Bal compagnard 2

Charlène est à peine endormie que le téléphone sonne, c'est Franc :

-Charlène, tu me hantes, je ne pense qu'à toi, j'arrive !

Et il raccroche, Charlène, abasourdit, reprend ses esprits, se lève, retire ses vêtements
et se précipite pour prendre un bain. Tout juste sortie de son bain que la sonnette de la porte d'entrée retentit. Elle enfile rapidement un peignoir de bain et va ouvrir la porte. Franc est sur le seuil, les deux se regardent longuement, sans se dire un mot, puis Charlène le fait entrer.

À peine dans le corridor, qu'il l'enlace immédiatement et cherche ses lèvres, le baiser est enflammé, Charlène frissonne. Il ne faut pas attendre longtemps pour que le peignoir tombe sur le sol. Franc s'écarte un peu pour admirer le corps de la femme qui le fait vibrer. Un peu honteuse, Charlène tente de cacher maladroitement son intimité. Il l'enlace à nouveau, la serre très fort, ses mains glissent timidement sur le fessier bien dodu de la femme tremblante. Elle le repousse et dit faiblement :

-Non pas ici !

Elle l'entraine dans le salon, elle se laisse tomber dans le canapé, Franc prend place à côté de son amour, dès qu'il pose ses grosses mains caleuses sur le corps de Charlène, celle-ci frissonne. Cette force de la nature sait se fait doux et câlin.
Ses doigts noueux s'accrochent avec douceur sur les mamelons qui se tendent doucement comme deux petits vérins hydrauliques. Charlène est surprise par la douceur de cet homme taillé à la hache, elle commence à geindre. Mais lorsque qu'il pose sa bouche sur les fruits souples et charnus, Charlène pousse un gémissement de plaisir qu'elle ne peut contrôler. La bouche gourmande, maintenant, s'attaque aux mamelons rétractiles, et les suce avec douceur. Les petits mats de chair doubles de volume, sous les succions de l'homme expert. Charlène fond de bonheur, ses gémissements prouvent qu'elle aime ce genre de traitement.

Lentement, la bouche avide se déplace sur son corps et approche dangereusement de sa vulve frémissante. Charlène ouvre automatiquement les cuisses, la bouche de son amant se pose sur le fruit juteux et aspire le plus qu'il peut de nectar. Sa langue monte entre les grandes lèvres et taquine avec adresse la boule des plaisirs. L'homme de la campagne s'avère être un amant hors pair, Charlène qui n'a connu que son mari, la comparaison est vite faite. La coquine mouille comme jamais, elle ne l'a fait, son bassin s'agite mécaniquement. Ses gémissements sont bruyants, elle tente de les atténuer en vain en se mordant la main. Franc lui aspire les grandes lèvres et les suce comme un bonbon, La coquine se cabre et jouit en grognant comme une bête.


Franc, bande fortement, la pression dans sa verge est si terrible qu'elle en devient douloureuse, il n'en peut plus, il delaisse un court instant Charlène et retire tous ses vêtements. Il exibe fièrement son manche de chair, l'engin, doté d'un gland large et épais, impressionne Charlène. Il s'approche d'elle et présente son sabre. Charlène, timidement, l'enserre. Ses doigts font difficilement le tour du mandrin aux veines apparentes. Elle le branle doucement sans le quitter des yeux, elle aimerai bien le prendre en bouche, mais le courage lui manque.
Franc se place entre les cuisses ouvertes de son amante et place sa verge contre le puits débordant de cyprine. Charlène ferme les yeux, Franc s'accroche à ses hanches et pousse doucement. Le temple s'ouvre et accepte le gros visiteur. Lentement, l'engin s'enfonce dans le ventre de Charlène qui n'a pas connu la visite d'un membre depuis longtemps. Elle souffle comme un animal, elle s'accroche à son amant en grognant de plaisir. Franc lâche les chevaux, il pilonne sans relâche la chatte en feu de son amante. La verge puissante voyage allégrement dans le conduit brulant avec une telle ardeur, que Charlène se cambre comme un pont, plante ses ongles dans le dos de Franc et jouit fortement.
Franc continue de la défoncer, il se bloque et envoie dans les entrailles de son amante sa semence épaisse. La douce chaleur de la giclée dans son ventre fait gémir Charlène de plaisir. Franc retire son pieu gluant, il regarde Charlène en souriant qui, comme pour le remercier du bonheur qu'il vient de lui donner, lui saisit le manche, encore raide et le suce avidement jusqu'à ce qu'une éjaculation, lui remplisse la gorge. Une fois le sperme avalé, Charlène se blottit contre son amant en lui caressant le poitrail velu.

Curieuse, elle lui demande :

-Mais Franc, dites-moi, tu n'as pas une amie, pour assouvir tes envies sexuelles ?

Elle la regarde en souriant et répond :

- Eh bien pour satisfaire ta curiosité, apprends que régulièrement, je couche avec le couple que j'emploie à la ferme, la femme est vraiment demandeuse, une vraie nympho, son mari et moi nous nous la partageons !

Il ajoute :

-Si cela t'intéresse, tu peux assister à nos ébats sans y participer !

Charlène regarde son amant en écarquillant les yeux, elle qui ne connait pas grand-chose sur le sexe, l'invitation est tentante. Elle repond :

-Je vais y réfléchir !

Franc insiste :

-Viens demain, en début d'après midi, c'est leur jour de repos !

Les deux amants refont l'amour encore et encore, jusqu'à épuisement, enfin, assouvis, ils prennent une bonne douche avant de se séparer.