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Anniversaire particulier

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Lue : 25217 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/12/2009

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Pour notre anniversaire de mariage, mon mari m'a invité dans un restaurant très spécial.
Il m'a demandé de m'habiller très sexy, jupe fendue, chemisier quasiment transparent; bas noir, pas de soutien gorges et pas de culotte.
"Je te réserve une surprise, depuis le temps que tu en rêves !?"
Le problème c'est que cela ne m'avance pas : j'ai beaucoup de fantasmes! alors lequel a-t-il décidé de concrétiser ce soir ? Mystère ?

Je me prépare comme il me l'a demandé et avant de sortir je passe le "contrôle". Il soulève ma jupe pour bien vérifier que je ne porte rien, dégrafe mon chemisier jusqu'à la limite de la décence, pince mes tétons pour les faire ressortir et passe ses doigts entre mes cuisses.

"Tu mouilles comme une vraie salope. Qu'est ce que ça va être plus tard ? Ça va être une soirée mémorable pour toi !"

Je suis excitée comme une pucelle qui va à son premier rendez-vous d'amour. Je sais que je ne dois pas poser de questions, de toute façon il n'y répondrait pas. J'aime ces moments où je sens l'adrénaline monter. Mon ventre se contracte, mes seins durcissent, ma chatte s'inonde.

Il m'embrasse avec passion : "Je t'aime, tu es la femme de ma vie". Nous quittons l'appartement pour rejoindre le restaurant en voiture. Pourtant lorsque nous nous arrêtons je ne vois aucune enseigne. Je le regarde, surprise. "Fais moi confiance, nous allons bien manger au resto, mais celui-ci est un peu spécial, nous serons les seuls clients, mais tu verras, le service est parfait, tu seras contente comme tu ne l'as jamais été au restaurant."

Je commence à sentir le "traquenard", je crois que cette soirée va être chaude, mais je ne sais pas vraiment ce qui m'attend. J'ai des frissons dans tout le corps en franchissant les portes d'une magnifique salle à manger où trône une seule table, superbement décorée. La serveuse qui nous reçoit est habillée comme toutes les serveuses dans les grandes maisons, jupe noire, chemisier blanc, peut-être un peu transparent le chemisier, mais très chic. Pas de carte, un garçon nous apporte une coupe de champagne. "A ta santé, ma chérie, à nous, à notre amour… au sexe !" Je lui réponds : "A nous, à l'amour dans tous ses états" Je ne sais pas pourquoi j'ai rajouté cela, mais ça le fait sourire : "Tu ne crois pas si bien dire".

Le dîner se déroule tout à fait normalement, excepté le fait que nous sommes seuls. Le service est impeccable, les mets succulents, les vins délicieux. Je suis un peu "grise", tant par l'alcool que j'ai avalé que par la petite angoisse qui me titille sur ce qui m'attend.

En effet durant tout le repas, la serveuse et le garçon n'ont pas arrêté de me lorgner sans que mon mari ne fasse aucune réflexion, comme s'il n'avait rien remarqué. Pourtant d'habitude, il est le premier s'en apercevoir. Bizarre! Le dessert arrive, puis le café et enfin la note : "Tu vas en avoir pour une fortune". "Oui, mais c'est toi qui va payer".

La serveuse s'approche : "Ce que veut dire Monsieur, c'est que vous êtes le prix de ce repas"… Elle me saisit les poignets qu'elle attache avec des menottes derrière mon dos, me bande les yeux, puis elle glisse sa main dans l'échancrure de mon chemisier. " Voilà, ma chérie, tu voulais faire l'amour avec une fille, Mademoiselle, enfin Sophia est là pour exaucer ton fantasme".

Sophia a déjà pris possession de mes seins qu'elle titille avec efficacité. Je suis attachée, je ne peux pas me défendre, mais est-ce que j'en ai envie ?

Mon chéri s'assoie confortablement sur un fauteuil face à nous pour ne rien manquer du spectacle de sa femme qui se fait tripoter par une autre femme. Sophia m'embrasse à pleine bouche, devant mon mari qui laisse faire et même l'encourage : " Vas-y Sophia, fais la jouir, ça fait des années qu'elle en rêve, se faire sauter par une femme". Je réponds au baiser de Sophia qui en profite pour dégrafer mon chemisier et libère mes seins. Elle laisse ma bouche pour mordiller l'un de mes tétons, je gémis de plaisir, je murmure : "Merci mon amour". "Attends la fin de la soirée pour me remercier, tu n'es pas au bout de tes surprises".

Déjà, Sophia a soulevé ma jupe et glisse ses doigts vers mon intimité. "Ecarte tes cuisses, ma cochonne que Monsieur voit bien ta chatte". J'obéis sans protester. "Voilà, tu es une bonne fille. Regarde bien Monsieur, je vais la faire jouir ta salope, profite bien de la scène, ensuite elle fera tout ce que tu exigeras d'elle. Elle ne pourra rien te refuser. Tu as de la chance, elle semble avoir de bonne disposition, elle réagit rapidement aux caresses." Pendant que Sophia parle à mon mari, elle accentue ses attouchements sur mon minou, le titillant et le pénétrant avec ses doigts. Ensuite elle s'agenouille entre mes cuisses et continue ses caresses avec sa langue. J'arrive rapidement à l'orgasme. Je me tords de plaisir sur ma chaise. Je hurle ma jouissance. Je ne vois rien à cause du masque de velours, mais je sais que mon homme est en train de se masturber en regardant le tableau de sa femme qui jouie sans retenue ni pudeur. Bientôt je sens une présence prés de moi, je reconnais l'odeur de mon mari. Il m'attrape par les cheveux : "Suce-moi, salope" Là encore j'obéis. Que pourrais-je faire d'autre ? L'excitation est telle, qu'il ne tarde pas à se lâcher dans ma bouche. "C'est bon, hein ma salope, une bonne giclée de sperme" Il retire sa queue de ma bouche : "N'avale pas tout de suite, tu vas partager avec Sophia, elle adore ça, elle aussi".
A nouveau Sophia s'empare goulûment de ma bouche et nous partageons le sperme de mon mari. Je ne me serais jamais cru capable d'une telle perversité. Notre salive se mêle à la semence de mon homme et nous avalons chacune notre part, comme un hommage à sa virilité.

On me détache et on me soulève de la chaise. On me met un collier autour du coup et on y attache une laisse. "A quatre pattes, chienne, ordonne mon mari" J'obéis toujours, je n'ai plus de volonté. En l'espace d'un instant je suis devenue l'objet sexuel de cet homme et de cette femme. L'un est mon mari, l'autre une parfaite inconnue, mais chacun d'eux pourrait me demander n'importe quoi, et ils ne vont pas s'en priver, je continuerai à leurs obéir. En peu de temps mon homme vient de réaliser deux de mes fantasmes : faire l'amour avec une femme et être traitée comme une chienne, un objet de plaisir, une pute, une esclave sexuelle. J'avance devant eux à quatre pattes, comme la chienne que je suis. Je me sens délicieusement humiliée, car c'est ce que je voulais dans mes fantasmes les plus fous.

On me fait monter sur un lit où je reste toujours à genoux. Je sens la présence de Sophia, l'odeur de son intimité. Elle guide ma tête : "Suce-moi, comme j'ai fais avec toi tout à l'heure. Garde bien tes cuisses écartées, ton homme ne doit jamais perdre de vue ta chatte de salope". J'obéis, j'obéis encore. J'écarte bien mes cuisses, je relève mes fesses pour que mon intimité soit bien visible. Je suce Sophia. C'est la première fois que je goutte à une chatte. C'est bon, juteux. Je me délecte de sa mouille. Je fourre ma langue dans sa fente, je titille son clitoris. Les mains de mon mari flattent ma croupe, puis c'est la fessée. Je suis surprise, j'arrête de sucer Sophia. Mon mari frappe plus fort. " Continue à sucer salope, Sophia n'a pas encore jouit." Alors je reprends mes mouvements de langue. Son suc coule abondamment de sa chatte humide. Elle gémit de plaisir.

Sur mes fesses, le martinet a remplacé les mains de mon homme, se faisant tour à tour instrument de tourment ou de félicité, suivant que mon mari frappe ou promène l'instrument sur mon postérieur. "Baise-là, encule-là. Prends-lui la chatte et le cul. Fais-la hurler cette salope. Et toi continue à me sucer" Mes yeux sont toujours bandés, mais mon imagination va bon train. Je vois dans ma tête la scène qui est en train de se dérouler, comme si j'en été la spectatrice. Cette vision décuple ma jouissance, avant même que mon homme ne me pénètre, je suis déjà aux portes de l'orgasme pour la deuxième fois depuis le début de nos ébats. "Oui, prends-moi. Mets-la-moi bien profond. Défonce-moi. Je suis ta salope, ta chienne. Oh, oui !!! Fais de moi ce que tu veux". "Ferme ta gueule et suce-moi. Tu n'es là que pour notre plaisir. Bien sur qu'il va faire de toi ce qu'il veut, et moi aussi d'ailleurs. Tu n'es qu'une pute, bonne à baiser et tu vas t'en prendre de partout. Regarde ce qui t'attend".

Sophia enlève mon masque et devant moi, il y a le garçon et deux autres mecs : "Le cuisinier et son second, pour toi, ma chérie. Tu voulais te faire baiser par plusieurs mecs. Voilà un autre de tes fantasmes qui va se réaliser. Mais continue à sucer Sophia, elle ne va pas tarder à jouir". A peine sa phrase achevée : "Tu es une bonne suceuse, ma salope, tu me fais monter au ciel. Huummm !!! J'explose. Ouiiii !!!". A mon tour : "Oui mon amour, je pars, continue à me bourrer le cul. Enfonce-moi profond. Ahhh !!! C'est bon". Et le plaisir envahit mon homme. A son tour il crie sa jouissance.

Les trois autres nous regardent et se branlent en attendant leur tour. Le serveur attrape Sophia, la retourne et la baise avec violence. Déjà en plein orgasme grâce à mes cajoleries, elle hurle de plaisir. Je regarde ce couple qui s'envoie en l'air et ça m'excite. Mon chéri doit se remettre durant un moment, aussi le cuisinier et son assistant s'approchent pour s'occuper de mon cas. "On va te prendre en même temps, en sandwich, comme une vraie pute. Ton mari, nous a dit que tu en rêvais. Regarde le bien dans les yeux pendant qu'on te baise, qu'il voit ton regard de salope."
Je m'empale sur le cuistot, pendant que l'autre me fourre sa bite dans le cul. Sophia, s'approche de moi et m'embrasse à pleine bouche. Son chevalier servant est un peu fatigué et récupère. Elle mordille aussi mes nichons, me caresse et encourage ses collègues : "Allez-y les mecs, faites la hurler, la bourgeoise. Il faut qu'elle s'en souvienne de sa soirée d'anniversaire. Bourrez-la à fond.
C'est bon, hein ma salope de se prendre de la bite de partout. Je vois que ton mec va mieux. Tu vas pouvoir le sucer. Tu vas être remplie de partout".

En effet, mon mari s'approche, se met debout près de moi et me fourre sa queue dans la bouche. Quel pied !!! Trois mecs rien que pour moi. Je jouis, mais je ne peux pas crier car la bite de mon homme baise ma bouche. Bientôt le cuisinier et son acolyte explose simultanément dans ma chatte et dans mon cul. Puis c'est à nouveau mon homme qui se décharge dans mon gosier et me force à avaler.

Les mecs sont épuisés. Alors Sophia et moi, nous reprenons nos ébats saphiques. Les garçons apprécient et nous encouragent. Lorsqu'ils retrouvent leurs forces, ils nous baisent, nous enculent, nous forcent la bouche. Nous échangeons leurs spermes de bouche à bouche, et plusieurs fois j'ai léché sur Sophia le jus de l'homme qui venait de la baiser. La nuit se passe en orgies sans cesse renouvelées. Au matin nous sommes exténués et nous nous endormons les uns contre les autres hommes et femmes mêlés. Quatre mecs pour deux femmes, quelle extase. Il faudra qu'on remette ça….
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Histoire de aile34

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