COLLECTION ESCORTE GIRL. La duchesse de l’autoroute (6/14)

Les choses progressent pour moi, j’ai été obligée de faire appel à Ludo et son camion de dépannage le moteur de ma voiture étant à la limite de lâcher.
Je suis chez lui depuis trois jours ou je passe mon temps entre le lit qu’il a mis à ma disposition dans son cabanon à dormir et à lire.
À oui, j’oublie le plus important.
Ludo pendant tout ce temps à une vie de fou entre son camion, ma voiture et mes fesses, tout du moins, ma chatte qu’il semble apprécier chaque fois qu’il me fait l’amour.
Il s’y connaît sur le plan sexuel, car il m’invente toujours de nouvelle position pour que je prenne mon plaisir.
Pendant les deux premiers jours, je quitte le cabanon et la télé qu’y est installé pour sa maison afin de lui préparer son dîner son travail l’empêchant de manger le midi.
En sortant de la salle de bain je vais boire un coup dans son frigo alors que j’en ai un dans mon cabanon et je découvre qu’il est plein de diverses victuailles.
Il y a des morceaux de Bourguignon, le plat préféré de Pierre que je cuisinais avec amour, pour que ça m’ait servi.
C’était avant le temps que j’apprenne que de nombreuses personnes baisent sur l’autoroute et que je passe de veuve à pute.
Rapidement, je suis surnommée par mes clients la duchesse, car j’ai gardé mes tenues du temps ou j’étais une épouse fidèle avec mes bas et mes portes jarretelles.
Mon amant est satisfait de sa cuisinière et pour me remercier entre deux tours de clef sur ma culasse, il me donne des coups de bite là où cela me fait du bien.

• Fantine t’embrasse, j’ai été chercher une voiture qui était en panne à la borne précédant le Restoroute et j’en ai profité pour aller boire un café.
Viens m’aider, j’ai fini de tout remonter, j’ai hâte que tu me donnes ma récompense et que je te sodomise.

J’avais oublié que mon cul était l’enjeu si ma voiture repartait, un tour de clef le moteur crache et mon cul est sauvé, deuxième essai encore sauvé.

• Attends, tu risques de la noyer.

Culasse, tuyauteries ou autres bielles, c’est du chinois pour moi, mais je me garde bien d’éviter de le contrarier par mon inculture en mécanique.
Il prend son tournevis.

• Essaye doucement en accélérant.

Je fais ce qu’il me dit et miracle pour lui, trop tard pour mon cul la voiture démarre.

• Il fallait que je règle la vis d’arrivée d’air sur le carburateur.

Ludo, viens t’occuper de mon cul, ce sera plus facile que d’apprendre ces mots sur la mécanique.
Mais je suis déçue m’étant faite une raison que mon anus allait éviter d’être la prochaine étape de ses envies.

• Il te reste du bourguignon, j’ai faim.

Un vrai petit couple, sauf la différence d’âge qui est loin d’être en ma faveur.
Il mange ou plutôt ingurgite son repas.
Chaque fois que je passe à porter après qu’il est trouvé une nouvelle chose à me demander d’aller chercher dans le frigo, sa main caresse mes joues fessières, même si je suis assez svelte de ce côté-là.

• Et si nous regagnions ta chambre à moins que tu veuilles redonner un tour de clef et redémarrer ta chignole.

Il faut savoir prendre le taureau par les cornes.

• Et si tu m’enculais assise sur cette chaise de cuisine, je crois que cela se fait.
• T’es une vraie cochonne, ma Duchesse, tu as raison.

Il ouvre la ceinture de son pantalon et sort son mat.
Je pourrais le sucer, mais je veux faire honneur à son travail et faire ce que j’ai promis, je l’enjambe et il veut me prendre par la chatte.

• Eh ! preu chevalier une promesse est une promesse, la voiture marche mon anus est à toi.

Je lui entoure le tort de mes bras et je le laisse glisser en moi dès que je sens son gland bien positionné, je souffle à chaque millimètre gagné tellement il est gros.
Mais mon corps est prêt à tout accepter même si pour la première fois depuis qu'il me saute le plaisir est inexistant.
C’est fait, il bouge dans mon fondement, j’ai l’impression qu’il remonte en moi comme les fers rouges que subissaient les empalés au Moyen Âge.
J’ouvre la bouche pour voir si ma langue va sentir le gland remonter jusqu’à elle.
Et puis je commence à sentir des petites sensations comme si mon corps mais plus mon cul sortait de la torpeur créée par un narcotique comme chez le dentiste.
Je monte moi-même jusqu’au plus haut pour retomber lourdement, à un moment je vais trop loin et sa bite retrouve la voie naturelle, un seul allé retour et l’orgasme montent en moi.
J’ai l’impression que je suis devenue folle de mon cul, moi qui avec Pierre vivais toujours sur la défensive.

• Merci pour la voiture, j’espère avoir rempli ma part du contrat, mais il faut bien manger aussi je retourne au taf.
• Revient quand tu veux, si le cabanon est libre, tu seras la bienvenue.

Je remets mes vêtements quittés depuis que je suis arrivée et je reprends le volant en direction Chalon pour reprendre un ticket et me retrouver sur mon lieu de travail.
Avant de passer le péage je m’arrête au magasin de sport qui est là et au rayon sport américain, j’achète une batte pour ma sécurité en espérant que la grosse Bertha en restera éloignée.
Je suis distraite en pensant à Bertha et au lieu de m’engager vers Paris je prends direction Lyon, je suis obligée de rouler jusqu’à Tournus et retourner vers Paris.
Je suis perturbée quand je pense à la grosse Bertha et je me rends compte que je loupe la sortie et je file en direction de la station d’autoroute où elle a frappé ma voiture.
Je touche la batte à mon côté avec l’envie d’aller lui parler du pays à armes égales.
Là encore je me souviens que je suis passiviste et pourquoi vouloir combattre alors qu’il y a assez d’espace de jeux sur cette autoroute.
Trente kilomètres plus loin la station de Mâcon nord est une possibilité que je gagne de quoi survivre quelques jours.
Mais il fait encore jour alors je m’arrête au Restoroute pour prendre un café, car le bourguignon et autres plats copieux m’obligent à sauter un repas.
À mon côté sur un tabouret de bar un garçon aussi beau gosse que Ludo mange un sandwich, coca.
Il me regarde et semble me dévisager.

• Se connaît-on ?
• J’ai l’impression, mais je veux éviter de faire un impair.
• Dite toujours à bien vous regarder, moi aussi j’ai l’impression de vous connaître.
• Sur cette portion d’autoroute, votre surnom est bien la Duchesse.
• Cela ce peu ?
• Il y a quelques jours, étiez-vous au Restoroute de Beaune en direction de Paris ?
• Il y a des chances.
• Alors, vous m’avez masturbée et sucée divinement.
• Merci, dans ce cas-là, vous avez raison, j’ai fait quelques clients, il faut bien vivre.
• Que vous est-il arrivé ?
• Trop long à vous expliquer.
• Vous allez travailler, ici ce soir.
• Je vais essayer.
• Vous venez dans mon camion, j’aimerais que vous me fassiez une autre fellation puisque vous refusez de baiser.
• Demandez-moi si vous pouvez me baiser et combien je vous demanderais.
J’ai évolué, cent euros.
• C’est mon jour de chance, je devais m’arrêter à la station précédente, mais j’avais envie de tout sauf de sauter la grosse Bertha.
J’ai bien fait de prendre le risque de rouler hors délai de conduite pour avoir le plaisir de passer un moment avec vous.
Gille, je te dois combien, tu compteras le café de madame.

C’est ainsi que je marche à ses côtés et quand nous arrivons à son camion sur une plaque comme celle pour les immatriculations il est marqué « Topaloff ».

• Pourquoi ce nom ?
• C’est tout con, au moment où le chanteur tournait en boucle avec son succès « J’ai bien mangé, j’ai bien bu », je la passais sur la CB et les collèges en avaient tellement assez qu’il me disait.
« Topaloff, ta gueule » où « Topaloff tu vas fermer ta grande gueule » et le surnom m’est resté.

Je monte dans le camion difficilement pour la première fois avec Topaloff qui m’aide en me poussant aux fesses.

• Tient Duchesse voilà, ton pognon te déloques-tu ?
• Je vais éviter de froisser ma robe.

Je l’enlève et il me fait passer dans la cabine de repos ou il me rejoint.

• Je suis ton premier client de la journée ?
• Oui, pourquoi ?
• Je peux te brouter, l’autre fois, c’est toi qui m’as sucée aujourd’hui ce sera moi.

C’est comme cela que mon premier client de sexe tarifé me suce le clito qui s’embrase comme il le faisait avec Ludo.
La boule est de nouveau là et je crie mon plaisir avant que sa queue entre en moi continuant de faire tourner la roue m’entraînant dans le milieu des femmes acceptant d’être rémunéré.
Je voudrais que mon corps reste en dehors de ses rapports tarifés.
Mais je dois être née pour qu’avec mon mari mon plaisir reste lettre morte.
Bien qu’avec ces hommes dans toutes les situations, il semble vouloir rattraper le temps perdu.
Je gueule si fort et l’orgasme qui me traverse lorsqu’il vide ses couilles en moi me fait perdre la notion d’où je suis.
Je sors de ma torpeur étant seule sur la couchette, des craquements derrière le rideau m’intriguent et j’entends mon premier client parler à voix la plus basse possible.

• Ici Topaloff quelqu’un m’entend !
• Oui, Topaloff, c’est Mimi.
• Mimi la sauterelle ?
• Lui-même que t’arrive-t-il tu as besoin d’un coup de main ?
• Non, je plane, as-tu entendu parler de la Duchesse ?
• La pute qui suce des bites à la station B.V.P ?
• Oui.
• Elle est là-bas, cela fait plusieurs jours qu’elle servait de vides couilles à Ludo le dépanneur pendant qu’il réparait sa voiture.
Il l’a baisé pendant quatre jours alors qu’il pouvait faire le travail en trois jours, aucun petit profit, dommage j’aurais bien voulu la connaître.
Il paraît qu’elle suce divinement et à bon tarif, mais je viens de passer S.A.L.
• Tu te trompes Mimi, je suis sur l’aire de M.V.L et je viens de la sauter pour 100 biffetons, tu te tends compte je l’ai fait jouir.

Je suis stupéfaite, je semble être la groupie de tous les poids lourds de ce tronçon.

• Elle est toujours avec toi.
• Oui, je l’ai tellement bourré qu’elle dort sur ma couchette.
• Garde-moi là au chaud j’arrive.
• Il y a un emplacement vide à côté du mien dépêche, elle aura facile de passer de mon camion vers le tien.

La communication entre Topaloff et Mimi s’interrompt.

• Topaloff, ici D’Artagnan, je suis à Beaune, dis à la Duchesse que je passerais derrière Mimi.

J’ouvre mon sac à main, je prends plusieurs lingettes imbibées que j’ai acheté en même temps que ma batte au super marché voisin du magasin de sport.
Je m’essuie la chatte, je sens que la nuit va être longue…