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COLLECTION ESCORTE BOY. Le bal des vieilles (5/7)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 09/05/2023

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Giselle, la première femme qui m’a fait connaître le monde des escortes alors que j’étais simplement venu danser au bal à des vieilles vient de me demander de remplir un nouveau contrat fort bien rémunéré.
Je dois faire croire à ses parents que nous sommes fiancés afin qu’elle ait la paix avec eux.
Je me mets beau-papa dans la poche en lui refusant les clefs d’un soi-disant contrat dans le cadre de mon travail avec sa fille.
Il me reste à amadouer belle-maman.

• Venez danser chère madame !
• Oh ! vous savez danser, le tango j’espère Bruno !
• Tout à fait, la valse le paso, la rumba si vous préférez !
• Incroyable un jeune homme qui sait faire la cuisine et qui sait danser.
Ma fille, tu as trouvé la perle rare, je comprends que tu souhaites l’épouser.
Pour la différence d’âge, nous ferons avec, du moment que vous nous faites un héritier, le reste restant baliverne.

Je la fais tournoyer jusqu’à une série de slows ou je la raccompagne à la table.
J’invite Giselle qui donne le change en se glissant dans mes bras frottant son pubis contre le mien.
Elle a mis ses mains autour de mon cou et va même jusqu’à m’embrasser et me murmurer à l’oreille.

• Merci, tu es parfait, mes parents se couchent tôt, ils vont partir et je vais te manger tout cru.
Je vais mettre un autre slow, réinvite mère, tu l’auras définitivement dans la poche et notre deal sera réussi.

Le slow terminé, elle va à la platine et comme elle l’a dit, un nouveau morceau doux démarre.

• Bruno peux-tu recommencer à faire danser mère, car je dois m’entretenir quelques minutes avec père sur une affaire où tous les deux nous pourrions gagner une forte somme d’argent.
• Madame si vous me permettez.
• Giselle je te dis que tu as trouvé une perle, allez me gagner de quoi vivre oisivement.

J’aide à ce qu’elle se lève, je l’enlace plus lascivement et je la fais danser l’écartant de moi de temps en temps et la ramenant sur mon corps.
Comme avec Giselle nos pubis finissent par parfaitement s’imbriquer au point que si je le voulais sa manière de me regarder droit dans les yeux pourraient me faire croire que je suis loin de lui être indifférent.
Mais je veux éviter de la braquer et j’espère que je lui ai fait mouiller sa petite culotte.
Richard revient alors que j’ai eu le temps de faire sentir à belle maman que ma verge est de bonne facture.
Lorsque je pense à l’âge de la moyenne des femmes qui me payent, étant loin d’être insensible à son charme, le principal est atteint, je plais à beau papa et maintenant à celle que je pourrais appeler Marguerite.

• Désolé de t’enlever ton cavalier, mais demain je dois valider l’offre que nous venons de faire dans une affaire que je suis depuis des jours.

Giselle revient à son tour et comme je viens de libérer sa mère, elle prend sa place en se lovant contre moi.

• Tu as raison, laissons les jeunes entre eux, si nous voulons qu’ils nous donnent le petit-fils que tu espères tant.
• Maman, nous sommes encore jeunes, laissez-nous profiter de notre bonheur soyer patient.

Nous les voyons prendre leur Jaguar des années 60 et quitter la propriété de leur fille.

• Viens, je vais te payer ta soirée, tu as été parfait, même mieux que j’espérais.
J’étais même à deux doigts d’être jalouse de la manière dont tu t’es occupé de mère.
Mais tu as bien fait, elle était la plus difficile à impressionner et à convaincre.
Suis-moi au garage.

Pourquoi le garage ou plusieurs voitures dont un coupé sport Mercedes est garé, elle ouvre la portière et récupère des papiers ?

• Pour commencer voici l’enveloppe prévue pour défrayer ta soirée.
En prime voilà la carte pour démarrer ta nouvelle voiture.
Tu vas impressionner tes clientes, tu verras, le fric appelle le fric, je suis bien placée pour le savoir.

Je l’enlace.

• Et si nous allions rejoindre ta chambre.
• Inaugurons ta voiture, prends-moi sur le capot.

Ce qu’une femme veut, la saisissant sous les cuisses, je la pose sur la calanque.
Je m’agenouille et je lui soulève sa mini, elle a prévu le coup en voulant pour son argent sa chatte épilée est dénudée et prête à être fourré.
J’avance ma bouche et je lui gobe le clito qui réagit à mon léchage ponctué de petits mordillements.

• Tu as pris de l’assurance, tu deviens un merveilleux amant, je vais te faire venir ici plus souvent

Elle se tait car rattrapé par un grand plaisir quand je lèche goulûment son vagin sécrétant de grandes quantités de cyprine qui dégouline sur le capot de ma voiture.
Quand je la repose au sol, c’est pour mieux la retourner, la plaquer sur le capot ayant dégagé ses seins qui frisonnent en contact du métal froid.
Je me place et d’un grand coup je la sodomise.
J’ai pris goût à enculer les femmes depuis mon épisode avec Véronique et Stéphane.
J’ai même dépucelé deux d’entre elles qui au début disaient non et qui après en redemandaient.

• Plus fort, laboure-moi, j’aime ta queue, ce soir tu as bien gagné ta voiture.

Son plaisir pris, je l’aide à se relever.
Je me mets au volant, je démarre pendant que Giselle ouvre la porte du garage la poitrine dénudée et la chatte à l’air sa mini faisant un cordon autour de sa taille.

Dans les jours qui suivent, je suis devenue la coqueluche des femmes venant rencontrer de beaux garçons au bal à Jo.
J’ai meublé mon appartement avec goût, mais cela paye, car elle défile presque tous les jours mon investissement étant rapidement rentabilisé.

• Allô Bruno, c’est le papa de Giselle qui vous appelle, êtes-vous libre et pouvez-vous passer me voir à mes bureaux.
• À quel endroit ?

C’est à une distance de quelques kilomètres dans la ville voisine que je me rends.
Richard à ses bureaux dans un immeuble de verre ou son nom est placé sur le fronton.
Il me reçoit, je suis un peu anxieux notre supercherie aurait-elle été découverte.

• Bruno, j’ai une affaire à vous proposer.
Je sais que je vous ai dit qu’il fallait toujours être le premier, mais là je suis piégé, il me faut un comparse.
• Est-ce bien légal ?
• Non pas du tout mais je suis grillé près de celui avec qui je dois traiter.
• Pourquoi moi et votre fille ?
• Nous sommes entre hommes, je vais vous expliquer.
Giselle et Antoine l’homme que nous allons rencontrer ont été amant.
Avec Marguerite, un moment nous avons cru que ce seraient lui qui assurerait notre descendance.
Il lui a fait une crasse et comme je te l’ai dit dans les affaires, c’est un monde de requins, j’ai compris que tu avais compris.
Avec ta perspicacité, tu dois penser que je pourrais directement traiter avec Antoine.
Là je vais te faire voir la confiance que j’ai en toi !
Après notre fille il a rencontré Jennifer qui est devenue ma maîtresse, comment ça serait trop long à t’expliquer.
Antoine l’a su et comme dans cette période elle est tombée enceinte, je lui avais acheté un petit appartement où nous roucoulions derrière son dos.
Un autre concurrent de notre monde l’a su et lui a dit.
Depuis il m’est impossible de traiter avec lui.
C’est là que tu interviens, je vais te donner les coordonnés de l’affaire et c’est toi qui vas le rencontrer.
Combien peux-tu investir dans notre affaire, je mets un million d’euros, il en faudrait minimum la moitié de plus.
• 500 000 €, il te faudrait 500 000, je peux faire mieux 600 000.

Au poker cela s’appelle faire tapi, si je perds, tout ce que j’ai gagné en faisant l’escorte, je me retrouverais sur un lit de paille.
Mais la voiture de luxe, les costumes et l’immeuble me rassurent sur le pari que je prends.
Je rencontre le dénommé Antoine, les renseignements donnés étaient en béton et je réalise l’affaire, sans qu'il sente la supercherie.
Quelques jours plus tard le transfert de l’achat à assez bas prix revendu par beau papa à une collectivité local nous font faire triplettes sur les bénéfices.
Ce qu’il avait su c’est qu’une sortie de la nouvelle autoroute se trouverait être construite et les terrains ont pris une valeur forte.
Mon chèque en main, je vais à ma banque rentrant dans le monde des millionnaires et des payant l’impôt sur la fortune.
400 000 €, c’est la villa que j’achète pour moi et maman tout compris avec piscine et intérieur complètement aménagé.
Cette villa vendue par l’héritier appartenant à un homme décédé à l’hôpital et dont le seul fils habitant en Nouvelle-Calédonie où il a épousé une jeune femme de l’île.
Il a décidé d’habiter au pays ensoleillé liquidant tous leurs biens en France.

• Allô Bruno, mon mari m’a donné ton numéro.
J’aimerais que l’on se rencontre dans un endroit discret.
Tu es libre demain soir, j’aimerais avoir une discussion en dînant à l’auberge du vieux manoir.
Connais-tu ?
• Oui, à demain soir 20 heures.

Que me veut Margueritte que j’aime appeler belle maman !
Heureusement, qu’au bal à Jo, je me fais un moment de bonheur me rapportant 2 000 €.
Ma voiture est équipée d’un G.P.S. intégré et après l’avoir programmé, je trouve cette auberge bien retirée et propice aux 5 à 7.

• Bonsoir, belle maman, que me vaut cette invitation.
• Je vous intime l’ordre de dire à ma fille qu’il vous ait impossible de continuer avec elle surtout de l’épouser.
Pour moi, hors de question qu’une petite pute épouse ma fille et me donne des petits enfants.
• Comme vous y allez, petite pute, c’est insultant qui vous permet de prononcer des mots si choquants.
• Le site d’escorte boys ayant une fiche avec une photo ou Bruno, invite des femmes à payer pour qu’il leur fasse l’amour, c’est vous !
Inutile de nier !
Vous avez dû rencontrer Giselle comme vous nous l’avez dit dans une soirée entre amis.
Vous avez su qu’elle vaut 12 millions d’euros de revenue après impôts chaque année.
Vous l’avez séduite espérant toucher le magot.
La connaissant si elle l’avait su, elle vous aurait viré directement, sans cette enveloppe que je vous propose.
C’est largement ce que vos clientes vous payent !

Incroyable, j’ignore encore, comment elle a trouvé le site me permettant de me prostituer.
Mais je suis hilare, sans lui montrer, qu’elle soit certaine que j’ai abusé de sa fille pour me faire épouser !…
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Histoire de Chris71

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