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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Rentrée scolaire 2023 (3/5)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 01/12/2023

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Ducobu, Ducobu, Ducobu !
Ce nom m’obsède depuis que je suis devenue sa soumise dès les premières minutes où nous avons été confrontés.
Pour avoir été confronté, il faut une lutte à armes égales et avec lui, je fonds dès qu’il est près de moi.
Même Porcinet mon gode est dans l’impossibilité de m’apporter la paix des sens dans cette première nuit de soumise.
Mon gode, avec vitesse de rotation pour stimulation de mon vagin et de mon clito, si j’appuie sur « off », encore un putain d’anglissime, « off » donc, le moteur s’arrête et je reprends la maitrise de mon corps.
Avec Ducobu, il manque un bouton pour le mettre sur « on » et le faire arrêter.
Comme je l’ai dit, j’aurais pu le faire en l’envoyant chez madame la proviseure lorsqu’il s’est fichu de mon nom.
Depuis, il m’a fait franchir tellement d’étape que je suis entièrement piégée, surtout lorsqu’il m’a baisé sur la table dans la salle de réunion des profs.
Je pense à tout ça en corrigeant la dictée et la rédaction.
Mon portable toujours sur silencieux, mais que j’ai placé sur la borne de charge, vibre, je sais que c’est lui, je le laisse sur... pourquoi je décroche ?

• Milla, je t’appelle à cette heure, car je sais que ce que je t’ai fait subir doit te tenir éveillée.
Tu dois te dire que tu as loupé le coche lorsque je t’ai tenu tête à la première minute de ton cours.
Tu as raison, madame Antoinette a cru pouvoir le faire avec son expérience, mais je t’ai dit que je venais dans le bureau de la proviseure.
Comme pour toi, adresse, mais numéro fixe, il m’était impossible de la soumettre pendant les cours.
J’ai agi différemment, je me suis rendu chez elle, elle habite dans un petit pavillon dans la banlieue de notre ville.
J’ai vu une voiture devant chez elle, au début j’ai cru que c’était la sienne, plus tard j’ai su que c’était celle du curé qui était là.
• Se faisait-elle baiser ?
• Tu es pressé, si je raccroche, pendant deux heures tu te feras un cinéma et tu feras, une insomnie demain au lycée tu me présenteras une tête de déterrée.
Je vais t’aider à passer une nuit paisible, je serais bien venu, mais tu habites loin et les bus sont rares à cette heure.
Prend Porcinet et caresse-toi le clito, tu vas savoir ce que j’ai vu.

Il va de soi que j’exécute son ordre accréditant ma soumission.
Porcinet va être le lien entre moi et celui à qui je cède de plus en plus.
Qu’a-t-il en plus que mes amants précédents, pas très nombreux, il va de soi ?
Trois très exactement sans compter mes moments lesbiens avec Alice, ma copine depuis le C.P.
Alice on a compris, ça a été un moment de plaisir sans pénétration, même nos doigts, nous avions peur du grand Satan et nos bouches nous ont suffi.
Alice, l’année de son bac a goûté au grand Satan, sans protection, elle a échappé aux maladies de l’époque, sans pouvoir éviter que je devienne la marraine de son fils neuf mois plus tard.
Antonio est devenu son mari et en bon Portugais, il a enfermé sa femme dans leur soumission familiale.
Ma première fois, ce fut un peu familial, mais d’un autre genre.
Maman étant divorcée, elle ramenait ses amants chez nous et c’est l’un d’eux qui m’a fait franchir le pas.
Satan, pour moi, depuis ma communion s’était du char, une histoire qui nous était racontée pour que lorsque le jour et l’heure, voire la minute arriverait nous partions sereinement.
J’aurais voulu faire des études de biologie, j’étais très forte en science, je sais bien que nous sommes des protéines comme tous les êtres ou végétaux qui peuplent notre terre.
Le seul point où les curés ont raison, c’est que nous « retournerons poussières » surtout si comme moi, je suis pour l’incinération.
Hélas, j’avais maman et j’ai voulu lui faire plaisir.

Mon deuxième amant, ce fut le mois suivant lors de l’achat d’un matelas neuf.
Le vendeur voulait que je l’essaye et m’a fait coucher sur celui qu’il m’avait aidé à choisir.
Moelleux à souhait, il est venu se coucher près de moi.
Dans cette boutique, non, chez moi.
Je l’ai vu arriver avec une camionnette me disant que leur livreur était malade et qu’il fallait qu’il fasse tout lui-même.
Il avait de gros bras et j’en ai déduit qu’il avait une grosse queue.
Une fois en place, une nouvelle fois il a prétextée que nous le testions, il était prêt à aller en chercher un autre si besoin.
Ça a été inutile, lorsque je montais et descendais sur sa grosse queue, ils répondaient très bien, sa queue et le matelas.
Tous des amants de passage et puis il y a eu le beau Romuald, c’était le soir du 14 juillet pendant mes vacances.
Lui, j’en suis tombée amoureuse à en crever, il baisait comme un dieu, ça s’est fait sur la plage, par chance il venait de me faire jouir lorsque les flics ont débarqué.
Nous nous fendions la gueule dans le commissariat lorsqu’un inspecteur nous a appelés.
Je suis tombée de haut, celui qui m’avait dit être célibataire lorsque le flic lui a demandé sa situation familiale s’est vu dans l’obligation d’avoué être marié avec cinq enfants.
Lorsque nous avons payé notre amande, ils nous ont relâchés, il a essayé de me prendre dans ses bras, je suis partie en courant, qu’il aille retrouver sa femme et ses enfants.
Et maintenant ce presque gamin, nous avons presque six ans d’écart entre lui et moi, surtout dans ce sens, mais lorsque l’on est né soumise d’abord avec maman et ma profession que je me suis laissé imposer.
Ce que Ducobu a vu dépasse tous les entendements.

• Je suis allé vers la terrasse et la porte fenêtre de la salle.
La pièce était éclairée et madame Antoinette était à genoux sur un prie Dieu.
Ce prie Dieu était déjà étonnant dans une maison personnelle.
J’en avais déjà vu dans une église lorsque j’ai été chercher quelques sous dans un tronc pour l’achat de bougies.
Je sais, c’est mal, mais le besoin crée le geste, j’ai dit merci en sortant en compensation de ce don.
Antoinette était nue, ses fesses en gouttes d’huile, peut appétissante, mais l’homme devant elle semblait s’en contenter en lui pilonnant la bouche avec son sexe.
J’étais obnubilé par ce sexe entrant et sortant de la bouche de cette femme tellement collet monté au lycée.
J’ai levé la tête et un col blanc et dur autour de celui qui se faisait faire une étrange fellation m’est apparu.
Un curé, certainement son curé se faisait tailler une pipe royale par notre prof de Français.
Il a déchargé, j’aurais bien voulu entendre ce qu’il lui disait, mais le geste qu’il a fait avec sa main, celui de la croix était sans ambiguïté.
Après qu’elle est avalée, il lui donnait sa bénédiction, j’avais vu le pape en faire de même devant les foules se promenant dans sa papamobile.
J’ai fait quelques photos qui m’ont été fort utiles pour moi aussi la bénir.
Mais c’est du passé, toi seule compte maintenant, je crois que j’ai le béguin pour toi, bonne nuit, j’entends que ton doigt t’a fait jouir.

Il a raccroché me laissant, il est vrai, avec la jouissance qui venait de me traverser.
Mon doigt, sa voix déjà très grave avec le récit qu’il m’a fait de celle qui est passée par sa soumission puis son burnout avant moi ont apporté ma jouissance.
Je dore comme un bébé, mais en roulant pour rejoindre mon poste et mon suborneur, je me suis demandé dans quelle sauce, il allait me tremper.
Hélas, lorsque j’ai regardé mon planning la classe de première, c’est jeudi que je les ai.
Je crois que je vais être tranquille jusqu’à ce jour, j’ai raison pour le mardi, mais le mercredi, mon portable sonne !

« Demain, 14 heures dans la petite rue donnant sur la salle des profs, je veux passer un moment avec toi, tu as intérêt à me répondre « oui ».

« Non », c’est ce que je tape sans envoyer ce mot que j’efface et que je remplace par « oui », soumise un jour, soumise toujours.

• C’est bien, tu es à l’heure à notre rendez-vous, tu as mis une petite culotte !
• Tu m’en avais donné l’ordre !
• J’aime que tu prennes des initiatives, enlève là !
• Ici dans cette rue ?
• Dépêche, sinon !

J’aime ces ordres tombants comme de véritables couperets, d’où me viens ce goût pour la soumission, peut-être le fait d’avoir cédé à maman pour le choix de mon métier.
J’aurais été élevé par un père me fessant régulièrement comme c’était le cas pour Aline, je pourrais comprendre.
C’est cette fureur que subissait mon amie qui a fait de nous des lesbiennes, la veille du jour où nos rapports se sont produits, elle avait voulu sortir et s’est opposée à ce père tyrannique.
Le ton a monté et c’est sa ceinture qu’il avait ôté qui s’est abattu sur ses fesses.
Elle m’a montré les traces qui lui couvraient son arrière-train.
Elle s’était couchée sur son lit en soulevant sa jupe, j’ai vu ces boursoufflures, j’y ai passé ma langue et surprise, elle s’est retournée au moment où je donnais un grand coup de langue.
J’ai atterri sur son clito, j’ai vu que je lui faisais du bien, nous nous sommes faits du bien atteignant notre premier orgasme simultané passant dans le monde de Lesbos.
Bien sûre, ma soumission peut s’apparenter dans un autre domaine, même s’ils ont peu me voir, je soulève ma jupe et je l’enlève.
Il y a un peu de vent qui suit cette rue entre ces deux maisons, je devrais avoir un peu froid, je suis chaude comme la braise.
Ducobu la prend, la sent, j’ai peur d’être baisée sur le capot de ma voiture ayant trouvé une place dans cette impasse.
Ouf, une bouche d’égout, ce sera l’un de ces hommes qui travaille dans les sous-sols aura une chance de la récupérer.

• Viens, entrons, nous sommes mercredi, le lycée est vide, je veux te faire visiter ton lieu de travail et surtout le bureau de la proviseure !
• Je peux te poser une question !
• Pourquoi as-tu une bouteille de vin sous le bras ?
• C’est notre secours en cas de besoin, tu verras bien !

Il prend une clef, ouvre la porte, je retrouve la salle des profs, pourquoi cette bouteille, veut-il me saouler et profiter de moi ?
Profiter, est-ce déjà le cas, mais qu’est-ce que je commence à aimer ça...






















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Histoire de Chris71

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