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Alicia

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Lue : 11116 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 27/07/2011

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Depuis quelques temps lorsque j’arrivais chez ma chérie, j’avais pris l’habitude de me mettre nu dès mon arrivée dans son appartement. En fait, c’est elle qui m’avait « obligé » à la retrouver dans cette tenue. J’étais amoureux fou d’Alicia, et dans notre couple, c’est elle « qui portait la culotte », comme on dit familièrement. Il faut dire qu’elle avait presque dix ans de plus que moi, et que c’était la seule fille que j’aie connu. Cela s’était fait petit à petit, depuis les 3 mois que je la connaissais, sans que je ne m’en rende compte, mais c’est toujours elle qui commandait, et moi qui obéissait.
Ce jour-là, à peine arrivé chez elle, j’entends sa douce voix me dire du fond du salon :

- Dès que tu seras nu, apportes- moi le plateau qui est dans la cuisine, j’ai une surprise pour toi.

Je pris ce plateau, sur lequel était posées une cafetière et deux tasses, et me dirigeai vers ma douce aimée, et là effectivement une véritable surprise m’attendais. Une belle femme était assise sur le canapé à côté d’Alicia, à peu près de son âge, avec une certaine classe, mais qui à première vue me semblait assez hautaine et autoritaire. Alicia m’expliqua :

- Je te présente Hazi-Maendal, une très bonne amie photographe, qui veut te prendre en photo pour son site internet.

J’étais tellement stupéfait par cette présence que je ne pouvais pas bouger. Je devais avoir l’air idiot, complètement nu devant cette étrangère. Cette dernière m’apostropha :

- Approche toi donc de moi, que je voie si tu peux faire l’affaire.

Abasourdi par la situation, j’avançai jusqu’à être à seulement quelques centimètres d’elle. Mon sexe étais quasiment devant ses yeux. Sans aucun complexe, elle commença à me caresser la poitrine, puis me demanda :

- Pose donc ce plateau, il me gêne pour bien te voir.

Comme un automate, je me retournai pour le poser sur la table basse derrière moi, sans penser une seule seconde que c’étaient mes fesses qu’elle avait en pleine vue à présent. Une fois que je fus revenu en position initiale, elle reprit ses attouchements en descendant directement vers mon intimité. Malgré le malaise qui m’embarrassait, mon sexe commença à prendre du volume. Lorsqu’il eut atteint une bonne taille, Hazi-Maendal se tourna vers mon amie pour lui dire :

- Je pense qu’il fera l’affaire.

Puis ensuite vers moi :

- Je vais juste te poser une question. Es-tu vraiment prêt à faire tout ce que je demande pour que je puisse faire de belles photos ?

Un oui sortit alors de mes lèvres, sans que je ne m’en aperçoive.

- C’est bien. reprit-elle. Je vais déjà te prendre seul en photo, et quand Mike viendra, je vous prendrai tous les deux en situation. Mike est un garçon qui a déjà posé pour moi. Pour commencer tu vas t’asseoir sur le fauteuil.

Elle se leva pour prendre son appareil photo, pendant que je pris position.

S’approchant de moi, elle prit chacune de mes jambes pour les poser sur les accoudoirs du fauteuil. J’étais à présent les cuisses ouvertes, le sexe toujours tendu face à l’objectif.

C’était la première fois que l’on me prenait en photo nu. Je pensais qu’elle allait me faire prendre des poses plus académiques, mais à priori ce n’étais pas le cas. Elle prit de nombreuses photos de moi, en particulier des gros plans de mon sexe.

- Son site est un site classé X.

Me précisa Alicia en voyant mon embarras. Elle-même semblait aussi confuse que moi en m’annonçant cela.

Mike arriva à ce moment-là. A peine quelques secondes plus tard, il était entièrement nu à côté de la photographe.

- Tu vas changer de position. Me dit alors Hazi-Maendal.
- Mets-toi à genoux sur les accoudoirs, face à moi, mets tes mains derrière ta tête et reste bien droit.

Au point ou j’en étais à présent, je n’avais guère le choix. Je pris donc cette nouvelle position, même s’il n’était guère aisé de garder l’équilibre. J’étais encore plus mal à l’aise, d’être dans cette tenue devant deux personnes inconnues. Mon érection commençait à battre de l’aile.

- C’est bien que tu sois épilé. Ajouta Hazi-Maendal, puis elle essaya de glisser un doigt entre mes fesses en disant :
- J’espère que là aussi.

Instinctivement, j’essayai de serrer les cuisses pour lui interdire cet accès.

- Oh là là. Se plaignit-elle. Tu as l’air bien sensible de ce côté-là.
- Tu ne t’es jamais fait sodomiser. Me demanda-t-elle alors.

J’étais rouge de confusion, et elle devina en voyant mon visage que j’étais vierge de ce côté-là.

- Et je suppose que tu n’as jamais sucé de garçon non plus.

Devant mon air gêné une nouvelle fois, elle comprit que non.


- C’est super. Ajouta-telle. Un puceau pour la première fois dans mon site, les gays adorent cela.

Je compris alors pourquoi elle avait fait tant de prise de mes attributs, j’allais être en photo dans un site homo. Il n’en n’était pas du tout question, je voulais alors descendre du fauteuil pour lui faire part de mon désaccord.

- Je te rappelle que tu t’es engagé à faire tout ce que je veux, pour que mes photos soient réussies. Avertit t-elle.
- Et puis cela ne va pas te faire mourir. Ajouta Alicia d’un ton assez indigné.
- Reprends la pose maintenant, on a assez perdu de temps. Conclut Hazi-Maendal.

Si ma compagne s’y mettait elle-aussi, je n’avais plus qu’à obéir. Mais cette fois, l’escargot était retourné dans sa coquille, comme on dit vulgairement.

- Mike. Intima la photographe. Remets-le en forme.

Je n’eus même pas la force de réagir lorsque ce dernier s’avança vers moi, et pris mon sexe entre ses lèvres. C’était la première fois pour moi, car Alicia n’avait jamais voulu me donner ce plaisir.
Le bougre savait y faire, car en quelques minutes je fus de nouveau droit comme un I.
Hazi-Maendal fit entendre encore de nombreuses fois le déclic de son appareil pendant que Mike s’activait sur moi. Lorsqu’elle eut assez pris de photos de face, elle me demanda de me retourner :

- Mets-toi dans l’autre sens à présent, toujours sur les accoudoirs, le corps bien penché sur le dossier, pour que tes fesses ressortent bien.

Mon esprit était dans un autre monde, mais mon corps obéissait à présent à toutes les sollicitations, sans concevoir de se rebeller. Je ne pensais plus à rien.
Mes fesses et mon petit trou furent immortalisés pour l’éternité dans l’appareil photo.

- Prépare le pour la suite. Commanda la photographe à Mike.

Ce dernier s’approcha de moi, écarta mes fesses, et y plaça sa langue au centre. Après plusieurs minutes, je sentis un doigt me pénétrer et faire des allers retours. Puis un objet froid forcer ma petite rondelle.

- J’ai bien fait d’apporter quelques accessoires. Gloussa Hazi-Maendal.
- C’est un plug anal. Annonça-t-elle à mon encontre. Si tu es sage je t’en ferai cadeau.

Elle fit encore quelques prises avant d’annoncer :

- Cette première série aurait pu être mieux, j’espère que tu vas t’appliquer davantage dans les poses avec Mike.

Elle enchaîna.

- Mike, tu vas te mettre debout bien au centre de la pièce, et toi, à genoux devant lui.

Lorsque j’eus la virilité tendue de Mike devant mon visage, les ordres et les photos s’enchaînèrent, tandis que j’obéissais comme un automate :

- Prends-le dans ta main, et approche tes lèvres de son extrémité.
- Place tes lèvres au bout, et embrasse-le.
- Caresse-le avec ta langue à présent.
- Toujours avec ta langue, tu vas le lécher de bas en haut.
- Prends-le en bouche maintenant.
- Avance tout doucement tes lèvres petit à petit, que je puisse bien prendre la progression de ta bouche.
- Maintenant, tu peux le sucer jusqu’à ce qu’il se lâche, et tu attendras que je te dise pour avaler.

J’étais humilié au possible, mais je m’appliquai tout de même, pour finir le plus vite possible mon calvaire. Je fis comme les filles que j’avais déjà vu faire dans des films pornos : des allers et retours rapides avec ma bouche, tout en le masturbant énergiquement d’une main.

- Sers-toi de ton autre main pour caresser ses bourses. Me conseilla Hazi-Maendal.

Mike, qui m’avait donné la cadence avec sa main, ne résista plus très longtemps malgré mon inexpérience. Je suppose qu’il était très excité par le fait que c’était la première fois que je suçais un garçon.
Lorsque j’eus toute la semence de Mike dans ma bouche, Hazi-Maendal proclama :

- Ouvre bien la bouche.

Là encore, elle fit de nombreux clichés de mon visage en gros plan.

- Cette série-là était mieux, tu es très doué pour les fellations. Tu peux tout avaler à présent, sans en perdre une seule goutte.

Mon dégoût était au summum, mais il me semblait qu’il n’était guère question que je recrache. Je fis donc, pour la première fois de ma vie, connaissance avec le goût du sperme.

Hazi-Maendal félicita Alicia pour mon obéissance. Celle-ci se redressa fièrement, et me lança un regard plein d’amour.

- Tu as vraiment de la chance aujourd’hui. Me dit Hazi-Maendal. Après ta première pipe, tu vas avoir ta première sodomie.

Je ne sais pas si c’était vraiment de la chance, mais cette première expérience ne m’avait pas du tout excité.

Il fut décidé d’aller sur le lit d’Alicia pour faire cette nouvelle série. Hazi-Maendal me fit mettre à quatre pattes, les genoux au bord du lit, et le visage presque aplati sur le matelas. Une pose que j’avais déjà vue, mais habituellement réservée aux filles des magazines hot.

- Mike ! Comme c’est sa première pénétration, tu vas le préparer en douceur avec cela.

Et elle sortit de son sac un objet fait de petites boules les unes superposées aux autres, d’un diamètre supérieur à chaque fois.

- C’est un gode boulier, parfait pour une initiation. Me dit-elle.

J’avais presque oublié mon plug anal, lorsque Mike le retira sans précaution. Il se fit sévèrement sermonné par Hazi-Maendal pour n’avoir pas écouté ses recommandations.

- On réglera cela ce soir à la maison. Lui dit-elle d’un ton assez dur. Maintenant tâche d’être plus doux.

Mike commença comme tout à l’heure à me caresser avec sa langue, qu’il fit pénétrer petit à petit. Lorsqu’il l’eut fait entrer à fond, et tourner plusieurs secondes, il se retira et introduisit les premières boules du gode, non sans l’avoir lubrifié d’un gel au préalable. Il lui fit faire plusieurs aller-retour, avant de l’enfoncer ensuite d’une boule supplémentaire.

Hazi-Maendal ne cessait de mitrailler l’action au plus près. Quand à Alicia, elle s’était également approchée pour ne rien rater.

Mike continuait tranquillement son petit manège, faisant pénétrer de plus en plus le gode boulier. Autant la séance de fellation m’avait écœuré, autant cette pénétration en douceur me réconciliait avec la singularité de la situation. D’autant qu’il me semblait que je commençais à y prendre plaisir.

Mike annonça ensuite à Hazi-Maendal que je devais être prêt pour la suite.

- Vas-y. lui répondit-elle simplement.

Mike, qui était en pleine érection, approcha son sexe de mon petit trou. Puis il força sans mal son entrée, le gode avait bien préparé le terrain. Lorsqu’il fut à fond, il commença ses allées-venues. Malgré l’inconfort de la situation, je me surpris à suivre ses mouvements de mon bassin. Après quelques minutes, il se retira pour se libérer sur mon dos. J’en étais presque frustré, s’il avait continué un peu plus longtemps, j’aurais certainement pris mon pied moi aussi.

Hazi-Maendal, qui avait l’œil à tout, s’en était aperçue, et dit à Alicia :

- Tu aurais dû essayer plus tôt, il a de bonnes dispositions pour la sodomie.

Pour me remercier de ma participation, Hazi-Maendal ordonna à Mike de me faire lui aussi une fellation. Ce qu’il fit sans se faire prier, je crois qu’il aimait vraiment cela.
Hazi-Maendal avait posé son appareil photo à présent, et s’était assise à côté d’Alicia pour nous regarder.
Pendant que Mike s’activait sur moi, je m’aperçus qu’Hazi-Maendal avait glissé une main entre les cuisses d’Alicia. Cette dernière semblait apprécié l’attitude de son amie, mais ne dit rien.
Je ne mis guère de temps à me libérer au fond de sa gorge, il n’en perdit pas une miette.
Lorsque j’eus pris mon plaisir, je regardai à nouveau les deux filles. Elles étaient sagement assise l’une à côté de l’autre, à nous regarder. Je vis tout de même qu’Alicia venait elle aussi de jouir, et qu’elle essayait de le cacher à mes yeux. Je ne savais pas qu’elle avait des tendances homosexuelles.

Avant de partir, Hazi-Maendal m’offrit un plug anal comme elle l’avait promis, mais il était nettement plus gros que le premier. Elle m’appela pour le mettre directement à sa place, c'est-à-dire entre mes fesses. Après la pénétration que je venais de subir, il entra facilement sans me faire mal.

- Tu le garderas 24 heures sur 24. Me prévint-elle. Seule Alicia pourra te le retirer quand elle le désirera.

Et à Alicia, elle offrit un double gode ceinture. Une partie intérieure qui pénétrerait Alicia, et une autre d’assez belle taille à l’extérieur « pour le plaisir de ton chéri » expliqua t-elle.

- Je reviendrai samedi prochain. Annonça Hazi-Maendal en nous quittant.

Elle s’adressa à Alicia :

-Tu lui prendras un rendez-vous samedi matin chez Mina mon esthéticienne.

Puis à moi :

- Lorsque tu seras à son salon, tu diras que tu viens de ma
Part, pour une épilation n° 3 spéciale. A bientôt.

Alicia me prit un rendez-vous pour le samedi à 11heures.

Lorsque je me présentai, ce fut une très belle femme, dans le même style qu’ Hazi-Maendal, qui m’accueillit dans son salon de beauté. Très accueillante elle me demanda ce que je désirais. Lorsque je lui annonçai que je venais de la part de la photographe, et pour quelle prestation, son attitude envers moi changea instantanément.

- Suis-moi. Annonça-t’elle en adoptant un tutoiement qu’elle n’avait pas osé jusqu’à présent.

Nous n’allâmes pas loin, juste la première pièce à côté de la réception.

- Déshabilles-toi entièrement, il y a des crochets là-bas pour mettre tes vêtements.

Je pensais avoir un peu d’intimité pour me dévêtir, mais Mina resta là à me contempler pendant que je retirais mes effets. Une fois nu, j’essayai de cacher mon intimité, elle m’arrêta immédiatement :

- Pour une épilation, ce n’est pas le moment de faire le timide, mets tes mains dans ton dos, et suis-moi. M’ordonna-t-elle.

En traversant son établissement, je pus apercevoir plusieurs salons dont aucun n’avait de porte. Presque tous étaient occupés par des femmes installées pour divers soins : épilation, massage ou encore séance d’U.V.
Arrivé dans la pièce tout à l’extrémité, elle me désigna une table genre table de massage, avec des étriers comme chez un gynécologue.

- Installe-toi. Me dit-elle. Mets bien tes pieds dans les étriers.

Je me doutais un peu du genre d’épilation qui m’attendait, mais comme je n’avais jamais été chez une esthéticienne, cela me parut normal.

Une fois en place, elle m’expliqua :

- C’est un peu désagréable, aussi je vais t’attacher pour éviter que tu ne remues, et pour que Hazi-Maendal soit contente du résultat.

Mes pieds furent les premiers à être attachés, puis elle fixa mon bassin à l’aide d’une sangle assez large. Lorsqu’elle eut remonté mes mains au dessus de ma tête, elle les ligota ensemble sur la table. Pour finir, elle passa une cordelette assez serrée autour de mon cou, qu’elle noua également sur la table.

Cela me parut trop de précautions, ce n’était pas une séance de torture tout de même. Harnaché comme je l’étais, je ne pouvais pas remuer, d’autant que si je voulais me relever, la cordelette me couperait la respiration. Je ne voyais pas son utilité.

Une fois son travail de ligature effectué, elle m’annonça :

-Je reviens tout de suite.

A peine sortie de la salle, je l’entendis annoncer à ses clientes :

- Mesdames, j’ai un jeune homme pour une épilation intégrale. Vous pouvez venir voir, d’autant que j’aurai certainement besoin de quelques assistantes.

Cinq minutes plus tard, une quinzaine de femmes étaient face à moi à me regarder, qui avec un sourire amusé, qui avec un œil excité. Presque toutes étaient habillées d’un peignoir, certaines, les plus jeunes, d’un même modèle assez court sans ceinture et sans rien en dessous, laissant apparaître une partie de leur nudité, je suppose que c’étaient des employées. Pour les autres, peignoirs chics et bien fermés, il y avait de tout, quelques femmes très belles, mais une majorité ne me semblait guère excitante. Seules deux filles plutôt jeunes étaient entièrement nues, pas mal faites d’ailleurs, mais qui étaient presque collées l’une contre l’autre.

Pour ma part j’étais très très mal à l’aise d’être ainsi exposé à la vue de toute. Je comprends maintenant toutes les précautions prises par Madame Mina pour m’attacher. D’autant qu’à présent, cette dernière avait appuyé sur un bouton, et que les étriers s’étaient écartés comme par magie. Toute mon anatomie sexuelle s’offrait maintenant au regard de ces voyeuses.

La maîtresse de maison commença par jauger mes attributs, en les soulevant, en les caressant ou en tirant dessus. Elle ne se privait pas de faire toutes sortes de commentaires sur les organes reproducteurs des mâles, pas vraiment flatteurs pour nous.

Avant de commencer, elle prit plusieurs photos de moi, en invitant sa clientèle qui le désirait à poser à mes côtés.

- Je vous les enverrai par mail, cela vous fera un souvenir. Précisa-t-elle.

Toutes acceptèrent avec joie, les plus hardies n’hésitant pas à laisser traîner leurs mains sur mon corps.

De voir toutes femmes presque nues aurait pu m’exciter, mais dans le cas présent, ce n’était pas du tout le cas.

Seulement après cette séance de photos, elle retira le plug offert par Hazi-Maendal, qui avait conseillé à Alicia de me le mettre le matin même. Jusqu’à maintenant, elle n’avait fait aucun commentaire à ce sujet, mais à présent, elle ne se gêna pas :

- Vous voyez mesdames, ce bijou à la particularité de convenir aussi bien aux garçons qu’aux filles. Offrez en un à vos chéris, cela va peut-être leur plaire, comme à ce jeune homme.

Des rires fusèrent de tous côtés.

Madame Mina commença ensuite son travail, en essayant de se mettre de côté, pour bien laisser la vue libre pour les autres. Les premières coulées de cire chaude faillirent m’arracher un cri de douleur, mais Madame Mina avait été très explicite :

- Si j’entends le moindre son sortir de ta bouche, je te mets un bâillon.

Je me résolu donc à souffrir en silence. Madame Mina enduisit toutes les parties de mon service trois pièces, avec cette cire devenue à présent moins chaude. Elle la retira ensuite sans aucune précaution, peut-être même en faisant exprès de me faire mal. A chaque fois, je sursautais en faisant une grimace.

- Regardez-moi cette chochotte qui ne supporte pas trois fois rien de souffrance. Dit-elle à ses amies en riant. Maintenant il saura ce que nous subissons, afin de plaire.

Pendant cette première partie, j’avais observé toutes les femmes. Aucune ne me regardait dans les yeux, leurs regards n’allaient pas plus haut que la ceinture, et elles n’en perdaient pas une miette. Seules les deux filles nues qui s’étaient un peu reculées, regardaient le spectacle entre deux baisers, ou entre deux caresses.

Lorsque Madame Mina eut presque terminé, elle ajouta de nouveau un peu de cire à quelques endroits, pour parfaire son travail. Ensuite elle frotta toutes les parties avec un lait démaquillant pour retirer les résidus de cire.

- Il ne me reste plus qu’un petit coin pour terminer. Ajouta-t-elle en appuyant de nouveau sur le même bouton.

Les étriers se remirent en mouvement, vers le haut cette fois. L’instant d’après j’étais les fesses en l’air, bien écartées, et exposant franchement mon petit trou.

De nouveaux rires résonnèrent dans la pièce.

- C’est le morceau que je préfère. Prévint l’esthéticienne en rigolant tout autant.

- Mais il faut bien le protéger. Dit-elle encore en approchant un vibro masseur.

Après l’avoir lubrifié avec un gel, elle me l’enfonça sans précaution dans le fondement.

D’être exposé les fesses en l’air n’avait rien de réjouissant, mais en plus avec ce gadget enfoncé, j’étais on ne peut plus mal à l’aise.

-Il me faudrait une assistante pour le maintenir, pendant que je mettrai la cire.

Plusieurs clientes se proposèrent instantanément. Madame Mina en choisi une, peut-être la plus ancienne, en tout cas pas la plus jolie.
Tout en versant la cire, elle précisa à son adjointe, qu’elle devait un peu le faire tourner, pour que la cire n’y adhère pas. Celle-ci ne se le fit pas dire deux fois, et fit pivoter le vibro dans tous les sens.

- Vous pouvez même le faire aller et venir, si vous préférez.

L’assistante semblait n’attendre que cela, et commença à lui faire faire des vas et vients.

Lorsqu’elle eut terminé et nettoyé le surplus de cire, elle laissa encore un moment sa cliente s’amuser avec le gadget, puis elle le récupéra.

Malgré l’embarras de la situation, je sentis mon bas-ventre commencer à s’échauffer, et mon sexe prendre un peu de consistance.

- Regardez. Dit l’esthéticienne. Ce petit vicieux aime ça.

Tous les regards se tournèrent à présent vers mon sexe qui prenait de plus en plus de volume.

- Pour terminer, il faut bien passer partout de l’huile parfumée pour calmer la douleur. Une de vous veut-elle s’en occuper.

La encore les volontaires furent nombreuses, et une des femmes les plus jolies fut désignée.

Madame Mina fit couler l’huile sur mon service trois pièces, et la nouvelle collaboratrice commença son travail.
Elle prenait son travail à cœur, et me caressait doucement. C’était un vrai plaisir par rapport à ce que je venais de subir.

Mais le plaisir ne dura guère longtemps, la patronne intervint de nouveau.

- J’ai dit : « bien passer partout ».

Et elle fit de nouveau couler de l’huile, mais cette fois directement entre mes fesses. L’adjointe, la récupéra et l’étendit sur mes fesses. Madame Mina en fit de nouveau couler au même endroit. Cette fois l’assistante, la fit pénétrer directement dans mon petit trou, en y plongeant timidement un doigt bien enduit d’huile.

- Il faut bien faire pénétrer le produit, si l’on veut que cela soit efficace. Insista Madame Mina. Avec plusieurs doigts. Précisa-t-elle.

Cette fois la belle dame se libéra de ses tabous devant les autres femmes, et m’enfonça un deuxième, puis un troisième doigt. Elle les fit ensuite aller et venir, comme la précédente avec le vibro.

Lorsqu’elle jugea que c’était assez, l’esthéticienne fit cesser sa cliente, mais lui présenta un vibro masseur encore plus gros que le précédent.

- Vous allez lui mettre celui là maintenant, et ensuite on fera une nouvelle série de photos. Vous pourrez en profiter pour constater comme il est bien doux à présent.

Bien préparé pars ses doigts, le gadget entra facilement, sans me causer de nouvelle douleur.

Une à une les clients se placèrent à côté de moi pour une photo finale. Cette fois, elles n’étaient plus timides, et à chaque photo, j’avais droit à une main qui me massait délicatement, ou qui me masturbait franchement de temps de la photo.


A l’issue de la séance photos, mon érection était de plus en plus forte, Madame Mina eut pitié de moi.

- Il y a peut-être une volontaire pour soulager le pauvre malheureux de cette protubérance qui semble le faire souffrir.

Une femme assez grosse fut la seule à se rapprocher de moi. Elle prit immédiatement mon sexe en main et l’agita frénétiquement. Bien que cette dernière ne fût pas du tout bandante, je me libérai rapidement en ayant failli m’étrangler avec la cordelette.

Madame Mina eut une dernière critique à mon égard.

- Voyez moi ce petit cochon qui a tout sali. Tu vas nettoyer tout cela.

Et joignant le geste à la parole, elle essuya les traces de mon plaisir avec ses doigts, qu’elle présenta ensuite à ma bouche. Je n’eus pas d’autre choix que de m’exécuter, et de tout avaler.

Après avoir retiré le vibro, et remis mon plug à sa place, elle s’adressa à ses clientes :

- Voilà mesdames, vous pouvez aller reprendre vos soins. J’espère que ce petit intermède vous plu, c’est offert par la maison.

Offert par bibi surtout, cela ne lui a pas coûté cher à la patronne.

Après avoir raccompagné ses clientes vers leurs salons, elle me libéra enfin.

- Tu es un petit gars bien, je ne te ferai pas payer cette séance, mais en contrepartie, tu viendras tous les samedis à la même heure. Mes clientes ont bien apprécié, et aimeraient beaucoup te revoir. Je m’arrangerai avec Hazi-Maendal.

Je ne voyais pas ce que Hazi-Maendal venait faire là dedans.

En repartant vers l’entrée pour récupérer mes vêtements, je jetai un œil dans les salons privés. Les conversations allaient bon train, je me doutais bien du sujet de leurs discussions. J’eus également la surprise de voir dans deux salons, les employées entièrement nues, la tête plongée entre les cuisses de leurs clientes. Le spectacle avait dû les échauffées, et à priori on pratiquait toutes sortes de soins du corps dans cet établissement.

Avant de partir, Madame Mina me tendit un DVD :

- C’est le film de ton épilation, tu le donneras à Hazi-Maendal. Elle pourra voir comme tu as été coopératif.

Hazi-Maendal, Hazi-Maendal, il n’y en avait que pour elle.

J’appris par la suite ce qu’était une épilation n° 3 Spéciale. « Numéro 3 » pour épilation intégrale, et « spéciale » pour tour le reste : exhibition forcée devant les clientes, et avec leur participation, engodage et masturbation avec nettoyage. En fait spécial, signifiait spécial pour les soumis, ce que sans le savoir j’étais devenu.

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Histoire de Azkinato

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Commentaires du récit : Alicia

Le 13/09/2011 - 20:22 par kantok
Merci pour cette histoire très excitante, en espérant que tu nous prépares une suite !

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