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Ballade irnadaise (2)
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Mercredi 29 juillet 2015
Ce matin, Erin tombe sur moi qui sors à poil de la salle de bains pour retourner dans notre chambre. Je lui fais un petit coucou sans m'attarder mais sans me cacher. Elle a forcément eu le temps d'apercevoir mon épilation totale dont elle devait avoir une petite idée depuis un moment à cause de mes strings mini. Au même moment, Lola sort aussi de sa chambre, ayant entendu du bruit. Elle se comporte avec naturel pour nous rejoindre en nous exhibant son pubis tout lisse et nous passer devant pour entrer à son tour dans la salle de bain en nous faisant un petit coucou de la main et un sourire. J'explique à Erin qui reste coite :
— Lola a dû te prévenir que nous étions naturistes, non ?
— Euh, oui, mais ça fait tout de même bizarre de m'y retrouver confrontée en vous voyant comme ça dans le couloir, sans m'y attendre.
— Je comprends, mais pour nous c'est tout a fait normal, alors parfois on n'y fait pas attention, même quand il y a du monde à la maison.
— Oui, je vois.
— Et arrête de nous vouvoyer et de nous appeler monsieur et madame.
— D'accord.
Pendant cet échange, j'ai bien montré que ça nous était habituel en ne faisant rien pour lui cacher mon anatomie. Un peu plus tard sur la terrasse, Lola qui revient avec son tout petit cache-sexe lui demande :
— Dis, ça te gêne vraiment si j'enlève ce petit bout de tissu pour bronzer intégral ?
— Euh, non, si tu y tiens.
— Et d'ailleurs, tu m'as déjà vue comme ça tout à l'heure, hein ? Il sert plus à grand chose.
— Oui, c'est vrai qu'au point où on en est…
Forte de cette approbation forcée, Lola nous dévoile sa fente lisse et déjà bronzée avant de s'installer dans le transat à côté de son amie.
Assise de l'autre côté, je justifie à Erin :
— Tu sais, on a fait un peu attention de porter quelque chose devant toi depuis depuis ton arrivée, mais si vraiment ça ne te dérange pas, on aimerait bien ne pas avoir à se priver pendant ces trois semaines de vivre selon nos habitudes. Surtout que c'est la bonne période pour profiter totalement du soleil.
— Je comprends. Et puis, vous êtes tout de même chez vous, donc faites comme vous voulez.
— Tu vas voir, on s'y fait très vite.
— Oui, Je pourrai m'y faire, je pense.
Je la remercie et je n'attends pas plus pour enlever aussi mon petit triangle d'étoffe. Ber qui arrivait à son tour voit le tableau et n'hésite pas :
— Bon, je vois que vous avez fait une petite mise au point.
Il vire lui aussi son string avant de s'assoir en bout de ligne à côté de Lola. Je ne sais pas si c'est la première fois qu'Erin voit une bite, mais ça semble l'impressionner bien qu'il soit au repos. Il faut dire qu'il en impose un peu avec sa queue bien épaisse, ses grosses couilles et bien épilé avec juste cette fine bande des poils sur le pubis. Elle-même ne nous suit pas et garde son string. Nous ne la poussons pas, ça viendra plus tard, le temps qu'elle digère cette première étape.
Pour le déjeuner, nous ne prenons plus la peine de nous rhabiller et Erin semble accepter cet état de fait. Nous nous retrouvons donc tous à table à poil sauf Erin qui est encore en string. Elle est un peu soulagée car cela soustrait nos hémisphères sud à son regard. Quand nous nous relevons après avoir mangé, elle fait des efforts pour ne pas trop regarder nos nudités de nouveau exposées à son regard.
Idem pour l'après-midi où elle fait en sorte de rester loin de Ber dans la piscine. Cette fois c'est Lola qui lui passe la crème solaire tout en n'insistant pas trop sur des fesses. Le soir elle n'est même plus étonnée de ne pas nous voir enfiler quoi que ce soit pour dîner. Elle tourne toujours la tête loin des attributs de Ber, qui ne se gêne plus de lui faire face, même au moment de lui souhaiter une bonne nuit.
Jeudi 30 juillet 2015
Ce matin, nous sommes d'entrée à poil quand elle arrive dans le salon pour le petit-déjeuner. Apparemment, elle s'y attendait, vu la tournure que ça avait pris hier. Elle nous vois enfiler des robes sans rien mettre dessous et idem pour Ber avec son short. Elle garde tout de même le string qu'elle avait pris la peine d'enfiler en se levant. Nous lui faisons un rapide tour du centre-ville d'Aix, qui nous faisons une excursion vers Roquefavour et Eguilles.
De retour à la maison, nous n'attendons que d'avoir passé l'entrée pour nous remettre tous à poil. Sur notre insistance, Erin finit par nous imiter en enlevant son dernier rempart dans la piscine. Elle accepte de rester comme ça et ressort pour aller se sécher sans plus rien sur elle. En se posant dans le transat elle nous dévoile une petite touffe rousse taillée en triangle. Elle remet tout de même le string pour manger et le garde en allant rejoindre sa chambre.
Elle semble déjà un peu habituée à voir la queue de Ber se balancer quand il se déplace et de se trouver confrontée à nos triangles totalement épilées.
Vendredi 31 juillet 2015
Ce matin, il reste un peu de réticence car elle a de nouveau enfilé le string avant de nous rejoindre. Aujourd'hui nous allons au barrage de Bimont pour faire une rando à la Sainte Victoire. Les vues sur la région depuis la crête et le Prieuré lui en mettent plein les yeux.
De retour à la maison, elle hésite un peu moins à se mettre à poil dès notre arrivée, mais elle réintègre encore le string pour passer à table et le garde jusqu'au moment d'aller se coucher. Lola et moi prenons de moins en moins soin de garder nos jambes serrées quand nous sommes assises, montrant nos fentes de plus en plus ouvertement.
Samedi 1er août 2015
Ce matin, elle nous fait la surprise d'arriver enfin directement à poil. Nous ne la flattons pas trop de son progrès mais elle remarque nos sourires d'assentiment en y répondant de la même manière. Comme nous faisons en sorte de ne pas y porter trop attention en vaquant à nos occupations matin, ça semble la rassurer.
Toute la journée, elle a le temps de s'y habituer, y compris à avoir la queue de Ber dans son champ de vision. Ce soir, pour la première fois elle reste comme ça. Ber et moi sommes les premiers à aller nous coucher pour laisser un peu le champ à Lola, assise à côté d'Erin dans le canapé.
Dès que notre porte est fermée, elle la lance sur le sujet :
— Bon, alors, tu vois que tu t'y es faite.
— Euh, oui, mais c'était tout de même un peu déroutant au début.
— Je comprends, je sais que tu n'as pas ces habitudes chez toi.
— Oh non, mes parents sont très… classiques.
— Eh bien, profite donc tant que tu es chez nous. Allez, au lit ! Et à partir de maintenant, terminé les bouts de tissu.
Et toutes deux se lèvent pour regagner leurs chambres.
Dimanche 2 août 2015
Elle s'habitue vraiment puisqu'elle respecte cet accord en étant de nouveau totalement nue pour venir nous rejoindre pour le petit-déjeuner. Puis nous nous habillons encore en mode rando puisque nous l'emmenons à la Sainte Baume.
Irlandaise, donc catholique, elle est impressionnée par la visite de la grotte de Marie-Madeleine, haut lieu de pèlerinage.
Ensuite, plus de chichis dès que nous sommes rentrés chez nous. Elle se met rapidement à poil comme nous et ne songe même plus à enfiler quoi que ce soit pour le dîner.
Lundi 3 août 2015
Nous avons choisi de passer une nouvelle journée tranquille à la maison. Donc farniente, baignade, etc. Alanguie dans mon transat à côté d'Erin, je l'aiguille sur le sujet du naturisme :
— Alors, finalement, tu reconnais que ce mode de vie décontracté est tout de même bien agréable, non ?
— Oui, mais au début ça m'a un peu déstabilisée. Comme j'ai déjà dit à Lola, on n'a pas du tout ces habitudes dans ma famille. Mais maintenant ça va.
— Oui, c'est normal que ça surprenne quand on s'y attend pas.
— En fait, je le savais un peu puisque Lola m'en avait parlé, mais je ne m'attendais pas à me trouver confrontée à cette situation.
— C'est pour ça qu'on t'a d'abord accueillie en étant habillés.
— Habillés, façon de parler. pour moi c'était déjà beaucoup par rapport à chez moi. Mais je reconnais que c'est bien agréable, là au soleil sans rien dessus.
— Eh bien, profites-en !
Un peu plus tard, il y a juste un petit moment de gêne alors qu'elle est dans la piscine avec Lola et moi. En se retournant elle se retrouve juste en face de la bite de Ber qui était venu s'assoir sur la margelle avec les jambes pendant dans l'eau. Mais elle se détourne rapidement de cette vision très rapprochée et revient vers nous.
Rien de notable le soir non plus, bien que Ber ne se gêne plus de lui présenter son engin régulièrement, comme par exemple lorsqu'il se lève de table juste en face d'elle.
Ce matin, Erin tombe sur moi qui sors à poil de la salle de bains pour retourner dans notre chambre. Je lui fais un petit coucou sans m'attarder mais sans me cacher. Elle a forcément eu le temps d'apercevoir mon épilation totale dont elle devait avoir une petite idée depuis un moment à cause de mes strings mini. Au même moment, Lola sort aussi de sa chambre, ayant entendu du bruit. Elle se comporte avec naturel pour nous rejoindre en nous exhibant son pubis tout lisse et nous passer devant pour entrer à son tour dans la salle de bain en nous faisant un petit coucou de la main et un sourire. J'explique à Erin qui reste coite :
— Lola a dû te prévenir que nous étions naturistes, non ?
— Euh, oui, mais ça fait tout de même bizarre de m'y retrouver confrontée en vous voyant comme ça dans le couloir, sans m'y attendre.
— Je comprends, mais pour nous c'est tout a fait normal, alors parfois on n'y fait pas attention, même quand il y a du monde à la maison.
— Oui, je vois.
— Et arrête de nous vouvoyer et de nous appeler monsieur et madame.
— D'accord.
Pendant cet échange, j'ai bien montré que ça nous était habituel en ne faisant rien pour lui cacher mon anatomie. Un peu plus tard sur la terrasse, Lola qui revient avec son tout petit cache-sexe lui demande :
— Dis, ça te gêne vraiment si j'enlève ce petit bout de tissu pour bronzer intégral ?
— Euh, non, si tu y tiens.
— Et d'ailleurs, tu m'as déjà vue comme ça tout à l'heure, hein ? Il sert plus à grand chose.
— Oui, c'est vrai qu'au point où on en est…
Forte de cette approbation forcée, Lola nous dévoile sa fente lisse et déjà bronzée avant de s'installer dans le transat à côté de son amie.
Assise de l'autre côté, je justifie à Erin :
— Tu sais, on a fait un peu attention de porter quelque chose devant toi depuis depuis ton arrivée, mais si vraiment ça ne te dérange pas, on aimerait bien ne pas avoir à se priver pendant ces trois semaines de vivre selon nos habitudes. Surtout que c'est la bonne période pour profiter totalement du soleil.
— Je comprends. Et puis, vous êtes tout de même chez vous, donc faites comme vous voulez.
— Tu vas voir, on s'y fait très vite.
— Oui, Je pourrai m'y faire, je pense.
Je la remercie et je n'attends pas plus pour enlever aussi mon petit triangle d'étoffe. Ber qui arrivait à son tour voit le tableau et n'hésite pas :
— Bon, je vois que vous avez fait une petite mise au point.
Il vire lui aussi son string avant de s'assoir en bout de ligne à côté de Lola. Je ne sais pas si c'est la première fois qu'Erin voit une bite, mais ça semble l'impressionner bien qu'il soit au repos. Il faut dire qu'il en impose un peu avec sa queue bien épaisse, ses grosses couilles et bien épilé avec juste cette fine bande des poils sur le pubis. Elle-même ne nous suit pas et garde son string. Nous ne la poussons pas, ça viendra plus tard, le temps qu'elle digère cette première étape.
Pour le déjeuner, nous ne prenons plus la peine de nous rhabiller et Erin semble accepter cet état de fait. Nous nous retrouvons donc tous à table à poil sauf Erin qui est encore en string. Elle est un peu soulagée car cela soustrait nos hémisphères sud à son regard. Quand nous nous relevons après avoir mangé, elle fait des efforts pour ne pas trop regarder nos nudités de nouveau exposées à son regard.
Idem pour l'après-midi où elle fait en sorte de rester loin de Ber dans la piscine. Cette fois c'est Lola qui lui passe la crème solaire tout en n'insistant pas trop sur des fesses. Le soir elle n'est même plus étonnée de ne pas nous voir enfiler quoi que ce soit pour dîner. Elle tourne toujours la tête loin des attributs de Ber, qui ne se gêne plus de lui faire face, même au moment de lui souhaiter une bonne nuit.
Jeudi 30 juillet 2015
Ce matin, nous sommes d'entrée à poil quand elle arrive dans le salon pour le petit-déjeuner. Apparemment, elle s'y attendait, vu la tournure que ça avait pris hier. Elle nous vois enfiler des robes sans rien mettre dessous et idem pour Ber avec son short. Elle garde tout de même le string qu'elle avait pris la peine d'enfiler en se levant. Nous lui faisons un rapide tour du centre-ville d'Aix, qui nous faisons une excursion vers Roquefavour et Eguilles.
De retour à la maison, nous n'attendons que d'avoir passé l'entrée pour nous remettre tous à poil. Sur notre insistance, Erin finit par nous imiter en enlevant son dernier rempart dans la piscine. Elle accepte de rester comme ça et ressort pour aller se sécher sans plus rien sur elle. En se posant dans le transat elle nous dévoile une petite touffe rousse taillée en triangle. Elle remet tout de même le string pour manger et le garde en allant rejoindre sa chambre.
Elle semble déjà un peu habituée à voir la queue de Ber se balancer quand il se déplace et de se trouver confrontée à nos triangles totalement épilées.
Vendredi 31 juillet 2015
Ce matin, il reste un peu de réticence car elle a de nouveau enfilé le string avant de nous rejoindre. Aujourd'hui nous allons au barrage de Bimont pour faire une rando à la Sainte Victoire. Les vues sur la région depuis la crête et le Prieuré lui en mettent plein les yeux.
De retour à la maison, elle hésite un peu moins à se mettre à poil dès notre arrivée, mais elle réintègre encore le string pour passer à table et le garde jusqu'au moment d'aller se coucher. Lola et moi prenons de moins en moins soin de garder nos jambes serrées quand nous sommes assises, montrant nos fentes de plus en plus ouvertement.
Samedi 1er août 2015
Ce matin, elle nous fait la surprise d'arriver enfin directement à poil. Nous ne la flattons pas trop de son progrès mais elle remarque nos sourires d'assentiment en y répondant de la même manière. Comme nous faisons en sorte de ne pas y porter trop attention en vaquant à nos occupations matin, ça semble la rassurer.
Toute la journée, elle a le temps de s'y habituer, y compris à avoir la queue de Ber dans son champ de vision. Ce soir, pour la première fois elle reste comme ça. Ber et moi sommes les premiers à aller nous coucher pour laisser un peu le champ à Lola, assise à côté d'Erin dans le canapé.
Dès que notre porte est fermée, elle la lance sur le sujet :
— Bon, alors, tu vois que tu t'y es faite.
— Euh, oui, mais c'était tout de même un peu déroutant au début.
— Je comprends, je sais que tu n'as pas ces habitudes chez toi.
— Oh non, mes parents sont très… classiques.
— Eh bien, profite donc tant que tu es chez nous. Allez, au lit ! Et à partir de maintenant, terminé les bouts de tissu.
Et toutes deux se lèvent pour regagner leurs chambres.
Dimanche 2 août 2015
Elle s'habitue vraiment puisqu'elle respecte cet accord en étant de nouveau totalement nue pour venir nous rejoindre pour le petit-déjeuner. Puis nous nous habillons encore en mode rando puisque nous l'emmenons à la Sainte Baume.
Irlandaise, donc catholique, elle est impressionnée par la visite de la grotte de Marie-Madeleine, haut lieu de pèlerinage.
Ensuite, plus de chichis dès que nous sommes rentrés chez nous. Elle se met rapidement à poil comme nous et ne songe même plus à enfiler quoi que ce soit pour le dîner.
Lundi 3 août 2015
Nous avons choisi de passer une nouvelle journée tranquille à la maison. Donc farniente, baignade, etc. Alanguie dans mon transat à côté d'Erin, je l'aiguille sur le sujet du naturisme :
— Alors, finalement, tu reconnais que ce mode de vie décontracté est tout de même bien agréable, non ?
— Oui, mais au début ça m'a un peu déstabilisée. Comme j'ai déjà dit à Lola, on n'a pas du tout ces habitudes dans ma famille. Mais maintenant ça va.
— Oui, c'est normal que ça surprenne quand on s'y attend pas.
— En fait, je le savais un peu puisque Lola m'en avait parlé, mais je ne m'attendais pas à me trouver confrontée à cette situation.
— C'est pour ça qu'on t'a d'abord accueillie en étant habillés.
— Habillés, façon de parler. pour moi c'était déjà beaucoup par rapport à chez moi. Mais je reconnais que c'est bien agréable, là au soleil sans rien dessus.
— Eh bien, profites-en !
Un peu plus tard, il y a juste un petit moment de gêne alors qu'elle est dans la piscine avec Lola et moi. En se retournant elle se retrouve juste en face de la bite de Ber qui était venu s'assoir sur la margelle avec les jambes pendant dans l'eau. Mais elle se détourne rapidement de cette vision très rapprochée et revient vers nous.
Rien de notable le soir non plus, bien que Ber ne se gêne plus de lui présenter son engin régulièrement, comme par exemple lorsqu'il se lève de table juste en face d'elle.
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Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
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