ACCUEIL > Hétéro > Récit : COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (5/6)
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 23/11/2022
Yemba me fait vivre une expérience qu’au plus profond de moi, l’idée m’en serait venue il y a encore quelques heures.
Découvrir qu’Antoine son mari est homo avec Adrien, son meilleur copain, c’est un monde qui me dépasse.
Dans la foulée devenir la maîtresse d’un immense homme black, ça l’est tout autant.
Baiser devant eux en les regardant se sodomiser, l’est tout autant, surtout que moi-même j’accepte de me faire défoncer par la gigantesque bite de Yemba.
Première sodomie, mais de celle qui compte double quand j’arrive à le faire entrer entièrement dans mon conduit anal.
Aussitôt il sort de moi, me prend dans ses bras et me cajole en me remerciant d’avoir réussi à être la première à le faire entrer entièrement en moi.
Je suis dans les nuages, mais je suis fière de moi.
Sans avoir besoin de bouger, il crache un ordre, exécuté dans le mouvement par mon mari et son amant.
• Dix minutes pour charger ta voiture de toutes tes affaires et que vous vidiez les lieux.
Tu auras des nouvelles dès demain par mon frère avocat à Marseille qui va préparer ton divorce.
Je vais lui donner l’appareil photo montrant ta trahison envers ta femme et il préparera les papiers demandant le divorce à tes torts.
Tu reconnaîtras les faits, les photos à l’appui.
Il te fera signer des papiers disant que tu lui laisses la totalité des biens du couple à celle que tu as trompée.
Vous avez intérêt à éviter de croiser ma route, je serais moins indulgent.
Yemba joue avec son gros couteau pour montrer que ses paroles sont loin d’être des paroles en l'air.
• Tu vois cette lame, si la moindre partie de ce que je viens de te demander, tu le fais de travers, tu vois la verge et les couilles de ton copain, je les tranches d’un seul coup.
Je suis bien dans les bras de mon amant aussi lorsque j’entends courir dans les escaliers, je me garde bien d’ouvrir les yeux pour voir mon mari et son pote paniquer et se sauver comme des voleurs.
• Puis-je me servir de ton téléphone ?
• Bien sûr, chéri maintenant que tu as fait le vide, tu es ici chez toi.
Il prend mon fixe et appelle certainement un homme.
• À quelle adresse doit-il venir ?
Je lui donne mon adresse étonnée qu’il fasse venir déjà quelqu’un ici.
Il raccroche me couvre de ses bras et me rassure sur cette visite.
• C’est mon frère jumeau, il est avocat avec son épouse à Marseille et c’est lui à qui j’ai confié mes papiers pour essayer de m’obtenir un droit d’asile.
Mon homme et son amant partis, nous nous retrouvons à deux, seuls, dans un cadre agréable, ma maison.
Toute la journée nous profitons du soleil de juillet pour lézarder, à poil sur les transats.
À un moment il dort et quelques minutes après il doit rêver à une belle salope, car il bande à me donner envie.
Je me lève sans bruit, caresse sa grosse bite avec mes cheveux et ma langue.
Elle finit le travail au moment où pour la première fois j’arrive à l’explosion qui me remplit la bouche.
• Gourmande.
Il se rendort, rassasié et je pense apaisé.
Lorsque je rejoins mon transat me léchant les lèvres, je me demande si la salope est plus près de moi que penser.
Il est dix-sept heures lorsque son jumeau arrive avec sa compagne.
J’enfile le peignoir préparé sur le dessus de mon transat et Yemba met son caleçon, car le peignoir d’Antoine est trop petit pour cacher sa virilité.
• Je te présente Toula, mon frère et Canelle sa femme.
• Elle aussi est camerounaise !
• Crois-tu que toutes les noires sont camerounaises, elle est guadeloupéenne ?
Canelle est resplendissante, j’ai rarement eu devant mes yeux une femme avec une telle prestance.
Si dans son travail d’avocate, elle a des soucis, il suffit qu’elle entre en contact avec une agence de mannequins et elle est sûre d’être engagée.
• Frangin, as-tu des nouvelles de ma demande d’exilé politique ?
• Oui, il y a trois jours, mais j’étais dans l’impossibilité de te joindre.
Tu as une autorisation de six mois de rester sur le territoire afin que ton dossier soit examiné sur le fond.
Demain matin, à neuf heures, nous avons rendez-vous pour que tu signes tes papiers et qu’ils te donnent ta carte provisoire.
• Yemba, je vous accompagnerai.
• D’accord.
• Nous avons toujours une bouteille de champagne aux frais pour fêter le jour où nous aurions appris que j’étais enceinte.
Je vais la chercher.
Une bouteille, quatre coupes, dès la première, je suis pompette.
À la deuxième, je suis capable de faire un strip-tease sur la table surtout que je suis toujours en peignoir.
Allô il y a quelqu’un !
Je me réveille brusquement, sans savoir comment et quand je suis montée dans la chambre.
Yemba est couché à mes côtés.
Bizarre depuis quand a-t-il un sein ?
Mieux même deux ?
J'émerge de mon sommeil.
Je me redresse et je découvre que c’est une autre personne ayant des seins, qui est allongé à mes côtés, c’est Canelle qui est près de moi.
• Bonjour toi, je te regardais dormir.
• Où sont les hommes ?
• Partis, ils ont vu que tu dormais et ils ont décidé de te laisser dormir.
Dans votre chambre d’amis, je me sentais seule alors je me suis couchée près de toi, tu es belle même en dormant.
• Qu’ai-je fait hier au soir, je me souviens de la première coupe de champagne et je vois que l’on m’en resert une et après rideau ?
• Tu as été d’enfer, tu t’es mise nue et tu as allumé les deux hommes.
• J’ai fait cela !
• Mais non, rassure-toi, je plaisantais.
Hier soir, d’un coup la coupe vidée, tu es allée sur le canapé et tout de suite tu t’es endormie.
Yemba nous a raconté votre rencontre, comment tu étais devenue sa maîtresse et comment il avait fait fuir ton pédé de mari avec son copain.
• Homosexuel, ici on dit homosexuel.
• Et en Guadeloupe qui est aussi en France, je te le rappelle, nous disons pédés.
• Va pour pédés ou pour homo, de toute façon Yemba leur a fichu la peur de leur vie et ils ont détalé.
Je soulève le drap, je suis nue, elle est nue.
Ce que je vois, c’est une vraie gazelle, sa couleur noire amplifiant mon impression.
Ses seins sont magnifiques, je suis sûre que si j’y portais la main, leur fermeté serait incroyable.
C’est ce que je me permets de faire.
• C’est ton mec qui t’a couché après t’avoir pris dans ses bras.
Tu avais l’air d’une poupée, c’était très beau à voir.
• Vous avez dormi dans la chambre d’amis !
• Oui, le lit était fait et c’est la première fois que je fais l’amour dans des draps en soie comme les tiens, c’est très doux.
• Excuse-moi d’avoir mis mes mains sur tes seins tout à l’heure, je me réveillais.
• C’était agréable, cela me rappelait ma jeunesse dans mon île.
• Le faisais-tu avec des filles ?
• Oui, à partir du lycée, j’avais seize ans et mes parents m’avaient mise comme pensionnaire pour être sûrs que je resterais concentrée sur mes études, car les hommes commençaient à tourner autour de mon joli petit cul.
• Ça s’est passé comment avec une fille ?
• Dans le dortoir la nuit, la surveillante était comme toi.
Elle picolait et après on aurait pu tirer un coup de canon, elle dormait.
Alors dès le premier soir les filles de troisième année, qui étaient seules, leur copine les ayant quittées en fin d’année précédente pour diverses raisons, descendaient l’étage et nous rejoignaient dans notre lit.
Dans la journée, il y avait eu un concours la feuille ou la pierre pour savoir celle qui choisirait la première.
J’ai été le premier choix d’Ange, la fille d’un grand ponte français en fonction sur l’île.
Dès ce soir-là, je l’ai sentie se glisser dans mes draps et avant que je me pose des questions, elle m’a embrassée.
• As-tu aimé ?
• Adoré surtout que les veilleuses me montraient une jolie blonde avec de grands yeux bleus.
Quand nous sommes rencontrées, j’avais vu qu’ils étaient bleus.
Chez nous les filles aux yeux verts ou bleus c’étaient les plus rechercher.
Nous avions l’impression de monter dans l’échelle sociale.
Elle est descendue le long de mon corps, a soulevé ma chemise de nuit et a approché sa bouche de mon sexe.
En évoquant ces moments lui rappelant sa jeunesse, Canelle commence à approcher sa bouche d’un de mes seins qu’elle picore puis passe par le nombril qu’elle lèche et s’approche dangereusement de mon intimité.
Je suis rouge de honte ou d’envie…
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COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (5/6)
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Yemba me fait vivre une expérience qu’au plus profond de moi, l’idée m’en serait venue il y a encore quelques heures.
Découvrir qu’Antoine son mari est homo avec Adrien, son meilleur copain, c’est un monde qui me dépasse.
Dans la foulée devenir la maîtresse d’un immense homme black, ça l’est tout autant.
Baiser devant eux en les regardant se sodomiser, l’est tout autant, surtout que moi-même j’accepte de me faire défoncer par la gigantesque bite de Yemba.
Première sodomie, mais de celle qui compte double quand j’arrive à le faire entrer entièrement dans mon conduit anal.
Aussitôt il sort de moi, me prend dans ses bras et me cajole en me remerciant d’avoir réussi à être la première à le faire entrer entièrement en moi.
Je suis dans les nuages, mais je suis fière de moi.
Sans avoir besoin de bouger, il crache un ordre, exécuté dans le mouvement par mon mari et son amant.
• Dix minutes pour charger ta voiture de toutes tes affaires et que vous vidiez les lieux.
Tu auras des nouvelles dès demain par mon frère avocat à Marseille qui va préparer ton divorce.
Je vais lui donner l’appareil photo montrant ta trahison envers ta femme et il préparera les papiers demandant le divorce à tes torts.
Tu reconnaîtras les faits, les photos à l’appui.
Il te fera signer des papiers disant que tu lui laisses la totalité des biens du couple à celle que tu as trompée.
Vous avez intérêt à éviter de croiser ma route, je serais moins indulgent.
Yemba joue avec son gros couteau pour montrer que ses paroles sont loin d’être des paroles en l'air.
• Tu vois cette lame, si la moindre partie de ce que je viens de te demander, tu le fais de travers, tu vois la verge et les couilles de ton copain, je les tranches d’un seul coup.
Je suis bien dans les bras de mon amant aussi lorsque j’entends courir dans les escaliers, je me garde bien d’ouvrir les yeux pour voir mon mari et son pote paniquer et se sauver comme des voleurs.
• Puis-je me servir de ton téléphone ?
• Bien sûr, chéri maintenant que tu as fait le vide, tu es ici chez toi.
Il prend mon fixe et appelle certainement un homme.
• À quelle adresse doit-il venir ?
Je lui donne mon adresse étonnée qu’il fasse venir déjà quelqu’un ici.
Il raccroche me couvre de ses bras et me rassure sur cette visite.
• C’est mon frère jumeau, il est avocat avec son épouse à Marseille et c’est lui à qui j’ai confié mes papiers pour essayer de m’obtenir un droit d’asile.
Mon homme et son amant partis, nous nous retrouvons à deux, seuls, dans un cadre agréable, ma maison.
Toute la journée nous profitons du soleil de juillet pour lézarder, à poil sur les transats.
À un moment il dort et quelques minutes après il doit rêver à une belle salope, car il bande à me donner envie.
Je me lève sans bruit, caresse sa grosse bite avec mes cheveux et ma langue.
Elle finit le travail au moment où pour la première fois j’arrive à l’explosion qui me remplit la bouche.
• Gourmande.
Il se rendort, rassasié et je pense apaisé.
Lorsque je rejoins mon transat me léchant les lèvres, je me demande si la salope est plus près de moi que penser.
Il est dix-sept heures lorsque son jumeau arrive avec sa compagne.
J’enfile le peignoir préparé sur le dessus de mon transat et Yemba met son caleçon, car le peignoir d’Antoine est trop petit pour cacher sa virilité.
• Je te présente Toula, mon frère et Canelle sa femme.
• Elle aussi est camerounaise !
• Crois-tu que toutes les noires sont camerounaises, elle est guadeloupéenne ?
Canelle est resplendissante, j’ai rarement eu devant mes yeux une femme avec une telle prestance.
Si dans son travail d’avocate, elle a des soucis, il suffit qu’elle entre en contact avec une agence de mannequins et elle est sûre d’être engagée.
• Frangin, as-tu des nouvelles de ma demande d’exilé politique ?
• Oui, il y a trois jours, mais j’étais dans l’impossibilité de te joindre.
Tu as une autorisation de six mois de rester sur le territoire afin que ton dossier soit examiné sur le fond.
Demain matin, à neuf heures, nous avons rendez-vous pour que tu signes tes papiers et qu’ils te donnent ta carte provisoire.
• Yemba, je vous accompagnerai.
• D’accord.
• Nous avons toujours une bouteille de champagne aux frais pour fêter le jour où nous aurions appris que j’étais enceinte.
Je vais la chercher.
Une bouteille, quatre coupes, dès la première, je suis pompette.
À la deuxième, je suis capable de faire un strip-tease sur la table surtout que je suis toujours en peignoir.
Allô il y a quelqu’un !
Je me réveille brusquement, sans savoir comment et quand je suis montée dans la chambre.
Yemba est couché à mes côtés.
Bizarre depuis quand a-t-il un sein ?
Mieux même deux ?
J'émerge de mon sommeil.
Je me redresse et je découvre que c’est une autre personne ayant des seins, qui est allongé à mes côtés, c’est Canelle qui est près de moi.
• Bonjour toi, je te regardais dormir.
• Où sont les hommes ?
• Partis, ils ont vu que tu dormais et ils ont décidé de te laisser dormir.
Dans votre chambre d’amis, je me sentais seule alors je me suis couchée près de toi, tu es belle même en dormant.
• Qu’ai-je fait hier au soir, je me souviens de la première coupe de champagne et je vois que l’on m’en resert une et après rideau ?
• Tu as été d’enfer, tu t’es mise nue et tu as allumé les deux hommes.
• J’ai fait cela !
• Mais non, rassure-toi, je plaisantais.
Hier soir, d’un coup la coupe vidée, tu es allée sur le canapé et tout de suite tu t’es endormie.
Yemba nous a raconté votre rencontre, comment tu étais devenue sa maîtresse et comment il avait fait fuir ton pédé de mari avec son copain.
• Homosexuel, ici on dit homosexuel.
• Et en Guadeloupe qui est aussi en France, je te le rappelle, nous disons pédés.
• Va pour pédés ou pour homo, de toute façon Yemba leur a fichu la peur de leur vie et ils ont détalé.
Je soulève le drap, je suis nue, elle est nue.
Ce que je vois, c’est une vraie gazelle, sa couleur noire amplifiant mon impression.
Ses seins sont magnifiques, je suis sûre que si j’y portais la main, leur fermeté serait incroyable.
C’est ce que je me permets de faire.
• C’est ton mec qui t’a couché après t’avoir pris dans ses bras.
Tu avais l’air d’une poupée, c’était très beau à voir.
• Vous avez dormi dans la chambre d’amis !
• Oui, le lit était fait et c’est la première fois que je fais l’amour dans des draps en soie comme les tiens, c’est très doux.
• Excuse-moi d’avoir mis mes mains sur tes seins tout à l’heure, je me réveillais.
• C’était agréable, cela me rappelait ma jeunesse dans mon île.
• Le faisais-tu avec des filles ?
• Oui, à partir du lycée, j’avais seize ans et mes parents m’avaient mise comme pensionnaire pour être sûrs que je resterais concentrée sur mes études, car les hommes commençaient à tourner autour de mon joli petit cul.
• Ça s’est passé comment avec une fille ?
• Dans le dortoir la nuit, la surveillante était comme toi.
Elle picolait et après on aurait pu tirer un coup de canon, elle dormait.
Alors dès le premier soir les filles de troisième année, qui étaient seules, leur copine les ayant quittées en fin d’année précédente pour diverses raisons, descendaient l’étage et nous rejoignaient dans notre lit.
Dans la journée, il y avait eu un concours la feuille ou la pierre pour savoir celle qui choisirait la première.
J’ai été le premier choix d’Ange, la fille d’un grand ponte français en fonction sur l’île.
Dès ce soir-là, je l’ai sentie se glisser dans mes draps et avant que je me pose des questions, elle m’a embrassée.
• As-tu aimé ?
• Adoré surtout que les veilleuses me montraient une jolie blonde avec de grands yeux bleus.
Quand nous sommes rencontrées, j’avais vu qu’ils étaient bleus.
Chez nous les filles aux yeux verts ou bleus c’étaient les plus rechercher.
Nous avions l’impression de monter dans l’échelle sociale.
Elle est descendue le long de mon corps, a soulevé ma chemise de nuit et a approché sa bouche de mon sexe.
En évoquant ces moments lui rappelant sa jeunesse, Canelle commence à approcher sa bouche d’un de mes seins qu’elle picore puis passe par le nombril qu’elle lèche et s’approche dangereusement de mon intimité.
Je suis rouge de honte ou d’envie…
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Commentaires du récit : COLLECTION BLACK. La mauvaise surprise (5/6)
Le 23/11/2022 - 18:50 par OlgaT
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