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Coiffeuse à domicile 2

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Lue : 3074 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/10/2013

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Depuis le dernier récit nous nous voyons avec ma coiffeuse une fois par mois. Elle s’affirme de jour en jour dans son rôle de dominatrice. A chaque fois j’ai droit à des humiliations, c’est ce qu’il lui plait m’humilier. A chaque séance, elle trouve une nouveauté, je dois lui lécher les pieds, je dois me faire coiffer avec une carotte dans l’anus, elle me ficelle les couilles comme si c’était un rosbif, une fois elle venue avec une petite fiole, que j’ai dû boire d’une traite, en ouvrant, j’ai vite compris de quoi il s’agissait, elle m’avait ramenée son urine, j’ai du passé toute la durée de la coupe assis sur des punaises et pour m’achever, elle s’est assise sur mes genoux enfonçant complètement les punaises dans ma chair.

Ce jeudi matin je l’attendais comme d’habitude à poil selon sa demande. La sonnette retentie, j’ouvre sans regarder, persuadé d’être face à ma Suzie. En fait pas de Suzie mais une femme d’une quarantaine d’année avec un grand sourire, ravie de son effet et de la vue que je lui propose.

J’ai bafouillé « oui c’est pourquoi » et là ma Suzie qui sors du pas de porte « surprise, je te présente Nat, c’est une cliente et elle va m’aider aujourd’hui ».

Je reste interloqué et fait rentrer tout ce beau monde. Une fois dans le séjour, je m’aperçois que Nat porte une simple robe et qu’aucun soutif n’est là pour maintenir sa poitrine qui tombe.

Suzie « je vais faire les présentations, Nat je te présente Phil qui est devenu mon esclave et qui fait tout ce que je lui demande, Phil voici Nat une cliente qui a pas vu le loup depuis plusieurs années et j’ai pensé que tu pouvais servir et satisfaire Nat ».

A ces mots, je vis le visage de Nat s’éclairer et un large sourire dominer son visage ce qui ne l’a rendait pas plus jolie, en effet Nat est pas terrible, elle fait beaucoup plus que son âge ou alors elle a trichée. Elle est déjà bien ridée, les seins qui tombent, une peau remplie de tâches de rousseurs et un maquillage de chiotte. A croire que Suzie la fait exprès de me ramener une moche. Nat me dévisage de la tête aux pieds sans quitter cet air ravie d’être là.

J’entendis enfin la voix de Nat qui s’adresse à Suzie « ça faisait longtemps que je n’avais pas vu un homme à poil de si près, dommage qu’il a un petit kiki, il fait vraiment tout ce que tu lui dis ? Tu veux pas lui dire de faire un truc pour voir »

Suzie « aller petite bite, branles toi que Nat puisse voir ta bite au mieux de forme car là elle est déçu et je ne serai pas contente qu’elle soit déçue par ta faute, aller tu te branles mais sans jouir sinon c’est la punition. » Suzie regarde Nat avec son petit sourire malicieux et quand leur regard se sont croisés j’ai senti Nat super excitée à l’idée que je puisse obéir ainsi à Suzie.

Je commence à me branler et Nat se rapproche pour mieux voir. Je suis enfin en pleine érection quand Suzie me cri STOP et demande à Nat de prendre le relai. Je la vois se rapprocher tout contre moi et elle saisit d’un coup mon sexe et part dans une série de va et vient à fond la caisse. Elle me serrait très fort le sexe et me faisait mal à chaque fois qu’elle descendait, elle tirait la peau au maximum ce qui provoquait une douleur courte mais intense. Suzie ne perdait pas une miette du spectacle et encourageait Nat de bien profiter de ma bite. Suzie se dirigea vers la cuisine et plus précisément vers le frigo pour en sortir une carotte de belle taille. Je m’interrogeais sur ce que pouvait en faire Suzie, la réponse ne tarda pas, puisqu’elle se rapprocha de Nat et souleva sa jupe pour introduire la carotte dans sa chatte et fit quelques va et vient, déclenchant des soupirs de Nat qui du coup libera un peu de pression sur ma queue qui commençait à devenir écarlate. Mon soulagement fut de courte durée car Suzie retira d’entre les cuisses de Nat l’ustensile préféré de Bugs Bunny pour se diriger vers moi et m’introduit dans le cul sans délicatesse la carotte encore pleine de la mouille de Nat. Suzie m’ordonna de m’allonger par terre et idem pour Nat, elle nous fit mettre face à face. Suzie me demande de me rapproche de Nat afin de mettre le morceau de carotte dépassant de mes fesses dans la chatte de Nat.

L’exercice ne fut pas aisé, mais avec l’aide de Nat qui avait l’air de bien s’amuser, nous avons réussis à nous embrocher. Suzie demanda à Nat qui était empalée sur mon bout de carotte d’intensifier ses coups de rein qui à chaque secousses se répercutaient dans mon anus. Nous étions allongés et Suzie debout dominait la situation. Suzie se pencha vers Nat et d’un coup fit gicler les boutons de la robe de Nat dévoilant ainsi le corps de Nat. Ma position me permettait de voir ses gros seins remuer dans tous les sens. Je découvris aussi sa chatte qui était dépourvue de poil et dont pendaient deux grosses lèvres. Suzie qui était en jupe passa une jambe de chaque côté de Nat et tout en me fixant s’accroupie sur le visage de Nat qui ne mit pas longtemps pour comprendre ce que Suzie attendait d’elle. Je n’ai pu m’empêcher de me dire, que cela fait des mois qu’elle m’allume, qu’elle me fait faire ce qu’elle veut et elle se fait brouter le minou devant moi et en plus par une vielle, moche de surcroit. Suzie ne resta pas longtemps sur le visage de Nat et s’empara de sa brosse à cheveux, qu’elle enfonça direct dans le cul de Nat qui poussa un cri, Suzie se redressa et nous contempla, elle avait l’air d’être contente de ce qu’elle nous faisait faire. Suzie se dirigea vers sa valise et en sortie son sèche-cheveux, qu’elle brancha. Suzie braqua son engin vers mes couilles et le mit en route. Je n’ai pas senti de suite la chaleur mais au bout de quelques instants la sensation agréable de la chaleur disparu pour devenir insupportable. Suzie s’amusait de passer de mes couilles et sur la chatte de Nat. Ces sensations de brulures répétées devenaient de plus en plus difficiles à supporter, d’autant que Suzie nous appliquait maintenant ce supplice sur tout le corps et qui nous faisait nous tordre dans tous les sens en étant toujours embroché l’un à l’autre. Ce qui était douloureux, c’est quand Suzie chauffait mes tétons et mon gland, c’était terrible comme douleur, je suppose que c’était pareil pour Nat à entendre ses cris. Suzie avait la main mise sur nous et ce matin elle faisait d’une pierre deux coups. Suzie déclara d’un coup « stop, aller tout le monde debout, fini la rigolade, je suis là pour coiffer Phil, je vais le coiffer ». Nat se désempala de la carotte ce qui a permis de nous lever, moi toujours avec la carotte dans le cul.

Suzie lança à Nat « j’ai vu que tu aimais bien la carotte, va l’enlever du cul à Phil et tu me la lèches, je veux qu’elle soit propre. » Nat s’exécuta et tira la carotte de mon anus ce qui me procura une sensation de bien-être.

Suzie me demanda d’aller chercher des épingles à linge. J’expliquai à Suzie qu’elles étaient dehors dans le coffre sur la terrasse, espérant un changement d’avis de la part de Suzie car je n’avais pas envie d’aller à poil au bout de ma terrasse avec tous les vis-à-vis et les risques d’être vu. C’était peine perdue, Susie fit mine de ne pas entendre et me lança un « j’attends » et je compris que je n’avais pas le choix que d’aller chercher les épingles. J’ouvris la baie vitrée et longeant le mur j’arrivais au coffre, me saisit de la boite à épingles et retourna vers la baie vitrée. Je fis au plus vite sans regarder aux alentours si un voisin était à sa fenêtre, je ne préférais pas savoir. A ma stupeur, arrivée devant la baie vitrée, celle-ci était refermée et de l’autre côté Nat et Suzie contente de leur farce. Je les suppliai d’ouvrir, mais Suzie me fit comprendre que je devais faire le tour et entrer par devant. Je me suis ça y est, ça recommence. N’ayant pas le choix je retraverse la terrasse et commence à longer le côté de la maison quand j’entends des rires qui viennent de la place. Je m’avance doucement jusqu’au coin de la maison et j’aperçois la petite voisine, une ado de 17 ans avec un copain et une copine qui visiblement n’ont pas cours ce matin. Je me dis ce n’est pas possible, je ne peux pas passer devant eux à poil, sonner à ma porte et attendre que l’on m’ouvre, c’est trop risqué. Je refais le chemin inverse, m’expose à nouveau sur la terrasse à la vue des voisins et frappe à la vitre, personne dans la pièce, je frappe encore et plus fort, j’aperçois enfin Suzie qui arrive avec un regard de mécontentement, j’essaie de la convaincre de m’ouvrir mais je ne vois aucune réaction de sa part dans ce sens. J’insiste et parle de plus en plus pour être sûr qu’elle m’entende. J’étais tellement concentré sur Suzie pour qu’elle m’ouvre cette porte, que j’avais oublié la petite voisine, c’est de nouveau leurs rires qui m’a ramené à cette réalité.

Je tourne la tête en direction des rires et je m’aperçut qu’ils étaient tous les trois à me regarder par-dessus la haie de séparation qui ne faisait guère plus de 1m de haut. Ils étaient pétés de rires et à chaque fois que l’un deux me regardait il claquait une barre et la voisine était pas la dernière à me mater. La copine voyant la situation et certainement la moins farouche avança jusqu’à la haie, si bien qu’à peine cinq mètres nous séparait, au-delà de son fou rire il y avait une certaine jubilation de sa part de profiter de la situation. Elle haranguait les deux autres à la rejoindre par des « venez on voit mieux d’ici, on voit tout » à ces injonctions la voisine finie par la rejoindre et j’entendais du coup leurs commentaires « mais qu’est ce qui fout à poil, t’as vu son cul, hé il a du bide. Tu vois sa bite, tu l’as vu toi ? à ton avis elle est grosse ou petite ? moi je dis qu’elle est petite si elle était grosse on la verrai dépassée, putain on voit rien il faudrait qu’il se tourne vers nous, appelle le toi c’est ton voisin, t’es folle, moi je bougerais pas tant que j’aurai pas vu sa queue et ses couilles, vient on fait le tour et on rentre le voir, hé monsieur ho ho tournez vous un coup s’il vous plait, vous avez un joli cul on voudrait savoir si le reste est aussi joli, allez voisin une fois et on s’en va pour faire plaisir à Amandine (la voisine) ; moi pendant tout ce temps je faisais comme si j’entendais rien, comme si ils n’étaient pas là, concentré à faire fléchir Suzie à me faire entrer. Suzie entrebâilla la porte et me demanda pourquoi je suis aussi énervé, j’explique brièvement la situation avec la voisine et sa copine qui rigolent bien et qui m’emmerdent pour voir ma bite et qu’il serait temps que je rentre. Suzie me répond « ok tu rentreras une fois que tu auras montré ta petite bite à ces pucelles, qu’elles se rincent bien l’œil et pour qu’elle voit bien que tu as une bite d’oiseau tu vas aller jusqu'à à la haie tu vas prendre ta quéquette dans ta main et la secouer, aller exécution » putain, j’avais une envie de crier et d’insulter ces deux petites salopes mais je ne pouvais pas le faire car Suzie attendais que je fasse un faux pas pour m’humilier davantage.

Résigné je me tourne vers ces petites connes qui sont toujours là de l’autre côté de la haie, je les regarde dans les yeux mais elles ont le regard ailleurs et quand ma position devient favorable pour ces demoiselles je le sais de suite de part l’excitation qui en émane et part les commentaires qui fusent « ho putain il se tourne vers nous, vas y vas y mate, t’as vu sa bite ? Ouais et ses couilles. Ho putain c’est une bite de lapin, elle petite sacome. Mdr c’est le zizi d’un bébé il faut une loupe, tema il vient vers nous. En effet je m’avance vers elles, la copine n’en perd pas une miette et ne bouge pas, par contre la voisine à un pas de recul quand j’avance. J’arrive à hauteur de la voisine qui est partagée entre le rire et l’excitation et qui me scrute comme si elle devait m’acheter. Elle lança à amandine un « vient, vient, on voit super bien on voit ses couilles et sa bite de fourmi en plus il s’exhibe pour nous. La voisine finie par se rapprocher et rie nerveusement à la vue de près de mon sexe. Je ne suis pas sûr qu’elle en a déjà vu un de si près. Je fis ce que me demanda Suzie, je pris mon sexe dans ma main et le secoua plusieurs fois afin de bien l’exposer au regard de ces miss. Cela à déclencher un fou rire général, il faut dire qu’à ce moment-là nous étions séparés par une haie de 50cm de large autant dire rien. La voisine me surpris en me demandant « et moi je peux le faire ? ».

Sans dire un mot, je clignais des yeux ce qui avait valeur de consentement. La voisine ne se fit pas prier, elle tendit le bras et attrapa ma bite, la secoua dans tous les sens, ce qui déclencha les rires d’amandine, la voisine en profita pour me palper les couilles, je voyais dans son regard une satisfaction de ce qu’elle avait fait et une espèce de remerciement de lui avoir permis de le faire. La voisine insista auprès d’amandine pour faire de même « vas-y c’est cool, il dit rien, tu verras comment c’est. Les couilles ça fait bizarre y a comme des trucs dedans, allez vas y touche ». Amandine avança doucement sa main et commença par toucher mon sexe du bout des doigts, puis le prit enfin à pleine main mais au lieu de le secouer elle commença à me masturber ce qui fit durcir mon sexe pour de bon, amandine continua à me branler tout en me regardant et en regardant sa copine qui lui dit « vas-y, qu’est ce tu fais, tu veux le faire cracher pas chiche, si tu le fais cracher t’es une championne ma parole » amandine ne mit pas longtemps à me faire jouir, j’ai éjaculé sur sa main et sur les feuilles des arbustes. La copine « ha ouais trop fort tema y en a sur ta main fait voir. T’as vu comment ça sort, ça fait des jets, putain une petite bite mais t’as vu tout ce qu’il a juté. Amandine « il y en a qu’il le lèche beurk, tiens sent, c’est gluant ce truc. « J’ai laissé les deux gamines à leur découverte et suis retourné sur la terrasse en espérant cette fois ci pourvoir rentré. La porte était entre-ouverte mais plus personne. Suzie avait poussé la perversité à me faire exécuter sa demande en étant partie certaine que j’obéirai.

Je ne vais pas me plaindre, je me suis fait branler par la petite voisine avec la copine pour mater et qui m’a peloter les couilles et ce n’était pas désagréable. Je ne sais pas qu’elle suite cela va avoir avec la petite voisine. J’espère qu’elle fera comme si rien ne s’était passé, après tout elle non plus elle est pas clean dans cette histoire. Quelques jours plus tard j’ai croisé la copine qui faisait les courses avec sa mère, elle m’a fait un grand sourire, sa mère la questionna et suite à la réponse de sa fille me fit également un grand sourire. Je ne sais pas exactement ce qu’elle a dit à sa mère mais visiblement c’était flatteur pour moi. Je ne sais pas ce que mes prochains rendez-vous avec Suzie vont donner et si amandine changera de comportement à l’avenir, mais comme je ne maîtrise pas grand-chose dans ces histoires, laissons les choses arrivées.

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