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Bonne baise

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Lue : 39916 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/11/2005

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Allongée sur le dos, Géraldine se laissait aller à la houle qui l’emportait. Son amant, le titulaire, était venu à l’improviste et aussi sec, ou presque, l’avait embrochée sur son membre épais.
Les yeux mi clos elle matait son entrecuisse, au centre duquel un corps d’homme était en train de faire de rapides va et viens…A la jonction des membres elle voyait, par moment, un pieu de belle taille dont elle sentait, en même temps, la pénétration dans sa vulve de belle petite salope sexy en chaleur.
Quel salaud ce JP…et encore il avait téléphoné avant…heureusement…car elle aurait très bien pu se trouver en train de se faire sauter par un intérimaire ; un de ceux qui lui tournaient autour depuis des semaines, depuis qu’elle était devenue une femme libre.
Pour l’instant, elle se donnait complètement à sa joie de se faire tirer. Il y avait plusieurs jours que sa sexualité, devenue débridée, lui travaillait le ventre, lui faisant sentir, par moment, des envies de se faire baiser n’importe où, par des queues dures et grosses…Si on lui avait dit, l’an dernier, qu’elle deviendrait comme ça elle aurait ri au nez de l’impudent.
Là, elle bandait pour de bon. Quand son amant était arrivé elle avait commencé à se coller contre lui, dans sa petite robe rouge fendue…puis, pendant qu’il commençait à lui tripoter les seins elle avait descendu sa main dans le survêt à l’intérieur duquel il était nu. Ca, elle s’en doutait…direct du producteur à la consommatrice…Un slip ? Pourquoi faire ? Ça gêne les érections quand on a devant soi une femme en chaleur, une qui veut de la queue, une qui est en manque et qui est prête à se faire tirer sans fioriture…
Aussitôt elle avait senti cette masse de chair se mettre à gonfler sous ses doigts, puis à se déplier pour venir durcir dans sa paume. Elle l’avait sortie pour commencer à la branler et là elle savait qu’elle était salope, limite pute…elle savait que ce salaud était un cérébral, qui bandait, aussi, en sachant ce qu’elle avait déjà fait avec un autre mec…qui avait joui, en se faisant secouer la pine pendant qu’en même temps il lui rentrait ses doigts dans la chatte.
Donc elle branlait, en faisant bien coulisser la peau sur la verge dure et grosse qui continuait à enfler sous sa caresse experte.

Pendant ce temps son amant lui avait passé les mains sous la robe pour faire descendre le boxer. Puis, sans perdre de temps un doigt puissant lui avait ouvert la chatte pour commencer à coulisser rapidement. Trempée, elle était trempée, coulante, haletante. Le doigt était ressorti pour caresser les lèvres de sa chatte qu’elle sentait gonfler et se dilater comme un fruit mûr. Puis la main avait attrapé sa motte bombée pour se mettre à la pétrir comme pour en tirer du jus. Gé se sentit défaillir…sa main sur un gros braquemard, des doigts qui lui travaillaient la chatte…hummmmmmmm, que c’était bon !!!
Toujours rapidement, son amant avait défait la robe, pour exhiber ses copieux nibards qui, depuis quelque temps, devenaient lourds et ronds avec de belles pointes saillantes, toujours visibles sous les vêtements. Sa bouche vorace en avait gobé une pour la mordre et l’aspirer…aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh, là elle se sentait partir…si les mecs savaient qu’une fois prise aux nichons elle était à leur merci ils se dépêcheraient de les lui bouffer avant toute autre chose.

Sa croupe commençait à bouger pour mimer le coït. Elle voulait se faire pénétrer, elle voulait sentir les lèvres de son minou se faire forcer par le mandrin qu’elle était toujours en train de secouer contre sa cuisse, il fallait que ça lui rentre dans le ventre, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ooooooooooohhhhhhhhh ouiiiiiiiiiii, elle voulait, elle voulait de toutes ses forces se faire mettre, se faire défoncer par ce pieux de chair, sentir sa vulve remplie, pilonnée, écrasée…aaaaaaaahhhh, ça y est, il la poussait vers la chambre, la faisant asseoir sur le bord du lit.
D’un coup, sa bouche aux lèvres charnues, sa bouche de suceuse, fut à hauteur de la queue du salaud crapuleux…elle l’engouffra aussitôt, en bonne pompeuse de bite qu’elle était devenue…experte même, avec ses aspirations, ses coruscations, ses mordillements, ses soupirs. Elle laissait ses lèvres courir le long du membre humide, puis revenant vers le gland elle suçait comme une glace. Sauf que là c’était chaud et pas froid. Les mains de JP lui tenaient la tête pour la faire aller et venir, comme si sa bouche était un membre…elle se sentait d’ailleurs comme un trou…elle n’était qu’un trou de haut en bas. Tout en elle voulait du sexe, de la queue, de la bite, du membre…du gros pieu, raide et lourd qui viendrait lui ramoner le ventre. Il tenait ses cheveux comme des poignées et donnait la cadence à la fourette buccale, comme un obsédé qu’il était.

Puis, n’en pouvant plus, elle se laissa aller en arrière, ouvrant largement ses cuisses rondes et charnues. Son amant lui monta dessus instantanément et positionna son membre lourd à l’entrée de sa chatte, tout en cramponnant sa belle croupe de salope pour faire avancer le bassin à la bonne position. Les genoux repliés Géraldine se laissait posséder par cette queue énorme…Enorme par la forme du gland, qui était vultueux, lourd, par le cylindre de chair qui la remplissait totalement, par la force de la pénétration qui se faisait d’une seule poussée longue et puissante, par cette sensation de plénitude à sentir ses chairs s’ouvrir à mesure que le mandrin s’enfonçait…Aaaaaaaaaaaaaaaaaah, ouiiiiiiiii, encore, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! La bite venait de taper au fond de l’utérus et commençait à se retirer, remontant doucement. La sensation était bizarre car en même temps que le membre se retirait la cyprine remplissait l’espace pour favoriser la prochaine poussée. A peine remontée la grosse pine redescendait dans ce vagin, chaud, juteux, jouissif ! Les mains cramponnées à sa croupe venaient de se déplacer pour lui empoigner les nibards, commençant à en triturer les pointes, les faisant rouler, gonfler…puis la bouche était venue sucer et aspirer la masse de cette belle paire pour en extraire un maximum de plaisir.
Gé ne se sentait plus de joie. Sa chatte pleine d’une queue fabuleuse qui la faisait jouir à chaque poussée, ses nichons bouffés par une bouche gourmande, pétris, malaxés, tirés. Son ventre était devenu une fontaine dont la jouissance aurait coulé en continu.
Salope…oui, salope de sexe, avide de queue…il lui fallait, maintenant, se faire prendre souvent, par une bonne grosse bite, afin de jouir encore et toujours. La vie avait changé depuis quelques mois. Elle jouissait, elle prenait son pied, elle suçait, (et bien), elle branlait des bites en y prenant plaisir en sachant que c’était salaud.

Une main était passée sous les cuisses de Géraldine pour revenir sur sa croupe et avait doucement commencé à effleurer son anus, puis, prenant du jus de sa chatte un doigt avait commencé à pousser à l’intérieur…Gé avait avancé ses fesses pour que le doigt rentre encore plus. Elle voulait sentir, à l’intérieur d’elle, se rejoindrent la bite et le doigt, comme si elle était en train de se faire prendre par deux queutards qui auraient senti qu’une femelle comme ça il lui fallait de la queue, de la queue, de la queue.

Salope, ouiiiiiiiiiiiiiii, salope et fière de l’être…même que, par moment, en pleine crapulerie, elle suçait un doigt de son amant pour faire comme si elle aurait eu une bite dans la chatte tout en suçant un autre mec.
Le doigt allait et venait, glissant tout seul dans l’anus qui devenait de plus en plus souple au fil des semaines ; puis un deuxième doigt vint rejoindre le premier. Géraldine se sentait partir…elle donnait des coups de reins, gémissait, soufflait, couinait, disait qu’elle jouissait…et plus elle oralisait sa joie, plus la queue dans son ventre grossissait, prenait du volume, de la raideur…plus la cadence des coups de bite allait crescendo et plus elle manifestait son plaisir en devenant salace, en disant qu’elle pensait à des choses salopes…Elle se sentait salope, surtout quand elle disait à son amant ce qu’elle faisait parfois sans lui…tout en sachant qu’elle allait en profiter, s’en prendre plein le ventre.
Elle aimait ce moment où elle sentait son amant se raidir de la tête aux pieds, ses mains se crispant sur son superbe cul de baiseuse, pour jouir dans un râle de bête, en envoyant dans son ventre des giclées de sperme…Gé aimait le sperme…dans son ventre, elle en sentait les effets bénéfiques sur sa peau, ses hormones, sa libido. Plus elle en prenait, plus elle en voulait.

Son amant venait d’accélérer la cadence, en lui disant à l’oreille qu’elle devenait de plus en plus salope, de plus en plus accro à la bite, qu’elle aimait branler des queues, qu’elle était bonne à bourrer, qu’il était bien dans son ventre, à donner des coups de rein pour s’enfoncer encore plus profond, qu’elle était faite pour baiser, pour sucer, qu’elle l’excitait comme un salaud quand elle le branlait…Gé s’excitait aussi à s’entendre dire ces choses qui lui auraient parues impossible il y a quelques mois…(d’ailleurs certaines étaient devenues des réalités bien tangibles et bien dures qui loin de lui déplaire la faisaient jouir).
Il était salaud de chez salaud, ce type qui lui bourrait la chatte, à grands coups de mandrin, la défonçant, la prenant de plus en plus profondément, lui murmurant ces obscénités érotico salaces, qui, à la fin, lui manquaient quand il ne les disait pas…elle se sentit partir pour la énième fois et se mit à crier dans les oreilles de son amant le bonheur qui était le sien à jouir comme une petite pute en rut. JP, ne pouvant plus se retenir se mit à gicler à longs traits lourds et épais, serrant encore plus fort le cul somptueux de la belle Géraldine, pour bien abuter son gros membre au fond de cette chatte fabuleuse qui lui donnait l’impression de le traire pour le vider.

Posté par Simorgh sur l'ancienne version du site (http://histoires.intimes.free.fr)
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