COLLECTION ESCORTE GIRL. La duchesse de l’autoroute (12/14)

Ma vie se précipite, après avoir été arrêtée sur l’autoroute.
Je découvre qu’un avis de recherche dans l’intérêt des familles avait été lancé par l’intermédiaire de mon fils revenu de Hong Kong vers Barcelone avec sa femme Carmen, mon petit-fils Antonio et ma future petite fille Lisa.
Je suis dans un fauteuil à deux pas du péage que j’ai franchi pour la première fois suivant la proposition de Cosette.
Cosette, la femme qui tenait le café où je me suis réfugié le premier matin après une nuit horrible et où j’ai rencontré Fantine, sa sœur jumelle sur l’air de B.V.P, pardon, Beaune vers Paris.
J’ai vendu mon corps pour survivre, mais j’y ai gagné des amitiés sincères comme celle de Juju, pardons Juliette ayant mis à notre disposition un camping-car pour que nous ayons plus chaud l’automne étant là.
J’oublie les chauffeurs routiers qui me baisent en me payant, mais qui ont toujours été prévenants avec moi.
Bien sûrs ils y en avaient quelques-uns plus violents que d’autres, mais j’ai fini par aimer un peu de rudesse dans nos rapports alors que j’ignorais tout étant marié.
J’ai appris à sucer des bites en avalant souvent leur sperme et aussi mon anus qui a appris à se faire sodomiser.

• Maman, je suis venu chez vous directement, mais j’ai trouvé porte close.
Je me suis rendu en t’attendant à l’étude de ton notaire, mais sa secrétaire m’a dit que j’aurais pu le croiser en entrant, car il venait de partir chez lui.
Je l’informais que j’étais ici pour un court passage ayant des obligations en Espagne.
Elle m’a dit qu’il venait d’acquérir un nouveau bien et qu’il était rentré pour l’aménager.
Elle m’a proposé de le joindre en me donnant sa nouvelle adresse et son numéro de portable si des fois il pouvait me recevoir.
Surprise, surprise l’adresse était la vôtre que je venais de quitter.
Je me suis bien gardé d’appeler et je suis retourné avec Antonio chez vous.
Quand il a ouvert et que je me suis présenté, il a juste entrebâillé la porte semblant gêné.
Je l’ai laissé parler et il m’a expliqué qu’il avait acquis votre appartement suite à une dette de jeu de mon père.
Rien pour correspondre avec ce que lui m’avait dit, car dans son explication la dette était du notaire envers lui.
Je lui ai demandé où tu étais !
Encore plus confus il m’a dit t’avoir aidé à mettre des affaires personnelles dans la voiture qu’il avait pu te racheter perdant même un peu d’argent dans l’affaire en vendant votre grosse voiture.
Il a poussé le bouchon jusqu’à me dire qu’il t’avait aussi donné de l'argent sur ses derniers personnels.
Alors qu’après les ventes qu’il avait effectuées pour couvrir la dette, nous serions ruinés et par finir par me dire qu’il t’avait vu partir à son volant.

Je l’ai remercié pour t’avoir aidé afin qu’il ait l’impression de m’avoir dupé et je suis allé au commissariat où le policier que nous venons de quitter m’a reçu.
Il a été très intéressé par mon histoire, j’ai su par la suite que quelques jours plus tôt une vieille dame était venue lui dire qu’elle avait l’impression que son notaire détournait ses biens sans preuve tangible.
Elle lui a dit qu’elle était seule au monde et ignorait vers qui se tourner, il a tapé un rapport, mais que la dame a refusé de signer ayant peur de faire du tort à cet homme.
J’ai signé mes déclarations, il en a référé à ses supérieurs et une enquête préalable a été déclenchée, montrant rapidement certaines magouilles de maître Antoine.
Il a avoué rapidement t’avoir grugé parmi d’autres.
Il s’en prenait à des femmes seules du moins, il le croyait, car il avait enquêté dans votre voisinage, mais tous ignoraient que tu avais un fils d’où son étonnement quand je me suis présenté à votre appartement.
Le policier ignorait où tu étais, voyant mon anxiété à ton sujet a finie par lancer un avis de recherche, il m’a téléphoné pour me dire que tu avais été retrouvé sur l’autoroute dans un camping-car.
• Papa, je suis réveillé, j’ai trop chaud, Mamy, pourquoi tu étais sur l’autoroute ?
• J’étais sur l’autoroute avec une amie, nous revenions de vacances, je te la présenterais, elle s’appelle Juliette.
• Si tu étais en vacances, tu aurais pu venir nous voir, moi, papa, maman et le futur bébé.
• Mamy devait faire des choses avant de venir nous voir, retourne te coucher, je vais venir te mettre la climatisation.

En vacances, c’est pratique, il est dur de lui dire « grand-mère se prostituait sur l’autoroute avec sa copine Juliette, c’était la reine des baiseuses avec les routiers qui la contactaient par leur radio ».
Éloi emmène son fils et le recouche avant de revenir.

• Maman, je vais téléphoner à la réception pour qu’il te donne une chambre. Tu as vu, le notaire a été arrêté et je serais prévenu de la suite de l’enquête. Si j’ai bien compris, tu t’es retranché sur l’autoroute par sécurité à cause du trafic.
• Oui, le premier soir, j’ai failli être agressé par deux hommes alors que je dormais à l’arrière de la voiture.
Sur l’autoroute, j’ai trouvé une chaîne solidaire.
Demain, tu m’emmèneras récupérer ma voiture et je serais heureuse d’aller avec toi à Barcelone connaître ma belle-fille surtout si tu vas être papa.
• J’ai bien compris que tu avais des moyens très limités.
Je vais te donner de l’argent pour que tu survives avant que le notaire soit jugé et que tes biens te soient rendus.

Je pourrais lui dire que j’ai assez d’argent que j’ai confié à Édouard et qu’il gère pour moi par procuration, j’irais les récupérer avant de partir pour l'Espagne.

• Bonne nuit maman, va à l’accueil, ils vont te donner ta carte avec le code d’entrée.

Je passe une bonne nuit me demandant comment les jours prochains vont se passer.
Je veux éviter d’abandonner Juliette qui a su être à mes côtés au moment le plus délicat de ma vie.
Secrètement au fond de mon lit, je porte ma main à ma chatte me masturbant sentant que j’ai des sentiments profonds pour cette femme même si elle est plus jeune que moi.
Je reste sur ma faim, car ce sont ses mains que je voudrais sur mon corps.

• Éloi peux-tu me conduire au restauroute de B.V.P, je dois récupérer une amie ainsi que ma voiture.
• B.V.P ?
• Pardon, l’aire d’autoroute de Beaune vers Paris.
• Certainement maman, mais après je t’emmène à Barcelone, je veux éviter de rester trop longtemps éloigné de Carmen parfois les bébés surtout les filles sont pressées de voir leur papa.
• Et leur petit frère.
• Non, je dois régler plusieurs problèmes avant, je vous le promets de vous rejoindre.

Le policier avait raison, mon petit-fils est génial.
Il charge ses valises dans son Audi, nous prenons la route et rapidement nous nous garons sa voiture entre le camping-car et ma voiture une place étant libre.
Je descends et je prends la clef qui ouvre la porte de camping, elle est fermée de l'intérieur, Juliette est là.
La porte s’ouvre et Juliette, ma Juliette, nous apparaît en peignoir les cheveux hirsutes, dans l’échancrure on voit la vallée de ses seins.

• Juliette, je te présente mon fils Éloi et mon petit-fils Antonio.
• Papa, je peux monter, j’aimerais en avoir un pour Noël.
• Je vois que tu as fait fortune, payé un camping-car à ton fils pour Noël.
• Mais non mamy, je collectionne les voitures et camions miniatures, je veux un motor-home comme celui-là.

Avant que j’aie le temps d’intervenir, il entre comme chez lui.

• Entrez prendre un café, c'est l’heure pour moi, je suis rentrée bien fatiguée.

Tout se passe bien, Antonio buvant un chocolat, Juliette ayant fermé la porte de la chambre à soufflet pour aller s’habiller.
Je suis assise dans le siège conducteur qui tourne à 180° pour compléter les sièges pour pouvoir profiter de la table.
C’est à ce moment que la chanson de Topaloff se fait entendre sur la Cibi branchée.

« C’est Topaloff, je suis à B.V.M, avez-vous vu la duchesse dans le coin ».
« Trop tard vieux, bouboule, a annoncé hier que les bleus l’avaient arrêté, je crois que c’est fini pour elle.
« Rabats-toi sur la comtesse, tu traverses par la passerelle, je viens de repartir de B.P son camping-car est garé là-bas. »
« Merci les gars mais je reste fidèle à la duchesse, j’ai été son premier ».

Ouf, je tends la main et je ferme la radio.
Mon fils aurait ou comprendre que Topaloff a été mon premier client à me payer pour baiser.

• Mamy, pourquoi tu coupes la radio, il y avait de la musique.
• Car papa doit prendre la route et nous aussi, si vous voulez qu’avec Juliette nous venions vous retrouver dans deux ou trois jours.

Juliette s'est assise sur la banquette et Antonio lui saute sur les genoux.

• T’es aussi jeune que mamy sur la photo que j’ai d’elle, je te la fais voir.

Il sort de sa poche ma photo qu’il lui montre.

• Mais ta mamy est plus belle maintenant que sur ta photo, car tu peux la prendre dans tes bras.
• Tu as dit que Juliette allait venir avec toi, tu as raison, elle est bien jolie.

Intelligent et dragueur, car en disant ses mots il l’embrasse sur la joue en la serrant dans ses bras.

• Oui, Mamy vient avec ton amie, je lui montrerais ma petite sœur dès qu’elle sera née.

Je les vois partir vers Beaune le cœur serrer.

• Juliette démarre le camping, je te suis avec ma voiture, il faut quitter l’autoroute au plus vite.
• Bouboule avait dit la vérité, tu as été arrêté.
• Je te dirais tout quand nous serons sortis d’ici.

Nous arrivons vers la sortie quand je vois mon fils et petit-fils qui prenne la bretelle vers M, pardon Mâcon.
Après le péage les gendarmes regardent passer les voitures, celui qui m’a fait venir dans son bureau et celui qui m'a conduite à Chalon m'ayant dit qu’il était lieutenant me regarde passer.
Juliette a suivi et dès que je m’arrête, je sors de ma voiture.
Je cours jusqu’à elle et nos vêtements tombent un à un avec une vitesse telle que je la fais chuter sur notre lit.
Nos lèvres se joignant la duchesse vient de retrouver la comtesse et ce lit ou nos mains rejoignent nos chattes, elles coulent d’envie autant l’une que l’autre…