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Andrée

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Lue : 1696 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/10/2013

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Ce satané réveil sonne. Je sors doucement du profond sommeil. J‘ai encore le goût de son sexe sur ma langue, sur mes lèvres. Je crois sentir encore ses doigts sur moi, ses mains sur mes seins. Qu’elle première fois avec une autre. Hier encore la bite de mon amant suffisait. Je sais que je vais encore me faire baiser par ce démon de fille. Elle m’appendra à mieux lui faire plaisir à mieux la faire jouir. Mais comment expliquer tout ça à mon mec. Lui aussi me baise bien quand il me la met là, au fond de mon trou, surtout celui de derrière. Je ne vais pas pouvoir m’en passer. Ah, se faire sodomiser par lui, un délice parmi les délices de l’amour. Mais sa langue à elle, comment la classer. Je les voudrais ensemble : elle me sucerais et lui m’enculerait. Je serais au vrai paradis.

Et tout ça pour rendre service à une autre amie. Elle m’avait demandé comme un service personnel de venir chez elle participer à une petite réunion spéciale. Je savais bien ce qu’était ce genre de réunion. Je faisais la portière en demandant aux personnes admise dans ce séminaire particulier de me dire ce qu’ils aimaient.

Mon amie recevait par un grand baiser sur la bouche tous ceux qui participaient : elle n’était pas du tout lesbienne, même si elle plongeait quelque fois pour un 69 féminin, sans plus. Elle préfère et de loin une bite dans la bouche ou le cul. Chacun ses préférence.

Il y avait en tout une vingtaine de personne. Les prises de contact se passaient de dragage : « tu me plais, on se plait, on baise ».

C’est cette sacrée Andrée qui m’a repéré. Elle est comment Andrée ? Grande, châtain foncé, yeux clair presque bleus. Une poitrine qui me donnait envie de la sucer. Son plus, un petit bouquet de poils sur le pubis : irrésistible. Le tilt a eu lieu dans les deux sens. Elle a pris mon menton dans sa main, elle m’a embrassé longuement sur la bouche. Elle pouvait voir l’effet qu’elle me faisait en regardant monter les tétons. Je me suis collée à elle ; corps à corps. Je sentais son cœur battre contre moi. Je sentais encore plus ses mains sur moi. Une douceur qui passait des épaules au dos. Elle venait sur mes fesses. Je n’osais pas la toucher. Je n’osais pas, alors qu’elle n’attendait que je la caresse. Pour me prouver qu’elle me voulait elle e savait plus quoi inventer que de me le dire :
- J’ai envie de toi, de ton corps entier, donnes toi.
- Je n’ai jamais fait ça avec une fille.
- Qu’elle chance pour moi. Je vais tout t’apprendre. Tu n’es pas vierge quand même ?
- Je vais gâcher ta nuit.
- Tu vas embellir ma vie.

De suite de grands mots. Mais elle m’excite avec ses belles paroles. Je verrais bien comment ça fait. Elle me mène vers une chambre vide encore pour le moment. Je ne la quitte pas des yeux. Elle regarde ma bouche, pose ses lèvre sur elle, sa langue me fouille. Le baiser est très, trop ? Agréable. Quand elle me pousse sur le lit, je suis vaincue. Elle a bien vu que je regardais sa poitrine : elle me donne un sein à sucer. Il est à la fois dur et tendre. Sa bouche sur mon cou m’embrase pour venir sur les épaules, les seins. Ils sont impeccablement léchés, sucés. Je suis mouillée entièrement, j’ai besoin qu’elle m’aime. Sa bouche descend sur mon vente, sur mon pubis. Elle fait le tour des cuisses, vas très bas, passe sa tête entre les jambes. Elle me lèche en remontant. Je suis étonnée de sentir un sein juste sur ma chatte.

Je suis trempée quand elle mangue mon sexe en entier. Je dois lui donner une dose de cyprine comme jamais.

Enfin sa langue est sur mon intimité. Elle me frôle sans jamais s’arrêter. Je prends sa tête dans mes mains. Je la force à rester là où j’en ai besoin. Sa bouche s’ouvre en entier, elle me bouffe toute crue. Elle reste ainsi en se retournant. A mon tour de la recevoir sur mes lèvres. Ha, cette odeur de femme dans mon nez, son gout de cyprine dans la bouche. Une découverte, une acceptation. Elle lèche le clitoris. Je ne pensais jamais qu’une femme comme moi me donne tant de soubresauts, de plaisirs d’orgasmes continus.

Je m’attache à lui en donner autant. Ma langue découvre pleins de détails qui doivent être les même chez moi. Je m’attendri sur la douceur d’une lèvre, du périnée. Du c.., non pas encore.

Elle me lèche comme une chatte le fait à ses petits. C’est douloureux tellement c’est bon. J’hésitais, elle pas du tout, elle traverse le périnée. Elle arrive sur le petit trou. Elle en fait le tour. J’en veux inconsciemment plus. Elle le fait en caressant juste le bord de l’anus. Normalement je reçois des bites là. Des fois un baiser, mais pas encore ce qu’elle veut me donner. Elle ne force pas, je m’ouvre à sa langue qui entre dans mon cul.

J’aime aussitôt cette sodomie douce. Elle entre, sort entre à nouveau. Je m’éclate en multiples orgasmes.

J’essaye bien de lui en faire autant. Je n’arrive à rien qu’à lécher bêtement sa chatte. Je ne peux que lui mettre un doigt en réponse.

Je ne sais si c’est ça, en tout cas elle aussi jouit en me donnant un long jet de sa mouille.

J’en ai encore dans la bouche.
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Histoire de fabrissa

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