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Cinéma ?

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Lue : 4410 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/01/2013

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Mon métier ? Employée de bureau au chômage. La vie tourne, je dois faire tourner la baraque. Un jour je trouve par hasard un emploi dans la publicité. De là à aller plus bas, sans m'en douter j'arrive à ce que je fais depuis plusieurs semaines.

Un jour, je me suis trouvée nue dans les bras d'une autre. La scène devait se dérouler dans une chambre d'amoureuse. Moi, les filles je n'en fais pas des caisses. Je préfère et de loin les amours avec un véritable homme bien monté de préférence, qui bande comme un âne. Je faisais semblant de prendre mon pied.

Nous devions faire l'amour ensemble sur un grand lit en présence d'un homme qui ne pouvait plus bander.

Juste avant nous nous sommes rencontrées comme des collègues de travail avec une bise sur les joues. Je ne la regardais qu'à peine. Avant de nous allonger nous discutions boutique. Elle était, avant, secrétaire dans un groupe d'assurance qui l'avait licenciée. Ce devait être assez cocasse pour les techniciens de nous voir bavarder sans même nous préoccuper de la suite.

J'étais enfin couchée selon les directives du meneur de jeu. L'autre fille venais presque contre moi. Je sentais sa chaleur. Le studio était fort chaud. Ceci expliquant cela. C'est elle qui devait m'initier. Elle m'a embrassée avec autant de chaleur qu'un glaçon. Je devais déguster sa langue.

C'était à moi d'agir en lui prenant une épaule avec une main. En fermant les yeux je devais dire qu'elle me faisait du bien. Mon corps était à mille lieux du plateau. Sa main se glissait sur les seins, le ventre, le nombril pour aller se perdre entre mes cuisses. Je ne sais ce qui lui est passé par la tête, elle m'a bien branlé.

Mon abricot était trempé. Je me laissais aller au vrai plaisir, j'en soupirais d'aise. Bien sûr moi seule remarquait que j'allais jouir. Elle continuait pour que mon plaisir soit parfait.

Je jouissais plusieurs fois sous sa main. Notre baiser devenait vrai. La prise de vue n'était pas bonne : il fallait recommencer. Cette fois supplémentaire était meilleure pour nous que la première. Elle murmurait en me demandant si j'aimais ce qu'elle faisait. Je serrai son bras en murmurant qu'elle savait me donner un vrai plaisir. Jusqu'à présent mes amants m'envoyaient en l'air, pas comme elle.

Pendant la pause, nous restions assises blotties.

C'est moi qui caressais ses épaules et ses seins. Elle levait son visage vers moi en souriant.

Nous sommes parties ensemble le soir. Au cours du repas, dans un petit restaurant j'ai continué à l'entreprendre. J'avais envie de baiser, j'avais envie d'elle. Elle aussi me regardait tendrement. Les voisins de tables ont dû se rendre compte de la suite, sauf nous.

Ce n'est qu'avant de se séparer que nos lèvres se sont réellement rencontrées. Le premier baiser de cinéma ne comptait pas.

Plus tard, chez elle, nous buvions un café fort. Normalement je ne prends jamais de café le soir, mais là avec elle....

Elle m'a déshabillée, je l'ai laissé faire. Elle aussi nue, sauf un string léger, nous nous sommes embrassées profondément. Les caméras étaient loin, nos corps étaient proches.

Je sentais ses mains masser mes fesses. Je collais le pubis contre le sien. Elle s'écartait un peu pour passer ses jambes autour de mes cuisses. Je la sentais se frotter contre moi. Ainsi elle commençait seule à se masturber sur moi. J'avais envie d'elle, ma main est venue sur sa figue. Deux de mes doigts suffisaient pour caresser son sexe.

Elle passait sa main entre les fesses, cherchant et trouvant surtout le petit trou. Un puis deux doigts entraient en moi. Je ne pouvais rien faire contre l'orgasme inattendu, sinon gémir.

Elle m'a couché, est venu sur moi. Sa bouche venait tondre ma pelouse. Clouée par le plaisir je ne répondais pas encore. Après le deuxième orgasme je me réveillais. Ma langue à son tour divaguait dans la chatte. J'écartais les bords du sous vêtement, trouvais son bouton presque trop rose. Ma langue le rafraîchissait un peu en léchant. D'une main passée sur mes cuisses, elle trouvait mon petit trou. Je ne sais combien elle en a entré : elle me donnait une foule d'orgasme.

Il nous arrive de tourner ensemble. Nous baisons tous les jours chez elle qui est aussi chez moi depuis longtemps.
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Histoire de fabrissa

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