COLLECTION ESCORT BOY. Le gigolo de madame. (4/4)

D’ouvrier d’usine à gigolo, maman aurait-elle pu penser à une telle progression dans ma vie privée.
C’est ma patronne qui m’a fait franchir le pas en me payant afin de l’accompagner dans un restaurant ou l’homme avec lequel elle avait rendez-vous pour négocier un contrat.
Elle savait que Donatien envisageait de la sauter alors que de son côté, il en était tout autrement, seul le développement de son entreprise l’intéressait.
Donatien déjoue notre jeu malgré que j’ai été très bon.
Contre une grosse sommes, il me demande de jouer son neveu devant séduire la jeune femme d’un de ses clients avec lequel il est en affaires.
Le plus compliqué, c’est de l’amener à venir chez Sylviane qui m’héberge, me nourrit, m’achète mes fringues et me met le pied à l’étrier dans ce monde du fric et des escortes parisiennes.
Josette, ma proie est sur la terrasse surplombant Paris, mon portefeuille replacer dans ma poche, je la rejoins.

• Tu vois comme c’est beau, la tour Eiffel à droite et à gauche celle de Montparnasse.
• La vue est exceptionnelle et d’ici nous pouvons voir une grande partie des monuments parisiens.

Mon bras se porte sur ses épaules alors que j’étais à deux doigts de lui mettre sur ses fesses.

• Regarde, à gauche, c’est le Louvre où se trouve la Joconde.
• Mais que fais-tu, je suis mariée, je te faisais confiance.
• En revenant vers toi, j’ai pu admirer ta chute de reins, ça m’a fait envie de tout découvrir de toi.

Elle me regarde, nous sommes si prêts que j’en profite pour lui poser un baiser dans le cou avant de lui prendre les lèvres.
Un peu réticente au début, elle cherche à se reculer, mais ma main la bloque et je sens sa langue répondre à ma demande.
J’évite d’insister au risque de la perdre, c’est elle qui me prend la tête pour que je continue.
Ma queue se tend rendant impossible qu’elle ignore qu’elle me plait, nous sommes si étroitement enlacés.
Cette femme, jeune de surcroit, doit avoir une vie de frustrer avec son mari et je réussis à être l’élément déclencheur avec ma belle gueule.

• Qu’est-ce que je fais, je perds la tête ?

C’est beau une femme commençant à se donner surtout quand sentant l’inexpérience de cette femme, je lui prends un sein, je suis sûr qu’elle mouille énormément sa petite culotte.
Je la fais reculer jusqu’au lit rond d’extérieur recouvert de coussins.
Elle s’assied, juste à hauteur de mon pantalon et de la fermeture me permettant de sortir ma verge.

• Quelle horreur, que veux-tu que je fasse Léo.
• Tu fais des fellations à ton mari.
• C’est mal Léo, de le tromper, c’est mal, mais de faire ce que tu veux que je fasse, c’est pire.

Maman a toujours dit de faire plaisir à une dame chaque fois qu’elle le voudra.
La mère de Josette a dû l’élever dans des principes que je vais l’aider à contourner.
Je lui prends la tête et je plaque ma verge sur sa bouche.
Comme pour ses lèvres, rapidement je sens qu’elle sort le bout de sa langue léchant mon méat.
Savoir que je suis le premier à entrer dans cette bouche, je bande deux fois plus.
Quand elle me prend la bite d’une de ses jolies mains et qu’elle se met à me pomper, je sais que je viens de gagner les 5 000 € promis.
Je devais l’écarter de son mari et Donatien m’a dit que si je voulais profiter de l’occasion, pour le faire cocu, il m’était possible de me servir.
Je me sers, je fais lâcher prise à ma proie pour mieux la redresser, la dénuder me dénudant aussi et alors qu’elle veut s’allonger, je la fais se mettre en levrette.

• Léo, c’est mal tout ça, c’est la première fois que je me retrouve dans cette position.
• Tu vas voir, si ton mari te baise dans la position du missionnaire, tu vas apprécier ce que je vais te faire.

La fellation que j’ai réussi à me faire faire, lui plait, car elle attend que je lui montre, ce que j’envisage de faire pour lui donner du plaisir.
C’est ma langue que je promène de son clito à son anus.
J’avais raison, en lui enlevant sa petite culotte, elle était trempée et avant d’ôter mon pantalon, je la glisse dans ma poche.

• C’est bon, Léo, tu es mon deuxième homme et je suis contente de t’avoir rencontré.

Deuxième homme, je m’en serais douté, vu son inexpérience.
Au moment où elle commence à roucouler, je sais que cette journée sera inoubliable pour elle.
Je me redresse, sa chatte avec la mouille qui en sort, me permet de la pénétrer jusqu’à mes couilles sans aucune retenue.
Très rapidement, ses roucoulements se transforment en cris de plaisir et je sens son corps se tendre au moment où un orgasme la traverse.
Elle s’écroule sur les coussins, je la suis, mais ma bite sors de son fourreau et je m’affale à son côté.
Elle reste prostrée quelques minutes, je respecte qu’elle digère d’être passé de femme fidèle à infidèle jusqu’à salope ayant trompé son mari.
Elle se retourne me montrant ses jolis yeux bleus entourés de ses cheveux blonds.
C’est elle qui prend ma queue en main qui bande encore.

• Mon chéri, tu permets que je t’appelle mon chéri, j’ai pris du plaisir comme jamais, mais j’ai bien senti que je t’ai laissé sur le bord du chemin.

Elle m’embrasse, se penche et avec sa main et sa bouche, sans que je lui demande, elle me fait une autre fellation.
Je finis par la repousser, je veux que cette après-midi soit inoubliable pour elle.
Je m’allonge.

• Viens sur moi, empale-toi, c’est toi qui guideras nos deux corps jusqu’à notre plaisir en commun.

Ce qui a plu à ma patronne et un peu entremetteuse, c’est mon endurance.
Je la baise avec tant d’intensité que c’est une femme amoureuse que je ramène à son mari.
De retour, si elle a mis un peu de temps à le tromper, elle apprend immédiatement le jeu d’une femme mariée et infidèle.
Ce qui risque de lui arriver, c’est que si son mari lui met discrètement sa main à sa chatte, il s’apercevra que son épouse, maintenant, se promène la chatte libre de toute entrave.
Au moment où il a fallu revenir auprès d’eux, Josette a cherché sa culotte que j’avais mise dans ma poche.
Un peu con la jolie fille de s’être fait piéger aussi facilement surtout lorsque je lui dis que lorsque je lui ai enlevé je l’ai jeté derrière moi et qu’elle a dû atterrir sur le trottoir.

• C’était extraordinaire, un seul regret, la tour Effel, lorsque nous sommes arrivées, il y avait deux heures de queue.
Nous avons continué à circuler dans les rues de la capitale, Léo voulait que nous attendions, mais j’avais hâte de te retrouver mon amour.
• Ce soir, je t’ai réservé une surprise.
• Qu’est-ce que c’est mon amour, dis-moi, je suis impatiente !
• C’est une surprise, tu verras ce sera formidable, voire inoubliable pour toi.
• Bon je vais savoir attendre, Léo viendra avec nous !

Je suis à deux doigts de la traiter de conne.
Certes, Léo après une après-midi qu’elle m’appelle par mon prénom, c’est plausible.
Mais qu’elle souhaite continuer de m’emmener avec eux, ça peut mettre la puce à l’oreille de son mari.

• Ma chérie, c’est une très bonne idée, Donatien tu nous accompagnes aussi !
Après le rachat de mon entreprise me permettant de prendre du bon temps avec ma petite femme, c’est le moins que je peux faire au prix que tu me donnes de vous inviter.
• Monsieur Donatien, vous avez racheté l’entreprise de mon mari, c’est formidable, nous allons pouvoir faire ce magnifique voyage que tu m’as promis si tu vendais.

J’ai fait mon travail d’escorte, je viens de gagner mes 5 000 €, que demande le petit peuple.

• Ma chérie va te repoudrer le nez, je vais expliquer à nos amis où nous nous retrouverons sans que tu saches où nous allons.
Sinon pour toi la surprise tombera à l’eau.

Je vois se lever celle qui se pâmait au creux de mes bras, il y a peu.
Son petit cul me fait bander surtout lorsque je sais où est sa culotte.
C’est seul en taxi aimablement envoyé par le cocu devant chez moi que je retrouve me couple devant le Lido.
Biquet est là avec Josette en smoking comme moi pour nous les hommes et elle en robe du soir la moulant parfaitement.
A-t-elle aimé se promener la chatte à l’air, je l’ignore, mais sa robe est si moulante qu’il est impossible qu’elle ait recouvert sa chatte, aucune marque à la ceinture.
Donatien prétextant qu’il était fatigué, m’a laissé venir seul retrouver nos amis.
Mon portable sonne dans le taxi, je regarde, un message de ce dernier.

« Bravo, tu as parfaitement joué ton rôle, le mari était si perturbé de savoir sa femme loin de lui qu’il a cédée à presque toutes mes demandes.
Tu recevras une prime de 10 000 € en compensation des bons moments que je pense, tu as passé. »

Une belle paye, 5 000 déjà sur mon compte, 10 000 de bonus et un petit cul baisé tout un après-midi, que vouloir de plus.
J’oubliais le repas spectacle avec les Blue belles girls, assis à côté de celle qui sans le savoir aura été ma première cliente comme escorte.
Ce soir, je vis un rêve, peut-être rapporterais-je mes prochaines aventures maintenant que je suis une escorte.
En attendant je cherche le moyen de m’isoler avec Josette aux toilettes pour l’honorer une dernière fois avant qu’elle parte avec biquet son cocu, c’est le nom qu’elle lui donne depuis que nous nous connaissons.