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COLLECTION BLACK. Les miches de la boulangère (2/3)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 20/03/2023

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Mes miches, j’en ai parlé tout au long du début de notre histoire à Paul boulanger de son état et moi, boulangère de notre petit village Breton.
C’est mon papa qui m’a vendu en même temps que son commerce à Paul.
Il avait à craindre que le peu d’entrain des jeunes gars de notre village pour ma grosse personne pourrait entrainer la fermeture de notre commerce.
Qui pour épouser « la grosse vache ».
J’ai su satisfaire ce grand échalas véritable fil de fer, mais là je me moque.
Le jour de nos noces, le grand et maigre épousait la petite et grosse.
C’est vrai que nous formons un couple disgracieux, mais est-ce pour cela que même s’il me baise régulièrement mon ventre depuis des mois reste stérile.
Notre commerce de boulangerie a un handicap, le croisement de deux êtres pouvant trouver le temps de copuler.
Je me couche tard, Paul se couche tôt, mais nous avons trouvé un terrain d’entente dans le fournil avant sa sieste, nous nous servons même des outils de fabrication pour augmenter notre plaisir.
La balance a pesé la pâte, afin que les pains aient un poids homogène, sert à peser mes seins, hélas, chaque fois force et de constater que le gauche est plus lourd que le droit.
Un autre jeu mais fait qu’une fois, il devait faire une commande pour le soir et faire une deuxième cuisson.
Il venait de finir de préparer sa pâte et allait couper les baguettes traditionnelles.
Je suis montée et il a posé mon cul dessus.
Seul ceux qui viennent dans le fournir peuvent voir cette œuvre incommensurable de mon cul marquer dans une miche, il en rigole encore, mes miches dans une miche.
Nous l’avons fait une seule fois, lui comme moi, nous sommes respectueux de ce pain nourrissant notre village.
La noce prévue à la salle des fêtes a dû attendre que Paul livre le pain, le temps de pétrir de nouveau.
C’est devant cette salle des fêtes que je vois Paul parlé à Charles notre maire un verre de muscadet en main.
Comme chaque année, mon mari prend une biture à cette fête et depuis qu’il a dégueulé dans notre lit, il va se coucher sur les sacs de farine.
Il est midi ce lundi lorsque je viens le réveiller afin qu’il prenne un Alka seltzer et qu’il se prépare à aller manger chez Louis et Isa, la tête de veau fourni par Charles, mais j’ai déjà parlé de lui.
C’est devant un verre de muscadet, c’est vrai qu’on en boit beaucoup dans notre irréductible village breton que je pose la question à Paul.

• Hier, quand vous êtes revenu bourrer Richard et toi, il t’a dit qu’il attendait ta réponse, que tu lui enlèverais une épine du pied, de quelle réponse parlait-il ?
• Solange, le village est chargé de récupérer un immigré venu d’Afrique et il lui faut gîte, couchage et couvert.
Il est éligible à la naturalisation son pays étant en guerre et il lui faut un travail.
Dans son pays, il faisait le pain pour les gens de son village, Richard souhaiterait que je lui apprenne mon métier.
• Mon père t’ayant embauché pour te donner sa fille et son commerce, il serait mal venu de refuser de tendre la main à cet Africain.
Le seul problème, c’est où le loger, je me vois mal le mettre dans notre lit, mais si nous y sommes rarement tous les deux en même temps dedans.
• Richard m’a donné la solution, dans la cour nous servant peu, les services municipaux vont nous construire aux frais de la mairie un logement avec douche et possibilité de coin-repas.
Lorsqu’il sera parti nous pourrons y loger un étudiant, ça nous rapportera quelques revenues pour moderniser notre boulangerie

C’est bien connu, la petite Solange a un gros cul et un cœur d’artichaut, c’est normal en Bretagne, quinze jours plus tard, Amadou débarque dans notre vie.
Que dire de cet homme, peu de chose, certaines femmes sont attirées par les hommes de couleur alors que pour moi, ils me sont indifférents ?
Il faut dire que je suis rarement sortie de mon irréductible village breton et qu’ici, à part un Marocain, les Africains sont inexistants.
Pourquoi lorsque je les rejoins dans le fournil par la porte arrière, mon regard se porte sur son entrejambe ?
Est-ce que c’est après avoir entendu à la télé que les blacks avaient de grosses queues ?
C’est fou comme nous pouvons être influencés, j’ai un mari et même si nous avons du mal à avoir des enfants, je lui serais toujours fidèle.
Grand, il est grand presque une tête de plus que Paul et presque aussi fin que lui.
Nous l’installons dans son logement, tout a été installé même une télé.

• Bon, je vous laisse faire connaissance, je repasserais dans quelques jours si tout va bien.

Ce sont les propos de Richard ayant accompagné sont immigré.
Il faut battre le fer lorsqu’il est chaud et dès quatre heures le lendemain, alors que je dors encore, Amadou entre au service de Paul, j’espère seulement qu’ils s’entendront bien.
Le fournil, c’est le domaine de mon époux tout comme la boutique est la mienne.
À cause de sa présence, nos jeux se sont déplacés du marbre près du four vers notre chambre, plus classiquement.
Mais bon tout se passe bien jusqu’à la kermesse, un an lorsqu’on a du travail, ça passe vite.
On sait comment les choses se passent, un détail a changé, nous vendions toujours des sandwichs jambon beurre, cette année, un musulman étant dans nos murs, nous en avons au camembert.
Certes, il y avait le mari de Lise qu’elle avait ramené de la côte méditerranéenne, c’est un amateur de notre muscadet, mais modérément c’est notre médecin.
De plus, son plat préféré c’est le travers de porc caramélisé avec du miel des ruches de Richard.
Un avantage pour moi, comme tout bon musulman il lui est interdit de boire de l’alcool et ce soir j’aurais un adjoint pour coucher Paul sur ses sacs de farine.

• Appelez une ambulance, vite, Paul semble avoir un problème !

Malgré les musiciens de la fanfare qui se relais pour jouer toute l’après-midi et le soir au bal, j’entends les cris de Richard sans voir ce qu’il se passe un attroupement s’étant produit.
Par chance Redwan, c’est le Marocain est là et le prend en main.
Hôpital aux urgences avant que le diagnostic nous arrive, hémiplégie et Paul est très proche d’être un légume.

• Solange, que vas-tu faire, notre village va être privé de sa boulangerie, c’est sa mort assurée.

Hélas, c’est notre maire qui me ramène à la réalité, plus de boulanger, plus de boulangerie, je vais être obligée de mettre la clef sous le paillasson.
Mais une bonne fée s’est posée sur notre coin de Bretagne, Amadou !

• Patronne, j’ai assez d’expérience pour fabriquer les baguettes, à la française et les paris-brest pour la pâtisserie, je vais assurer la fabrication du pain de notre village.

J’apprécie ces derniers mots, « notre village, » ça s’appelle l’intégration ou l’assimilation.
Dès le mardi, je peux ouvrir à sept heures avant le départ des ouvriers de l’usine de tuiles en ardoises, nos râteliers ayant tout ce qu’il faut.
Mieux même, le dimanche, rapidement il se dit que les fars bretons ont gagné en onctuosité et dès le dimanche suivant Amadou en confectionne le double.
Je vais tous les lundis à la ville voisine voir Paul toujours dans son état végétatif.
Je lui fais la lecture des informations dans le télégramme de Brest, sans savoir s’il comprend ce que je lui dis.
Je suis accompagnée par Amadou, après que nous ayons été manger la tête de veau.
Amadou en raffole puisque c’est du veau et non du porc.
Un point noir, c’est le cas de le dire, mes miches qui se sentent abandonnées.
Tout va changer au bout d’un mois, j’ai fermé la boutique, je viens dans le fournil, Amadou est là ses mains blanches de farine.
Je suis près du marbre, la caisse de l’argent liquide en main.
Il s’approche, me prend dans ses bras puissants et m’assied sur cette table.
Je suis surprise, mais avant que j’aie le temps de réagir, il prend la caisse, la pose à mon côté et ouvre ma blouse.
Prendre l’air, mes mamelles dans leur pigeonnier lui saute au visage et malgré ses mains couvertes de farine, il commence à les malaxer.

• Excusé, patronne, ça fait des jours qu’ils me faisaient envie.

Je devrais m’offusquer, mais je sens ma chatte mouiller, elle était sèche depuis l’accident cérébral de Paul.
C’est moi qui prends le plus léger, le droit, pour le porter vers ses grosses lèvres.
Comment s’y prend-il, pour m’ôter ma petite culotte, petite c’est relative vue mon gros cul, j’achète du 52.
Paul était incapable de faire ce qu’il fait, me soulevant sous mes miches arrière et me faisant glisser sur sa verge qu’il a réussi à sortir sans que je m’en aperçoive.
Comment l’on dit, jusqu’aux amygdales, je la sens remonter en moi ?
Je serais chez Charles, c’est sur un véritable croc de boucher que je suis suspendue par la chatte.
Pour la première fois, ma bouche se colle sur la bouche de mon amant.
Heureusement, lorsqu’un orgasme me rattrape, le cri de plaisir que j’éructe se serait entendu jusqu’à la place de la mairie.
De boulangère, je passerais pour la salope de notre village qui se tape des queues noires.
Pardon, une queue noire, bien que la suite de mon aventure me réserve qu’elle surprise.
Je dois être un peu patiente, je retrouve mes envies de sexe et c’est avant d’aller manger le poulet que Charles m’a apporté et que j’ai été enfourné rapidement entre deux clientes que tout c’est précipité.
Amadou m’a si bien, fait l’amour qu’il est à ma table pour la première fois depuis que Richard nous l’a amenée.
C’est sur notre canapé, je veux éviter ma chambre de femme mariée, que je le lèche dans l’impossibilité de le faire entrer dans ma bouche.
Il s’est vidé les couilles dans le fournil, mais je sens que dans ses grosses couilles, il a bien des réserves, ma langue les lèches tout en le masturbant.
Dans ma jeunesse du temps de la prescription, il y avait un mât de cocagne sur la place de la mairie pour tous les jeunes partants faire leur service militaire.
Plus de bidasse, la tradition s’est effacée, mais lorsque ma langue remonte jusqu’à son énorme gland, je remets en place la tradition sur ce mât bien plus haut que celui que j’ai dans mes souvenirs.
Sans que je l’aie cherché, ma vie prend un tournant lorsque je plante ma chatte tout en haut de mon mât de cocagne...








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Histoire de Chris71

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