Léa a envie, un mélange désespéré et nécessiteux de bouches et de langues, une promesse de passion et de désir. Agnès tout en accentuant son baiser, laisse ses mains déambuler sur le corps de Léa, cherchant, explorant. Elle pousse Léa contre le mur.
- Léa, tu es si belle. Je n'en ai jamais assez de toi.
Agnès prend la main de Léa et la conduit dans la chambre maritale. En entrant, les yeux de Léa s'écarquillèrent vers l'espace opulent mais accueillant. La pièce est éclairée par la douce lueur des lampes de chevet, leur lumière chaude danse sur les riches tissus de velours qui ornent les murs et le lit. Agnès ferme la porte derrière eux.
Agnès se tourne vers la jeune femme, les yeux sombres de désir, les doigts déboutonnent lentement le chemisier de Léa.
- Laisse-moi te déshabiller, Léa. Je veux te voir, toucher chaque centimètre de ton corps.
Léa acquiesce, son souffle se coupe lorsque les doigts d'Agnès effleurent sa peau, son corps tremble d'impatience. Elle ressent un frisson d'excitation lorsque le dernier bouton est défait et que les mains d'Agnès glissent le tissu doux de ses épaules, révélant ses seins recouverts de dentelle. Les yeux d'Agnès parcourent le corps de Léa, affamés et reconnaissants.
Elle passe la main dans le dos de Léa et dégrafe son soutien-gorge d'un revers de main, laissant le vêtement en dentelle tomber sur le sol. Les seins proéminents de Léa contrastent avec sa taille fine, ses mamelons sont déjà durs et réclament de l'attention. Agnès gémit, ses mains englobent les seins de Léa, ses pouces effleurent les mamelons larges et sensibles.
- Léa, tu as les plus beaux seins que j'aie jamais vus, murmure Agnès, la voix chargée de désir.
Elle se penche et prend l'un des tétons durcis de Léa dans sa bouche, le suçant, l'absorbant, et le taquinant avec sa langue. Léa gémit, ses hanches se cambrent contre celles d'Agnès et elle sent le plaisir monter entre ses jambes. Les mains d'Agnès se déplacent vers la taille de Léa, ses doigts déboutonnent et dézippent habilement sa jupe, la tirant le long de ses jambes jusqu'à ce qu'elle tombe à ses pieds. Léa l'enlève et l'écarte tandis qu'Agnès la regarde, les yeux noirs de convoitise.
- Tu es absolument magnifique, Léa, je veux goûter chaque centimètre carré de ton corps
Les mains d'Agnès saisissent les hanches de Léa, ses pouces s'accrochent aux côtés de sa culotte en dentelle. Elle la fait lentement glisser vers le bas, révélant la chatte scintillante de Léa.
- Tu es si mouillée ma belle, souffle Agnès, ses doigts effleurant les lèvres humides du sexe de Léa,
- Je sens ton désir, ma belle. C'est enivrant, murmure Agnès, son souffle chaud contre la peau de la jeune femme, tandis qu'elle dépose des baisers sur son ventre.
Le corps de Léa tremble d'impatience tandis que les doigts d'Agnès taquinent la peau sensible de l'intérieur de ses cuisses, se rapprochant de sa chatte.
- Agnès supplia Léa,
Ses hanches se soulèvent du lit, son corps désespérant d'en avoir plus. Les doigts d'Agnès trouvent finalement le chemin de sa chatte, son index glissant entre les plis et caressant son clito en cercles lents et délibérés.
Léa sursaute, ses hanches s'agitent contre le contact, son corps est en feu.
- Oh, Agnès, c'est si bon, gémit-elle, ses doigts s'emmêlant dans les cheveux de sa cheffe, la poussant à continuer.
Agnès sourit, ses yeux sombres de désir regardent Léa.
- Tu aimes ça, chérie ? Tu en veux encore ?
- Oui, je t'en prie. Encore.
Les doigts d'Agnès quittent un instant son clito pour plonger plus bas, recueillant l'humidité qui s'accumule déjà entre ses lèvres. Elle porte ses doigts à sa bouche et les suce dans un grand bruit obscène.
- Tu as bon goût, gémit-elle, les yeux rivés sur ceux de Léa.
- J'ai hâte d'enfoncer ma langue en toi, de te sentir jouir sur mon visage.
Le corps de Léa frémit à ces mots dégoûtants, sa chatte se crispe. Elle n'arrive pas à croire les mots qui sortent de la bouche de sa patronne. Mais en ce moment, avec les doigts habiles d'Agnès qui font frémir son corps, elle s'en fiche. Elle en veutt plus, elle en a besoin. Elle veut que la bouche d'Agnès la mange sur elle, que sa langue soit en elle, qu'elle la remplisse.
Agnès sourit, les yeux noirs de convoitise.
- Tu veux ma bouche sur ta chatte, chérie ? Tu veux que je te dévore jusqu'à ce que tu cries mon nom ?
Léa acquiesce ses hanches se soulevent du lit, son corps en redemande. `
- Oui, mon Dieu, oui.
Le sourire d'Agnès s'élargit, ses yeux ne quittent pas Léa tandis qu'elle baisse la tête entre ses jambes. Léa est impatiente en voyant la langue d'Agnès se déployer et lécher sa fente de bas en haut. Elle sursaute, ses hanches s'agitent sous l'effet de ce contact soudain, son corps en redemande. La langue d'Agnès trouve son clito, l'entoure lentement, avant de plonger jusqu'à son entrée. Elle lèche et suçe, ses doigts agrippant les cuisses de Léa, la maintenant en place alors qu'elle commence à se régaler. Léa se sent comme en feu, son corps se tord sous la bouche d'Agnès, ses hanches se soulèvent pour répondre à chaque coup de langue. La bouche d'Agnès travaille sur la chatte de Léa comme une femme affamée, sa langue léchant et suçant, ses lèvres et ses dents mordillant la chair tendre de sa jeune amie. Elle alterne entre de longs et lents léchages et des mouvements rapides, sans jamais relâcher son attention au plaisir de Léa. Les gémissements de Léa emplissent la pièce, ses doigts s'emmêlent dans les cheveux d'Agnès qui guide sa tête, la poussant à aller plus vite, plus fort.
- Agnès, oh mon Dieu, ne t'arrête pas, supplie-t-elle, la voix désespérée, haletante.
La langue d'Agnès est implacable, sa bouche travaille sur la chatte de Léa avec une habileté et une détermination qui laissent Léa dans un état proche du délire. Elle se sent comme dévorée par la chaleur de la bouche d'Agnès, son corps se tord et se tortille à la recherche de l'orgasme.
- Tu as un goût incroyable, je pourrais manger cette chatte tous les jours sans jamais m'en lasser.
Ses mots provoquent une nouvelle vague de chaleur qui traverse Léa, son corps se crispe à mesure que le plaisir monte. Elle sent l'orgasme s'installer dans son ventre, prêt à exploser. «
- Agnès, je vais jouir.
Agnès gémit en réponse, sa langue travaille plus vite, plus fort, ses doigts s'enfoncent dans les cuisses de Léa.
- C'est ça, ma chérie. Laisse-toi aller. Viens sur mon visage. »
Le corps de Léa convulse lorsque l'orgasme la frappe comme un raz-de-marée, ses hanches se heurtent à la bouche d'Agnès. Elle serre sa main sur sa bouche pour étouffer le cri qui s'échappe de sa gorge, son corps tremblant sous la force de sa libération. Agnès ne lâche pas prise, sa langue lèche la chatte de Léa comme une femme affamée. Elle gémit dans la chair de Léa. La respiration de la jeune femme est irrégulière et elle finalement se calme, le corps mou, l'esprit embrumé par le plaisir. Agnès finit par relever la tête, le visage luisant du jus de Léa, les yeux sombres de convoitise. Elle remonte le long du corps de son amie, ses mains parcourant sa peau douce. Elle s'approche de la bouche de Léa et l'embrasse passionnément, sa langue plonge profondément en se mélangeant avec celle de Léa. Agnès rompt le baiser, ses lèvres descendent le long du cou de Léa.
- Tu as si bon goût, grogne-t-elle.
Léa tend avidement les bras vers les seins d'Agnès, ses mains les serrant, ses pouces effleurent les mamelons durcis. Agnès rejette sa tête en arrière, un gémissement s'échappe de ses lèvres tandis que les mains de Léa explorent son corps.
- Léa, c'est si bon, ronronne-t-elle, les yeux fermés, son corps se cambrant sous le contact.
- Maintenant, prends mes seins dans ta bouche, ma chérie. Suce-les comme une bonne fille.
Léa ne se le fait pas dire deux fois. Elle s'accroche avec ardeur au mamelon d'Agnès, sa bouche suçant et léchant, ses dents rongeant doucement le bourgeon durci. Agnès pousse un faible gémissement, ses mains s'agrippent aux cheveux sa jeune amie, la maintenant en place.
- Suce plus fort, ordonna-t-elle, la voix chargée d'excitation.
Léa s'exécute, sa bouche travaille le mamelon d'Agnès avec ardeur, son autre main s'avançant vers l'autre sein d'Agnès pour le caresser. Le corps d'Agnès en redemande. Ses mains serrent plus fort les cheveux de Léa, la maintenant en place tandis que Léa suce et léche son mamelon avec ferveur.
- C'est ça, ma chérie, comme ça. Oh, tu m'excites tellement, gémit Agnès.
Léa lâche le mamelon d'Agnès d'un coup sec, sa bouche laisse une trace humide et scintillante dans son sillage. Elle sourit, les yeux brillants de luxure, en regardant Agnès.
- Léa, chérie, je veux que tu me manges la chatte. Je veux sentir ta langue sur moi, me goûter, me faire jouir sur ton joli petit visage.
Léa hésita un instant, le cœur battant la chamade. Elle n'avait jamais fait cela auparavant, elle n'avait jamais fait l'amour avec une autre femme. Mais l'idée d'un tel acte lui procure un frisson d'excitation, le souvenir de la langue habile d'Agnès sur sa propre chatte étant encore frais dans son esprit. Elle acquiesce lentement, ses yeux ne quittant pas ceux d'Agnès qui se positionne pour être léchée par sa jeune amie. Léa peut voir l'humidité scintillante de la chatte d'Agnès, l'odeur de son excitation remplissant l'air. Elle hésite un instant, les mains d'Agnès guident la tête de Léa, ses doigts s'emmêlent dans ses cheveux et la poussent à s'approcher.
- Comme ça, murmure Agnès, remplie de désir.
Léa se penche vers Agnès, sa langue s'aventure timidement pour goûter à la moiteur de sa patronne. Agnès laisse échapper un doux gémissement, ses hanches se soulèvent légèrement pour rencontrer la bouche de Léa. Sa langue tourne autour du clito d'Agnès, d'abord timidement, avant de prendre de l'assurance et de la vitesse. Elle sent le corps d'Agnès se tendre sous elle, ses mains s'agrippent aux draps. Léa est surprise de voir à quel point elle aime cela, le goût d'Agnès, la façon dont son corps réagit à son contact. Elle se sent puissante, sachant que c'est elle qui pousse Agnès à se tordre et à gémir sous elle. Elle redouble d'efforts, sa langue s'agitant plus rapidement, sa bouche suce doucement le clitoris d'Agnès. Le souffle d'Agnès est court et sec, son corps se tend et se relâche à chaque coup de langue de Léa.
- Léa, c'est si bon, tu es douée pour ça, ma chérie je le savais. Continue, ne t'arrête pas.
Léa se sent en confiance, sa langue explore chaque centimètre de la chatte d'Agnès. Elle glisse un doigt à l'intérieur, sentant la chaleur et l'humidité l'envelopper. Elle gémit contre la chair d'Agnès. Elle n'arrive pas à croire à quel point elle est excitée, à quel point elle souhaite qu'Agnès jouisse. Elle suce plus fort le clito d'Agnès, son doigt entrant et sortant du sexe de sa patronne, se recourbant légèrement pour atteindre ce point qui fait se tordre le corps d'Agnès.
- Oh, Léa, juste là, juste là. Oui, comme ça. Ne t'arrête pas, chérie, supplie Agnès, ses mains agrippant les cheveux de Léa, la poussant à continuer.
Léa redouble d'efforts, sa langue et ses doigts travaillent en tandem, rendant Agnès folle de plaisir.
- Léa, tu vas me faire jouir. Là, sur ta langue, souffle Agnès, dont le corps se crispe au fur et à mesure que l'orgasme monte.
Léa peut sentir les tremblements commencer, la façon dont les hanches d'Agnès se soulèvent du lit, se pressant plus fort contre son visage. Elle ressent un sentiment de triomphe, un frisson de puissance qui l'envahit lorsqu'elle réalise que c'est elle qui pousse sa patronne au bord du gouffre.
- C'est ça, Léa. Ne t'arrête pas. Fais-moi jouir. Oh, Léa, juste là, ne t'arrête pas.
Léa peut sentir les premiers spasmes de l'orgasme d'Agnès, la façon dont ses muscles se contractent autour de son doigt, la façon dont ses hanches se cambrent contre sa bouche. Elle sait qu'elle a amené Agnès à l'orgasme, et le frisson qu'elle ressent envoye une secousse de plaisir dans son propre corps. Elle redouble d'efforts, sa langue s'agitant furieusement, son doigt s'enroulant et s'enfonçant profondément dans Agnès. Le corps d'Agnès convulse, tandis qu'elle crie, ses gémissements emplissent la pièce. Léa continue à laper la chatte d'Agnès, sa langue explorant chaque centimètre alors que son orgasme s'atténue. Agnès respire par à-coups, elle est épuisée. Léa lève les yeux vers elle, un sentiment d'admiration et de fierté l'envahit. Elle ne s'est jamais sentie aussi puissante qu'à cet instant. Agnès la regarde, les yeux remplis d'un mélange d'amour et de désir, la main tendue vers la joue de Léa.
- Tu es incroyable. Je ne savais pas que tu avais un tel talent pour cela.
Léa rougit. Elle se penche vers Agnès, ses yeux ne la quittent pas.

- Merci, murmure-t-elle
Les doigts d'Agnès caressent la joue de Léa, son pouce effleure ses lèvres.
- Tu n'as pas à me remercier, ma chérie. C'était autant pour mon plaisir que pour le tien.
Léa sent son cœur palpiter devant l'intimité du moment. Agnès sourit, ses yeux sombres de désir.
- Mais maintenant, c'est mon tour. Je veux que tu sois à moi ce soir, Léa. Complètement à moi.
Elle tourne tendrement Léa sur le ventre, passant ses mains sur les courbes douces de son dos.
- Laisse-moi vénérer chaque parcelle de ton corps, ma chérie. Je veux te goûter, te sentir, te faire mienne.
Agnès commence par les épaules de Léa, ses lèvres et sa langue déposent des baisers et des léchouilles le long de sa colonne vertébrale, ses mains pétrissent et caressent sa chair douce. Elle sent le corps de Léa frissonner sous son contact. Elle sourit contre la peau de Léa, sa langue plongeant dans le creux de son dos, goûtant le sel et la sueur. Léa gémit, son corps se cambre pour répondre au contact de la femme mûre. Agnès glousse, ses mains s'agrippent aux hanches de Léa, ses doigts s'enfoncent dans la chair tendre.
- Tu es si belle comme ça, Léa, si désirable, beaucoup d'hommes aimeraient être à ma place.
Elle descend ses mains sur les fesses de la jeune femme, ses doigts caressent les deux globes, avant de les écarter délicatement, exposant son endroit le plus intime.
- Et ceci... ceci est à moi dorénavant, chuchota Agnès, son souffle chaud contre la peau de Léa.
Elle baisse la tête, sa langue s'aventure, goûte et taquine l'œillet plissé de sa jeune amie. Léa sursaute, son corps se crispe sous l'effet de cette sensation inattendue.
- Agnès, qu'est-ce que tu fais ? demanda-t-elle, surprise.
Son mari ne lui jamais fait une telle caresse, leur relation intime est des plus classique et Léa est vraiment très naïve sur les choses du sexe. Agnès glousse sa langue fait le tour du petit trou de la jeune épouse, avant de s'y plonger pour le goûter plus profondément.
- Détends-toi, ma chérie. J'ai juste envie de m'approprier chaque centimètre carré de ton corps. Ton corps est un pays des merveilles, et je veux en explorer chaque partie.
Elle sentit le corps de Léa se tendre sous elle, ses hanches se déhancher légèrement comme pour échapper à ce contact intime. Mais Agnès la maintient fermement en place, ses mains agrippant les hanches de Léa tandis que sa langue continuait de la lécher et de la taquiner.
- Tu as si bon goût, Léa. Comme du miel sucré, murmure-t-elle, tout excitée
Léa se détend maintenant gémit, son corps se tortille sous le toucher d'Agnès. Elle n'a jamais rien connu de tel auparavant, la sensation de la langue d'Agnès sondant son endroit le plus intime étant à la fois choquant et excitant. Elle peut sentir la chaleur du souffle d'Agnès, la moiteur de sa langue qui lèche maintenant alternativement sa chatte et son cul, la rendant folle de désir. Les mains d'Agnès resserrent les hanches de Léa, la maintenant en place tandis qu'elle continue d'explorer son corps avec sa bouche. Léa sent le plaisir monter, son corps en redemande tandis que la langue d'Agnès lèche et taquine ses points les plus sensibles. Elle gémit dans les draps. Soudain, Agnès s'arrête, sa langue quittant la peau de Léa avec un bruit mouillé.
- Reste là, ma chérie. Ne bouge pas », ordonne-t-elle, la voix chargée de désir. Léa acquiesce, et regarde Agnès se lever et traverser la pièce.
Agnès fouille dans les tiroirs, ses yeux balayant le contenu jusqu'à ce qu'elle trouve ce qu'elle cherche. Elle brandit un petit jouet vibrant, dont la surface lisse en silicone scintille dans la lumière tamisée.
- J'ai pensé que cela pourrait être utile, ronronne-t-elle, un sourire malicieux se dessinant sur son visage.
Elle retourne sur le lit, les yeux rivés sur ceux de Léa, le corps ruisselant d'impatience.
- Je veux te faire jouir si fort, Léa. Si fort que tu en frissonneras encore demain.
Elle brandit le petit jouet vibrant, ses doigts caressent la surface lisse du silicone.
- Et pour cela, nous avons besoin d'un peu d'aide.
Elle se dirige vers la table de nuit et saisit le flacon de lubrifiant qui s'y trouve. Elle en presse une bonne quantité sur ses doigts, le liquide frais scintille dans la lumière tamisée de la pièce. Léa regarde Agnès enduire le jouet de la substance glissante, son cœur battant d'impatience et d'une pointe de nervosité.
- Agnès, qu'est-ce que c'est ?
Elle en n'a jamais vu. Les yeux d'Agnès rencontrent les siens, son regard est intense et dominant.
- Fais-moi confiance, ma chérie. Tu dois te laisser faire cela va être incroyable.
Agnès positionne le jouet à l'entrée de Léa. D'une poussée lente et délibérée, elle insère le jouet dans la chatte de Léa, le silicone glissant sans effort sur la surface lisse de son excitation. Léa sursaute devant cette intrusion soudaine, son corps se crispe pour s'adapter à cette sensation inconnue.
- Je te fais mienne, Léa. Complètement à moi.
Elle fait glisser ses doigts le long de la colonne vertébrale de Léa.
- Tu vas adorer ça, chérie. Fais-moi confiance.
Elle appuye sur un bouton et le jouet se met à vibrer, le grondement sourd faisant frissonner Léa. La jeune femme sursaute, son corps se crispant sous l'effet de la sensation.
- C'est... c'est tellement étrange », murmura-t-elle, ses hanches se soulevant légèrement pour suivre les vibrations.
- C'est bien ma belle
Les doigts d'Agnès descendent jusqu'aux fesses de Léa, les pressant et les taquinant.
- Détends-toi et laisse-toi porter par les sensations. Fais-moi confiance, chérie, ça va être incroyable.
Ses doigts pétrissent la chair douce de Léa tandis que les vibrations envoient des vagues de plaisir à travers son corps. Léa respire profondément, son corps se détend lentement et s'adapte à cette sensation inconnue. Elle sent le bourdonnement du jouet au fond d'elle, les vibrations résonnant en elle, la stimulant d'une manière qu'elle n'a jamais connue auparavant. La main d'Agnès se glisse entre les jambes de Léa, ses doigts trouvent son clito et commencent à l'entourer de mouvements lents et torturés.
- Oh, Léa, tu es si serrée autour de ce jouet. J'ai hâte de te sentir jouir »,
Ses doigts travaillent le clito de Léa en rythme parfait avec les vibrations du jouet. Léa sent son plaisir monter à chaque coup, à chaque vibration. Elle repousse la main d'Agnès, ses hanches se soulèvent pour répondre à chaque poussée du jouet.
- Agnès, je je... c'est tellement intense », halète-t-elle, le corps maintenant en feu.
- C'est le but, ma chérie. Je veux que tu sentes tout. Chaque centimètre de ce jouet en toi, chaque vibration, chaque pulsation. Je veux que tu te souviennes de ce moment, que tu te souviennes de ce que tu ressens lorsque tu es complètement à ma merci.
La voix d'Agnès est un grognement grave et séduisant qui fait frissonner Léa. Elle sent l'intensité monter, les vibrations du jouet envoyant des vagues de sensations à travers son corps.
- Agnès, mon Dieu, je... Je ne sais pas si je peux en supporter davantage.
Agnès resserre son emprise sur les hanches de Léa, ses doigts s'enfoncent dans la chair tendre.
- Ne t'avise pas de jouir avant que je te le dise, tu m'entends ? Je veux que tu jouisses avec ce jouet, Léa. Je veux te sentir t'agripper à lui et crier mon nom.
Léa gémit, son corps tremble d'effort pour retenir son orgasme. Elle sente le plaisir monter, les vibrations du jouet envoyant des ondes de choc à travers elle. Les doigts d'Agnès travaillent son clito en même temps que le jouet, la double stimulation la rendant folle.
- S'il te plaît, Agnès. S'il te plaît, laisse-moi jouir. Je n'en peux plus.
- Pas encore, ma chérie. Pas avant que je le dise.
Elle augmente l'intensité des vibrations, le jouet bourde comme un fil électrique dans la chatte de Léa. Léa crie, son corps se convulse sous l'effet de l'augmentation soudaine des sensations.
- Agnès, je ne peux pas... je n'en peux plus »,
Le corps de Léa est en feu. Elle sent la pression monter, le besoin de se libérer devient irrésistible.
- Je sais, ma chérie. Je sais. Mais je veux que tu me supplies. Je veux que tu hurles pour ça.
Elle augmente encore la vitesse des vibrations et Léa pousse un cri étouffé, son corps convulse de plaisir. Agnès sent la chatte de Léa se contracter autour du jouet, son corps cherche désespérément à se libérer. Elle sourit, sachant qu'elle la tient là où elle le veut.
- C'est ça, Léa. Crie pour moi. Supplie-moi de te laisser jouir.
- S'il te plaît, Agnès. Je n'en peux plus. Il faut que je jouisse. S'il te plaît, laisse-moi jouir.
Agnès sourit cruellement, ses doigts se resserrent sur les hanches de Léa qu'elle baise sans relâche avec le jouet.
- C'est ça ma belle. Maintenant, viens pour moi, Léa. Maintenant ! Je te l'ordonne.
Le corps de Léa convulse alors que l'orgasme explose en elle, ses parois internes se serrent autour du jouet avec une force qui envoie des ondes de choc de plaisir. Elle hurle le nom d'Agnès, le son est brut et primitif comme le plaisir la dévore. Agnès regarde, les yeux noirs de luxure, tandis qu'elle voit le corps de Léa trembler sans relâche. Elle continue à la baiser avec le jouet, les vibrations provoquent un orgasme encore plus intense. Le corps de Léa convulse, sa chatte se contracte et se relâche autour du jouet, ses jus le recouvrant à chaque impulsion. Ses cris remplissent la pièce, Agnès sent le corps de Léa trembler sous elle, ses muscles se contractant et se décontractant alors que les vagues de plaisir la submergent.
Quand les derniers cris de Léa disparaissent, Agnès enlève le jouet délicatement du sexe de sa jeune amie. Elle embrasse le dos de Léa, ses lèvres s'attardent sur la peau douce et humide.
- Tu es incroyable, chérie, murmura-t-elle, sa voix épaisse de satisfaction.
- Agnès...Je... je ne sais pas ce qui m'est arrivé. Je devrais y aller...
- Léa, ma chérie, regarde-moi.
Elle tourne doucement la tête de Léa jusqu'à ce que leurs yeux se rencontrent. Le regard de Léa est rempli d'un mélange de gêne et de honte.
- Agnès, je... Je ne sais pas ce qui m'a pris. Je n'aurais pas dû me laisser faire. Je suis mariée, et... et ce n'est pas bien,
Elle baissa les yeux, les joues rougies par la honte.
- Tu ne dois en parler à personne. S'il te plaît, Agnès, promets-moi que tu n'en parleras à personne, pas même à Jean.
L'expression d'Agnès s'adoucit, son pouce effleurant la joue de Léa.
- Léa, ma chérie, je ne trahirai jamais ta confiance. Je comprends que c'est nouveau et déroutant pour toi. Mais il faut que tu comprennes quelque chose. C'est différent pour nous. Tu es mariée, et Jean et moi... nous faisons les choses différemment.
Elle prit le menton de Léa dans sa main et l'incline doucement.
- Léa, chérie, tu dois me faire confiance.
Ses yeux cherchent ceux de Léa. Elle se penche, ses lèvres sont douces et chaudes contre celles de Léa. C'est un baiser doux, une promesse, un réconfort. Les yeux de Léa se ferment, son corps se détend au contact d'Agnès. Elle se calme, la confusion et la honte de quelques instants auparavant s'estompent lentement.
- Mais Léa, tu dois me promettre quelque chose en retour », dit Agnès, d'une voix basse et intime, en se retirant du baiser.
Les yeux de Léa s'ouvrent, elle regarde Agnès. Les yeux de la femme âgée sont doux, son regard chaleureux et compréhensif.
- Léa, tu es en sécurité avec nous. Tu n'as pas à avoir peur ou à avoir honte. Ce que nous faisons est différent, oui, mais c'est aussi beau et naturel. Tu es en sécurité avec Jean et moi. Nous ne te ferons jamais de mal et nous ne te jugerons jamais.
Léa hésite un instant, l'esprit en proie à des émotions contradictoires. Elle se sent attirée par Agnès, elle a envie de lui faire confiance, de croire en ses paroles. Mais le poids de son mariage, la peur du scandale et du jugement la retiennent.
Agnès, sentant son trouble, prend la joue de Léa dans sa main, son pouce effaçant une larme perdue.
- Léa, ma chérie, je sais que c'est nouveau et que ça fait peur. Mais je te promets que je n'en dirai pas un mot à Jean ni à personne d'autre. Ton secret est bien gardé. Maintenant, dis-moi, tu as aimé ce qu'on a fait ? Ça t'a fait du bien ?
Léa hésite un instant, les joues encore rougies par la gêne et l'excitation résiduelles. Elle regarde Agnès dans les yeux.
- Oui, je me suis sentie... différente. Mais c'était bon.
Agnès sourit.
- C'est tout ce qui compte, ma chérie. Nous ne faisons que ce qui nous fait du bien, ce qui nous apporte du plaisir. Et s'il faut pour cela garder des secrets, qu'il en soit ainsi.
Léa acquiesce, son corps bourdonne encore des contrecoups de son orgasme.

Après cette expérience, Léa reprend son train-train quotidien, seule dans son appartement. Elle ne cesse de penser à ce qui s'était passé avec Agnès. Les souvenirs se répètent dans son esprit, lui donnant des frissons. Elle essaie de se distraire en travaillant, en lisant des livres, en faisant de longues promenades dans le parc. Mais rien ne peut empêcher Léa de repenser à cette nuit avec Agnès. Elle n'a jamais rien ressenti de tel, elle n'a jamais su que le plaisir peut être aussi intense, aussi dévorant. Elle se surprend à compter les jours jusqu'à leur prochaine rencontre, son cœur battant la chamade chaque fois qu'elle se souvient qu'Agnès lui a promis de l'inviter à nouveau. Mais les jours passent, une semaine, puis deux, et elle n'a toujours pas de nouvelles d'Agnès. Elle la voit au bureau mais Agnès agit comme si rien ne s'est passé entre elles. Elle commence à se demander si elle n'a pas tout imaginé, si elle n'a pas eu un moment de folie passagère. Elle essaie de se convaincre qu'il en est mieux ainsi sans les complications, les risques que cette aventure avec sa patronne, pourraient lui procurer. Mais, au fur et à mesure que les jours se transforment en semaines, elle n'arrive pas à se débarrasser des souvenirs de cette expérience sans précédent qu'elle a eu avec sa patronne. Le frisson, le plaisir, le sentiment de liberté qu'elle a ressenti dans les bras d'Agnès. Un après-midi, elle est tirée de ses pensées par un nouveau message sur son téléphone. Elle l'ouvre, son cœur bat la chamade tandis qu'elle en parcourt le contenu. Il s'agit d'une invitation d'Agnès à passer tout le week-end avec elle et Jean. Léa lit le message deux fois, l'esprit agité par un mélange d'excitation et d'appréhension. Elle l'espérait, mais maintenant que l'invitation est là, elle ressent une pointe de nervosité. Léa est un peu contrariée de constater qu'elle ne pourra pas être seule avec Agnès cette fois-ci, Jean sera là aussi. Elle a envie du toucher d'Agnès, de sa voix, de sa présence imposante.
Mais en lisant l'invitation d'Agnès à passer le week-end dans leur maison de campagne, avec des promenades et des visites, elle est quand même très tentée par cette nouvelle expérience. Elle a toujours aimé la campagne, l'air frais, les grands espaces. La maison se trouve à environ une heure de route de la ville, nichée au cœur de la campagne. Elle l'imagine déjà, une charmante maison de pierre au toit de chaume, entourée de collines ondulantes et de fleurs sauvages. Léa accepte l'invitation en souriant, heureuse de retrouver Agnès.
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Histoire de Britarot

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