ACCUEIL > Masturbation > Récit : Ballade irlandaise (3)
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/12/2025
Histoire précèdente <<<
Ballade irlandaise (3)
+0
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/12/2025
Découvrez les filles coquines près de chez vous :
Mardi 4 août 2015
Aujourd'hui, c'est une petite rando dans les calanques qui est au programme. Du facile à partir de Luminy pour descendre à la calanque de Sugiton. Une fois en bas, nous lui faisons contourner la pointe en face de l'îlot du Torpilleur et elle découvre par surprise la zone naturiste des Pierres Tombées. Comme tout le monde est ici à poil, elle nous suit quand nous nous déshabillons sur la grande dalle de Raféjo Cuou. Elle se rend très vite compte que personne ne la calcule spécialement et se laisse aller à sa première séance naturiste publique.
De retour à la maison, la nudité est maintenant devenue la norme pour elle et elle ne parait plus du tout gênée de se montrer totalement devant nous. Il est grand temps de passer à l'étape suivante dès demain.
Mercredi 5 août 2015
Après une grasse matinée et un brunch remplaçant le petit déjeuner trop tardif, nous nous étalons au soleil. Erin a maintenant une couleur un peu plus prononcée, mais elle a toujours besoin de protection solaire. Je lui propose donc mes services et elle se laisse faire. Comme elle est sur le ventre, après son dos et ses jambes je m'attarde bien sur ses fesses que je malaxe ostensiblement en allant jusque dans sa raie. Elle se crispe un peu sous cette caresse mais n'ose pas protester.
Sous ses yeux, elle a Ber qui en en fait de même sur Lola et se laisse aller à une demi-bandaison. Erin le remarque forcément mais elle ne dit rien.
A la fin du dîner, Ber se relève avec de nouveau un début d'érection, bien visible de tout le monde. Il s'est même discrètement décalotté avant pour rajouter une touche de plus. Erin ne peut s'empêcher de regarder ce spectacle.
Nous laissons les deux filles pour aller dans notre chambre pendant qu'elles sont dans le canapé. maintenant c'est à Lola de jouer.
Comme prévu, elle commence à brancher son amie sur le chapitre du sexe :
— Dis, tu as vu mon père ?
— Quoi, ton père ?
— T'as pas remarqué son état tout à l'heure ?
— Euh, oui. Et ça m'a un peu gênée.
— Oh, ça va, c'était presque rien, juste un petit début de bandaison.
— Tout de même…
— Allez, tu avais déjà vu un sexe d'homme, non ? Tu m'avais parlé d'un petit ami, si je me souviens bien ?
— Oui, mais je ne suis plus avec lui maintenant.
— Mais tu l'avais vu à poil, et même en meilleure forme, je parie ?
— Oui, c'est vrai. Mais c'est pas pareil.
— Arrête, c'est juste pas la même queue, et c''et surtout la surprise.
— Euh, oui. Et toi tu m'avais parlé de Julien.
— Oui, c'est ça. Mais en ce moment il est en vacances avec ses parents. C'est dommage, tu pourras pas le rencontrer, tu repars avant leur retour.
— Et donc ça va bien entre vous, apparemment.
— Oui, mais il me manque un peu, là. Je suis obligée de faire sans lui…
Tout en évoquant ce sujet, elle se caresse un peu le clito comme par inadvertance. Erin est étonnée de la voir faire ça ouvertement :
— Euh, Lola, tu te touches, là ?
— Ben oui, c'est ce que je viens de te dire. Ça t'arrive jamais ?
— Oui, mais pas devant quelqu'un…
— Oh, on est entre nous. Ça te dérange vraiment ?
— Ben, un peu tout de même.
— Allez, laisse-toi aller !
Comme Lola continue de se caresser de plus en plus ostensiblement la fente, Erin ne sait plus quoi faire. Elle relance :
— Mais, et si tes parents reviennent ?
— Oh, si c'est que ça qui t'inquiète, ils m'ont déjà vue en train de le faire.
— Ah bon, et ils n'ont rien dit ?
— Non, seulement que c'était normal à mon âge.
— C'est tout ?
— Oui, donc pas de souci à se faire de ce côté-là. Mais si tu as peur de le faire toi aussi ici, on peut aller dans ma chambre.
Elle n'attend pas la réponse et se relève du canapé en lui prenant la main pour l'entraîner. Une fois dans sa chambre, Lola se met à plat dos sur son lit et reprend sa masturbation encore plus franchement :
— Allez, fais-toi plaisir toi aussi, tu dois être en manque.
— Oui, un peu. Et de te voir faire…
— Alors qu'est-ce que tu attends ?.
Erin qui est assise à côté d'elle finit par s'allonger puis elle commence à se caresser timidement. Les soupirs appuyés de Lola la déclenchent totalement et elle se lâche enfin, se branlant le clito sans plus aucune retenue.
Elle jouit juste après Lola qui laisse retomber l'excitation un moment avant de la relancer sur le sujet :
— Alors, c'était bon, non ?
— Euh, oui. Mais c'est vraiment la première fois que je fais ça avec quelqu'un.
— Je sais, tu l'as dit tout à l'heure. Et sinon, pour en revenir à mon père, qu'est-ce que tu penses de sa bite, franchement ?
— Quoi ?
— Ben, tu as bien remarqué tout à l'heure qu'il avait des prémices de bande-son. il devait penser à ce qu'ils sont certainement en train de faire avec ma mère. Donc parlons franchement, sans faire comme s'il n'y avait rien.
— Euh, d'accord. Mais toi ça te gêne pas de le voir comme ça ?
— Non, pas du tout. D'ailleurs, souvent il est plus en forme que ça. Là il fait attention au maximum de se retenir de bander parce que tu es là.
— Ah bon ?
— Oui, en général il se gêne pas du tout; il est souvent en érection totale.
— Oh ! Et ta mère le laisse faire devant toi ?
— Ben oui, c'est une réaction naturelle du corps humain, non ?
— Ben dis donc…
— Tu m'as pas répondu. Tu en penses quoi de sa bite ?
— Euh, oui, il a un bel engin. En tout cas bien plus gros que ceux que j'ai connus jusqu'à maintenant.
Pendant cet échange, Lola a recommencé à se branler et propose :
— Allez, on s'en fait encore une petite pour bien dormir ensuite. Pense à son gros gland pour te motiver !
— Oh, Lola, tu exagères…
— Mais non, fais-toi plaisir !
Et elles se donnent encore à fond chacune de son côté, puis Erin finit par regagner sa chambre, un peu sonnée.
Jeudi 6 août 2015
Dès ce matin, on en rajoute un peu. Ber se laisse de nouveau aller à bander à moitié, le gland décalotté, dans son transat. Lola le fait remarquer à Erin qui avait déjà ses yeux rivés dessus :
— Je vois qu'elle te fait vraiment envie.
— Oh, Lola !
— Allez, ne me dis pas que tu n'y a pas du tout pensé en te branlant hier soir…
— Bon, j'avoue, mais c'est de ta faute. C'est toi qui m'as mis ça en tête.
Pendant la journée, il se laisse aller encore plusieurs fois à des débuts d'érection sans se priver d'en faire profiter Erin, par exemple lorsqu'il me chevauche pour me passer l'huile sur le dos.
Le soir, il remet ça lorsque nous les laissons pour aller dans notre chambre. Cette fois il a la bite presque à l'horizontale et bien décalottée. Lola va de nouveau dans sa chambre avec Erin et lui présente des godes en lui proposant de les utiliser :
— Tiens, avec ça, on pourra se faire un peu plus plaisir qu'avec les doigts.
— Oh, tu as ce genre de choses ?
— Ben oui. Tu n'en as pas ?
— Non, et même j'en avais jamais vu en vrai.
— Eh bien il est temps de t'y mettre. Tu vas voir, c'est bien meilleur. Regarde celui-là, c'est la même dimension que la queue de mon père.
— Oh !
— Quoi, tu l'as bien vu tout à l'heure quand ils sont partis dans leur chambre. Il était déjà pas mal en forme, non ?
— Euh oui, j'ai vu.
— Bon alors, action !
Lola lui montre d'abord une fellation sur ce gode de taille respectable au galbe réaliste, le léchant sur toute la longueur avant de gober le gland et de le faire coulisser entre ses livres tout en aspirant. Puis elle le tend à Erin :
— Allez, à toi ! C'est très bien pour s'entraîner faire une bonne fellation.
— Tu crois ?
— Oui, en plus moi, ça me chauffe un peu avant de m'en servir en bas. Allez !
Erin s'y met timidement, puis de plus en plus volontiers. Lola la branche :
— Mieux que ça ! Imagine que c'est celle de mon père…
— Mmm…
— Me dis pas que tu pensais pas un peu à lui…
— Mmm…
C'est donc après avoir amplement goûté aux joies des vibros qu'Erin regagne sa chambre.
Vendredi 7 août 2015
Aujourd'hui, c'est la découverte de la Côte Bleue. Nous commençons par Niolon, puis le sentier des douaniers pour nous poser à la crique de l'Erevine. Ici, pas de naturisme et pas mal de monde. Ce qui ne m'empêche pas de me mettre en string alors que nous sommes à l'écart de la plage sur les rochers en face de l'île, imitée par Lola et Ber. Erin n'a pas le choix, n'ayant elle aussi que le string qu'on lui a prêté.
Le soir, même scénario qu'hier, sauf que le gland de Ber a cette fois dépassé l'horizontale sous le nez de notre invitée. D'ailleurs cette fois il le souligne :
— Euh, pardon Erin, mais c'est la nature qui commande. J'espère que ça ne te choque pas ?
— Euh, non, ça va. Je sais ce que c'est.
— Bon, tant mieux. Je ne voudrais pas te mettre mal à l'aise. J'ai pas osé t'en parler les autres fois quand ça m'est arrivé, mais je préfère qu'il n'y ait pas de malentendus.
— Merci.
Tout en lui disant ça, il a le gland pointé dans sa direction. Puis il se retourne et me rejoint dans le couloir.
Dès que nous sommes partis, Lola va vite dans sa chambre récupérer les jouets et retourne au salon où Erin est toujours assise dans le canapé :
— Allez, on va un peu s'amuser !
— Quoi, ici ? Mais si tes parents reviennent ?
— Tu as vu l'état dans lequel était mon père, non ? Alors je pense qu'en ce moment ils ont d'autres choses plus intéressantes à faire dans leur chambre. Et ils en ont généralement pour un bon moment.
Donc Erin se laisse convaincre et elle commencent à se faire plaisir avec les godes. Puis comme convenu, après un premier orgasme Lola profite qu'Erin est de nouveau en train de s'exciter le clito avec un vibro pour lui caresser les seins. Erin proteste mollement :
— Euh, Lola, qu'est-ce que tu fais ?
— Quoi, c'est pas bon ?
— Euh, oui, mais…
— Allez, laisse-toi faire et profite !
Erin s'arrête de se trouver des excuses et reprend sa branlette pendant que Lola lui titille les tétons. Elle ne dit même plus rien quand notre fille se met à genoux entre ses jambes et écarte le gode pour le remplacer par sa langue et ses doigts. Elle gémit et prend son pied en tenant la tête de Lola contre sa fente. Lola ne lui laisse pas de répit et lui apprend à lui rendre la pareille. Tout ça finit en soixante-neuf sur le tapis.
C'est là que j'apparais dans le salon car j'attendais discrètement dans le couloir le meilleur moment pour faire mon entrée :
— Ne vous dérangez pas pour moi, je ne fais que passer pour prendre de l'eau à la cuisine.
Quand je reviens avec un grand verre plein, je m'excuse encore :
— Je vous laisse à vos occupations. Bonne soirée !
Erin est catastrophée de s'être faite surprendre avec Lola tête-bêche sur elle car elle me lance un regard affolé auquel je répond par un sourire et un clin d'œil. Mais Lola continue et elle l'emporte dans une belle jouissance. Lola lui lance :
— Alors, c'était bon, non ?
— Euh, c'est la première fois que je fais ça avec une fille.
— Mais j'ai bien senti que tu aimais ça.
— Ben oui. Mais je m'en serais jamais doutée.
— L'essentiel c'est de e faire du bien.
— Mais j'ai été pas mal gênée de me faire surprendre par ta mère.
— Oh, tu as vu, elle l'a très bien pris.
— Oui, c'est vrai. Elle est vraiment cool.
— C'est pour ça que j'adore mes parents.
Aujourd'hui, c'est une petite rando dans les calanques qui est au programme. Du facile à partir de Luminy pour descendre à la calanque de Sugiton. Une fois en bas, nous lui faisons contourner la pointe en face de l'îlot du Torpilleur et elle découvre par surprise la zone naturiste des Pierres Tombées. Comme tout le monde est ici à poil, elle nous suit quand nous nous déshabillons sur la grande dalle de Raféjo Cuou. Elle se rend très vite compte que personne ne la calcule spécialement et se laisse aller à sa première séance naturiste publique.
De retour à la maison, la nudité est maintenant devenue la norme pour elle et elle ne parait plus du tout gênée de se montrer totalement devant nous. Il est grand temps de passer à l'étape suivante dès demain.
Mercredi 5 août 2015
Après une grasse matinée et un brunch remplaçant le petit déjeuner trop tardif, nous nous étalons au soleil. Erin a maintenant une couleur un peu plus prononcée, mais elle a toujours besoin de protection solaire. Je lui propose donc mes services et elle se laisse faire. Comme elle est sur le ventre, après son dos et ses jambes je m'attarde bien sur ses fesses que je malaxe ostensiblement en allant jusque dans sa raie. Elle se crispe un peu sous cette caresse mais n'ose pas protester.
Sous ses yeux, elle a Ber qui en en fait de même sur Lola et se laisse aller à une demi-bandaison. Erin le remarque forcément mais elle ne dit rien.
A la fin du dîner, Ber se relève avec de nouveau un début d'érection, bien visible de tout le monde. Il s'est même discrètement décalotté avant pour rajouter une touche de plus. Erin ne peut s'empêcher de regarder ce spectacle.
Nous laissons les deux filles pour aller dans notre chambre pendant qu'elles sont dans le canapé. maintenant c'est à Lola de jouer.
Comme prévu, elle commence à brancher son amie sur le chapitre du sexe :
— Dis, tu as vu mon père ?
— Quoi, ton père ?
— T'as pas remarqué son état tout à l'heure ?
— Euh, oui. Et ça m'a un peu gênée.
— Oh, ça va, c'était presque rien, juste un petit début de bandaison.
— Tout de même…
— Allez, tu avais déjà vu un sexe d'homme, non ? Tu m'avais parlé d'un petit ami, si je me souviens bien ?
— Oui, mais je ne suis plus avec lui maintenant.
— Mais tu l'avais vu à poil, et même en meilleure forme, je parie ?
— Oui, c'est vrai. Mais c'est pas pareil.
— Arrête, c'est juste pas la même queue, et c''et surtout la surprise.
— Euh, oui. Et toi tu m'avais parlé de Julien.
— Oui, c'est ça. Mais en ce moment il est en vacances avec ses parents. C'est dommage, tu pourras pas le rencontrer, tu repars avant leur retour.
— Et donc ça va bien entre vous, apparemment.
— Oui, mais il me manque un peu, là. Je suis obligée de faire sans lui…
Tout en évoquant ce sujet, elle se caresse un peu le clito comme par inadvertance. Erin est étonnée de la voir faire ça ouvertement :
— Euh, Lola, tu te touches, là ?
— Ben oui, c'est ce que je viens de te dire. Ça t'arrive jamais ?
— Oui, mais pas devant quelqu'un…
— Oh, on est entre nous. Ça te dérange vraiment ?
— Ben, un peu tout de même.
— Allez, laisse-toi aller !
Comme Lola continue de se caresser de plus en plus ostensiblement la fente, Erin ne sait plus quoi faire. Elle relance :
— Mais, et si tes parents reviennent ?
— Oh, si c'est que ça qui t'inquiète, ils m'ont déjà vue en train de le faire.
— Ah bon, et ils n'ont rien dit ?
— Non, seulement que c'était normal à mon âge.
— C'est tout ?
— Oui, donc pas de souci à se faire de ce côté-là. Mais si tu as peur de le faire toi aussi ici, on peut aller dans ma chambre.
Elle n'attend pas la réponse et se relève du canapé en lui prenant la main pour l'entraîner. Une fois dans sa chambre, Lola se met à plat dos sur son lit et reprend sa masturbation encore plus franchement :
— Allez, fais-toi plaisir toi aussi, tu dois être en manque.
— Oui, un peu. Et de te voir faire…
— Alors qu'est-ce que tu attends ?.
Erin qui est assise à côté d'elle finit par s'allonger puis elle commence à se caresser timidement. Les soupirs appuyés de Lola la déclenchent totalement et elle se lâche enfin, se branlant le clito sans plus aucune retenue.
Elle jouit juste après Lola qui laisse retomber l'excitation un moment avant de la relancer sur le sujet :
— Alors, c'était bon, non ?
— Euh, oui. Mais c'est vraiment la première fois que je fais ça avec quelqu'un.
— Je sais, tu l'as dit tout à l'heure. Et sinon, pour en revenir à mon père, qu'est-ce que tu penses de sa bite, franchement ?
— Quoi ?
— Ben, tu as bien remarqué tout à l'heure qu'il avait des prémices de bande-son. il devait penser à ce qu'ils sont certainement en train de faire avec ma mère. Donc parlons franchement, sans faire comme s'il n'y avait rien.
— Euh, d'accord. Mais toi ça te gêne pas de le voir comme ça ?
— Non, pas du tout. D'ailleurs, souvent il est plus en forme que ça. Là il fait attention au maximum de se retenir de bander parce que tu es là.
— Ah bon ?
— Oui, en général il se gêne pas du tout; il est souvent en érection totale.
— Oh ! Et ta mère le laisse faire devant toi ?
— Ben oui, c'est une réaction naturelle du corps humain, non ?
— Ben dis donc…
— Tu m'as pas répondu. Tu en penses quoi de sa bite ?
— Euh, oui, il a un bel engin. En tout cas bien plus gros que ceux que j'ai connus jusqu'à maintenant.
Pendant cet échange, Lola a recommencé à se branler et propose :
— Allez, on s'en fait encore une petite pour bien dormir ensuite. Pense à son gros gland pour te motiver !
— Oh, Lola, tu exagères…
— Mais non, fais-toi plaisir !
Et elles se donnent encore à fond chacune de son côté, puis Erin finit par regagner sa chambre, un peu sonnée.
Jeudi 6 août 2015
Dès ce matin, on en rajoute un peu. Ber se laisse de nouveau aller à bander à moitié, le gland décalotté, dans son transat. Lola le fait remarquer à Erin qui avait déjà ses yeux rivés dessus :
— Je vois qu'elle te fait vraiment envie.
— Oh, Lola !
— Allez, ne me dis pas que tu n'y a pas du tout pensé en te branlant hier soir…
— Bon, j'avoue, mais c'est de ta faute. C'est toi qui m'as mis ça en tête.
Pendant la journée, il se laisse aller encore plusieurs fois à des débuts d'érection sans se priver d'en faire profiter Erin, par exemple lorsqu'il me chevauche pour me passer l'huile sur le dos.
Le soir, il remet ça lorsque nous les laissons pour aller dans notre chambre. Cette fois il a la bite presque à l'horizontale et bien décalottée. Lola va de nouveau dans sa chambre avec Erin et lui présente des godes en lui proposant de les utiliser :
— Tiens, avec ça, on pourra se faire un peu plus plaisir qu'avec les doigts.
— Oh, tu as ce genre de choses ?
— Ben oui. Tu n'en as pas ?
— Non, et même j'en avais jamais vu en vrai.
— Eh bien il est temps de t'y mettre. Tu vas voir, c'est bien meilleur. Regarde celui-là, c'est la même dimension que la queue de mon père.
— Oh !
— Quoi, tu l'as bien vu tout à l'heure quand ils sont partis dans leur chambre. Il était déjà pas mal en forme, non ?
— Euh oui, j'ai vu.
— Bon alors, action !
Lola lui montre d'abord une fellation sur ce gode de taille respectable au galbe réaliste, le léchant sur toute la longueur avant de gober le gland et de le faire coulisser entre ses livres tout en aspirant. Puis elle le tend à Erin :
— Allez, à toi ! C'est très bien pour s'entraîner faire une bonne fellation.
— Tu crois ?
— Oui, en plus moi, ça me chauffe un peu avant de m'en servir en bas. Allez !
Erin s'y met timidement, puis de plus en plus volontiers. Lola la branche :
— Mieux que ça ! Imagine que c'est celle de mon père…
— Mmm…
— Me dis pas que tu pensais pas un peu à lui…
— Mmm…
C'est donc après avoir amplement goûté aux joies des vibros qu'Erin regagne sa chambre.
Vendredi 7 août 2015
Aujourd'hui, c'est la découverte de la Côte Bleue. Nous commençons par Niolon, puis le sentier des douaniers pour nous poser à la crique de l'Erevine. Ici, pas de naturisme et pas mal de monde. Ce qui ne m'empêche pas de me mettre en string alors que nous sommes à l'écart de la plage sur les rochers en face de l'île, imitée par Lola et Ber. Erin n'a pas le choix, n'ayant elle aussi que le string qu'on lui a prêté.
Le soir, même scénario qu'hier, sauf que le gland de Ber a cette fois dépassé l'horizontale sous le nez de notre invitée. D'ailleurs cette fois il le souligne :
— Euh, pardon Erin, mais c'est la nature qui commande. J'espère que ça ne te choque pas ?
— Euh, non, ça va. Je sais ce que c'est.
— Bon, tant mieux. Je ne voudrais pas te mettre mal à l'aise. J'ai pas osé t'en parler les autres fois quand ça m'est arrivé, mais je préfère qu'il n'y ait pas de malentendus.
— Merci.
Tout en lui disant ça, il a le gland pointé dans sa direction. Puis il se retourne et me rejoint dans le couloir.
Dès que nous sommes partis, Lola va vite dans sa chambre récupérer les jouets et retourne au salon où Erin est toujours assise dans le canapé :
— Allez, on va un peu s'amuser !
— Quoi, ici ? Mais si tes parents reviennent ?
— Tu as vu l'état dans lequel était mon père, non ? Alors je pense qu'en ce moment ils ont d'autres choses plus intéressantes à faire dans leur chambre. Et ils en ont généralement pour un bon moment.
Donc Erin se laisse convaincre et elle commencent à se faire plaisir avec les godes. Puis comme convenu, après un premier orgasme Lola profite qu'Erin est de nouveau en train de s'exciter le clito avec un vibro pour lui caresser les seins. Erin proteste mollement :
— Euh, Lola, qu'est-ce que tu fais ?
— Quoi, c'est pas bon ?
— Euh, oui, mais…
— Allez, laisse-toi faire et profite !
Erin s'arrête de se trouver des excuses et reprend sa branlette pendant que Lola lui titille les tétons. Elle ne dit même plus rien quand notre fille se met à genoux entre ses jambes et écarte le gode pour le remplacer par sa langue et ses doigts. Elle gémit et prend son pied en tenant la tête de Lola contre sa fente. Lola ne lui laisse pas de répit et lui apprend à lui rendre la pareille. Tout ça finit en soixante-neuf sur le tapis.
C'est là que j'apparais dans le salon car j'attendais discrètement dans le couloir le meilleur moment pour faire mon entrée :
— Ne vous dérangez pas pour moi, je ne fais que passer pour prendre de l'eau à la cuisine.
Quand je reviens avec un grand verre plein, je m'excuse encore :
— Je vous laisse à vos occupations. Bonne soirée !
Erin est catastrophée de s'être faite surprendre avec Lola tête-bêche sur elle car elle me lance un regard affolé auquel je répond par un sourire et un clin d'œil. Mais Lola continue et elle l'emporte dans une belle jouissance. Lola lui lance :
— Alors, c'était bon, non ?
— Euh, c'est la première fois que je fais ça avec une fille.
— Mais j'ai bien senti que tu aimais ça.
— Ben oui. Mais je m'en serais jamais doutée.
— L'essentiel c'est de e faire du bien.
— Mais j'ai été pas mal gênée de me faire surprendre par ta mère.
— Oh, tu as vu, elle l'a très bien pris.
— Oui, c'est vrai. Elle est vraiment cool.
— C'est pour ça que j'adore mes parents.
Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.
Commentaires du récit : Ballade irlandaise (3)
Aucun commentaire pour le moment
Histoire précèdente <<<