Baisé par mon mari, devant son frère.

Il est environ dix sept heures, quand j’arrive à l’aéroport afin d’ y récupérer Kevin, mon mari, et Ryan, son jeune frère, de retour de séminaire. Mon époux a invités Rayan, à passer quelques jours à la villa. Il est âgé dix neuf ans, alors que Kevin en a vingt six.
Quant à moi, je m’appelle Laura, j’ai vingt quatre ans, et suis, parait-il, très belle, comparant parfois mon corps à celui d’un mannequin. C’est pourquoi les hommes me courtisent lors de soirée entre en amis, ou en famille.
Je sais Rayan très amoureux de moi, depuis qu’au cours d’un slow un peu trop langoureux, nos lèvres s’étaient involontairement effleurées. Depuis, il n’a de cesse de me courtiser. Je dois avouer que ça me trouble. Mais en prononçant mes vœux, j’ai juré amour et fidélité à mon époux, et ce n’étais pas sur un coup de tête, que j’allais le trahir..
Après les embrassades habituelles, nous rentrons à la villa.
Pendant le trajet, ils me racontent leur semaine, et remarque que mon beau frère cherche mon regard dans le rétroviseur. Malgré moi, je lui souris.
Nous arrivons à la villa située dans une petite pinède, donnant sur la plage, à l’abri des regards indiscrets. C’est pourquoi, je m’y promène souvent, entièrement nue. J’adore sentir la brise légère sur mon corps, ceci avant l’arrivée de mon mari, qui me culbute sur le sable, pour me baiser les deux trous en levrette
Mais là, en présence de Rayan, je dois avoir une tenue un peu plus décente.
Après un léger apéritif, nous passons à table. je remarque les regards en coin que me lance Rayan, et ce malgré la présence de mon mari.
Après avoir dégusté un excellent plateau de fruits de mer, mon mari propose que nous allions nous baigner. Ce qui fit l’unanimité.
J’enfilais un maillot deux pièces, qui faisait ressortir mes superbes seins, et la courbe de mes hanches.
- Mais ma chérie, dit mon mari, tu fais pas seins nus aujourd’hui ? C’est la présence de mon frère qui te gênes ? Allez mon amour…
Je passais ma main derrière mon dos, et dégrafais le haut de mon maillot. Kevin se colla derrière moi, et se mit à caresser mes seins. Je surveillais le regard de Ryan, qui par discrétion, ou jalousie, tourna la tête. Je ne comprenais pas le petit jeu de mon mari, d’autant qu’au bout de dix minutes, il s’assoupit sur le transat.
Je me glissais dans l’eau, suivis de près par mon beau frère. Il s’approchait dangereusement derrière moi, me prit les seins fermes aux bouts érigés, dont il faisait rouler les bouts. Une caresse anodine, mais qui fit courir un frisson le long de mon échine. Il voulu aller plus loin, fit glisser sa main sur une hanche, la contourna, essaya de glisser une main dans mon maillot, en direction de ma chatte, qu’il était prêt à atteindre et caresser.
Je repoussais son approche, lui rappelant que j’étais la femme de son frère.
Déçu, Rayan sortit de l’eau, et regagna l’intérieur de la villa.
Sans un mot, je préparais le repas du soir, fait de différentes brochettes.
Après le repas, mon mari proposa d’aller faire un tour à la discothèque.
Là encore, ça fit l’unanimité. Je m’habillais légèrement sexy, au bon vouloir de mon mari. Le gérant nous accueillait en habitués de site, des amis me prenaient par la taille, m’embrassaient sur la joue. Je voyais Rayan fulminait.
Pour détendre l’atmosphère, je le pris par la main, et l’entraînais sur la piste de danse. Il se détendit rapidement, murmurant des mots doux à mon oreille. J’écartais mon visage de lui, lui souriais. Il alla même jusqu’à frôler mes lèvres sans que mon mari s’en aperçoive, occupé au bar avec ses potes.
A ce moment là, je me sentis attirais par Rayan, prête à succomber à ses charmes. Le slow fini, je me ressaisissait, me disant que c’était pure folie.
Nous quittions la discothèque vers deux heures du matin.
Fatigué, Kevin monta se coucher directement, tandis que Rayan et moi, prenions un dernier verre. Je l’accompagnais à la chambre d’amis, et là, il me prit par la taille, me donna un baiser...un vrai, que je ne repoussais pas.
Je m’écartais et rejoignais mon mari. Celui-ci ne dormais pas.
- Alors ma chérie, as-tu passé une bonne soirée ?
- Superbe mon amour, et toi, heureux d’avoir vu tes potes.
- Oui...mais tu sais, je t’ai senti proche avec mon frère…
- A bon...c’était juste pour qu’il ne soit pas seul...ne vas pas croire que…
Par ces remarques, je m’apercevais que mon mari m’avais surveillée au cours de nos danses. Faut dire que nôtre façon de danser, pouvait apportait le doute, mais je rassurais très vite mon mari, qu’il n’ avait aucune ambiguïté entre nous, qu’il était l’homme de ma vie, et qui le resterait.
- Oui...mais reconnais qu’il est beau gosse mon frère, et que tu ne le laisses pas indifférent. Que dirais-tu s’il te proposait de te baiser, juste un coup comme ça.
- Arrêtes...ou veux-tu en venir.
- Que tu m’avoues que tu ne serais pas contre te faire baiser par lui...et qui sait, peut-être que j’accepterais cette relation.
- Tu es fou, dis-je en tournant le dos...bonne nuit.
Je ne dormis pas de la nuit, pensant me voir faire l’amour avec Rayan, me faire prendre la chatte, me faire sodomiser, lui tailler des pipes, et tout avaler.
Un instant, je voulus le rejoindre, mais la raison pris le dessus.
Je décidais dès le lendemain de mettre les choses au point, lui dire qu’il ne se fasse pas des idées, qu’il n’y aurait jamais rien entre nous. Mais sûr de lui, il jeta un sourire coquin.
Le lendemain soir, comme d’habitude, mon mari monta se coucher en premier, me laissant seule avec son frère. Celui-ci quitta le fauteuil, vint s’asseoir près de moi sur le canapé.
Il passa un bras autour de mon épaule. Je dus tourner le tête pour ne pas recevoir le baiser de bonne nuit, destiné à mes lèvres.
Je lui dis que j’allais prendre une douche, et me préparer pour la nuit, que je n’en avais pas pour longtemps. Dit de cette façon devait lui donner un certain espoir.
Sous la douche, je pensais aux propos de mon mari au sujet d’une relation avec son frère, et sentis une légère humidité se former sur ma fente épilée. Je sentais les lèvres de Rayan soudées aux miennes, ses mains parcourir mon corps, mes seins, ma chatte.
Un quart d’heure plus tard, je sortais de la salle de bains, entièrement nue sous une simple nuisette transparente, et pénétrais dans ma chambre.
Je laissais volontairement la porte entrouverte, sachant pertinemment que Rayan allait venir. Je n’eus pas longtemps à attendre pour voir sa tête par l’entre bâillement, alors que je me blottissais contre mon mari. Nous étions entièrement nus.
Noue entamions de longs préliminaires, je lui suçais la queue, tandis qu’il léchait ma chatte, je me plaçais de façon à ce que Rayan voit bien la bite de son frère aller et venir entre mes lèvres, ma langue s’enrouler autour de gland. Je me disais qu’il devait bander grave, peut-être se branlait-il.
Kevin me souleva, me prit par les hanches pour que je m’empale sur lui. De la porte, Rayan devait voir mon petit trou, petit trou qui ne serait jamais à lui, mais avec un peu de patience, il pourrait voir la queue de son frère le pénétrer. Puis on changea de position, Kevin tenait à me prendre en levrette, la tête tournée vers la porte. Les yeux mi-clos, je voyais Rayan sourire. Attendait-il que je lui demande de participer. Il pouvait toujours courir, je me faisais baiser et bien baiser par l’homme de ma vie. Je sentais sa bite vibrer en moi, signe d’une jouissance proche. Il vint se placer devant moi, et je pris sa queue en bouche, dans laquelle il vida copieusement ses couilles, puis il se retira. J’ouvrais la bouche pour montrer à Rayan le plaisir de son frère sur ma langue. J’avalais d’un trait, puis reprenais la bite pour un savant nettoyage. Entre moi je pensais.
« Pauvre Rayan, le nuit va être longue pour toi, tu ferais mieux d’aller te branler »
Effectivement, la nuit fut longue et torride. Kevin avait été phénoménal, jouant avec mon corps, m’arrachant plusieurs orgasmes. J’espère que Rayan a assisté à ça, qu’il a compris que j’appartenais à un seul homme...mon mari, son frère.






































,