Auxiliaire de vie

Il y a de cela quelques mois, j'ai été gravement malade (ce qui est la réalité) et je suis resté alité plus de 16 mois. Mon quotidien se bornait aux pansements, toilettes faites par les infirmières, et moments que je préférais, présence d'une auxiliaire de vie pour permettre à ma mère de sortir et donc de se soulager nerveusement, car ce n'était pas facile pour elle de voir son fils malade et de devoir assumer un rôle de soignante 24h/24. Une auxiliaire de vie venant une fois par semaine pour lui permettre de sortir un peu se changer les idées.

L'auxiliaire de vie s'appelait Fanny, elle avait 21 ans, n'était pas très grande, mais une très belle brune.

Etant d'un tempérament joyeux, nous passions souvent cette heure à rigoler et discuter comme le feraient deux potes. Au fur et à mesure, nous avons commencé à nous livrer un peu plus, et à parler de choses un peu plus intimes qu’auparavant.

Un jour nous avons parlé de la souffrance de l'épilation, elle me disant qu'elle s'épilait totalement, alors que moi j'étais plutôt "rasage". Elle me dit : toi tu te rase le sexe"? Je répondis par l'affirmative en précisant qu'avec ce qui venait de m'arriver je n'avais pas pu le faire depuis pas mal de temps, et qu'une forêt avait poussé à cette endroit. Elle éclata de rire et me dit sans aucune gêne, "si tu veux que je te rase un jour, tu me le dis, y'a aucun problème".
Je fus surpris d'une telle proposition, mais également excité par celle-ci.
Je lui proposai de le faire la semaine d'après, à sa prochaine visite. La semaine fut longue pour moi, et enfin, ce jour arriva.

Tout simplement, elle prépara la bassine avec de l'eau tiède, pris tout le nécessaire de rasage qui se trouvait dans la salle de bain, et s'avança vers moi tout en parlant naturellement comme nous avions l'habitude de le faire. Elle me découvrit et laissa apparaître mon sexe à sa vue, et tout en continuant à faire glisser le drap jusqu’au bas de mes jambes, elle me dit : "effectivement, y'a une forêt qui a poussée". Le fait de rire de la situation, me décrispa et rendis la situation moins gênante. Elle retira son gilet afin de ne pas le mouiller, et je découvris alors son petit haut blanc à fine bretelles. Elle commença par me passer un gant de toilettes mouillé sur le sexe et les couilles avant d'appliquer la mousse à raser. Tout cela, elle le faisait très naturellement et tout en discutant. Je lui proposais une paire de gant en latex si elle voulait, mais elle me répondit que les sensations n'étaient pas les mêmes et donc qu'elle préférait sans.

Elle s'appliquait vraiment, et tout en se baissant me laissait apparaître une belle poitrine. Elle me dit d'un air très simple " tu aimes ce que tu vois", et avant que je puisse répondre elle ajouta "à la réaction de ta queue je présume que oui". Là je fus légèrement gêné, mais celle-ci ne dura pas très longtemps, en effet, elle tenant ma queue à pleine mains pendant qu'elle rasait mes couilles, et tout en la sentant grossir entre ses doigts, elle commença à dégager mon gland en me masturbant.

Voyant que j'adorais cela (j'étais quand même alité depuis 16 mois) elle continua puis, le rasage fini, elle me lava de nouveau entièrement toute la partie rasé. J'étais là, couché sur le dos, la queue en l'air. Elle l'a repris et continua là où elle s'était arrêté, mais cette fois, sa bouche vint se poser sur mon gland, avant d'engloutir entièrement ma queue. Elle me suça comme personne ne l'avait jamais fait, et lorsque je sentis que j'allais jouir et que je voulu me retirer, elle la goba jusqu'à ce que j'éjacule dans sa bouche. Je fus surpris de la voir tout avaler. Cela c'était passé tout naturellement, et comme elle le disait si bien, elle avait contribué au bien être de son patient.

Aujourd'hui nous sommes toujours en contact, mais uniquement amicalement, et franchement, je garde un merveilleux souvenir de ce moment.