Chaudes retrouvailles

Mélanie et moi avions eu une relation il y a quelques années qui s’était plutôt mal terminée. Sans qu’elle ne quitte jamais vraiment mes pensées, je finis tout de même par prendre mon courage à deux mains, la contacter pour m’excuser.
Chacun de nous avait parcouru du chemin dans nos vies mais nous reprîmes vite nos conversations habituelles plutôt, tournées vers le sexe. Il faut dire que, sexuellement, je n’avais jamais connu ce qu’elle m’a donné et, encore aujourd’hui, je la désire ardemment. Elle habite dans une autre région mais reviens de temps à autre, dans le coin.

Un jour, elle me contacta, pour me dire qu’elle serait dans les parages la semaine suivante pour une formation. Je savais que c’était une mauvaise idée mais je ne pus me retenir de vouloir la voir. Je lui proposai, alors de passer un midi ensemble pour un pique-nique dans les vignes. Ce qu’elle s’empressa d’accepter. J’étais nerveux, la boule au ventre mais j’avais très envie de la voir. Lorsqu’elle apparut, je sus immédiatement que mon désir était intact. Mon sang ne fit qu’un tour. Elle était brune, les cheveux plus courts qu’avant et portait un chemisier avec décolleté qui mettait largement sa poitrine en valeur ainsi qu’une jupe légère comme le printemps pouvait le permettre.

En attendant son arrivée, j’avais tout préparé. Nous étions en haut des vignes, la ville plus loin. L’endroit était calme, apaisant. Après nous être salués, je la pris dans mes bras, en prenant soin de ne pas trop me coller à elle et laisser apparaitre mon désir au grand jour. Le pique-nique se déroulait bien et l’ambiance était plutôt chaleureuse. Le Champagne y était sûrement pour quelque chose. Je ne sais pas vraiment à quel moment la situation a déraillé mais je me souviens avoir passé ma main sur sa cuisse et, tout à coup, c’est devenu flou. Je passai ensuite ma main sur son bras, son épaule, son cou, dans ses cheveux puis l’embrassai à pleine bouche. Elle répondit à mon baiser. Pendant ce temps, nos mains passaient à l’action. Mes mains passèrent sur ses hanches puis remontèrent vers ses seins. Je les embrassaient pendant que Mélanie passait sa main sur la bosse de mon jean. Elle ne mit pas longtemps à en défaire les boutons puis à passer la main sous mon boxer. Je lui ôtais son chemisier et libérais ses seins de son soutien-gorge. Je m’activai, alors, sur sa poitrine avec attention.

Tout à coup, elle entreprit de descendre pour arriver jusqu’à mon entrejambe où elle déposa quelques baisers sur ma queue. Ils furent accompagnés par des coups de langue puis elle prit ma queue en bouche. Je m’effondrai alors. Sa douceur et sa dextérité m’avaient tant manqué. Ce traitement dura quelques minutes puis, n’y tenant plus, je la relevai. Je voulais, moi aussi, m’occuper d’elle. Après avoir déposé des baisers un peu partout sur elle, je m’approchais de sa petite chatte bien épilée et commençait à la lécher langoureusement. J’accompagnai mes coups de langue, de caresses avec mes doigts. Je caressai son clitoris et entendant son plaisir monter mais je n’étais pas décidé à en rester là alors je continuais mes caresses pendant un petit moment jusqu’à sentir l’orgasme s’emparer d’elle. Elle finit par me demander de la prendre. Elle était allongée sur le dos, j’avançais mon sexe fièrement dressé vers sa chatte bien mouillé et la pénétrais doucement jusqu’à la garde. J’entrepris des va et vient lentement pour commencer puis j’accélérai le mouvement. Ses gémissements m’excitaient au plus haut point. Je sentais son désir monter. Le mien n’était pas en reste.

Je lui proposai ensuite une levrette, elle se mit en position sans un mot. Elle se cambrait et m’offrait, littéralement, sa chatte. Je la pénétrais plus brutalement, ce qui lui arracha un petit cri. Je posais mes mains sur ses seins et la pénétrais sans ménagement, en lui disant à quel point son petit cul m’avait manqué. Je sentis alors son corps se mettre à trembler et sa jouissance atteindre à nouveau l’orgasme au moment même où je jouis en elle. L’orgasme est si intense … Nous mettons quelques minutes à redescendre de notre nuage.

Il fallait pourtant revenir à la réalité et, après nous être embrassé une dernière fois, nous primes congés en nous promettant de nous revoir. Sera-ce le cas ?