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Cécile

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Lue : 23768 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/10/2008

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Cécile est une vraie libertine, une jouisseuse de la vie et de son corps. Elle est une amie amante depuis de nombreuses années.
Nous nous connaissons depuis nos études et, hasard de la vie nous nous sommes retrouvés dans la même ville, elle avocate et professeur de droit à la fac, moi venant par moment y donner des conférences.

Quand nous faisons l’amour, elle aime me raconter ses fantasmes ou aventures vécues en fumant un joint, sa tête sur mon torse. Un soir, après une longue partie de plaisir, elle m’a raconté son histoire sexy avec Carole.

« Tu sais Carole, l’étudiante de licence que tu suis en TD le jeudi soir ? »

« Oui je vois bien, très mignonne mais un peu timide et coincée non ? »

« Justement, je vais t’en raconter une bien bonne. Figure toi que je me la suis faite, et dans les règles de l’art ! »

« On parle bien de la même, celle dont le père est notaire et la mère avocate ? »

« Tout à fait, laisse moi te raconter ».

Cécile se love sur mon épaule, et les yeux rêveurs, commence son récit.

C’était en fin de cycle, début de l’été. Les partiels terminaux arrivaient. Carole est venu me voir. Elle veut choisir une option dont je lui déconseille. On discute et puis elle m’explique qu’elle veut faire cette option parce que ses parents le lui ont demandé. Enervée, je lui réplique :
« Et si tes parents t’avaient demandé de coucher avec le gardien de la fac tu l’aurais aussi fait ? »
Bref, elle ne sait plus quoi dire, devient toute rouge, prend ses affaires et sort de mon bureau. Je l’inscris à la filière qu’elle veut alors qu’elle méritait largement mieux.

Je la croise deux semaines plus tard, lors des résultats. Comme prévue, elle est admise avec mention et bien sur inscrite à la filière voulue par papa maman. Je la sens gênée quand elle croise mon regard. Je viens vers elle et lui dit :
« Les inscriptions pour les filières sont closes le 5 juillet, il te reste une semaine pour revenir sur ton choix. Si tu veux en discuter, ce soir 19h30 à la brasserie XXX »

Il faisait chaud ce jour là, je portais une petite robe légère noire avec juste un petit string blanc dessous et des mules à talons hauts. Je n’ai pas souhaité me changer pour le rendez vous mais cette fille m’excitait. Alors je suis rentrée et j’ai pris un bain, je me suis caressée dans l’eau moussante en pensant à son joli petit visage. Ma main a couru sur mes seins pour rapidement effleurer mes tétons. Puis, en gardant une main sur un sein, j’ai descendu ma main droite sur mon minou et j’ai joué avec mon clito. Mes doigts l’ont sorti, mon index l’a excité puis je me le suis masturbé doucement. Je me suis laissé aller en me pénétrant d’un doigt, faisant jaillir de l’eau de partout !
Je sors de l’eau, me sèche, me crème, me maquille sans outrance. Puis je m’habille : pantalon Thaï écru très transparent, croisée de soir moulant mes seins et laissant mon dos nu jusqu’à la naissance de mes reins, mules ouvertes à talons. Je me sens irrésistible.

A 19h30 je ne suis pas à la brasserie, mais pas loin garée dans ma voiture. Carole est déjà là, seule. Son sac de cours à ses cotés ? Elle lit un recueil de jurisprudence !!!

Je m’approche doucement d’elle. Elle a peut être un livre de cours avec elle mais elle aussi s’est changée : petite robe légère et transparente, très courte, fines bretelles. Sa jolie poitrine est mise en valeur par un petit décolleté… Elle est craquante…

Je m’assois face à elle, nous commandons à boire. Elle s’oriente vers un coca, je lui commande un bloody mary et un pour moi aussi. Il est temps de s’amuser, les examens sont finis !
Nous buvons, fumons et discutons. Carole m’explique que ses parentes rêvent de la voir notaire, elle aimerait faire commissaire mais l’idée même de dire à son père qu’elle est inscrite à l’un des plus difficiles concours de France l’effraie.
La soirée se passe doucement, depuis 10 bonnes minutes j’écoute cette gamine gâtée qui se plaint en lui caressant le dos de la main de mes doits. Elle se laisse faire.
Je l’invite au restaurant, nous traversons l’avenue sous les regards envieux des males en chaleur…

Attablées, j’en profite rapidement pour lui faire du pied, et ça fait de l’effet. Carole n’ose plus me regarder, bafouille mais se laisse faire de plus en plus facilement. Mon pied est maintenant entre ses cuisses et c’est tout naturellement que Carole rapproche sa chaise pour sentir la pression de mes orteils sur le renflement de sa chatte. Je sens le tissu de sa culotte.
Le repas est très rapide, juste une salade. Le serveur vient demander les desserts.
« Je pense que la demoiselle va venir prendre le dessert à la maison » Lui dis-je…

Le serveur ne sait quoi répondre, Carole attrape ma main et éclate de rire. Dans la voiture, avant de démarrer, elle se penche vers moi et me tend ses lèvres. Je l’embrasse à pleine bouche. Mes mains dérapent vite sur son visage et je la presse contre moi. Ma langue part à la recherche de la sienne et nous nous trouvons mutuellement, je joue avec sa pointe, elle lèche mes lèvres. Ce baiser n’en fini plus. Carole se cale sur mon épaule pendant le trajet.

Nous arrivons à la maison sans dire un mot, impatiente de nous découvrir. Je l’emmène directement dans la chambre et la déshabille en la caressant. Je défais les bretelles de sa robe et embrasse chaque partie de son cou, puis je lèche sa nuque par petit coup de langue. Je descends ma langue le long de sa colonne vertébrale en profitant de tirer sur le zip de la robe. J’arrive au ceux de ses reins. Je masse cet endroit puis remonte mes mains sur son dos, de nouveau jusqu’à sa nuque. Elle ne porte pas de soutien gorge, sa peau est douce et déjà bronzée. Je l’embrasse, la caresse puis la retourne face à moi. Je fais descendre sa robe sur ses pieds, puis lui écarte les jambes. Je passe ma main sur le tissu de sa culotte et caresse sa toison à travers. Je glisse ma main en entier, la paume bien appuyée sur cette petite chatte. Puis Carole ressert les jambes et enlève a culotte doucement. Elle est nue face à moi, je la pousse dans le lit, elle tombe sur le dos en riant, les jambes bien écartées, offerte. Je ne peux attendre plus longtemps et glisse entre ses cuisses. Je pointe ma langue pour caresser les lèvres de son minou. Je la lèche doucement, chacune de ses grandes lèvres. Puis je remonte jusqu'à son bouton qui se dresse. Carole l’aide avec ses doigts à me le présenter. Je l’aspire doucement entre mes lèvres. Je sens sa tiédeur. Je glisse ma langue dessus puis monte et descend avec la pointe. Je donne de petit mais violent coup de langue juste sur la pointe de son petit bouton. Carole gémis et me prend la tête entre les mains. Je mordille son clito puis lui passe la langue très fort dessus. Je descends sur son minou humide et j’introduis ma langue dedans. Elle jouit comme ça en me serrant la tête et en criant.
Je suis toujours habillée, je me relève. Elle s’agenouille et vient m’aider à enlever le peu d’habit que j’ai. Vite nue, je suis dans ses bras. Elle ne perd pas de temps à s’occuper de mon minou. Sa langue sur mon clito, ses doigts sur l’entrée de mon vagin, elle s’y connaît la gamine !

Je m’offre volontiers à elle. Elle sait très bien s’y prendre. Un doigt me pénètre avec tendresse, jouant à faire un mouvement de « viens par ici » à l’entrée de ma chatte. Je mouille terriblement. Elle me mordille le clito et puis fait rentrer un doigt et vite deux… Elle me masturbe doucement le minou en faisant de vaste mouvement, mais très lent, de va et vient. Puis à ma demande elle accélère le tempo. Je me fais prendre par ses doigts, les jambes bien écartées. Elle a abandonné mon clito pour mieux se consacrer à sa pénétration. Je me le caresse, remplaçant sa bouche.

Ca monte, ça redescend, ça remonte, je me contrôle et je la laisse faire puis je décide d’exploser quand d’un mouvement plus rapide elle me pénètre profondément. Je jouis à mon tour. Cette fille est très agréable… Mais maintenant je vais lui montrer qu’il faut toujours écouter papa et maman. Je prétexte aller à la salle de bains pour récupérer mon arsenal dans le bureau. Carole fait comme chez elle, elle est allée se servir à boire et ramène de l’eau fraîche. Je luis dis de se coucher sur le ventre et la vaporise d’eau.

Elle ondule sous l’effet des minuscules gouttelettes. Quand je la sens reposée, tranquille, confiante, je passe rapidement une menotte à son poignet et à peine à t’elle le temps de se relever qu’elle a les deux poignets fixés au montant du lit Elle se débat, cri, me traite de folle de sexe…

A ce stade de l’histoire je bande tellement fort que Cécile éclate de rire… La suite une prochaine fois dit elle en approchant sa bouche de ma queue…

©effbe

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Histoire de lauresensu

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