Coiffeuse à domicile

Depuis un an nous avons une coiffeuse qui vient à domicile une fois par mois. C’est une fille très sympathique, qui parle beaucoup et nous confie beaucoup de chose de sa vie personnelle voir intime. Pendant nos coupes respectives nous discutons souvent tous les trois. Nous avons passé la cinquantaine et la coiffeuse à 34 ans. Elle est mince environ 1,65m avec de très jolie yeux bleus, une petite poitrine que j’ai déjà réussi à mater et malgré des jambes fines un beau fessier que je me lasse pas regarder à travers son jean quand elle coiffe ma femme.

Il y a quelque temps je me suis fait surprendre par la coiffeuse à être plongé dans son décolleté qu’elle m’offrait gracieusement. Elle portait un soutif noir avec quelques dentelles. Je me suis fait la remarque qu’elle portait quand même des soutifs avec si peu seins. Je vais appeler la coiffeuse Suzie. Suzie constatant mon regard dans son décolleté m’a regardé et a continuée à parler à mon épouse sans modifier sa position avantageuse pour moi.

J’ai remarqué que lors des rendez-vous suivant Suzie avait toujours soit un décolleté soit un bouton d’ouvert à son chemisier qui sans être provocateur me laissait mes chances pour voir le début des seins ou son soutif et même en présence de ma femme qui ne m’a jamais fait une remarque sur sa tenue vestimentaire.

Suzie est très nature dans ses propos et nous a déjà parlée de son intimité avec son mari qu’il avait toujours envie et qu’il lui avait proposé une fois de faire un streap poker avec des amis. Suzie nous demande notre avis et précise que si c’est resté en sous-vêtements ce n’était pas bien méchant et pouvait à la limite être rigolo. Je lui ai précisé que s’arrêtait rarement à cela et que l’on finissait à poil voire plus si affinité. Ça réponse nous a surpris ma femme et moi, Suzie nous dit si je pouvais choisir avec qui jouer encore, pourquoi pas comme vous par exemple ça me gênerait moins. J’ai senti ma femme sans voix et j’ai répondu à Suzie je ne suis pas sûr que l’on soit très streap poker mais c’est gentil d’avoir pensé à nous et il faut faire attention avec les situations que l’on ne peut pas toujours contrôler. Suzie en rigolant nous dit « vous imaginez si c’est moi qui gagne avec tous ces mecs à poil autour de moi ha oui je vous ai pas dit en plus il y a que moi comme fille car ces messieurs laisse leurs nanas à la maison, en plus il y en a un que je n’aime pas et je n’ai pas envie de lui montrer ma foufoune à celui-là, il a un regard bizarre ». Suzie pour clore cette discussion nous dit finalement qu’elle ne va pas le faire et tant pis si son mari fait la tête. Voilà pour situer un peu le personnage.

Une fois Suzie partie on en a reparlé et rigolé avec ma femme, ça du nous émoustiller un peu car ma femme m’a baissé mon short et fait une fellation, on a fini sur le canapé avec la baie vitrée grande ouverte sur les deux maisons à l’arrière, bien que l’on soit visible des fenêtres du haut que ma femme accepte ça c’est qu’elle était bien excitée. Je ne sais si un voisin nous a vus car je tournais le dos à la fenêtre.

Depuis peu J’ai changé de travail et suis amené à travailler le weekend ce qui pour les rendez-vous avec la coiffeuse devient compliquer à programmer. Suzie continue le samedi matin pour ma femme et moi dans la semaine. Je me rappellerai du premier rendez-vous en semaine car il a été très particulier. En effet Suzie sonne à la porte et quand j’ouvre, Suzie est égale à elle-même tout sourire mais avec en plus une tenue comment dire très légère. Elle qui était toujours en jean avait passé une petite robe légère et un top avec de fine bretelle qui laissait supposer qu’elle n’avait pas de soutif. Elle avait chaussée des chaussures d’été avec des semelles en cordage avec des talons d’au moins 6 cm ce qui lui faisait des plus grandes jambes qu’à l’habitude. L’avantage de cette tenue c’est qu’elle me donnait une idée de son bronzage puisqu’elle venait de passer 2 semaines dans le sud. Comme d’habitude elle installe sa petite valise à roulettes et moi je vais chercher ma chaise pour me faire coiffer. Quand je reviens avec ma chaise Suzie est accroupie à cote de sa valise découvrant sa jambe gauche jusqu’au début des fesses, en effet sa robe très légère pendait derrière elle et dans cette position n’était pas très efficace pour cacher ses cuisses. C’était la première fois que je voyais ses jambes et ça eu un effet immédiat, je me suis senti un peu mal alaise et en même temps très excité, j’avais le cœur qui battait bizarrement. Suzie tout en se relevant et mettant ses ustensiles sur la table me dit « vu la chaleur je vous mets pas la blouse ».

J’étais habillé en short et t shirt. Avant de m’asseoir je lui fis la remarque qu’elle était bien bronzée. Spontanément Suzie me répond qu’ils avaient eu du soleil tout le temps et me demande « vous voulez voir » sans attendre ma réponse Suzie lève son top et expose ses seins devant moi et elle enchaine en me disant « depuis le temps que vous essayez de les voir comme ça c’est fait, ça vous plait ? » je suis resté là comme un con à la regarder sans rien dire. Suzie tenait toujours son top relevé avec les bras à moitié en l’air quand soudain elle dit « bon je ne vais pas rester comme ça toute la matinée allé hop » et d’un coup le top était sur la chaise et Suzie torse nu avec un grand sourire. J’ai pas vu ma tête mais au vu de sa réaction je ne devais pas avoir l’air malin,
Suzie me demanda « ça va c’est sur »
Je fini tout de même par répondre « oui, oui tout va bien, j’ai droit à une coupe en topless ? »
Suzie « allez ma première topless c’est pour vous, même à mon mari je ne lui en ai pas fait »
Je lui répondis « oui mais moi ce n’est pas pareil, tu risques rien, ça risque pas de finir en partie de jambe en l’air. »
Suzie « qui sait, peut-être que ça va vous donner des idées, mais faudra attendre Mme car moi je m’arrête là »
Moi « dommage ».
Suzie « vous plaigniez pas je vous demande pas supplément, rire ! ».

Je m’assoie enfin sur la chaise quand Suzie me déclare « au fait ce n’est pas juste, j’ai les nichons à l’air et pas vous, allez allez on m’enlève le t shirt»,
Je m’exécute et me retrouve torse nu. Suzie commence sa coupe par mon côté droit, je la sens là juste à côté, son petit ventre vient frotter contre mon bras à chaque mouvement de son bras, le contact de sa peau a fini par complètement m’exciter et je maitrisais plus grand-chose et encore moins ce qui se passait dans mon short. Ne pouvant baisser la tête, je ne savais pas si mon érection se voyait beaucoup. Suzie se décala un peu mettant son sein droit presque à portée de ma vue, mais pour profiter du spectacle je devais quand même tourner un peu la tête. Suzie me reprit plusieurs fois pour que je garde la tête droite et je fini par lui avouer que c’était compliqué. Suite à ma remarque Suzie me dit « j’ai une solution je vais me mettre en face de vous comme ça vous pourrez profiter de la vue et moi je pourrai faire ma coupe ». Je me réjouis de cette idée mais ce que je n’avais pas prévu c’est que Suzie est venue se mettre sur mes genoux et me demanda de baisser un peu la tête. Du coup j’avais une vue imprenable sur ses seins qui pointait et j’avais envie de les caresser, de sucer ses tétons qui avaient durcit. Ma position m’offrait un autre panorama, les cuisses de Suzie, en effet en s’asseyant sur moi elle avait les jambes écartées et m’offrait sa petite fente protégée par un léger tissu rouge plus que transparent. J’en pouvais plus, mon sexe était gonflé à bloc sa chatte était à moins de 20 cm de ma gaule j’avais jamais vécu un truc pareil. Pour la provoquer un peu et lui dire la vue qu’elle m’offre je lui dis « tu aimes bien le rouge ? »
Suzie « pour les strings et les soutifs j’aime bien mais pas pour les culottes »
Moi « celui-ci est sympa »
Suzie « quand il fait chaud, on à l’impression de rien avoir »
Moi « en même temps y a pas grand-chose »

Suzie s’arrête de coupée baisse la tête, je ne sais pas si elle regarde sa jupe ou la bosse plus que visible dans mon short. Elle soulève d’un coup sa jupe, regarde son entrejambe et dit « effectivement et en plus il est bien transparent » Suzie « bon ont essai de finir la coupe » « bougez pas je m’avance un peu pour faire le dessus » sur ces paroles Suzie s’avance sur mes genoux a pratiquement coller son minou contre mes couilles et ses seins à quelques centimètres de mon visage. Je n’ai pas pu m’empêcher de me dire quelle salope pour me chauffer comme ça, elle cache bien son jeu. Bizarrement j’étais encore moins bien j’avais peur de faire un geste qui l’a dérange et que tout s’arrête, ce qui fait que j’étais très passif et elle la maitresse du jeu. Je suis persuadé que mon embarras l’amuse en l’a voyant à l’aise dans cette situation. C’est toujours elle qui pousse le curseur ou qui propose de nouvelles situations. Cette nouvelle position dure bien 5 mn quand Suzie avec un petit sourire en coin me dit droit dans les yeux « je vous ai mis plein de petits cheveux partout, je vais vous enlever tout ça » aussi sec dans ma tête pleins de scénarios se sont télescopés. Tout en étant sur mes genoux Suzie attrape son plumeau à cheveux et commence par me frotter le coup, puis descend sur mon torse. Je vois que Suzie prend un malin plaisir avec son plumeau surtout quand elle s’attarde sur mes tétons et joue avec. Là je suis dans une autre dimension, je me laisse aller et profite pleinement de ce moment. Suzie rompt le silence en me demandant si elle n’était pas trop lourde. Elle qui est gaulée comme un moineau, trop lourde ? je pourrai rester des heures comme ça à voir ses seins se balancer devant moi à avoir sa bouche si prêt de la mienne par moment, d’avoir ses cuisses offertes à porter de mains et d’avoir son minou derrière son tchador rouge. J’ai qu’une envie c’est de bouffer tout ça, de lui dire les petits jeux c’est fini on passe aux choses sérieuses, de découvrir son minou, de lui lécher son abricot qui doit être bien juteux car je vois bien qu’elle aussi est excitée, de la retourner et da la prendre sur la table de la salle à manger , qu’elle m’attrape mon sexe et me fasse une pipe d’enfer. J’ai tout ça en tête quand je lui réponds « je pourrai rester des heures comme ça »,
Suzie « je me doute, c’est agréable de se faire papouiller »
Moi « surtout dans ces conditions en plus j’adore ça »
Suzie « moi aussi mais faut toujours que je réclame à mon mari pour en avoir et il fait n’importe comment du coup ça m’énerve »
Moi « si tu veux la prochaine fois on inverse, c’est moi qui m’occupe de toi »
Suzie « vous ne perdez pas le nord, vous prenez rendez-vous pour une autre coupe ou pour autre chose ? »
Moi « tu t’occupes bien de moi, pour une fois on peut faire le contraire et ça me ferai plaisir »
Suzie « pour une fois et après ce sera une habitude, on verra pour une fois seulement, c’est moi qui décide, ce sera selon mon humeur et il faudra m’obéir sinon il n’y aura pas de deuxième séance »
Moi « ok d’accord on fait comme ça »

Pour la première fois de la matinée Suzie était sérieuse limite autoritaire. J’ai d’un coup le sentiment que les choses changent sans que je puisse les maitriser. Suzie repris ses va et vient avec son plumeau et est arrivée au nombril avec lequel elle joue. sa main descend jusqu'à mon short, le moment que je redoutais tant arriva, elle balaya vite fait les cheveux sur les côtés de mon short pour ensuite se concentrer sur la partie centrale, là j’ai fermé les yeux, ma salive avait du mal à passer mais surtout je ne pouvais plus la regarder, là sur mes genoux avec sa mine réjouie, ses petits seins et tout le reste, je crois que j’aurai craqué et j’avais pas envie de tout foutre en l’air et ça je crois qu’elle l’a compris et qu’elle en profite. Suzie n’a plus les mêmes mouvements à mon endroit que tout à l’heure, elle alterne l’effleurement et pression, je ne sais pas combien de temps dure son petit manège, mais je suis sûr qu’il n’y a plus de cheveux sur mon short mais elle continue comme si. J’ai toujours les yeux fermes quand Suzie me dit d’une voie coquine et rieuse « ce qui est embêtant quand il fait chaud se sont les petits poils qui passent sous les vêtements et qui grattent »

Suzie était toujours plumeau à la main à me frotter le sexe avec ses poils. La phrase de Suzie fut comme un électro choque et me sorti de mon état végétatif, que devais je comprendre, était-ce une demande ou juste pour me mettre un peu plus dans l’embarras. Quand j’ouvris les yeux, elle était toujours là sur mes genoux, je fus étonné de la contempler comme si c’était la première fois, j’en reprenais plein les yeux des fois qu’il n’y en a pas d’autre.

Suzie revint à la charge « alors on en fait quoi de ses poils qui grattent, je m’en occupe ? ».
Ça veut dire quoi je m’en occupe tout ça n’était pas bien précis et là je me suis surpris à bredouiller un intelligent « ben oui ». J’étais là à attendre je ne sais quoi quand

Suzie me secoua en me disant « enlevez votre short, je ne vais pas le faire pour vous » dans la foulée Suzie se leva et alla s’asseoir dans le fauteuil, je compris que je devais la suivre et me stationner devant elle. Suzie écarta ses cuisses pour que je m’avance davantage, elle leva la tête pour me regarder et je vis dans ses yeux de la malice, un peu de perversité mais surtout qu’elle me dominait à cet instant précis. J’étais devant Suzie qui faisait aller son plumeau devant mon short comme un signe de victoire annoncée. J’étais toujours là un peu bloqué même si j’en avais envie, c’est toujours un peu humiliant de baisser son short dans des conditions pareils et je savais que si je le faisais, j’envoyais un signal de soumission à Suzie.

« allez, j’ai pas que ça à faire, j’ai un autre rendez-vous après « me lança Suzie je compris que c’était maintenant ou jamais, je descendis d’un coup mon short, libérant mon sexe, j’avais tellement mouillé qu’un grand filet reliait encore mon short à mon sexe, cette vision était pour moi encore plus humiliante et Suzie sauta sur l’occasion pour enfoncer le clou en me faisant nettoyer mon sexe avec mes mains pour ne pas salir son plumeau et je dû pour lui prouver me décalotter et lui montrer mon sexe bien propre, j’en avais plein les mains et je ne savais plus ou les mettre. Suzie inspecta ma bite sans la toucher car c’est moi qui l’orientais selon ses instructions et elle y prenait un malin plaisir car ce petit jeu a duré plusieurs minutes. Suzie me demanda de tenir ma verge par le gland et commença ses petits coup de plumeau, c’était terrible pour moi cette sensation sur les couilles avec Suzie en face et de ne pas pouvoir me masturber. En même temps que Suzie me faisait les poussières elle m’indiquait ou je devais placer ma queue et elle en a bien profiter car toute les 5 secondes je devais bouger mon sexe à droite en bas en haut à gauche, le pire c’est quand elle me demandait de me décalotter pour vérifier si tout était nickel quand elle me le demandait je voyais bien qu’elle prenait son pied, elle approchait son visage à quelques centimètres pour bien inspecter avec par moment la bouche entre ouverte comme si elle allait happer mon sexe cela avait pour effet de m’exciter encore plus et ça elle s’avait bien le faire.

Je fus ramener à la réalité par la phrase que je n’avais pas envie d’entendre car finalement j’étais aux anges « allez, c’est fini pour aujourd’hui, on range popol, moi je remets mon top et voilà ».

J’ai mis quelques instants pour réagir, j’étais toujours devant Suzie avec ma trique de fou furieux et elle assise sur le fauteuil à me regarder. J’espérais je ne sais quoi, je fus vite redescendu de mon nuage par Suzie « hello Mr xxx c’est fini, faut que je me lève, si vous voulez rester la bite à l’air y pas de problème » de façon mécanique j’enlevai mes pieds de mon short qui était descendu, si bien que j’étais complètement à poils, ce qui n’étais pas pour déplaire à Suzie qui continuait malgré tout à me mater. Suzie remis son top et je voyais ses tétons tendre le tissus. Nous décidâmes d’un nouveau rendez-vous dans un mois en l’absence de mon épouse, Suzie se baissa pour noter le rendez-vous dans son agenda et je ne pu me retenir de mater encore une fois ses seins, Suzie sans lever la tête me dit « alors Mr xxx vous en avez pas eu assez que vous matez encore mes seins »
Moi « comment tu le sais »
Suzie « depuis le temps que je viens, j’ai repérer votre manège pour me mater, c’est rigolo de vous voir faire surtout qu’en plus moi il y a pas grand-chose à voir, je suis sur quand je suis de dos vous mater mes fesses ? »
Moi « oui et je me gêne pas et une fois que tu es partie je vais me branler dans les wc »
Suzie « c’est ce que vous allez faire »
Moi « ha oui car j’en peux plus »
Suzie « je peux vous demander une derrière choses ? » persuader de ce qu’elle va me demander
Je réponds « tout ce que tu veux »
Suzie « vous allez porter ma valise jusqu'à la voiture, sans rien changer à votre tenue bien évidement, grand sourire ».

À la salope elle m’aura eu jusqu'à la fin car elle me demande simplement de sortir devant chez jusqu’au trottoir à poil. J’habite en pavillon dans une rue en cul de sac qui forme une petite place à son extrémité et c’est là que je demeure. Les deux maisons de chaque côté de la placette sont occupées l’une par la voisine qui est retraite et l’autre c’est une mère en congé parentale. Tout ça pour expliquer que si je sors je peux être vu par mes voisines et les voitures qui font souvent leurs demi-tours sur la place. Là je me sens coincé, Suzie sentant mon hésitation m’achève en me lançant « c’est comme vous voulez, mais je ne suis pas sûr d’être dispo dans la semaine » cela voulait dire des rendez-vous le samedi avec ma femme, quelle garce cette Suzie.
Moi « bon d’accord, je te dépose la valise au trottoir »

Mais ma tentative de négociation va vite tournée court par la réponse de Suzie « non, non, tu l’as met dans coffre et tu attends que j’ai tournée dans la rue pour rentrer chez toi, je te préviens je te vois dans le rétro ».

Alors là j’étais terrorisé, non seulement je n’ai pas obtenu ce que je souhaitais mais cette garce de Suzie m’a rajouté ce supplice d’être nu seul sur la place comme un con. Suzie m’a fait comprendre que si j’essaie de négocier je dois m’attendre à une double peine.

Suzie « bon allez on y va » sur cette injonction je saisi la valise de Suzie, on se dirige vers la porte Suzie attrape la poignée avant moi et me dit avec un grand sourire « après vous » moi qui espérait me mettre derrière elle c’est raté. Je me retrouve à passer le seuil de ma porte à poil avec la bite à l’air et je me surprends à être encore en érection ce qui est pour moi le coup de grâce, déjà que l’on puisse me voir nu devant chez moi était difficile mais en plus en érection, j’en avais des suées. Pour en finir au plus vite j’ai accélérer le pas mais ça n’a servi à rien car Suzie faisait exprès de prendre son temps, je voyais qu’elle s’éclatait à jouer avec moi. Suzie poussa le supplice à me poser des questions sur tels fleurs, sur tel arbuste me laissant encore davantage avec ma gêne. J’étais à hauteur du coffre de Suzie la valise posée au sol car Suzie était encore au niveau du jardin quand Suzie et moi avons entendu un bruit de porte. Suzie et moi avons eu le même reflex mais pas pour les raisons, c’est de chercher d’où vient le bruit, je fus vite renseigné quand j’ai entendu Suzie dire très fort pour se faire remarquer et moi avec « bonjour, belle journée c’est calme ici, pas de problème avec le voisinage » c’était notre nouvelle maman qui sortait prendre son courrier, dans la seconde ou Suzie l’a interpellée, elle m’a captée à poil près de la voiture et son regard m’a détaillé des pied à la tête plusieurs fois pour finir sur mon sexe qui n’était plus en pleine érection mais qui ne laissait pas de doute sur mon état. A ma surprise la voisine paru amusée de la situation et répondit à Suzie « effectivement c’est calme et le voisinage nous réserve parfois de bonne surprise »

Le regard de la voisine passait de Suzie à moi ou plutôt de Suzie à mon sexe parce que maintenant elle ne regardait que ma bite et ça Suzie l’a vite remarquée et elle accroche la voisine en lui expliquant qu’elle est coiffeuse à domicile, un échange s’installe entre Suzie et la voisine qui tout en parlant se rapproche de quelques pas, Suzie à l’affut, ferre la voisine en l’invitant à prendre sa carte de visite qui est dans la voiture. Je me suis dit bien jouer Suzie me voilà exposé à la voisine que je ne connais pas à part bonjour bonsoir, voisine que je n’ai jamais vu de près en plus. En regardant Suzie je vois sur son visage et dans son regard un kiff total, elle ne doit pas être loin de l’orgasme et moi qui me suis toujours pas soulagé ça commence à faire long. Ni une ni deux la voisine s’approche à grand pas et plus elle s’approche, plus elle a l’air réjouis. La voisine s’approchant, ce qui me permet à mon tour de voir à quoi elle ressemble, elle doit faire 1,70m environ elle à des lunettes originales qui lui donnent un look branché, finalement elle bien foutu, je ne sais pas si c’est l’allaitement mais elle a un bon 95 voire 100, par contre pas de ventre, elle doit être sportive. Très rapidement le contact est fait et la voisine est à 50cm de moi et me reluque sans aucune gêne et même avec insistance sur mes couilles et elle me regarde aussi droit dans les yeux comme pour me faire passer un message « t’as vus t’es à poil et moi je te mate sans que tu ne puisses rien faire ». Elle avait bien raison la voisine. Suzie savourant la situation en rajoute en se tournant vers la voisine pour lui dire « je vous présente Paul, que vous n’avez peut-être pas eu l’occasion de rencontrer »
La voisine « pas dans cet apparat je m’en souviendrai, c’est un bon moyen de faire connaissance et qui n’est pas pour me déplaire » dit-elle en lançant un regard complice à Suzie.
Suzie ne perdant pas une occasion de mettre de l’huile sur le feu, lance à la voisine « je vous laisse vous présenter comme vous le souhaitez ».

La voisine à la phrase de Suzie eu un petit rictus et enchaina « bon d’accord, je m’appelle Sandra, je suis bi, j’aime bien les trios deux hommes, deux femmes, et j’ai aucun tabou contrairement à mon mari qui n’est pas bi et il accepte certaines choses pour me faire plaisir. De vous voir à poil dehors comme ça je trouve ça extraordinaire, j’adore l’exhibe que je fais souvent seule car ça gène mon mari. Je fais plutôt un 90 contrairement à ce moment bébé oblige, je porte rarement des soutifs, ma chatte est complètement rasée et j’adore qu’on me l’a lèche. Voilà ça vous va ? ».
Ça me va tellement que mon érection est repartie de plus belle, ce que ne manque pas de faire remarquer Suzie à Sandra qui est ravie de son effet. Suzie me demande de me rapprocher, je m’exécute et me retrouve à être collé contre Suzie et Sandra de l’autre côté.
Sandra « je peux poser une question »
Suzie « je t’écoute »
Sandra « qu’est qui fout à poil sur la rue ? »
Suzie « après la coupe, j’ai enlevé avec mon plumeau tous les poils qui se glissent dans les vêtements et qui grattent partout, short compris et ensuite j’ai demandé à ce que Paul amène ma valise à la voiture, j’ai un peu trainée en cours de route et tu es sortie par miracle. J’aurai pas rêvée mieux ».

L’explication de Suzie fut interrompu par un bruit de moteur une Mégane noire se dirige vers nous et comme font beaucoup de gens de la rue, la Mégane fait demi tout à notre hauteur. A l’intérieur ce trouve un jeune couple qui en nous voyant a d’abord été stupéfait puis a explosé de rire, j’ai pu apercevoir la passagère se tourner pour mater tout en se marrant, elle dû demander à son mari de ralentir car la Mégane une fois fait son demi-tour a roulée au pas laissant ainsi la passagère profiter au maximum du spectacle. Suzie et Sandra ont dû voir mon désarroi car elle aussi s’amusait de la situation en se lançant des regards complices. J’étais toujours coincé entre Suzie et Sandra quand Sandra lâcha « bon c’est pas que je m’ennui bien au contraire mais j’ai un biberon à faire, je me rince l’œil encore une fois, merci Paul pour ces présentations »

Sandra me détaille de partout et Suzie sent qu’elle a du mal partir, Suzie toujours à l’affût lance à Sandra « tu vas pas partir comme ça sans toucher la marchandise, en plus je vois que tu en meurs d’envie ».

Dans la foulé des propos de Suzie, Sandra me jette un regard et dans la seconde qui suis m’attrape les couilles en me les pressant avec force tout en me regardant droit dans les yeux avec un sentiment de toute-puissance puis elle se tourne vers Suzie et lui lance et regard et un sourire qui veut dire merci. Sandra après avoir pressée mes couilles à plusieurs reprises monte sur ma bite et avec son pouce joue avec la petite fente de mon gland ce qui devenait intenable, heureuse Sandra monta sur mes tétons, heu non pas heureusement car Sandra va s’acharner dessus en les pinçant, en les tirants, elle m’a même coincé mon tétons gauches entre ses deux ongles de pouces, je n’ai pas pu retenir un cri, ce qui à satisfait Sandra mais aussi Suzie qui ne perdait pas une miette du show. Sandra lassée par mes tétons qui me faisait encore affreusement mal, me caressait les fesses avec délicatesse ce qui contrastait avec le supplice des tétons. Sandra me caressait les fesses avec sa main gauche et ses seins avec sa main droite. J’avais une gaule qui ne demandait qu’a explosée mais visiblement le supplice suprême était de m’exciter et de me laisser en l’état. La main de Sandra se faisait un peu plus ferme sur mes fesses et commençait à les malaxer de plus en plus fermement. Je commençais à sentir ses doigts se balader dans ma raie, j’ai vite compris ce qu’elle cherchait car ses doigts restaient autour de mon anus et à en chercher l’entrée. L’expérience de Sandra lui permis de trouver rapidement le chemin qu’elle cherchait et de me fourrer son index dans le cul. Après plusieurs va et vient Sandra sortie son index de mon cul qui commençait à se dilater, elle dirigea son index vers sa bouche pour le sucer quand Suzie attrapa sa main pour me coller l’index de Sandra dans ma bouche m’obligeant à le sucer et le lécher. Sandra et Suzie se regardait avec réjouissance à me voir faire une pipe à l’index de Sandra recouvert de ma merde.
Une fois l’index propre Sandra prononça dans un soupir « bon cette fois faut que j’y aille, merci Suzie de m’avoir proposé ce petit supplément, j’ai bien appréciée j’espère que toi aussi ».
Sandra fit un léger baiser sur la bouche de Suzie, elle se tourna vers moi, m’attrape les couilles et me dit « ravie d’avoir fait votre connaissance cher voisin et de connaitre un peu mieux votre intimité, rire ».

Sandra se dirigea vers sa maison avant de rentrer fit demi-tour et lança un baiser à l’attention de Suzie et pour moi Sandra mima le geste de la branlette. Une fois la porte de Sandra fermée j’étais de nouveau seul avec Suzie qui toujours avec un grand sourire me dit « elle est bien sympathique la voisine non ? »

Je ne répondis rien car j’en pouvais plus, j’avais qu’une envie que Suzie parte pour aller me branler. Suzie doit lire dans mes pensées car elle me dit « bon après tout ça je vais prendre un bon bain avec mon canard, tu as l’air pas bien, va te branler t’es tout pâle, allez c’est bon tu peux rentrer »

Je me suis pas fait prier, direction la douche et à peine commencé ma branlette que j’ai éjaculé comme jamais. J’entends la sonnette de la porte qui retentie, sans me sécher je vais voir par la petite fenêtre, c’était la voisine, j’ouvre à poil de toute façon maintenant j’avais plus rien à cacher, Sandra me demande si elle peut entrer, j’accepte.
Sandra « J’ai une demande, j’ai un phantasme je voudrais que tu tetes un de mes seins pendant que mon bébé tète l’autre ».
Surpris par la demande je lui « quand ça »
Sandra « ben maintenant, c’est l’heure »
Moi « mais tu lui donne pas de biberons ? »
Sandra « pour l’instant il les refuse »
Moi « je ne suis même pas séché, je passe un truc et j’arrive »

Sandra « heu je voudrais que tu sois nu comme le bébé, comme ça j’aurai l’impression d’avoir deux bébés. Si tu tires bien mon lait à mon tour je tirerai tien, le sirop de corps d’homme c’est plein de vitamines et il m’en faut en ce moment »
Pour finir de me convaincre Sandra commence à me caresser le sexe et me dit « tu vois comme c’est bon, allez viens fait pas ta chochotte ».
J’enfile vite mon short resté dans la salle a mangé et accompagne Sandra chez elle. Sur le chemin Sandra me dit « tu aurais pu venir à poil »
Je lui réponds « et toi pourquoi t’es pas venu à poil ? »
Sandra « c’est vrai tu as raison, si tu restes à poil pour rentrer chez toi, je te raccompagne nu jusqu'à ta porte et je rentre chez moi comme ça »
Moi « ok ça marche »,
Nous voilà arrivé chez Sandra qui me dit la porte à peine fermée « vas y met toi à l’aise j’arrive avec le petit pour la tété » j’enlève mon short et je suis nu dans une maison que je connais pas pour faire un truc de fou. Sandra descend l’escalier complètement nu avec le bébé dans les bras. En effet le sexe de Sandra est bien rasé. Sandra se dirige vers moi, elle a la poitrine qui tombe un peu et le bébé qui est un garçon commence à grogner. Sandra m’invite à m’asseoir dans le canapé, elle s’installe à côté de moi avec le bébé de l’autre côté. Sandra tient son bébé dans un bras qui commence à chercher à téter. Sandra m’invite à prendre ma place pour téter à mon tour l’autre sein. En fait je me suis mis comme si j’étais un gros bébé sur les genoux de Sandra qui tenait ma tête avec son autre bras et je pouvais ainsi voir son visage. J’ai commencé par jouer avec son téton avec ma langue mais ce n’ai pas cela que voulait Sandra elle voulait vraiment que je l’a tète. Je me suis mis à téter et le lait est arrivé, une espèce de liquide tiède pas bon faut connaitre que ça pour aimer. Sandra semblait comblée par cette double succion et j’en profitais pour passer ma main entre ses cuisses qu’elle écarta légèrement. Pour me venger de tout à l’heure je lui fourre deux doigts directs dans la chatte sans préliminaire, elle eut un sursaut et écarta les jambes pour me laisser jouer avec son clito a qui je réservais le même sort qu’elle avait réservée à mes tétons. Plus je pinçais et maltraitais son clito et plus elle prenait son pied. Je me suis dit elle est space la voisine. La position n’était pas très confortable et je décidais de me lever. De me retrouver debout avec le sexe tendu à hauteur du visage de Sandra je lui dis d’un ton qui ne laissait pas la place à un refus « tiens c’est à ton tour de sucer et il parait que tu as besoin de vitamines ». J’attrape la tête de Sandra et avance ma bite vers sa bouche, Sandra ne s’est pas fait prier pour gober mon sexe. J’avais un spectacle inouï devant moi, le bébé tétant sa mère et elle me faisant une pipe de dévoreuse. Devant la gloutonnerie de Sandra je ne pu m’empêcher de lui dire « ça combien de temps que tu n’as bouffé de la bite » Sandra me répondit ans lever la tête « trop longtemps » par contre moi je n’ai pas mis longtemps pour gicler dans la bouche de Sandra qui avala tout mon sperme et me nettoya la bite avec sa langue. Fatigué j’ai vite débandé je dis à Sandra « bon ben je vais y aller, à mon tour merci pour l’accueil »
Sandra « tu veux que je te raccompagne »
Moi « non ça va aller, occupe-toi du bébé » je lui roule une pèle et rentre chez moi.

Cette histoire est en partie vraie, mon aventure avec la coiffeuse est réelle jusqu'à la programmation du prochain rendez-vous. La seconde partie avec la voisine est inventée. L’histoire avec le bébé m’a été inspiré par un ancien collègue qui s’était vanté d’avoir baisé sa femme pendant qu’elle donnait le sein, vrai ou faux ce blaireau trouvait intelligent de nous raconter ce qu’il faisait à sa femme, il lui introduisait dans la chatte et dans le cul tout ce qui lui passait par la tête. Il a raconté pour une nouvelle année avoir utilisé la chatte de sa femme comme coupe à champagne et lui et ses potes on trinqués à tour de rôle en léchant la chatte de sa femme pleine de champagne.

Avec la coiffeuse on continu notre petit mais seulement quand elle le décide. Je n’ai le droit que de regarder, elle refuse le moindre contact et elle prend plaisir à m’allumer.