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COLLECTION ESCORT BOY. Le gigolo de madame (2/4)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 07/11/2023

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Ayant peur d’être licenciée de ma boîte où j’ai eu du mal à trouver une place après bien des galères, je me retrouve dans l’ascenseur de celle étant ma patronne.
Hier au soir, fin de semaine, j’ai eu peur d’être obligé de recommencer à galérer alors que Sylviane vient de me mettre une enveloppe de 2000 € cache dans la poche de mon costar.

Arrivée au sous-sol dans le garage elle me tend les clefs du bout de ses jolis doigts comme si elle était détendue alors que je sens qu’elle est un peu à cran.
Quelles voitures dois-je ouvrir, je suis sûr qu’elle veut tester mon intelligence.
Malin le mec en plus d’être beau et sportif, j’appuie sur l’ouverture de la clef et à quelques mètres de nous une très belle Mercédès allume ses feux et ses clignotants.
Je vais à la portière arrière droite pour l’ouvrir.

• Non, referme, je monte à ton côté.

Je me déplace et quand elle s’assoit, sa robe remonte me montrant sa fente épilée, je suis sûr qu’elle l’a fait sciemment, la nuit risque d’être chaude.

• Dépêche, on va être en retard, il va nous attendre.

Qui est-il, j’évite de lui poser la question, j’ai le temps de savoir.

• Tu connais Paris dirige-toi vers la rue de Rivoli.

Arrivée à destination à quelques mètres d’un grand restaurant elle se rapproche de moi passant même son bras derrière mes épaules.
Je m’arrête et avant que nous mettions pied à terre, Sylviane me prend le menton et me tournant la tête m’embrasse comme le feraient deux amoureux.

• Tu embrasses bien mon jeune ami.
J’ai bien fait de te choisir pour me chaperonner ce soir.
Viens m’ouvrir ma porte et joue bien ton rôle, tu es mon fiancé et par conséquent mon amant.

Je m’exécute, revoyant de nouveau et même plus intimement ce que d’autres font tout pour cacher, j’adore sa chatte.
Nous entrons et je vois un homme se lever d’une table où il semble nous attendre.
Il doit avoir plus de soixante ans même plus proches des soixante-dix.

• Bonsoir, Sylviane, vous êtes de plus en plus belle.
• Merci, je vous présente Léo, mon ami.

Je comprends au son de sa voix et au baiser qu’elle me met dans le cou qu’elle dit à l’homme, je vous présente mon amant.
Le repas se passe cordialement, pour ma part au fil de leur conversation j’évite de m’en mêler, inutile de faire un imper risquant de mettre en l’air la stratégie de Sylviane en venant avec moi.
Je comprends que ce monsieur doit signer un gros contrat avec notre société et qu’il espérait en prime se sauter la patronne.

• Et vous, jeune homme, que faite vous dans la vie, je vous ai vu arriver dans votre voiture, par cette baie vitrée, vous êtes dans les affaires !
• Oui, dans l’import-export, c’est lors d’une soirée que j’ai rencontré Sylviane.
Avez-vous dans votre vie, qui semble avoir été longue, connu le coup de foutre, chérie, tu m’as toujours dit que nous avions été frappés en même temps !

Sylviane me regarde un brin étonné d’une telle assurance dans ma réponse.
Elle à tourner sa tête, je pourrais l’embrasser comme dans la voiture, mais je lui prends la main l’effleurant seulement de mes lèvres.
J’ai bien compris qu’en m’emmenant elle déjoue les plans de ce bellâtre.

• Vous avez raison, jeune homme, une perle comme madame Sylviane, il faut savoir la cueillir au bon moment, il me semble que j’ai laissé passer ma chance.
Sylviane, je vous souhaite tous mes voeux de bonheur.
Vous avez rencontré la perle rare, intelligente et semblant pouvoir vous apporter le bien-être matériel.

Un instant au regard de Sylviane, je pense avoir été trop loin.

• Je suis content de vous confirmer que je vais signer ce contrat et même envisager de prendre quelques séries supplémentaires.

Vu l’avancée du contrat et l’intérêt qu’il a à gagner du fric, les affaires passent avant le cul.
Il comprend de la façon dont elle lui fait voir qu’elle est très amoureuse de moi, qu’il doit faire un nœud avec sa queue.
De mon côté, je suis rassuré, j’aurais au moins servi à faire augmenter la commande.
Sylviane lui donne rendez-vous lundi pour finaliser le contrat.
Nous le quittons, en prime, c’est lui qui paye l’addition, tout bénef pour Sylviane.
De retour à son appartement, elle déclenche l’ouverture automatique de la porte du garage et j’entre la voiture.

• Tu m’as fait peur, comment t’en serais-tu sorti si ça avait été à nous de payer l’addition.
Un mec riche avec une belle Mercédès serait passé pour un margoulin s’il m’avait laissé payer la note.
• Tu as raison, Sylviane, je vais t’apprendre deux choses me venant de ma mère.
Tu avais et j’avais un menu sans les prix, c’est comme cela que cela se fait dans les restaurants de luxe.
C’est notre client qui avait réservé et toi ainsi que moi nous avions les menus nous permettant de choisir les plats sans regarder ce que cela allait lui couter.
Par chance, j’ai vu le tien quand tu choisissais et que je me suis penché vers toi pour te ramasser ta serviette.
Salope, j’ai bien vu que ta robe était assez remontée, tu as vu, j’ai été sérieux, tu méritais que je te passe une main.
• Comment savais-tu pour les menus !
• Je vais te dire, maman a travaillé dans un grand restaurant sur les bords de marnes et c’est elle qui m’a expliqué cette façon de faire pour ceux qui ont du fric.
La deuxième chose que je peux te dire, c’est que j’avais en poche une enveloppe de 2 000 € qui m’aurait permis de régler l’addition.
Tient une dernière chose qui me revient, c’est à notre client à qui l’on a donné la carte des vins, j’espère que la bouteille de pommard était bonne, j’ai pu voir qu’elle coutait bonbon.
• Es-tu pressé ?
• Non, tu m’avais demandé de garder ma soirée.
• Monte.

Ce que j’aime, c’est le tutoiement qui passe comme une lettre à la poste.
Dans l’ascenseur je me retrouve dans la même position qu’à la descente à un détail près.
J’ose avancer ma bouche vers son cou et dès que je le touche son corps se tend et ce pame en tournant sa tête en arrière pour que nous nous embrassions.
Je m’attendais à être rembarré, mais sa bouche me prouve qu’une nouvelle fois, j’ai pris la bonne initiative.

• Attends que nous soyons dans mon appartement.
Évite de faire le chien fou, tu auras tout à y gagner.

Sauter cette belle femme qui plus est ma patronne qui aurait pu le prédire ?
Je suis sûr que même maman, qui pourtant a été de bon conseil, se serait plantée si elle avait essayé de me donner des conseils sur cet état de fait.
Dès que nous sommes dans le salon, je prends Sylviane dans mes bras, nos corps se cherchent et se trouvent en commençant par nos bouches.
Avant de quitter sa maison, pour faire le gigolo a ses côtés près du client devant se taper une pignole son coup ayant foiré, j’avais remonté sa fermeture.
J’ai peu d’expérience avec les femmes, juste deux ou trois petits coups en passant, mais d’une main agile, je la fais retourner vers le creux de ses reins.
Je passe ma main sur ses fesses, elle doit faire du sport puisqu’à 40 ans, elles sont fermes et rebondit.
Elle me met la main sur mes pectoraux.
Je les fais bouger, comme j’ai appris à le faire à la salle de sport.
Je fais tomber sa robe devant le canapé et je prends le premier sein à ma portée dans ma bouche.
Sa fraise que je sollicite avec ma langue, bande autant que ma bite dans mon pantalon.
Je me suis occupé de sa robe, c’est elle qui s’occupe de ma chemise et mon pantalon donnant de l’espace à ma verge.
Je vais pour attaquer sa deuxième fraise quand elle m’échappe s’agenouillant devant moi.
Lorsque je baisse les yeux, contournant ma verge, je vois sa chatte que je sais déjà épiler, je remarque même des gouttes de cyprine en couler.
Elle suce divinement, c’est toujours divin quand c’est la première fois et pour moi, c’est une première.
Souhaitant la faire jouir avant de jouir, je la conduis de main de maître vers le canapé où elle se retrouve couchée les jambes écartées.
Je prends le temps de savourer la vue de cette femme quadragénaire et dirigeante un grand nombre de personnels hommes ou femmes.
Combien d’entre eux lorsqu’il tremble dans son bureau comme je tremblais il y a encore peu, on put la voir quémander ma bite.
Je prends le temps, je m’agenouille à mon tour, ma langue rejoint son clitoris qui semble apprécier ce qu’elle lui fait.
Elle prend ma tête dans ses mains pour me plaquer plus fermement.
Je réussir à la faire jouir, mais je veux plus, je veux qu’elle se rende, qu’elle crie que je suis un mâle d’exception, une bête de sexe.
Depuis que je suis tout petit, maman me dit toujours, soit le meilleur dans tous ce que tu fais, j’ai toujours aimé faire plaisir à maman depuis que papa l’a largué.
À un seul endroit, elle est loin d’avoir réussi, l’école alors que j’aurais pu faire des études, j’étais un glandeur.
Satisfait de moi, je me redresse et présente ma verge à sa fente en mourant d’envie.
Son portable sonne...




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Histoire de Chris71

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