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Avec la grand mère, la mère et la fille

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Lue : 32219 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/08/2009

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Je m’appelle Philippe, j’ai 37 ans, antillais, plutôt grand, mince, avec une musculature saillante et ferme, des cheveux noirs crépus mi longs sur un style vestimentaire assez classique.
J’habite la capitale de la Martinique dans un HLM.

Après une journée à peindre et entretenir des immeubles, car je suis peintre en bâtiments, j’avais décidé ce soir de me détendre en regardant après le journal télévisé un bon film. Quand soudain, je reçu un « sms ».
Ce dernier disait : « Viens ce soir 23h pour baise avec femme, fille et belle mère ».

Pour moi ce message était clair. En effet, un jour alors que je travaillais avec des collègues sous une chaleur torride, notre patron fût visité par un européen français désireux de s’associer avec lui afin de faire progresser l’entreprise. Il accepta l’offre sans hésiter.

Au moment de la présentation de l’équipe à Mr D. Hugo notre nouveau patron, j’observais nettement ce dernier me mater avec insistance. Etant buste nu, couvert de sueur faisant ressortir encore plus mes muscles, il me proposa discrètement le jour même et sans gêne une affaire que je n’ai pas refusé.

Il était prêt à m’offrir 3 000 Euros pour toutes les fois où j’accepterai de participer à ses « fantasmes party » comme il les appelait. A savoir, que ces soirées se passaient chez lui, avec des invités exclusivement de race blanche et que je serais le seul « black étalon » qui baiserais devant son petit public de voyeur. Mon physique l’ayant plus, c’est pour cette raison qu’il me proposa ce marché, bien sûre avec quelques limites que je lui avais imposé.

Or ce soir, en lisant ce « texto » je m’apercevais que les choses allaient de plus en plus loin. Je voulais bien baiser sa femme ou sa fille mais sa belle-mère me dérangeait. Seulement, en y réfléchissant bien, ça me faisait plaisir et bander d’être le seul étalon jalousé par la plupart de ses convives, qui bavaient de la bouche et du sexe en me regardant tremper la queue dans des « chattes blanches ».

Quand l’heure arriva, je me suis donc habillé et partis en direction de ma petite sauterie.
Le chef D. m’ouvrit la porte en me serrant la main chaleureusement. Il me présenta à ses neuf nouveaux invités de la soirée en plus de sa femme, sa fille que j’avais déjà « sauté » et sa belle-mère âgée de 70 ans que je ne connaissais pas. Elle ne semblait pas trop vieille, ni repoussante pour son âge. Pour ma part, l’ayant maintenant vu, je savais que je pouvais la baiser.

D’ailleurs quand le regard de cette dernière se posa sur moi, je sentis de l’envie et du vice qui émanait de ses yeux et mon côté macho me faisait comprendre qu’il fallait que je lui en donne pour son grade, d’autant plus que D. m’avait clairement dit que ce soir, se serait-elle la « star » de la « fantasmes party ». Et donc, parmi les invités, se trouvait le mari de la belle-mère qui assisterait à toute la scène.

Je me tenais debout au milieu du grand salon face aux dix invités qui étaient tous assis dans un très grand canapé blanc perpendiculaire. Et au sol juste à mes pieds, il y avait un petit matelas.
Sans plus tarder, la femme de D., sa fille et sa belle-mère s’approchèrent de moi. Priorité à la vieille oblige, elle se mit à déboucler ma ceinture, déboutonna mon jean qu’elle baissa en même tant que mon caleçon laissant apparaître ma grosse verge bien noire, large et longue de 18 cm au repos.

Déjà bien décalottée, la grand-mère emboucha immédiatement mon gros gland qu’elle s’empressa de « tété » comme un veau tète sa mère. Très vite, j’ai commencé à bander et bientôt mes 25 cm furent envahit par la bouche et la langue de la femme en plus de la fille de mon chef.
Elles aspiraient mes boules pendantes et poilues, me limant le chibre avec une grande sauvagerie, caressant mes fesses et mes cuisses, me griffant les abdos et le pubis comme des salopes.
Ma queue était pleine de leur bave, dégoulinante à égoutter abondamment sur le sol du salon.
-Aaaaaaah, c’est bon, continuez salopes, dis-je de plaisir.

J’observais du coin de l’œil, la plupart des convives qui se masturbaient déjà avec frénésie, hommes et femmes sexy confondus.
Puis les trois chiennes se sont mise à quatre pattes, fesses face aux « spectateurs ». La logique voulait que je pénètre d’abord la « mémé » ce que je fis de suite.
Placé derrière elle, lui défonçant son vagin légèrement étroit, sous ses gémissements et ses cris de satisfaction, ceux d’en face pouvaient très facilement voir l’action en cours.

Ma grosse bite remplissait le minou de la belle-mère qui mouillait encore pas mal pour ses 70 ans.
J’accélérais violemment mon mouvement de va-et-vient, lui arrachant des hurlements de plaisirs puis me retirant je suis allé fourrer mes 25 cm dans l’intimité de la mère qui en redemandait même après que j’eu littéralement défoncé la fille, qui elle, très serré me faisait encore plus bander.
Ensuite, toujours dans la même position, je leur ai bourré l’anus à chacune.

Puis, j’ai demandé à la fille de s’allonger dos sur le matelas en lui écartant les jambes afin de lui enfoncer ma verge dans le vagin et vingt minutes plus tard, je me suis occupé de sa mère.
Quand se fût le tour de la vieille gourmande, là je voulais m’appliquer davantage.
Allongé elle aussi en position du missionnaire, je me suis mise à lécher sa chatte et à y introduire trois et même quatre doigts bien profond. Elle adorait ça.

Après, j’ai tapoté ma grosse « teub » sur son minou plusieurs fois avant de la lui enfoncer à moitié puis la lui retirer aussitôt. J’ai répété l’opération au moins huit fois, afin d’exciter à mort cette nympho mais aussi les invités qui s’étaient à présent agglutinés autour de la belle-mère et moi-même.
J’étais en sueur et ils étaient tellement proches de nous que je sentais leur souffle et la queue de certains mecs me frotter.
Admiré par tant d’attention, je me suis mis brutalement à défoncé la grand-mère qui criait sous mes assauts. Elle mouillait et de l’écume se formait autour de sa vulve.

Trente bonnes minutes plus tard, après plusieurs positions, les regards des convives de plus en plus rapprochés et avec un final à nouveau en missionnaire, j’ai sentis la jouissance monté et dans un râlement puissant j’ai expulsé dans les entrailles de la belle-mère trois à quatre jets de sperme bien épais.
En me redressant légèrement et toujours en elle, j’observais ma queue luisante de substances intimes que je faisais doucement sortir de la chatte de la septuagénaire.
Juste après, j’ai commencé à écarté ses lèvres vaginales maculées d’une épaisse crème blanchâtre, en lui demandant d’expulser mon sperme de son orifice. Ce qu’elle fit.
Puis je me suis mis debout.
Une fois sur mes deux pieds et regardant mon foutre dégouliner de la chatte de la vieille toujours allongée sur le lit comme une presque rassasiée, deux mecs et trois femmes de « l’assistance » se jetèrent sur mon pénis en semi-érection, me suçant, me léchant voire même me bouffant le chibre cherchant par la même occasion à y récupérer les dernières gouttes de ma purée.

Pendant ce temps, j’aperçu le mari de la grand-mère s’approcher de sa femme entièrement nue et bandée afin de la pénétrer à son tour.
Dix à quinze minutes plus tard, lui aussi éjacula en elle.
Puis, se retirant et il se pencha vers la chatte de sa « salope » afin de récolter sa propre semence qu’elle expulsa et par la même occasion lécher toute la bonne écume formée autour de son vagin.
Le père de la femme de mon chef semblait adorer ce qu’il faisait.
Après avoir bien « nettoyé » la chatte de son épouse, il vint sucer et lécher ma queue toute molle durant cinq minutes puis retourna embrasser sa conjointe, qui n’arrêtait pas de m’admirer d’ailleurs.
- Tu as encore fait du bon travail, me dit mon patron en posant une main sur mon épaule.

Après que je me sois douché et rhabillé, il me tendit une enveloppe contenant 3 000 Euros comme promis.
J’étais ravi d’avoir cette somme en ma possession mais je ne pouvais m’empêcher de penser que j’étais une sorte de gigolo au service d’un blanc.
Cela m’agaçait mais j’y prenais du plaisir et me faisait de l’argent facile.

Néanmoins, même s’il payait bien et que cela arrondissait mes fins de moi, je savais que je ne pourrais pas faire ça éternellement et que tôt au tard, il trouvera un autre mec, mieux foutu et bien plus membré que moi afin de passer à ses caprices.

SteeBlack972.
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