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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le monde et le sexe en folie (2/2)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 08/12/2023

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• Sabrina, si tu savais comme je t’aime !

Ce sont les mots que je prononce à mon amie d’enfance dans notre maison, dans les arbres, que nos pères nous ont construits lorsque nous étions des enfants.
Depuis à presque ma majorité, c’est moi qui m’occupe de son entretien pour exemple, j’ai refait le toit en chaume afin d’avoir une étanchéité parfaite.
Sabrina jeune fille de mon âge, je suis plus vieux de quelques heures, s’occupe de l’aménagement intérieur.
Constatant qu’un amour d’enfance s’était transformé en amour pour la vie, c’est là que pour la première fois nous nous sommes embrassés et déclarés notre flamme.
Un seul regret lorsqu’on aime, je fais un nœud sur mes envies de sexe, Carole sa maman engrossé par Yvon son père lui a fait promettre de le faire qu’après notre mariage.

Pourquoi ai-je oublié d’amener le thé que j’avais fait acheter à maman, Sabrina en boit en faisant nos devoirs.
Elle a décidé que ça l’aidait à réfléchir et donc à avoir de meilleures notes.
En bon toutou que je suis, malgré qu’elle me dit s’en passer, je décide de descendre et d’aller le rechercher.
Mal m’en prends, entendant du bruit derrière la haie bordant la rue où se trouve notre maison mitoyenne, j’entends la voix de beau-papa.
J’écarte quelques branches et je jette un œil.
Des chiens, de véritables bêtes, c’est bien Yvon qui est là derrière, mais comme les clebs, il prend la vieille Fernande en levrette en plein milieu du trottoir.
Ma première pensée est qu’Yvon est un malade du sexe et qu’il s’est attaqué à cette pauvre vieille là où il l’avait croisé.
Deux baiseurs anormaux, ça peut arriver, mais quatre ça devient suspect.
Les deux autres se trouvent de l’autre côté de la route, madame Nouma et monsieur Bernard, voisins fâchés à mort depuis des années.
C’est une histoire de Clochemerle qui les sépare depuis des années.
Elle aurait surpris monsieur Bernard grimpé sur le toit de sa remise en train de cueillir ses cerises.
Elles seraient restées là, à pourrir, madame Nouma avec son gros cul étant incapable de grimper sur une échelle.
Ça a été jusqu’au tribunal, madame Nouma a perdu étant la risée de toute la région.
Alors lorsque je la vois, sortant sa poubelle se laisser aller sur le dos, écartant ses grosses cuisses et recevant monsieur Bernard en elle, je prends peur.
C’est à ce moment que j’ai la certitude qu’un phénomène anormal a frappé notre cité.
Une femme à moitié nue passe au milieu de tout ce merdier avec à ses basques, un homme la queue en main.
Je vais avoir confirmation de tout ceci lorsque je rentre dans ma maison, soit maman est une soumise, mais vivant sous le même toit, je l’aurais certainement remarqué.
Se faire tailler une pipe entre mari et femme, à notre époque, c’est normal.
Dès que j’aurais dépucelé Sabrina, j’espère que je pourrais plonger ma bite dans sa bouche, mais il y a un « mais. »
Papa parle de moi qui vais revenir et qu’il souhaite que je l’aide à baiser maman.
Je récupère le thé et je me dépêche de retourner vers mon arbre.
Je prends au plus cour et je passe devant la maison de Sabrina, Céline sa maman est dans sa cuisine, j’ai le temps de voir.
Assise sur une chaise elle s’enfile un concombre dans le vagin.
J’entre et sans qu’elle ait le temps de me repousser, ma thèse d’un virus au ras du sol s’avère exact, je la défonce comme mon père, à ses dires, le fait.
Je décharge sans pour autant débander, je dois être atteint de priapisme comme tous les hommes que j’ai vu niquer depuis que je suis descendu de notre arbre.
Je quitte belle-maman, je pensais l’avoir satisfaite, mais j’ai le temps de la voir se remettre le concombre dans le vagin.
Sans m’en rendre compte, je repars nu à la recherche d’une femelle à saillir.
Une fois dehors, un plan machiavélique monte à mon cerveau, je sais comment baiser Sabrina.
Je vais l’appeler, je vais la faire descendre de notre arbre et dès qu’elle sera frappée par le mal, je la dépucellerais.
J’arrive à quelque dix mètres de lui, j’entends des bruits, je m’arrête, l’une des voix entendues semble être celle de mon amie.
Trois autour d’elle, Raphaël mon ennemi juré, c’est le seul qui me bat en sport et avec qui je lutte, a coincé Sabrina le long du tronc de notre arbre.
Il a sa verge en elle, pendant que Denoual et Serge attendent leur tour.
Pourquoi attendre, elle se penche, prend la berge de Serge un des garçons étant dans notre classe et masturbe le troisième ?

• Vous avez vu les mecs, vous vouliez aller à la maison de retraite vous faire toutes les vieilles de la ville.
Je vous avais promis de la chair fraiche, je savais que ce con de Christophe gardait vierge cette salope, on va pouvoir la prendre toute cette putain de nuit.

Je pourrais attendre mon tour, mais malgré que les seins pendant, qu’ils ont sortis de son tee-shirt, j’ai une impérative envie de m’en sauter une.
Je quitte le bois et je rejoins la route, je peux baiser qui je veux, elles sont toutes disponibles, jeunes comme vieilles.
Je comprends pourquoi Yvon se sautait Fernande, tous les tabous sont tombés, je passe devant la maison de Mathilde, notre prof de math, capiteuse rousse qui nous allume toute l’année avec des tenues provocantes.
Elle est mariée avec mon prof de sport, combien de fois m’a-t-elle fait bander sans que Sabrina assise devant moi s’en aperçoive.
Le portail est ouvert, Gatien fait du saut en hauteur et a aménagé une piste de saut.
Il y a des tapis bien épais de réception, ils sont là tous les deux à baiser dans un magnifique missionnaire.
Mathilde devait rentrer de sa réunion des profs avec parents lorsqu’elle, comme les autres, a été rattrapée et devait être venue voir son mari qui s’entrainait.
Sa petite culotte déchirée, celle que j’ai vue deux ou trois fois lorsqu’elle s’est levée de derrière son bureau, est au sol avec le cartable ou elle a ses cours et que je lui ai toujours vu.

• Christophe amène ta queue, je vois que tu bandes.
• Il te fait mouiller celui-là quand tu es en cours avec lui ?
• Oui, il a vu ma petite culotte deux ou trois fois, mais il est amoureux de Sabrina, sa petite copine d’enfance et c’est la seule qui trouve grâce à ses yeux.

Je monte sur le matelas et je lui four ma bite dans la bouche, il faut savoir faire taire ces salopes, la perte de toute notion du bien ou du mal pourrait lui faire dire, des choses qui seraient irréversibles.
Descartes disait « je pense, donc, je suis. »
Certes, je pense par ma queue, mais je réfléchis que si comme les autres j’ai perdu la notion du bien ou du mal, mon cerveau garde en lui ce que je fais et ce que j’ai déjà fait.
Comment demain matin, la nuit étant déjà bien avancée, je vais retrouver notre ville ?
Les gens continueront-ils à forniquer ?
En attendant ayant satisfait ma prof de mal finnisant en double avec son mari, moi la chatte, lui son anus, je reprends ma recherche de sexe féminin.
Je passe devant la mairie, Gaston, le maire saute la secrétaire de mairie pendant que sa femme, une quarantaine flamboyante, toujours tirée à quatre épingles est attachée sur un banc.
Par chance, la place est libre et je plonge en elle alors que sa chatte semble déjà avoir reçu de nombreux hommages depuis le début de débauche sauvage.
Comment mes bourses peuvent elles se remplir aussi vite lorsque j’éjacule mon sperme à la suite de, je l’ignore combien d’autres ?
À un moment, dans une rue adjacente, j’ai l’impression de voir Sabrina entourée d’hommes et je vois même une ou deux femmes.
Mais un cul passe près de moi et je détourne les talons.
Comme un chien ivre, je me laisse porter par l’atmosphère ambiante et je prends, deux ou trois femelles en quettent de sensations fortes.
J’arrive près de la salle des fêtes, peut-être suis-je attiré par la fête qui s’y déroule.
J’avais connaissance que les garçons et les filles de terminales l’organisaient après le passage de leurs bacs.
La musique est assourdissante, lorsque je pénètre.
Qui ignore ce que le mot partouze veut dire, ignore ce qui se passe dans cette salle.
Ça baise dans tous les coins, même sur scène où le DJ saute notre prof de math.
Aurore, c’est son nom fait bander la plupart des garçons de notre lycée.
Seules les homos, d’ailleurs, cette orgie est révélatrice de qui est qui.
Plusieurs gars sucent allègrement leurs collèges, mais Aurore, c’est dans la chatte qu’elle se fait prendre devant son mari lui-même prof de gym qui prend notre prof de Français en levrette.
Je m’approche d’Aurore, elle ouvre la bouche et sans la moindre hésitation j’y plonge mon sexe toujours en érection.
De ma hauteur, je survole les dégâts, combien de ces filles et de ces gars sont rentrées vierges en début de soirée.
Combien en sortiront dépucelés ayant profité en une soirée de plus de verges ou de langues, car je constate que certaines d’entre ces filles se gouinent allègrement.
Je vois le cul de Magali, la copine de Sabrina, elle m’a toujours prise de haut.
Je saute de la scène et je viens l’enculer lui arrachant des grands cris de plaisir.

Comment je me vois sortir de la salle et revenir vers mon arbre, je l’ignore, ce périple m’a épuisé, je me souviens être monté à l’échelle, la cabane étant vide ?
Les premières lueurs du jour commencent à se percer les feuillages.
Les cloches de l’église sonnent les heures.
Trois, quatre et jusqu’à quatorze fois.
Merde, j’avais cours de math à treize heures avec une interro, c’est pour cela qu’avec Sabrina, nous étions montés réviser.
Je suis con, je me souviens de mon passage dans la salle des fêtes et après qu’Aurore est ramassée toute la soirée et la nuit, il serait plutôt bizarre qu’elle soit allée bosser ce matin.
Je sens que l’on bouge à mes côtés, je tourne la tête, c’est Sabrina qui vient me prendre ma queue dans sa main.

• Mon chéri, tu as bien fait de t’obliger à te céder, tu m’as fait passer une nuit merveilleuse.

Cause toujours, tu m’as fait voir que lorsque tu te faisais prendre le long de notre arbre, c’était Raphaël qui la baisait ses deux copains attendant leur tour.
Mais que dire de ma nuit, si je me souviens précisément de tout mon parcours pourfendant des chattes et des bouches à plus soif, elle aussi tente de trouver une porte de sortie de ce qu’elle a fait.
Et que dire, si rapidement sa mère lui dit que je l’ai enculé et baisé dans leur cuisine, j’aurais l’air de quoi.
Je décide de jouer le jeu, je l’embrasse pendant qu’elle me masturbe, mon priapisme semble avoir disparu, mais la coquine semble en avoir appris plus en une nuit comme moi je l’ai fait.
Quelle heure peut-il être lorsque nous descendons de notre arbre, je l’ai baisé sans débander malgré que le virus qui nous a assaillis semble s’être dissipé.
Nous entrons chez elle, ses parents sont là, dans les bras l’un de l’autre et il regarde la télé.

« C’est aux levées du jour que le phénomène qui a frappé la planète entière s’est arrêté.
Les scientifiques cherchent à expliquer ce qui s’est passé sans avoir d’explication à cette heure.
La thèse d’un virus fulgurant comme celui qui pourrait tous nous faire disparaitre s’il nous frappait est la cause la plus plausible.
Nous vous informerons de l’avancée des travaux au fur et à mesure qu’ils nous arriveront. »

Neuf mois se sont passés, ce soir, je suis avec Carole et Sabrina ainsi qu’Yvon et mes parents, nous avons été informés qu’une annonce serait faite à 20 heures à la télé.

« Toujours aucune explication du phénomène ayant frappé la terre.
Nous constatons simplement un boom des naissances, les maternités sont submergées. »

Ça pour être enceinte, les femmes sont enceintes.
Maman va me donner un petit frère.
Carole la maman de Sabrina, une fille, à 90 % ma fille.
Sabrina, elle aussi est pleine de nos débordements, moi, Raphaël ou Denoual ou Serge, ils attendaient tous de passer dessus.
Sans compter que pendant le temps où je suis allé en ville et à la salle des fêtes, elle a pu se donner à d’autres des nombreux hommes en rut.
Sabrina a appris à être plus proche de la femelle que de la femme aimante que je pensais épouser, alors elle ou une autre, c’est du pareil au même après la nuit de débauche que nous avons subie.
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Histoire de Chris71

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