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China Girls

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Lue : 1385 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/11/2019

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Il était sept heures du matin quand Max fit tourner la grosse clef métallique, issue d’un autre temps, dans la serrure. Il repoussa les deux pans de l’un des portails qui fermaient l’accès au grand parc pour laisser un passage à son camion. Il revint prendre le volant de celui-ci, puis, dans le jour naissant, pénétra dans l’enceinte pour le moment interdite au public.
La mairie l’avait contacté la veille.
—On a un problème. On s’est rendus compte que les installations électriques des bâtiments du parc n’étaient pas aux normes. Ca vous dirait d’intervenir ?
Il avait demandé pourquoi ils ne passaient pas par le canal habituel de l’appel d’offres.
—On n’a pas le temps d’en faire. Les ouvriers sont déjà sur place pour travailler. Il nous faut quelqu’un d’urgence. Je ne pense pas qu’on nous le reproche.
Max savait qu’il avait une petite réputation, celle d’être un petit artisan en électricité consciencieux, efficace et pas cher. Raison sans doute pour laquelle ils l’avaient contacté.
Dans le plus grand parc de la ville, crée il y avait plus d’un siècle déjà, la mairie avait décidé d’organiser sur six semaines une attraction originale. En effet, le maire de la ville avait une épouse Chinoise, ce qui lui permettait d’entretenir un lien privilégié avec ce pays. Il était parvenu à faire venir une attraction magnifique, le savoir-faire chinois élabore des paysages, des animaux, avec divers éléments, en les assemblant minutieusement, et faisant disparaitre leur aspect originel. Qui pourrait penser qu’un éléphant ou un rhinocéros est à la base un tas d’assiettes soigneusement et savamment assemblées ?
Mais pour éclairer tout cela, ces attractions qui s’animeraient à la tombée du jour, il faudrait de l’énergie, beaucoup d’énergie, des branchements et un réseau fiable.
C’était son travail de tout rénover pour que le jour de l’inauguration et les suivants, tout se passe bien.
Il se gara près des bâtiments qui longeaient le parc sur la gauche, à partir desquels la plupart des branchements devraient être faits.
Max inspecta soigneusement les installations électriques et constata l’immensité du chantier. L’installation était indubitablement vétuste, et elle serait incapable de fournir la puissance nécessaire pour nourrir le parc. Au mieux tout sauterait, au pire, ce serait le risque de mettre le feu.
Il avait le numéro du maire adjoint qui l’avait contacté sur son portable. Il l’appela et il lui fit un tableau de la situation. Il eut le feu vert de ce dernier, sans limite pour le budget. Il prit toutefois soin de lui préciser qu’il devrait travailler pendant un mois, jusqu’au jour de l’inauguration, et qu’il finirait certainement dans les dernières heures.
Il ne voulait pas se laisser effrayer par le chantier qui l’attendait. Même en commençant tout de suite, à cet instant, il n’avait en rien exagéré, il n’était pas sur de finir de temps.
Il connaissait l’histoire du local et de ses dépendances, aménagées le long du parc. Ils avaient été construits dans les années 30 dans un style art déco pour en faire un musée qui devait renfermer une collection locale réunie par plusieurs passionnés. Les Allemands avaient annexé les locaux pendant la guerre. A la Libération, on avait décidé de l’utiliser pour des expositions, la collection d’entomologie transportée ailleurs.
Il était huit heures moins cinq, et il était ressorti pour prendre du matériel quand il les vit arriver. Ils étaient passés par le grand portail. Une armée disciplinée, groupée, qui avançait en rang serrés, d’un seul pas, mais qui se disloqua soudain, pour se répartir sur les différents chantiers qui n’étaient pour l’instant qu’amorcés, et flous. Tous étaient vêtus d’orange.
Il était pas loin de midi quand revenant à sa camionnette une énième fois, il se trouva face à face avec deux jeunes Chinoises. Il les regarda attentivement. On dit souvent que, pour un Européen, tous les Asiatiques se ressemblent, mais il pouvait bien dire que ce n’était pas vrai en ce qui les concernait. Il pouvait très nettement faire une différence entre les deux filles. Elles étaient brunes toutes les deux, mais c’était bien leur seul point commun. L’une d’entre elles était plutôt grande, et fine, avec un visage allongé, les cheveux coupés courts, dégageant un joli visage. Sous d’autres atours, elle devait être ravissante, mais, c’était une évidence, ce n’était pas la combinaison floue qui allait la mettre en valeur. L’espace d’un instant, il la vit autrement, avec une robe et des talons, a jolie silhouette valorisée.
Il eut un coup de cœur immédiat pour celle qu’il pensa être son amie. Elle était un rien plus petite, avec des formes plus marquées, que la combinaison n’arrivait pas à masquer. Il y avait une sorte de perfection dans son visage, et bien qu’elle soit Asiatique, son visage lui fit penser à celui, de certaines stars Hollywoodiennes des années 40. Elle était vraiment magnifique. Mais chacune avait son propre charme, et s’il avait du choisir une compagne d’un soir, il ne savait pas laquelle des deux il aurait préféré. La plus grande était très sensuelle, son amie d’une beauté à couper le souffle.
Ce fut la plus grande qui parla la première. A sa grande surprise, pas en Chinois, mais en Anglais.
—Vous parlez Anglais ?
Max avait la chance d’avoir eu une belle-mère Ecossaise. Son père, après un premier mariage qui avait été un échec, s’était remarié avec une jeune femme qui avait servi de traductrice dans l’entreprise de travaux publics où il travaillait alors. Un coup de foudre mutuel qui avait débouché sur un mariage heureux, et lui avait donné l’occasion, non seulement d’être très vite bilingue, mais aussi de faire de fréquents séjours dans le pays d’origine de sa belle-mère.
C’était une chance, parce qu’il ne connaissait par contre rien au Chinois.
Ils purent entreprendre une conversation très brève. Il apprit que les deux jeunes femmes mettaient en place les attractions et les entretiendraient, une fois qu’elles seraient montées. Ils et elles logeaient dans divers hôtels de la ville, et repartiraient en janvier, une fois le démontage assuré.
La conversation en resta là, mais avant qu’elles ne s’éloignent, Zin-Tsi, la plus fine dit en riant :
—Mon amie vous trouve très beau…
Ce qui fit glousser Xang qui dit :
—Tu es bien hypocrite, tu m’as dit la première que tu le trouvais sexy…
Elles s’éloignèrent. Au moment de la pause, les ouvriers quittaient les lieux, pour aller manger, sans doute dans des restaurants, à moins qu’ils ne mangent, il le constata dans les jours qui suivirent, en plein air, avec de la nourriture acheté dans les épiceries…
Il travailla jusqu’à une heure, avant de s’accorder une pause. Il avait préparé une gamelle, le matin. Il se posa dans la salle centrale, en bas, sur une grande table poussiéreuse. Il n’y avait pas eu d’exposition depuis deux mois.
Il finissait lorsqu’il entendit, bien que légers, des pas. Il se tourna, et fut surpris de voir que ZIn-Tsi se rapprochait de lui, souriante et déterminée. Elle se cala pile devant lui, et sans la moindre hésitation, elle tira vers le bas la fermeture-éclair qui fermait la combinaison et la tenait en place. La fermeture, en glissant, révéla une longueur de chair, blanche, et le noir d’un soutien-gorge qui enserrait une poitrine sans doute plus pleine qu’il ne l’avait imaginé. Il sentit son sexe se durcir d’une manière rapide. Max vivait en célibataire depuis plusieurs mois, et son manque de femmes, de latent, lui sembla soudain évident.
Elle descendit la combinaison, la fit passer au-delà de ses gros godillots, des chaussures de travail pas vraiment sexy, mais le reste de sa personne l’était. Elle avait vraiment une jolie silhouette. Elle tourna sur elle-même pour se laisser admirer, juste en slip et soutien-gorge noirs.
—Tu veux plus ?, elle demanda, en se retournant vers lui.
Il n’eut pas vraiment à répondre car elle se pencha sur son érection, se plia en deux. Elle défit son pantalon et le mit à nu.
—Je te plais à ce que je vois.
Dans sa phrase, il y avait une sorte de soulagement, et la satisfaction de lui plaire.
Elle vint prendre son sexe dans sa bouche. Il la sentit se resserrer sur son membre, très étroitement, sa bouche un fourreau chaud et humide qui le fit prisonnier. La sensation était exquise. Avec habileté, elle fit tourner sa langue autour de sa tige, et il dut lutter pour ne pas jouir immédiatement. Cela faisait bien longtemps qu’une femme ne lui avait pas fait de fellation, c’était un nouveau départ, et Zin-Tsi était vraiment très habile. On aurait dit qu’elle n’avait fait que ça toute sa vie. Elle gardait le sexe bien calé dans sa bouche, et elle tournait sa langue avec habileté autour de sa queue. Elle avait un grand sourire sur le visage, et son regard brillait. Tout comme lui, à ce moment, elle se sentait vivante.
Quand elle se dégagea, sa queue était trempée de salive, mais aussi encore plus dilatée. A la salive, se mêlait, sur son gland, le liquide pré-sécrétif qui sortait d’abondance de son méat. Elle fit tourner sa langue sur le bout de chair tout gonflé. Il remarqua qu’elle avait glissé sa main droite dans sa culotte, et qu’elle caressait son sexe, sa main comme une bosse proéminente qui bougeait sous le tissu dans un moment circulaire.
—Je te fais jouir avec ma bouche, pour ma chatte, c’est plus tard.
Max eut envie de lui répondre que ça lui convenait parfaitement. Mais elle était déjà repartie à l’assaut de sa queue, calant son gland dans sa bouche et le mordillant délicatement. Cette caresse inattendue fit monter sa jouissance dans son ventre. Il fut lui-même surpris du premier trait de sperme qu’il envoya. Elle referma sa bouche sur lui, prenant tous les traits de sperme dans sa gorge. Même après le dernier, elle le garda en lui, léchant sa chair, comme si elle n’avait pas voulu laisser perdre la moindre goutte. Elle le relâcha nettoyé de toute semence, le gland seulement couvert de salive.
Elle n’avait pas encore joui, et elle accéléra le mouvement de sa main sur son sexe pour enfin se faire jouir. La culotte était piquée de mouille en de nombreux points, et quand elle jouit, se tendant, il vit bien que des jets de sécrétions traversèrent ses doigts pour humidifier la culotte, la faisant sombre.
Elle se redressa, se rajusta, pendant que lui, il rengainait sa queue. Il bandait encore, et il aurait bien pris de prolonger ce moment avec elle, mais il le comprenait bien, elle devait retourner au travail, c’était d’ailleurs vrai pour lui aussi. Elle avait réveillé en lui un appétit qu’il pensait ne plus exister.
Il avait un bloc sur la table. Elle attrapa un gros crayon à double bout, rouge et bleu, et écrivit, non pas en caractères chinois, mais en lettres occidentales, HOTEL LA COUR VERTE CHAMBRE 422.
Elle ajouta en Anglais, rapidement, avant de s’éclipser :
—On dormira là pendant tout le temps de notre séjour Xang et moi. Si tu veux passer, tu pourras nous avoir toutes les deux. Tu nous plais à l’une comme à l’autre.
Il la regarda s’éloigner, silhouette souple. Elle avait une croupe haut perchée et pleine.
En travaillant, l’après-midi, Max repensa à ce moment. La vie était parfois curieuse. Ces derniers temps, il n’avait pensé qu’à son travail, et pas du tout au sexe. Et voilà que ces filles venaient le chercher, le ramenant sur cette voie. Il avait envie de rattraper le temps perdu, et les images de ce moment tournaient en boucle dans sa tête. Il fantasma tout l’après-midi, rêvant d’autres caresses, d’autres positions.
Le maire-adjoint passa sur le coup de 17 heures. Il examina le chantier.
—Vous faites du bon boulot… La mairie compte sur vous.
—J’espère surtout finir à temps…
Il finit sur le coup de 19 heures. Il aurait pu y passer toute la nuit. Mais il décida de laisser le chantier tel qu’il était jusqu’au lendemain matin.
Il rentra chez lui. Il habitait un peu plus loin, une demeure héritée d’une tante, faisant partie d’un bloc de maisons qui avaient été construites dans les années soixante, maisons ouvrières qui avaient été réhabilitées. Il fit réchauffer son diner, un petit salé aux lentilles qu’il avait préparé le dimanche et portionné, et mangea en suivant les informations à la télévision, avant de ressortir. Il partit à pied à travers les rues de la ville, à présent enveloppée par la nuit. Les gens qu’ils croisaient étaient des ombres, et il en devint une, qui se figea devant l’hôtel de la Cour Verte. L’épaisse bâtisse en brique avait été construite par Léo Domergue, un architecte local qui avait connu une gloire nationale à l’époque, mais était totalement oublié aujourd’hui. Une très belle bâtisse dans le style art déco, un grand bloc de briques rouges, avec une tour centrale qui montait à l’assaut du ciel.
Il se figea face à l’hôtel, et leva les yeux vers la tour. Elles étaient là, quelque part.
L’espace d’un instant, il se vit, traverser le hall, prendre l’ascenseur et monter jusqu’à leur chambre. Dix mille scénarios étaient possibles, tellement qu’il n’en imaginait aucun, avec juste un grand vide devant lui. Ce qui pouvait se passer n’était pas vraiment imaginable.
Il aurait pu monter, mais à la place, il rebroussa chemin.
Il ne se sentait pas prêt.
Xang vint le trouver le lendemain, sur le coup de midi, au moment de la pause. Elle lui présenta un visage contrarié.
—Tu es pas venu hier soir. On t’attendait.
Elle se tut une seconde avant de rajouter :
—Tu n’es pas intéressé ? On ne te plait pas ?
Il regarda la jeune femme et répondit :
—Si, bien sûr, mais j’ai pensé que c’était peut-être trop tôt.
—C’est jamais trop tôt…. Le temps, ça passe vite.
Et, sans doute pour lui donner l’envie de venir le soir même, elle dézippa, comme l’avait fait son amie, sa combinaison. Dessous, elle ne s’était pas, elle, embarrassée d’un soutien-gorge. Ses seins étaient nus, et resplendissants. N’en portait-elle jamais, ou bien les avait-elle dénudés exprès, en prévision d’un moment soigneusement calculé ? Ils n’avaient en tout cas, nul besoin, dans tout l’éclat de leur jeunesse, d’un soutien-gorge pour le moment, pleins, lourds, et parfaitement galbés. Il avait souvent pensé que les Chinoises avaient de petits seins, elle était la preuve vivante du contraire.
—Tu peux les toucher, si tu veux.
Avec un rien de timidité, il approcha sa main de la poitrine, et l’effleura. Elle était souple et ferme à la fois. Il la caressa doucement, avec la peur de lui faire mal. Elle semblait très sensible de cette partie de son corps, en tout cas les signes étaient là, elle ferma les yeux et gémit. Il vint agacer ses tétons, les faisant durcir, s’étirer, surpris de leurs capacités érectiles, autant par la rapidité avec laquelle ils s’allongèrent sous sa caresse que par le fait qu’ils puissent devenir aussi longs et aussi épais. Il n’avait jamais vu ça auparavant. Décidément, ces filles étaient surprenantes.
Surpris, il le fut encore plus quand elle se pencha sur lui et le mit à nu. Peut-être plus encore que la veille, il était en pleine érection , long et dur. Elle sembla le remarquer elle aussi, lui disant :
—Tu as une belle queue !
Max pensait qu’elle allait le prendre dans sa bouche, mais rien de la sorte ne se produisit. Elle se pencha sur lui, et tenant fermement sa queue entre ses doigts, elle vint la frotter contre ses seins, le baladant sur toute sa surface. Son gland était hyper-sensible, et il se laissa emporter par la sensation, si forte, plus intense que lorsqu’il l’avait caressée du bout de ses doigts. La douceur de la peau, le grain de l’aréole. Là où les choses devinrent vraiment intéressantes, ce fut quand elle amena son gland sur son téton. Elle fit tourner celui-ci sur toute la surface de son gland, avant de venir l’appuyer à l’entrée de son méat. Elle poussa à plusieurs reprises le téton dans l’entrée de son méat, lui donnant l’impression d’être pénétré par le bout de chair… Trop excité, il lâcha plusieurs traits de sperme, qui vinrent maculer la chair de la Chinoise. Elle ramassa trait après trait de sperme du bout de ses doigts, et les avala, faisant place nette sur sa chair. Il pensa qu’elle voulait arrêter là, mais au lieu de cela, elle le masturba à nouveau, le refaisant durcir sans mal tellement il était excité. S’approchant plus de lui, elle vint gainer son membre de la masse souple de ses seins, l’enveloppant totalement. Elle fit en sorte que seul son gland dépasse. Un sein dans chaque main, elle le caressa doucement, en même temps qu’elle promenait sa langue souple et habile sur son gland. Il se laissa emporter par les sensations qu’il pouvait éprouver, intenses. Elles étaient décidément aussi habiles l’une que l’autre. Ce qu’elles lui faisaient, aucune de ses copines ne lui avait fait avant. Il jouit à nouveau, balançant, alors même qu’il avait joui quelques minutes avant, des traits de sperme copieux sur le visage de la jeune Chinoise.
Comme Zin-Tsi la veille, elle s’éclipsa, la pause prenait fin.
Sa vie avait pris un rythme nouveau, plus lumineuse. Il arrivait de plus en plus tôt, la masse de travail qui s’étendait devant lui semblant gonfler et non pas réduire à mesure que le temps avançait. Il avait la certitude qu’au moment de la pause, l’une des filles viendrait, et qu’il connaitrait un moment de plaisir aussi intense qu’original. Le matin, il anticipait, le soir, il repensait à ce qui s’était passé.
Aucune des deux filles ne lui avait plus fait de remarque concernant le fait qu’il n’avait pas répondu à leur proposition. Elles le laissaient vivre à sa guise, se contentant, comme lui, du moment présent.
Il fallut trois semaines avant que Max ne se décide enfin à se présenter à nouveau devant l’hôtel. Cette fois était la bonne. Comme un drogué s’accoutume et a besoin de doses de plus en plus puissantes, il avait à présent envie de plus que ne pouvaient lui donner les brèves séances entre midi et deux. Il était tout entier dans le désir.
Une idée tournait dans sa tête : qu’il puisse les avoir l’une ET l’autre, Jusqu’à présent, quand elles lui rendaient visite, c’était séparément, sur un rythme qui n’était d’ailleurs pas forcément binaire. Il arrivait que la même fille revienne deux jours de suite.
Il traversa le hall feutré. Il n’y avait personne à la réception. Il n’avait de toute façon pas besoin de renseignements. Il monta directement à la chambre où il pensait trouver les deux jeunes femmes.
Ce fut Zin-Tsi qui vint lui ouvrir. Elle portait une nuisette rouge vif qui lui arrivait juste sous le bonbon. Elle eut un sourire de contentement en voyant qui se trouvait à la porte.
Elle se retourna vers l’intérieur de la chambre, et cria :
—Xang, viens voir !
Xang surgit de la salle de bains. Elle avait juste une petite culotte sur le dos, exposant son corps qu’il trouvait toujours parfaitement bien dessiné, et dont il ne se lassait pas. Quand il la regardait, ses yeux se perdaient le long de ses courbes.
L’attrapant chacune par une main, elles le guidèrent à l’intérieur. La chambre, style art déco, avec un mobilier, qui, s’il était d’époque, avait bien vieilli, était vraiment agréable, spacieuse et baignée par les lumières du plafond et de la lampe de chevet. Le lit était immense, vers lequel elles l’attirèrent. Elles commencèrent, se posant sur le bord de celui-ci, à sortir sa queue de son pantalon. Il était bien dilaté, et elles parurent ravies de cela. Il y avait en elle une sorte de joie enfantine pour tout ce qui concernait le sexe. Une queue, pour elles, c’était comme un jouet.
Dans un mouvement commun, elles se penchèrent sur sa verge et elles se mirent à le caresser de la langue. La sensation était aussi excitante que l’image qu’elles offraient, penchées sur lui, jouant habilement de la langue comme elles l’avaient fait jusqu’à présent en solo, commençant chacune sur une zone de chair, mais venant ensuite s’entremêler sur une troisième, et accrochant leurs langues en même temps qu’elles caressaient sa chair. Rien que ça, ç’aurait été suffisant pour le faire jouir sur le champ, mais il s’efforçait de se maîtriser au maximum, conscient qu’au bout d’un certain nombre d’éjaculations, il ne pourrait plus bander. Or il voulait tenir aussi longtemps que possible pour profiter au maximum de leurs corps…
Xang, la première finit par reculer. Elle se laissa aller en arrière, totalement offerte. C’était la première fois qu’il la voyait intégralement nue, puisque généralement, elle gardait au moins une partie de la combinaison sur elle, descendue au-delà de ses cuisses, tirebouchonnée au-delà de ses genoux, sur ses chaussures, ou, si elle l’enlevait, au moins un sous-vêtement. Là, elle lui offrait l’intégralité de sa nudité, dont il put profiter sous tous les angles, au fil de la soirée, alors qu’elle se tournait et se retournait. Zin-Tsi, elle garda un moment la nuisette, avant de l’enlever, mais c’était excitant, parce qu’elle remontait et redescendait, et elle lui donnait le loisir d’apercevoir sa chair, puis celle-ci disparaissait.
—Regarde-nous, suggéra Xang, et ensuite, tu viendras jouer avec nous !
Il ne le sut jamais vraiment, mais il imagina sans mal que les deux jeunes femmes devaient passer leurs soirées à s’envoyer en l’air, jusqu’à l’épuisement. Il y eut à ce moment-là, entre elles, une proximité, une intimité, qui faisait clairement comprendre que ce n’était pas la première fois qu’elles se donnaient l’une à l’autre, mais qu’au contraire, cela faisait pas mal de temps qu’elles exploraient le corps de l’autre, jusqu’à le connaître par cœur. Xang abandonnée en travers du lit, ZIn-Tsi vint au dessus d’elle. Les deux filles commencèrent par sortir, l’une et l’autre, leurs langues, et les frottèrent longuement. Il y avait dans ce geste quelque chose d’aussi obscène qu’excitant et comme la promesse qu’il y aurait encore plus dans les minutes à venir. Sans la moindre gêne, Max se frottait la queue pour s’apaiser, du liquide pré-sécrétif suintant de son gland, humidifiant ses chairs et sa main.
Zin-Tsi était au-dessus de Xang, le cul tendu vers lui. La nuisette avait remonté haut, et laissait voir ses charmes les plus intimes, Sa croupe, charnue et allongée que sa position ouvrait, les plissements de son anus nettement visibles, et sa vulve toute gonflée, luisante de sécrétions qui disaient son excitation. Xang avait tendu le bras, et elle caressait de la pulpe de ses doigts les lèvres qui sortaient et se dépliaient, se gorgeant de sang sous l’effet de la caresse. Les doigts de Xang se poissaient de liquide.
Zin-Tsi descendit et vint se positionner sur la poitrine de sa complice, dont elle prit alternativement un des tétons puis l’autre dans sa bouche. Xang avait glissé un doigt, puis un deuxième, et enfin un troisième, rapprochant ses doigts, dans la vulve de sa camarade, et les faisait doucement aller et venir, sortant puis rentrant, mais allant à chaque fois plus profond. Xin-Tsi coulait d’abondance en même temps que sa vulve s’ouvrait, et on voyait à présent en partie l’intérieur d’une muqueuse rose. Un liquide huileux suintait sur les doigts de Xang, et dégoulinait sur sa main, jusqu’à son avant-bras. Le sexe de Xang, encore vierge de toute approche, s’ouvrait lui aussi, l’excitation de ses seins se communiquant à tout son corps, et sous le regard de Max, il se dilatait, s’élargissait, suintant, le clitoris sortant. La veille, entre midi et deux, elle lui avait donné son sexe à lécher, basculée en arrière sur la grande table. Il l’avait parcouru, explorant ses replis les plus intimes, buvant ses sécrétions, la faisant jouir, avant qu’elle ne le masturbe. Il avait gardé tout l’après-midi le goût de ses jus intimes dans sa bouche, comme un souvenir de ce moment.
Zin-Tsi descendit le long du corps de la jeune femme en traçant des arabesques jusqu’à arriver sur son sexe. Elle tourna dessus, langue acérée, agaçant ses chairs et faisant se dilater celles-ci. Ce qu’elle fit ensuite, Max n’avait jamais vu aucune fille le faire auparavant. Est-ce qu’elles se livraient à cela régulièrement, ou bien était-ce une sorte de ‘spécial’ exprès pour lui ?
ZIn-Tsi glissa un premier doigt entre les lèvres de son amie, et le fit aller et venir. Xang, sous l’effet de la caresse, ferma les yeux, et se mit à gémir. Très rapidement, Zin-Tsi introduisit un autre doigt, puis encore un troisième. Elle cessa de faire aller et venir sa main pour rester à l’intérieur. Xang se laissait faire, avec un sourire ravi sur le visage. Etait-ce là leur pratique quotidienne et nocturne ?
Max comprit où elle voulait en venir. Elle rentra le quatrième doigt. Il restait le pouce, qu’elle replia, et la main de Zin-Tsi fut entièrement dans le vagin de Xang. Max était partagé entre fascination et excitation. Il n’avait jamais encore jamais mis sa main dans le sexe d’une fille, ni même pensé le faire. Sa grosse paluche serait-elle, d’ailleurs, rentrée ?
Il changea pourtant totalement de perspective quelques minutes plus tard.
Pour l’heure, il se contenta de regarder Zin-Tsi caresser Xang. On ne voyait rien, et c’était précisément ce qui faisait tout le charme de la chose. Ce qui rendait cet acte excitant, c’était de ne rien voir, et d’imaginer la main à l’intérieur, caressant le sexe, allant à la rencontre du relief interne de la vulve, frôlant les parois, et procurant un plaisir intense à la jeune femme. Les sensations devaient être très fortes, aussi bien pour Xang, qui devait avoir bien plus de plaisir que ne pouvait lui en donner une simple queue, allant et venant simplement dans sa vulve, alors que la main se dirigeait vers de zones inexplorées. Elle pouvait cibler un endroit, le travailler, appuyer sur un point…
Du liquide coulait le long du poignet de ZIn-Tsi, épais, sirupeux, qui venait se perdre sur son avant- bras en une série de filets…
Elle se tourna vers Max et lui dit :
—Maintenant, viens sur moi… Tu peux mettre ta queue si tu veux, il y a une boite de capotes sur la table, là, mais si tu veux venir avec ta main, tu peux aussi…On aime ça Xang et moi…
Elle avait à peine prononcé cette phrase que Max avait pris sa décision. Il mourait d’envie de découvrir ce que cela pouvait faire d’explorer le vagin d’une femme du bout des doigts. Ce serait peut-être la seule fois de sa vie sexuelle qu’il en aurait l’occasion.
Il s’approcha de Zin-Tsi. Son sexe était suffisamment ouvert pour qu’il puisse risquer plusieurs doigts en elle. Il eut l’instant peur de lui faire mal, mais se rassura en pensant qu’elle devait avoir l’habitude de se faire prendre ainsi, même si la main de Xang était d’évidence plus menue que la sienne.
Sa queue était toute roide de désir. En d’autres temps, il l’aurait glissée dans la chair chaude de Zin-Tsi et y aurait joui, mais aujourd’hui, il était sur autre chose. Il savait que de toute façon, l’une des filles lui donnerait plaisir et soulagement ensuite.
Il vint masser du bout des doigts les lèvres de la fille. Son intérieur était vraiment accessible, on voyait bien ses muqueuses roses, et il plongea un doigt en elle. Elle eut un petit frémissement. Il rentra un deuxième doigt. Il eut des sensations, qui n’étaient pas différentes de celles qu’il pouvait éprouver lorsqu’il mettait sa queue dans une vulve, chaleur et humidité, mais au-delà, la délicatesse de la muqueuse.
—Continue, il faut que tu mettes toute ta main, l’encouragea Zin-Tsi…
Cela se fit comme dans un rêve, sans qu’il y ait d’obstacle. Un doigt, encore un doigt, puis il plia le pouce comme l’avait fait Zin-Tsi pour Xang, qu’elle continuait de fouiller, avec constance. Il se retrouva totalement planté dans la vulve de Zin-Tsi, et déploya sa main, d’abord avec un rien d’hésitation, pour ne pas dire de timidité. Il déplaca doucement ses doigts, prenant la mesure de l’intérieur de la jeune Chinoise, plus riche et complexe qu’il ne l’aurait imaginé au premier abord. L’explorer, comme il le faisait, c’était aussi la caresser, et alors qu’il prenait la mesure de ses parois, de ses creux et de ses reliefs, il la sentait réagir, son corps se tendant, se tordant. Il sentait aussi le ruissellement des liquides issus du plus profond d’elle-même, qui coulaient le long de sa main, et devenaient plus épais. Son intérieur lui semblait être un espace complexe, dont, même en y restant un bon moment, sa main ne pourrait pas mémoriser toute la complexité.
Il se rendit compte que, la jeune Chinoise, tout en continuant de fouiller sa camarade, s’orientait vers la jouissance. Il sentit un frottement contre la chair de la jeune femme, à travers sa main, et se rendit compte que celle-ci frottait avec ardeur son clitoris pour se faire jouir. Son corps fut secoué par une série de spasmes alors qu’elle se vidait de ses sécrétions vaginales, inondant Max en coulant le long de sa main, de son avant-bras, et crachant, dans l’espace entre son poignet et les contours de sa vulve, des jets qui vinrent gifler la chair et le visage de Max. Xang se mit à crier, et éjacula elle aussi, comme l’aurait fait un homme.
Max retira sa main de la vulve de la jeune Asiatique. Elle dégoulinait de liquide. Curieux, il vint laper celui-ci, lui trouvant un goût sucré. Zin-Tsi, retira elle sa main du sexe de son amie, qui resta ouvert, laissant voir loin en elle, jusqu’à la matrice.
Ce fut avec cette main que Xin-Tsi vint masturber sa queue, dure à en être douloureuse. Dans un premier temps, il ne put pas jouir, mais le mouvement vif eut raison de son blocage, et il finit par cracher de multiples traits de sperme qui vinrent s’éparpiller sur le corps de Zin-Tsi.
Il pensait qu’ils allaient en rester là, mais deux minutes plus tard, allongé sur le dos, il laissait Xang venait s’enfoncer sur son sexe, qui n’avait pas perdu de vigueur, pendant que Zin-Tsi tournait sur elle, la caressant et la léchant, venant sucer longuement les pointes de ses seins en même temps qu’elle masturbait son clitoris. Il avait pensé un instant qu’elle serait déçue de retrouver une simple queue en elle, alors qu’une main l’avait caressée, mais cela sembla la satisfaire. Max avait pensé un instant que la vulve était trop ouverte pour sa queue, mais elle avait semblé suffisante pour la remplir, sans qu’il y ait de vide. Xang resta un moment sur lui, puis, sans qu’elle ait joui, Zin-Tsi vint la remplacer, s’asseyant sur sa queue et la faisant rentrer jusqu’à la garde. Elle se fit aller et venir pendant que Xang lui rendait la pareille, tournant autour de son corps. Quand elle s’arracha à lui, Zin-Tsi le délivra du préservatif dont elle l’avait gainé. Les deux filles se penchèrent sur lui, et le frottèrent de la langue pour le faire jouir. Il éclaboussa leur visage de sperme.
Après un bref passage à la salle de bains, ils finirent par s’endormir ensemble.
Il se réveilla au petit matin. Il était temps pour lui de repartir travailler. Les deux filles dormaient encore, l’une en travers de l’autre. Il se glissa sous la douche, se rhabilla. Il rentra chez lui se changer, et partit pour le chantier. A 8 heures, les ouvriers arrivèrent tous. Il savait qu’il y avait parmi eux les deux filles, avec qui il avait passé la nuit, dans ce lien étrange qui les unissait. Il était surpris de constater à quel point cela remplissait sa vie, lui donnait du sens. Elles étaient là pour quelques semaines seulement, il faudrait en profiter au maximum, aux pauses du midi et le soir. Sans aucun doute, quand elles seraient parties, cela ferait un vide dans sa vie. Mais il fallait prendre ce qui venait, accepter le bon comme le moins bon. Ces trois mois et demi resteraient gravés en lui, autant en tirer le maximum.
Ils se verraient à midi.
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Histoire de JamesB

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