Cloé

Cloé, depuis sa plus tendre enfance, est en admiration devant son papa Lucas et sa maman Rose ; elle les adore, les trois sont très fusionnels. Souvent, en regardant la télé, elle est entre son papa et sa maman. Et se blottit, une fois contre l'un, une fois contre l'autre, en ronronnant comme une chatte que l'on flatte de la main. Maintenant, Cloé est une belle femme qui a atteint sa majorité. Ses parents ne l'ont pas vu grandir. Elle a un petit copain, les deux s'adorent. Elle a présenté Roger à ses parents, qui le trouvent sympathique.


Un jour, plus câline que d'habitude, elle serre fortement son papa contre elle. Son top et son short ultra-court, mettent en évidence ses formes. Lucas est émerveillé par ce corps qu'il semble découvrir pour là plusieurs fois. Il ravale sa salive, des idées immorales, voire incestueuses, traversent son esprit. Il a beaucoup de mal à se maitriser. Sa fille, appuyée contre lui, l'excite comme jamais, il ne l'a été. Il déglutit bruyamment en soupirant. Mal à l'aise, il regarde sa femme qui ne lui ait d'aucun secours. Elle hausse les épaules en poussant de gros soupirs d'impuissances. Très gêné, il ne peut cacher l'érection qui déforme son pantalon. Sa fille remarque la déformation du pantalon et, audacieusement, pose sa main sur la cuisse de son papa qui sursaute. Surpris, il n'a pas la force de la repousser. Il regarde sa femme qui ne quitte pas des yeux la main baladeuse de sa fille qui glisse lentement sur la cuisse de son mari, en l'approchant dangereusement du manche en érection. Cela semble même l'exciter, Rose avance son bassin sur le bord du canapé, en se pinçant les lèvres.

La main frôle plusieurs fois la verge tendue, caresse le ventre en faisant de petits cercles. Cloé, lève les yeux vers son papa, elle accroche son regard. Elle saisit la verge tendue et la presse sans cesser de regarder son papa, qui complétement, tétanisé, sursaute. Il erre les cuisses fortement et saisit la main de sa fille, qui ne lâche pas la verge dure. Bien que son papa lui retienne la main, elle tente comme elle peut de branler l'engin. Elle dit faiblement :

-Mon Dieu, ce qu'elle est grosse ta bite, papa !

Inconsciemment, il libère la main de sa fille, qui maintenant agite férocement le membre emprisonné dans son carcan de tissu. La maman écarquille les yeux, le spectacle, bien qu'incestueux, lui fait mouiller la culotte. Cloé cesse de branler et, sans complexe, extirpe du pantalon la verge qui se détend comme un ressort. Elle l'empoigne et l'agite rapidement, en serrant les dents. Lucas est compétemment déboussolé, mais c'est si bon qu'il se laisse faire, il ferme les yeux et gémit faiblement, en respirant de plus en plus rapidement. Rose regarde la main agile de sa fille, décalotter à chaque descente le gland marbré de son mari, qui plane de bonheur.

Cloé cesse la masturbation, et décalotte le gland au maximum. Elle donne plusieurs coups de langue sur le cèpe, avant de le gober. Les succions et les aspirations sont phénoménales, Lucas se cambre le plus possible en grognant comme un fauve. La maman, chaude comme de la braise, n'en peut plus. Elle retrousse sa jupe, écarte sa culotte humide et saisit son clitoris. Elle l'agite avec rage en ne cessant de regarder le couple en action

Un gémissement, plus fort que les autres, la fait sursauter. Son mari vient d'inonder la bouche de sa fille avec son sperme. Elle le repousse avant d'avaler la semence épaisse. Cloé se met debout, sa maman admire les lobes fessiers que le short, trop court, ne peut cacher. Elle accélère sa masturbation, son clitoris est devenu monstrueux, elle le maltraite en grimaçant. Une jouissance exceptionnelle la fait hurler. Même très excitée, jamais, elle n'aurait imaginé se masturber devant sa fille, mais elle l'a quand même fait, c'était plus fort qu'elle, elle n'a pas su se contrôler.

Cloé en veut plus, avec l'aide de son papa, elle ôte ses vêtements, puis repousse son papa sur le canapé. Il contemple avec émerveillement la poitrine pas très grosse et la fine toison, qui garnit la Fente déjà très humide. Rose se lève, et dégrafe la ceinture du pantalon de son mari. Sans trop de difficulté, elle réussit à le retirer, ainsi que le slip. Cloé, impatiente, l'enjambe, elle saisit la verge gluante et s'empale dessus. Elle s'agite comme une hystérique en cherchant sa jouissance. Ses gémissements ressemblent à ceux d'une agonisante. Son corps monte et descend sur le membre infatigable de son papa, qui s'accroche à elle en grognant de plaisir. La maman veut participer aussi, elle se place derrière sa fille et lui malaxe les seins, lui triture les mamelons, jusqu'à ce qu'ils arrivent à maturités. Elle les roule, les étire et les presse en arrachant à Cloé des grognements de bête, tombée dans un piège.

La coquine s'agite, elle tient son papa par le cou, pour ne pas être désarçonnée de sa monture. Dans un long râle, elle explose de jouissance. Lucas donne des coups de reins dévastateurs, pendant que sa femme malmène les mamelons de leur fille. Puis, elle les écrase fortement, Cloé se tend en poussant un hurlement, une jouissance aussi violente que la précédente la fait cabrer. Son papa, au bout du rouleau, explose à son tour, il déverse dans le ventre de sa fille un flot de sperme visqueux.

Cloé descend de sa monture péniblement, aidée heureusement pas sa maman, qui, excitée comme jamais, la couche sur le sol et lui dévore la chatte à grands coups de langues. Pendant de longues minutes, Rose savoure le fruit trop mûr qui rejette son jus. Cloé jouit encore, mais ce n'est pas fini. Sa maman change de position, elle se met tête bêche sur sa fille. Les deux femmes, se dévorent les orifices avec acharnement jusqu'à ce que leurs jouissances les épuisent. Très souvent, depuis cette folie, les trois amants passent des heures à se faire l'amour, cela dure quelques années, Avant Cloé ne se marie avec Roger.

Depuis ce jour, les parents sont privés du corps de leur fille. Comme le couple habite cher Lucas et Rose momentanément, Lucas discrètement enlace sa fille, se plaque contre ses fesses et en lui malaxant les seins lui murmure à l'oreille :

-Oh ma chérie, ton corps manque à maman et à moi, fréquemment lorsque je baise ta maman, je pense à toi. Il lui passe sa main sous la jupe, et lui caresse la fente, qui rapidement humidifie la culotte. En soufflant comme un dragon, Cloé dit :

-Vous aussi, vous me manquez, mais maintenant, je suis mariée, et cela change bien les choses !

En insistant, Lucas demande :

-Tu ne peux pas le convaincre de se joindre à nous !

Ouh la, la, ce ne va pas être facile, il ignore que j'ai couché avec vous. Je n'ose lui en parler. Ou alors maman doit y mettre du sien, qu'elle l'excite, peut-être qu'il la draguera, et une fois pris sur le fait, il ne pourra plus nous refuser de se joindre à nous !

Lucas réplique :

- Bonne idée, je vais en parler à ta maman !

Rose ne peut qu'accepter, elle ne demande pas mieux que d'allumer son gendre. Elle décide d'employer tous les moyens. Lorsque Roger est au salon, elle se promène en petite tenue, en prenant un air surpris de le trouver là. Le bougre la dévore des yeux, il est vrai que Rose à un corps très bien sculpté. Elle n'a rien à envier aux jeunettes. Elle ressort du salon très lentement, en se déhanchant comme un félin. Roger la suit du regard, il déglutit bruyamment

Quelques instants plus tard, elle sort de la salle bain avec une serviette enroulée sur son corps, nouée sur les seins. Elle retourne au salon, et se place devant son gendre. Il écarquille les yeux en regardant par-dessus son journal. Elle pose un pied sur la petite table basse, et se triture les orteils. La position est telle, que la serviette s'entrouvre. Roger peut apercevoir la chatte de sa belle-mère, qui continue de se tripoter les orteils. De temps en temps, elle jette un regard discret sur lui, elle sourit intérieurement, le bougre ne peut cacher la bosse qui déforme son pantalon.

Elle change de pied en laissant voir encore mieux sa toison. Les yeux de Roger ne quittent pas le temple, ses mains tremblent, son journal frémit, Rose relève la tête et voit l'émoi de son gendre. Elle dit :

-Oh Roger, vous êtes pâle, cela ne va pas ?

C'est en léguant qu'il répond :

-Oui, oui, tout va bien !

Elle retire son pied de la table et en passant près de lui, comme par magie, sa serviette tombe sur le sol. Roger sursaute, il ne quitte pas des yeux le corps nu de belle-maman, il se penche pour ramasser la serviette. Mais, sa tête est si près de la chatte, qu'il peut en humer les effluves. Soudain, avec une certaine audace, Rose lui saisit la tête et la plaque contre sa chatte, et lui dit :

-Elle te plait, alors bouffe-la, tu en meurs d'envie !

Après un moment d'hésitation, il se relève, enlace sa belle-mère, et lui :

-Tu parles que je vais te la bouffer ta chatte, tu me fais bander salope :

Il la bascule sur le canapé et plaque sa bouche sur sa vulve. Il donne des coups de langue comme un animal qui lape. En grognant, il l'enfonce au plus profond du vagin, le fouille longuement, avant d'aspirer le jus que la chatte en ébullition rejette. Il gobe le clito, le suce comme un bonbon acidulé. Rose agite son bassin en gémissant, une première jouissance la fait hurler. C'est ce moment qu'attendaient Cloé et son papa pour entrée. Roger sursaute, et devient rouge comme une pivoine, il veut dire quelque chose, mais sa gorge est nouée. C'est sa femme qui prend la parole :

-Alors mon salaud, elle est bonne maman, tu aimes lui bouffer la chatte avoue !

Cloé regarde son papa complice, et lui dit :

-Fait comme lui papa, bouffe-moi la chatte, éclate là !

Elle retire sa jupe et sa culotte, elle s'allonge sur la petite table, et ouvre les cuisses. Sans se faire prier, Lucas s'agenouille devant sa fille et commence à lui dévorer la chatte. Rose intervient :

-Continue Roger, baise-moi, baise-moi, fais-moi encore jouir !

Roger ne comprend plus rien, mais il bande tellement qu'il ne peut résister à la demande de sa belle-mère. Il retire son pantalon et son slip, il présente sa bite gorgée de sang à la fente en feu. Il saisit Rose par les hanches et lui enfonce brutalement sa queue fortement veinée dans le ventre.