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Chaude soirée d'hiver au chalet

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 28/12/2022

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Je m’appelle Laura, et suis mariée avec Didier, depuis deux ans maintenant. J’ai vingt six ans, il en a vingt huit. Nous nous connaissons depuis le lycée.
Nous vivons dans un chalet isolé dans la montagne, que mon mari a hérité de ses parents par donation. C’est un magnifique chalet composé de deux chambres, d’un grand salon avec une grande cheminée, d’une salle à manger et dune vaste salle de bains. Au sous sol se trouve un immense garage, et une remise ou se trouve une chaudière bois, un stock de bûches, et de quelques outils pour déneiger.
Je me souviens, à l’époque de cet héritage, Didier m’avait proposé de partager sa vie avec lui, dans ce chalet mythique, qui respire l’amour.
« Mais bien sur mon chéri, tu le sais...tu es l’homme de ma vie » Avais-je répondu.
C’est dans ce chalet aussi que j’ai perdu ma virginité à dix sept ans. C’est là aussi que j’ai taillé ma première pipe, que j’ai subi ma première sodomie.
C’est devenu un peu nôtre refuge, et y vivons un amour sans faille..
Nous vivons à moitié nu, aussi, quand nous nous croisons, le moindre contact ou regard coquin, nous emmène sur la moquette à faire l’amour.
Didier est un très beau gosse. Dans son travail, il côtoie beaucoup de femmes, et ma hantise, c’est qu’il me trompe avec une plus belle que moi, pourtant déjà très belles.
Un mètre soixante douze, cinquante neuf kilos, de beaux seins fermes, des hanches bien galbées, des jambes interminables.
Pourtant, voici l’histoire qui s’est passé, le week-end dernier, dans nôtre chalet.
Cela fait une bonne semaine que mon mari est en déplacement, et la météo n’est pas très clémente dans la région. Elle annonce de la neige...beaucoup de neige.
Par la fenêtre du salon, je regarde les flocons commençaient à faire un épais manteau neigeux. Il fait un froid glacial. Je suis bien au chaud à l’intérieur, un verre de whisky à la main, près de la cheminée, ou crépite un feu de bois.
« J’espère qu’il sera prudent ».
Je pense à mon mari qui doit rentrer, mais vue le temps, je ne sais pas à quelle heure il va arriver, et je commence à m’inquiéter.
Soudain, je vois des feux au loin, et rare sont les voitures à passer dans le coin, quand il y a autant de neige. Je regarde attentivement, c’est bien la voiture de mon mari…
« Ouf, enfin rassurée…»
Heureuse, je sors sur le perron pour l’accueillir. Un jogging, et un gros pull en laine, tout juste suffisant pour me faire supporter le vent glacial.
Quand je vois enfin mon mari descendre de la voiture, je suis surprise de voir un autre homme l’accompagner. Didier arrive près de moi, me prend dans ses bras, et voyant la stupéfaction sur mon visage, m’explique qu’il doit héberger un collègue pour la nuit, car sa voiture est tombée en panne.
Ils rentrent se mettre au chaud, ferme la porte, et je lance un grand sourire à mon mari.
- Aucuns soucis mon chéri. Bienvenue…heu...
- Gérald, madame, Gérald, merci de vôtre hospitalité madame…
Les deux homme s’approchent de la cheminée, et commencent à se déshabiller. Par discrétion, je détourne mon regard, mais ne m’empêcher de voir, en ombre chinoise dû aux flammes, leur sexe, il est vrai, au repos. Est-ce un effet optique, toujours est-il que celui de mon mari, paraît plus petit que celui de son collègue. Tout en regardant ailleurs, je leur tends des serviettes, pour qu’ils puissent s’essuyer.
En bonne maîtresse de maison, et après, je suppose, une longue journée de travail, et quelques frayeurs sur la route, je propose à cet inconnu de prendre une douche, et lui indique la salle de bains. Gérald accepte volontiers, et je devine à son regard, qu’il prendrait bien la douche avec la femme de son collègue, qu’il doit trouver belle et à son goût.
Pendant ce temps, heureux de retrouver sa femme, Mon mari me coince dans la cuisine, m’embrasse en parcourant mon corps avec ses mains. Très vite, réalisant que je n’ai pas de sous vêtements, il passe ses mains sous mon pull, dans mon dos, glissent dans mon jogging, sur mes fesses, remontent le long de mes cuisses, font un arrêt sur ma chatte brûlante. Ses mains sont froides. Ses caresses me font frissonner de plaisir. Il va et vient en me caressant doucement. Il aime jouer avec moi, m’entendre gémir.
L’excitation fait pointer mes bourgeons, et ma respiration s’accélère, je pousse même de petits gémissements de plaisir. Mes mains ne sont pas inactives, une est déjà passer sous la serviette de mon mari, je ne perds pas beaucoup de temps pour attraper sa queue. Je me blottis alors contre lui pour lui dire doucement à l’oreille.
« J’ai envie de te sucer » .
Et en arrivant contre lui, je vois par-dessus son épaule, Gérald, son collègue de travail. Il se tient derrière nous...la serviette autour de la taille.
Très gênée, je fais comprendre à son mari que nous ne sommes pas seuls. Mais depuis combien de temps est-il là ?
Un peu surpris, Gérald me demande s’il pourrais avoir une serviette pour se sécher.
En conduisant son collègue dans la salle de bains, mon mari s’excuse de s’être laissé aller, mais Gérald lui répond qu’il n’y a pas de soucis, qu’il comprend parfaitement, que depuis qu’il n’a pas vu sa femme, il est des pulsions pour elle.
Et s’il n’y avait pas eu mon mari, est-ce qu’il se serait caressé en fantasmant sur moi, en se disant que son collègue a bien de la chance d’avoir une femme si ouverte, et doit regretter que je l’ai surpris à me mâter, qu’il aurait voulu en savoir d’avantage.
Il ajoute qu’il a aimé ce qu’il a vu et qu’il aurait sûrement fait la même chose à sa place. Quelle frustration pour mon mari et moi d’avoir été coupés dans un tel moment.
Les deux hommes ressortent de la douche, vêtus d’un peignoir. Les idées les plus folles filent dans ma tête. « Ont-ils quelques choses dessous...une belle paires de couilles et une gosse queue pour Gérald ».
Pendant le repas, la discussion revient inévitablement sur l’épisode du début de soirée. Didier et moi-même sommes gênés, car nous ne savons pas comment Gérald va réagir. Étonnamment, il ne parait pas choqué, au contraire, et une conversation sans tabous s’installe. Le repas est chaleureux et la discussion de plus en plus chaude au fur et à mesure que la bouteille de vin se vide. Tellement chaude que quand je viens près de mon mari pour lui servir à boire, il commence à me caresser. Il passe ses mains le long de mes jambes. Excitée par la conversation, je me mets à frémir. Gérald ayant très vite compris, sourit à mon mari et ose lui dire.
- Ne te gêne pas pour moi.
Didier, un peu alcoolisé prend ça pour un défi, il se lève, se met derrière moi et commence à me caresser. Sa main droite glisse sous mon pull, caresse un sein, pendant que sa main gauche s’agite dans mon jogging. Je me laisse faire, je suis tellement excitée et frustrée depuis le début de soirée. J’ai tellement envie de sexe. Envie de jouir.
Je gémis et ne pense plus un instant à Gérald qui est là, médusé. Ne croyant pas vraiment à ce qu’il voit et en même temps, tellement excité, son sexe doit être dur et gonflé, sous son peignoir. Didier se calme un peu et, d’un geste serein, ôte mon jogging. Je ne porte pas de culotte.
Mon clitoris est déjà bien gonflé. Mon mari me demande alors d’aller servir Gérald car lui aussi doit avoir soif. Je fais donc le tour de la table et Gérald doit se demander comment se comporter, pour ne pas être tenter de me caresser.
Certes, mon mari le provoque, mais ne lui donne pas la permission de me toucher.
Il devra se contenter de regarder. Et c’est déjà ça.
J’arrive près de lui, lui sers un verre de vin, et pose la bouteille. Je me tiens debout, à la droite de Gérald. Je vois mon mari cligner des yeux. Serait-ce un signal, une autorisation ? Je sens la main de Gérald flatter mes fesses, puis glisser entre mes cuisses. Un doigt lisse ma fente, jusqu’au clitoris, puis deux doigts pénètrent ma chatte, tandis que le pouce taquine mon petit trou.
-Ouah...elle mouille ta femme...je lui ais mis deux doigts dans la chatte, je les bouge, regarde comme elle remue son cul...
- Enfoiré...souffle ai-je à mon mari, tu t’en fou de voir d’autres doigts branler la chatte de ta femme, hein ? Vous êtes de beaux salauds tous les deux.
Je me sens chaude, et de moi-même, quitte mon pull de laine. Je suis entièrement nue maintenant. Je m’assieds sur Gérald, face à lui. Je sens sa bite gonflée sous le peignoir, faire une bosse. Je me déhanche sur lui, simulant, comme si j’avais sa queue dans ma chatte. Je sais qu’il a envie d’aller plus loin.
J’attrape ses mains et les pose sur ses seins. Il regarde Didier pour voir sa réaction…et quand il voit mon mari lui tendre un préservatif en lui souriant, il commence alors à se détendre. Rien que de sentir ses mains sur ma poitrine, sa bite durcit encore plus, et son gland grossit. Il est fou, il me veut.
Il se lève et m’emmène sur le canapé devant la cheminée. Alors que je suis allongée, jambes ouvertes, il plonge sa tête entre mes cuisses, et me lèche la chatte. C’est tellement bon, il va, il vient, fait glisser sa langue sur ma fente, aspire mon petit bouton. Je suis tellement excitée que je me cambre et sens ma chatte mouiller de plus en plus.
Je regarde mon mari, toujours assis à la table, et qui a l’air d’apprécier le spectacle. Mais quand son regard croise le mien, il se lève et vient à côté de moi, ôte son peignoir, pour pouvoir se faire sucer. J’en peux plus…Je deviens folle. J’en avais toujours rêvé. Mon mari s’agenouille pour que je puisse lui sucer la queue et jouer avec son gland.
Excité, Gérald me relève les jambes et commence à glisser sa langue le long de mon petit trou. Il le lèche et quand mon orifice est suffisamment humide, il glisse un, puis deux doigts. Je frémis de plaisir, me cambre en arrière. Didier se retire de ma bouche et change de place avec son collègue.
Il me dit de me mettre a quatre pattes, me dit qu’il a envie de me mettre sa queue pour élargir mon petit trou. Il glisse sa bite trempée de mouille, et me sodomise.
Voir sa femme prendre autant de plaisir et un autre homme la caresser augmente encore plus son excitation. Je suis si chaude, que je n’hésites pas à ouvrir grand la bouche pour avaler la queue de Gérald, qui se vide copieusement.
Je trouve la queue de mon mari, plus petite que celle de Gérald, peut-être parce que celle-ci est nouvelle pour moi, mais la suite va confirmer ce que je pensais.
Je suis à genoux entre eux deux, une bite dans chaque main que je suce à tour de rôle. Je joue avec leur gland, les frotte un à l’autre, surtout sur le frein, puis les mets bout à bout. Je saisis le prépuce de Gérald, et le fait coulisser au-delà du gland. Petit à petit, aidée par mes mains, la peau tendue aspire le gland de mon mari, comme si elle voulait le faire disparaître sous la peau étirée. La scène est hallucinante.
- T’es une salope Laura de faire çà, se plaint mon mari.
- Allez mon chéri...il faut de tout pour faire un monde, le console ai-je.
Gérald donna une tape amicale sur l’épaule de Didier, comme pour s’excuser d’être mieux monté que lui. Mais quel intense plaisir je prenais à ce spectacle, humiliant pour mon mari.
Si seulement nôtre invité avait pu imaginer cela. Il pensait passer une soirée de merde bloqué dans la neige, et il se retrouvait chez son collègue à glisser sa queue dans la bouche de sa femme. J’étais si chaude, si gourmande, prête à m’offrir totalement.
Gérald s’allonge au sol, m’attrape par les hanches, m’oblige à m’empaler sur sa queue. Il commence à faire des mouvements de bassins. Il va de plus en plus vite, je sens que je vais jouir. Je me cambre en arrière et pose mes mains sur ses tibias. Gérald en profite pour me caresser les seins, titille les bouts, ils sont si durs, me font mal..
Soudain mes gémissements deviennent plus forts et j’atteins l’orgasme sous ses puissant coups de queues. Didier ne tient plus. L’humiliation passée de voir sa bite aspirée par celle de son collègue, il vient derrière moi.
Gérald ralentit alors ses mouvements et laisse à mon mari le temps de glisser sa queue dans mon petit trou. Je suis penchée juste au dessus de Gérald, je me remet de ma jouissance, elle n’est pas encore redescendu. Gérald excité de me voir ainsi en profite pour me lécher les seins. Il mordille mes bouts avec délicatesse, ce qui ne calme pas mes gémissements qui vont crescendo. Gérald est tellement excité.
Mon mari continue ses va et vient. Je ne gémis plus, je crie, je hurle de plaisir.
Gérald et Didier accélèrent leurs mouvements de va et vient. Je prend un plaisir fou.
Moi qui en est toujours rêvé, me voila enfin prise par deux hommes.
Didier aussi est complètement excité de me voir jouir sous les coups de bites de deux beaux mâles. Il aime que je sois une cochonne, ça l’excite terriblement.
A tel point qu’il doit sentir l’éjaculation très proche. Il décide donc de se retirer, d’éjaculer sur les fesses.
Gérald me propose de changer de position, il se relèvent et sur les conseils de Didier, il me plaque contre un mur et me sodomise. Je me cambre pour que qu’il puisse caresser mes seins. Je lui demande d’aller plus vite, je veut sentir sa queue au plus profond en moi. Gérald voulant me faire jouir encore une fois, s’exécute. Il accélère alors sa pénétration et m’encule sans scrupules. J’aime ça, je hurle de plaisir, il me fait jouir, comme mon mari ne l’a jamais fait. Et quand j’atteins l’orgasme, je sens sa queue vibrer en moi, l’éjaculation monter, lui aussi veut venir. Alors il se laisse aller et jouit de plaisir. Il gicle si fort. Il se retire, présente sa bite au bord des mes lèvres, sans hésiter, le la prends en bouche, suce les dernières gouttes de sperme.
Nous roulons sur la moquette, devant le feu qui crépite. Nous restons un instant enlacés, lèvres soudées dans un sulfureux baiser.
Mon mari est essoufflé, il n‘en peut plus, il est hors service. Il s’allonge sur le canapé pour tenter de reprendre son souffle et réaliser ce qui c’est passé.
Devant la cheminée, Gérald et moi poursuivons nos ébats, jusqu’au petit matin, pareil les deux jours suivant, l’accès au chalet étant toujours bloqué.
Quant à mon mari chéri, il se contente d’alimenter la cheminée en bûches, pour pas que l’on est froid, puis il regagne sagement sa chambre.














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Commentaires du récit : Chaude soirée d'hiver au chalet

Le 31/12/2022 - 16:25 par Jacques du Canada
Texte dont le hazard démontre une belle complicité de couple. La lecture de ce texte ne nous dirige aucunement vers un tel dénouement. Pourquoi finir son texte ainsi? Ça doit faire partie de la génétique de l’auteure.
Le 30/12/2022 - 06:14 par OlgaT
Très beau texte!
Le 29/12/2022 - 11:04 par frcamalu
quelle ambiance dans vôtre chalet , merciiii pour ce partage Laura , Fred

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