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Carole Morgan et les autres

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/12/2022

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Carole, depuis les trahisons incessantes de son mari, malgré les scènes de ménage violentes, rien n'a changé,
Petit à petit, son fils Morgan, très attentionné, l'a séduite, Carole fini par céder à ses avances. Depuis qu'elle a couchée avec son fils, elle n'est plus la même, elle semble revivre, elle rayonne de plus en plus. Cela faisait longtemps que Morgan ne l'avait pas entendu chanter pendant qu'elle faisait le ménage.
Elle est penchée sur l'évier, le bougre s'approche doucement et passe ses mains sous sa blouse, Carole sursaute en poussant cri de frayeur, elle se retourne brusquement et dit :

-Oh, c'est toi mon chéri, tu m'as fait peur, j'ai le cœur fragile, tu sais !

Il lui caresse les cuisses en souriant et répond :

-Je vais le soigner, ton cœur fragile ma petite maman !

Il retrousse la blouse et lui donne de nombreux baisers sur le ventre que seul la culotte protège, il tire dessus doucement et peu à peu découvre la toison, sa langue glisse sur les grandes lèvres, passe dans le sillon et remonte jusqu'à la perle des plaisirs. Lorsqu'il la gobe, sa maman se cabre en gémissant fortement. Sa chatte commence à suinter, son corps se met à trembler. La bouche vorace du fils la fait défaillir, elle se cambre et jouit en soufflant comme un bœuf. Morgan se redresse et dit en souriant :

-J'aime lorsque tu jouis maman, comme j'aimerais faire profiter Julius et sa femme de tes jouissances monstrueuses !

Carole sursaute en se braquant, elle dit :

-Quoi, tu veux me faire coucher avec d'autres, tu n'y penses pas sérieusement, j'espère !

Morgan répond en se faisant tendre :

-Oh oui maman, j'y pense depuis longtemps, j'en rêve la nuit, imagine Julius et moi te prendre en même temps, et te voir faire l'amour avec Juliette m'excite comme une puce, essaie, cela ne serai que bénéfique pour toi !

Carole, rouge comme une pivoine, réplique en béguant :

-Mais je ne suis pas une pute, tu leur à deja parlé de nous ?

-Oui maman, ils sont fous de joie pour notre relation, pour le reste, ils m'ont demandé de te persuader, allez dis oui maman !

Elle répond en élevant la voix :

-J'ai un fils fou, qui veut que je devienne une grosse salope !


Oui maman, sois salope pour moi, rattrape la privation de sexe que tu as eu depuis toutes ses années, souviens-toi comment que tu pleurais dans ton lit la nuit, pendant que papa s'envoyait en l'air avec sa maitresse, et il le fait encore maintenant !


Carole reste bouche bée, en regardant son fils. Ses yeux s'emplissent de larmes, elle parvient à dire entre deux reniflements :

-Tu es un monstre Morgan me demander cela, c'est encensé !

Il répond en souriant :

-Je sais maman que tu peux le faire et bien encore !


-Soit, si tu veux que je devienne une pute, eh bien allons-y, je vais devenir un vide couilles pour toi et tes amis, et une brouteuse de minous pour leurs compagnes, tu prévois ça pour quand !


-samedi prochain, comme papa n'est jamais là le week-end, je vais prévenir Julius et Juliette, merci maman chérie !

Le jour arrive. Carole est très nerveuse, elle fait les cent pas dans la maison, elle ne sait que mettre. Morgan lui suggère un peignoir avec rien en dessous. Enfin les invités arrivent. Julius est un grand black, sa femme une blonde magnifique, vêtue d'une jupette très courte, avec un corsage transparent, elle ne porte pas de soutien-gorge. Les deux femmes se regardent longuement en souriant. Carole est un peu crispée, Juliette l'à rassure immédiatement :


- Tu sais Carole, j'aime aussi les femmes, et toi, je te trouve à mon gout, si c'est ta première relation lesbienne, eh bien, tu vas éprouver un bonheur que tu ne peux imaginer, je vais m'occuper de toi comme d'une reine, détends-toi ma chérie !

Carole a un sourire forcé, Juliette sans se démonter, retire ses vêtements, elle invite les hommes à en faire autant. Carole regarde avec étonnement la verge de Julius qui semble se dérouler lorsqu'il retire son slip, l'engin au repos lui arrive à mi-cuisses. Juliette souriante lui dit :

-Tu vas l'avoir bien à fond dans ton ventre, ma chérie cela ne va être que du bonheur pour toi, Julius sait se servir de son instrument, tu en redemanderas !

Juliette, ouvre le peignoir, pose ses mains sur les épaules frêles de Carole et fait glisser le tissu sur le sol. La novice ravale sa salive, Juliette l'enlace et cherche ses lèvres. Carole résiste un court instant puis cède aux tentatives répétées de la meneuse de revue. Le baiser est fougueux, Morgan est heureux de voir sa maman se prêter au jeu. Pendant qu'elle embrasse Carole, Juliette passe sa main sur le ventre et caresse la vulve qui rapidement se met à mouiller. Juliette cesse le baiser et dit en souriant :

-Elle a une chatte bien large, Julius, tu vas te régaler, moi aussi d'ailleurs en lui bouffant la chatte !

La bouche avide se pose sur les mamelons et les suce avec une alternance parfaite, les bouts deviennent méconnaissables. Carole gémit à chaque aspiration sur ses mamelons. Les doigts agiles lui fouillent la vulve sans scrupules. À chaque enfoncement, des intrus en elle, Carole sursaute en se mordant les lèvres. Juliette bascule Carole sur le sol et l'enjambe tête bêche. Juliette lui gobe les grandes lèvres et les suce avec voracité. Pour Carole, c'est sa première fois qu'une chatte est si proche de sa bouche. Julius l'incite :

-Suce-la aussi, fais lui mal à cette salope, elle adore ça !

Carole, timidement, approche sa bouche du temple, elle donne un ou deux coups de langues sur les grandes lèvres, puis, y, va franco. Le gout suave de la mouille semble lui plaire. Elle dévore la chatte férocement, sa langue s'enfonce profondément dans le vagin noyé et le fouille profondément. Juliette est surprise de l'ardeur de la novice, elle l'encourage même :

-C'est bien ma chérie, continue, oh la vache, tu vas me faire jouir !

Les deux femmes se dévorent, en poussant des grognements terribles, les croupes s'agitent dans un rythme infernal. Les deux hommes bandent comme des poneys, la queue de Julius est pas mal, il l'agite doucement en regardant les deux amantes se bouffer la chatte. Julius dit :

-Vas-y Morgan, baise ma femme, elle est à point là, vas-y, vas-y !

Le gredin se place derrière Juliette et lui enfonce d'un seul coup, sa bite dans la chatte dégoulinante. Elle sursaute, le ramonage est intense, Carole profite de l'occasion pour donner des coups de langues sur les couilles velues de son fils. Le bougre est aux anges, la chatte brulante de Juliette le comble de bonheur. Soudain sa maman se cabre en poussant un rugissement de fauve, la bouche experte de Juliette vient de la faire jouir. Juliette roule se le côté, elle est toujours soudée à son amant qui reprend ses assauts violents. Carole halète, ses cuisses sont largement ouvertes. Julius s'avance et présente à ses lèvres charnues son gland énorme. Carole saisit l'engin d'une main et ouvre le plus possible la bouche pour gober le cèpe large et épais. Elle tète et suce comme jamais cela lui est arrivée. Julius grogne de plaisir, de sa main libre, Carole lui triture les couilles, elle les presse si fort que Julius grimace. Elle recrache le champignon, l'observe un moment puis sa langue entre en action, elle fait plusieurs fois les tour du gland, titille le frein et lape les perles de rosée qui s'échappent du méat ouvert. Julius se cabre et envoie sur le visage de Carole et sur ses seins plusieurs décharges de semence. Carole nettoie avec sa langue le gland violacé. Elle re-suce un peu le gland avant de le recracher.

Julius lèche le sperme qu'il à envoyé sur le visage et les seins de Carole, elle frémit sous les coups de langue précis de l'affamé. Enfin, Julius prend place entre les cuisses de Carole, il place son engin contre la vulve en feu et pousse doucement. Carole grimace, elle serre les dents, l'engin s'enfonce lentement dans son conduit vaginal en le distendant. Elle s'accroche à son amant en soufflant comme une bête blessée. Juliette pousse un cri terrible, Morgan vient de la faire jouir, elle hurle :

-Encore, encore, plus fort, fais-moi, mal, mon chéri !

Morgan reprend le pilonnage avec plus de rage, Juliette gémit de plaisir sous les coups de bélier violents de son amant. Carole, elle, souffle en répétant sans cesse :

-Oh putain, oh putain qu'elle est grosse !

Une fois bien en place, la verge de Julius ne bouge plus. Il attend que son amante s'habitue à son engin. Carole halète, en tenant fermement son amant. Petit à petit, le va-est-vient, peut commencer. La queue voyage dans la gaine qu'elle dilate de plus en plus. Carole n'a jamais était si ouverte avec une queue. Au fur et à mesure, la gaine s'adapte au calibre de la verge. Le ramonage devient plus intense, les coups de reins plus violents. Carole a les yeux révulsés, elle halète terriblement. Elle dit continuellement :

-Oh putain que c'est bon, vas-y Julius, défonce-moi !

Les coups de reins deviennent violents, les gémissements de Carole très bruyants. Julius lâche les chevaux, la cadence est terrible, autant que les râles de Carole. Elle se cambre comme un pont en poussant un cri monstrueux, sa jouissance est phénoménale. Julius se répand=d en elle en soufflant comme un bœuf. Le corps de Carole tremble comme une feuille, la douce chaleur du sperme la fait jouir une seconde fois. Soudain Juliette pousse un hurlement :

-Oh Julius, Morgan m'encule mon Dieu, oui, oui plus fort, plus fort !

Julius regarde Carole et lui demande :

-Cela te tente une bonne sodomie ma chérie ?

-Oh, non, non, tu es trop gros, tu va me déchirer, un autre jour peut-être !

Un peu déçu, Julius offre une nouvelle fois son gland aux lèvres de Carole qui s'évertue comme elle le peut pour le faire jouir dans sa bouche. Elle reçoit plusieurs giclées, elle manque d'étouffer. Elle repousse violemment son amant qui lui dit :

-Avale, avale !

Carole déglutie difficilement et fini par tout avaler, d'un revers de la main, elle s'essuie les lèvres. Elle regarde Julius et lui dit :

-Tu m'a fait tellement jouir que j'ai cru mourir, c'etait merveilleux !

Juliette se fait exploser le cul par Morgan, elle jouit en ralant de plaisir, le bougre ne cesse de la pilonner que lorsqu'il jouit à son tour.

























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Commentaires du récit : Carole Morgan et les autres

Le 26/12/2022 - 21:28 par Sexty53
Humm j'adore toujours tes histoires continue

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