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Christine et ses expériences

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Lue : 11190 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/02/2011

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Les impatiences de Christine

Christine m’avait promis quelque surprise. Je m’attendais à tout. Mais je ne savais pas à quoi. Elle avait une imagination érotiquement fort développée. Toujours prête aux jeux, aux inventions de situations originales, excitantes.

Christine, une jeune femme brune, cheveux au carré, grande et assez en chair (petits seins toutefois mais très sensibles aux attouchements). Toujours elle adorait se montrer à des inconnus. Les voir s’exciter et, parfois, souvent, aller plus loin. Grande imagination érotique ? Des tenues qui la mettaient en valeur (je lui en suggérais souvent). La montrer, se montrer semblait chez elle très « normal », quasi « naturel ». Pourquoi ne pas faire plaisir aux autres alors que soi-même on y prend plaisir ? – me disait-elle. Jeux érotiques multiples avec hommes ou femmes. Elle aimait. J’adorais.
Je parle d’elle au passé parce que je ne la vois plus que très rarement.

Un soir, j’appelle Christine de chez un ami chez qui j’étais allé au sujet d’un « texte » que je devais lui rendre de façon urgente. Je lui dis que je serai là vers 20 h. Pas de problème m’annonce-t-elle, tu verras un type que j’ai rencontrée et qui va passer la nuit à la maison, j’espère que cela ne t’ennuie pas.
Aucune objection (j’ai toujours été fort tolérant).
A 20 h tapantes, elle m’ouvre la porte. Je l’embrasse. Elle est vêtue d’une super mini jupe en cuir, de bottines, d’un petit « haut » qui met en valeur sa petite et belle poitrine. Je suis toutefois assez surpris qu’elle ait revêtue cette tenue que je croyais qu’elle ne portait que « pour moi », en privé.
« Pourquoi es-tu surpris, tu sais que je t’aime. Et tu adores que je sois indécente, un peu pute - comme tu dis »

J’accepte ses remarques. Elle est si baisable, mes doigts sous sa jupe récoltent ses humeurs coulantes, odorantes, poisseuses. Je suis toutefois assez jaloux sachant qu’elle ne saura manquer de lui (au type recueilli) donner accès visible à ses dessous, à ses guenilles débordantes des petits linges qui essaient en vain de les couvrir.
Je fais la rencontre de ce Robert : un homme assez corpulent, poli, pas jeune (entre 60 et 70 ans). Nous buvons un verre. Christine me regarde avec les yeux pétillants pleins de sous-entendus. Je sais ce qu’elle veut. Je n’ose toutefois y croire, tout à fait. Elle va se montrer, ça je le sais. Cela ne me dérange pas du tout. Au contraire. J’adore la montrer. Ou qu’elle se montre à d’autres hommes devant moi. Cela m’excite assez. Elle a toujours aimé les tenues « indécentes » et les porter avec moi (et pas seulement). J’aime voir qu’on la regarde. Qu’elle montre ses petits dessous qui ne cachent rien, ou presque. Combien de fois m’a-t-elle dit à l’oreille, ouvrant les jambes, qu’un type la matait et combien cela la faisait mouiller.

Je file à mon ordinateur dans mon bureau. Inquiet et très excité. Je termine mon texte assez rapidement. Puis je vais vers le salon. Je me fais invisible. Je regarde. Surprise…
Il est debout, elle est assise. Elle a ouvert sa braguette et est en train de lui caresser les couilles. Elle adore ça, je le sais. Elle le tripote, le malaxe comme elle sait le faire si bien. Il baisse son pantalon laissant apparaître son gros slip de coton blanc. Elle continue à le tripoter, passant sa main gauche entre ses fesses par-dessus son slip. Je bande, surpris de ne pas réagir autrement. Cela me plaît-il ? Certainement. Elle lui descend un peu le slip et fourre sa main sur ses grosses boules. (Christine m’a toujours avoué adorer les grosses couilles, jamais assez grosses selon ses goûts !) Elle les titille, les malaxe encore et encore. Elle lui sort le chibre et le suce avec avidité. Puis, soudainement, elle se tourne et lui offre son beau cul. Il la baise, le peut-il vraiment. Je ne sais. Je jouis avant lui et me retire discrètement, rapidement. L’émotion aura été forte. Pourquoi cela m’excite-t-il tant de voir Christine dans ces situations scabreuses ?

Je reviens vingt minutes après. Tout est en ordre, apparemment. Ils discutent. Je bois un verre avec eux.
Je prends Christine à part pour une petite conversation. Elle me jure n’avoir rien fait de « spécial ». Je lui dis la croire. Elle me dit, toutefois, qu’elle s’est un peu montrée mais que cela est tout à fait « normal ». Je l’approuve et qu’elle se montre n’est en rien scandaleux. On s’embrasse, se caresse. Elle est toute mouillée. Elle est très souvent mouillée..
Elle me dit : « J’ai une idée, qu’en penses-tu. Si on invitait Carole et Michel pour finir la soirée. Il n’est pas très tard, tu es fatigué et je suis certaine que tu aimeras bien voir Carole ? »
J’ai, en effet, envie de voir Carole, une belle jeune femme brune comme Christine, aux formes très féminines et pour laquelle j’ai pas mal d’envies. Christine, je le sais, a déjà eu plusieurs relations avec Michel. Je ne lui en veux pas. C’est un bel homme, charmant, grand, intelligent.
Elle me dit « Je les appelle » - ils habitent à cinq minutes.

Une demi-heure après on sonne à la porte. Ils sont là. Carole est vêtue très sexy : jupe courte, blanche, bottines, petit haut dévoilant son ventre, seins bien dessinés et moulés, mis en valeur. Lui, il est le beau mec dont peuvent rêver toutes les midinettes.
La soirée pourra être « intéressante ».
Ils ont apporté des bouteilles. Nous buvons tous les cinq quelques verres, grignotons quelques douceurs. Nous parlons beaucoup. Musique d’ambiance, lumière tamisée.
Eros arrive doucement.
Carole est superbe, elle me plait beaucoup. Elle ne semble pas indifférente à mes attentions. On s’embrasse, se frotte. Se susurre à l’oreille quelques mots doux.
On m’appelle au téléphone ! C’est pour le texte que je viens de terminer si rapidement. La conversation dure. Je suis absent de la scène durant près d’une demi heure.
Impatient, je reviens.
Et ?

Surprise ! Christine est dans un coin, elle vient de se faire baiser par Michel. Elle se reprend dès qu’elle m’aperçoit, un peu gênée, elle réajuste sa jupe. Elle me jette un œil plein de complicité et d’amour.
Je ne lui en veux pas. Je sais. Elle aime se faire mettre dans des lieux et situations insolites. Elle a un petit coté « collectionneuse » qu’elle reconnaît volontiers.
Nous nous écartons un peu du lieu afin de nous parler.
Par contre Carole continue à sucer et tripoter Robert. Je suis choqué, presque jaloux. M’apercevant, elle s’arrête un instant. Et poursuit son « travail » avec une grande application. Comme pour m’exciter de savoir qu’elle aime la débauche.

Nous nous rencontrons quelques minutes plus tard. Pour parler. Elle aurait tellement eu envie de faire tout cela avec moi – me dit-elle. Elle m’avoue qu’elle est encore plus salope que Christine. Je lui demande qu’elle me le prouve. « Je te le prouverai, tu verras ! »
Ce sera pour plus tard…
On se caresse, s’embrasse. Nous nous disons à plus tard, les yeux embués, tristes.

Je termine la soirée avec Christine, elle me raconte tout ce qu’elle a fait. Elle me dit que si je lui amenais un inconnu, tout de suite, elle se donnerait à lui, pour moi. Je me refuse à donner satisfaction à ses folles envies.

Nous dormons enlacés comme des innocents, amoureux.
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Histoire de philominicuir

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Commentaires du récit : Christine et ses expériences

Le 21/08/2022 - 01:12 par Rasoir
Hmmm, une bien belle situation !merci pour ce partage !

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