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COLLECTION FOLLE DU CUL. La vraie vie de Jeanne la pucelle (1/1)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/10/2023

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Je m’appelle Jeanne, je suis née en 1412 à Domrémy dans un duché qui serait actuellement dans les Vosges où je suis gardienne de moutons.
On me prête une histoire rocambolesque de jeune femme appelée à sauver la France après un appel de Saint-Michel.
Le lieu de ma naissance et ma mort sur le bucher condamnée par l’abbé Cauchon et non cochon comme certains aiment à le penser sont les deux seules vérités de ma vie.
Michel je connais mais pas le saint.
Michel, c’est mon cousin qui passait près du champ où paissaient mes moutons, il me coucha dans l’herbe fraiche et me mis son sexe dans ma chatte.
Il m’a enlevé mon pucelage, ce qui m’a fait prendre peur.
Mes parents ont eu vent de ce qu’avait fait mon cousin.
Ils m’interrogèrent.
Pour protéger mon amant, qui me baisait tous les jours me faisant jouir autant que maman avec son amant lorsque papa était au champ.
Dire que Saint Michel avait fait appel à moi pour libérer la France des Anglais a été mon salut pendant un temps.
Hélas, mon cousin, c’est vanté d’avoir fait de moi une catin et nous avons dû fuir droit devant nous.

Une catin, je le suis devenue pour commencer dans une auberge où le patron me livrait à tous les clients qui souhaitaient prendre mon cul.
La pucelle vous parlez d’une pucelle en peu de temps j’avais vu autant de bites que de soldats de l’armée française de Charles VII.
Parmi eux il y a eu Michel, mon cousin et amant qui a été enrôlé par un sergent recruteur et qui est mort dès le premier jour percé par une lance Anglaise.
Ce con, il l’a pris dans l’œil, alors il a bien fallu que je me débrouille.

La prise d’Orléans, j’étais en première ligne dans ce que vous appelez maintenant un B.M.C bordel militaire de campagne pour soldat où je les suçais avant qu’ils montent se faire trouer la peau.
Dans la grange où j’officiais, un soldat anglais est entré par l’arrière m’obligeant à sortir par l’avant laissant en plan le soldat qui venait de décharger en moi.
Quand je suis sortie, la chatte à l’air, un autre anglais gravement blessé m’est tombé dans les bras et est mort.
J’ai retenu son épée l’autre soldat étant littéralement venu s’empaler dessus.
L’histoire a retenu mon fait d’armes, j’avais tué au nom du roi deux adversaires anglais.

L'histoire racontée par un ménestrel, chanoine-Davranches, sur un texte d’Albert Lambert père a permis à ma légende de prendre corps.
C’est le soir après un tel fait d’armes que je l’ai rencontré.
Je lui ai raconté mon parcours et la chance d’avoir pu tuer ces putains d’Anglais.
Mon histoire de dépucelage par mon cousin et notre fuite jusqu’à sa mort était loin d’être vendable.
Maintenant, on appellerait ça un fake news.
Il a fait de moi une vierge appelée par Saint Michel à soutenir son roi.
Pour le soutenir, je l’ai soutenu, ses hommes montaient se faire trouer la peau en chantant les couilles bien vides.

Il faut dire que je le suçais de bouche de maître avant de me faire enfiler sa bite dans la chatte et avant de m’enculer profondément.
Davranches chanta ma gloire à travers tout le pays et ça a dû revenir aux oreilles de Charles VII.

• Laissez passer les envoyés du roi.
Laissez passer les envoyés du roi.
Connaissez-vous Jeanne la pucelle ?

La pucelle d’Orléans, là encore c’est une trouvaille de Lambert dans son texte, Davranches a acheté tout de suite.

• Ça c’est bon, disait-il !

Pucelle, comme je l’ai dit, j’étais une catin, présentement quand ces gardes de Charles VII se sont présentés, j’étais dans l’incapacité de les entendre.

• La Jeanne, elle est sous ce tas de mecs là-bas dans le foin.
Si je vois bien elle s’en prend deux dans la chatte et une dans le fion.
Quelle salope cette Jeanne.
En plus elle en a un dans la bouche et masturbe le dernier.
• Soudard, écartez-vous, le roi veut voir cette dame dont les ménestrels chantent les louanges.
Partir de son petit village de Domrémy pour venir tuer deux soldats anglais, ce fait d’armes mérite récompense.

À la vitesse où mes trous se sont trouvés libérés, j’ai bien senti qu’un fait insolite se produisait.
C’était la première fois que mes trous et ma bouche, ajoutée celui que je masturbais, se sont retrouvés remplis du sperme qui était mon principal aliment depuis que Michel, paix à son âme, m’a dépucelé.

• Êtes-vous Jeanne la pucelle ?
• Après ce que vous venez de voir capitaine, je serais loin d’aller jusque-là.
Mais si ça vous plait de croire que je le suis oui, je suis Jeanne, la pucelle.
• Messieurs, mettez-lui l’armure qui la protègera des flèches anglaises et mettez là sur ce cheval blanc que le roi offre à celle qui a déjà tué deux Anglais en même temps.

Voilà comment dans les livres d’histoire de votre époque, on me dessine sur un cheval blanc une lance à la main.
Ce sont les tapisseries de l’époque me représentant en chef de guerre qui ont concrétisé ma légende.
En réalité, à part ma cotte de mailles, tout est faux, pour notre chevauchée, j’étais entourée de gardes sans aucune lance ou étendard.
Tout le long du chemin m’amenant aux portes d’Orléans, j’entendais les colibets des hommes de troupe marchant que nous croisions.

• Dis, Jeanne, te voilà bien harnachée, ta chatte est-elle chaude assise sur la selle de ton canasson !
• Jeanne on te préfère les jambes écartées aux bouts de nos queues plutôt que te donnant du plaisir sur ton cheval blanc.

Bref des jaloux que j’avais certainement déjà rencontrés, mais dont j’étais incapable de dire quand et où.
Il est vrai que les tressautements de mon cheval m’échauffaient et que les quatre gardes plus le capitaine, j’en aurais bien fait mon quatre-heures.
C’est la nuit à la belle étoile nous étant arrêté près d’un ruisseau qu’ils m’ont libéré de mon carcan de ferraille.
J’étais nue au-dessous et je me suis baignée dans l’onde clair.
C’est le capitaine le premier qui s’est mis aussi dans le plus simple appareil vite rejoint par ses quatre soudards.
À ce que l’on a vu plus tôt quand ils sont venus me chercher, cinq verges, ça aurait dû me faire peur, mais ils m’ont fait vivre, une de mes meilleures nuit de ma courte vie.
Courte, je l’ignorais encore.
Au matin ils m’ont remis mon armure et nous sommes arrivées aux portes d’Orléans assiégé par les troupes françaises.
Je croyais rencontrer Charles VII, mais c’est Jean, le bâtard qui m’accueille.
Là encore plusieurs fakes news.
Il est dit que j’ai viré les putains pour les remplacer par des ecclésiastiques.
C’est faux, la première nuit, c’est dans le lit du bâtard que j’ai dormi.
Dormi, me connaissant, c’est vite dit.
Il m’a baisé jusqu’à ce que ses couilles soient vides, renseignées par son capitaine lui expliquant où il m’avait trouvé et comment la nuit dernière ils m’avaient fait jouir.
Je pensais, moi aussi dormir lorsqu’un des gardes se trouvant dans la chambre pour protéger le bâtard m’a demandé de venir le sucer.
Ils étaient six autour du lit.
Ils sont six que j’ai soulagé pendant que le bâtard ronflait.
Là encore, ils m’ont baisé me remplissant de sperme bien chaud.
Au matin Jean émergeant bandait et c’est dans le foutre de ses hommes qu’à son tour il s’est vidé une dernière fois les couilles.

Les putains donc, je l’ai réunie, j’avais tellement fait de B.M.C que j’en connaissais la plupart.
C’est la chatte à l’air que nous sommes arrivées devant messieurs les Anglais.
Un jour un homme a dit.

« Messieurs les Anglais tirez les premiers. »

J'ai simplement dit.

« Faites voir à ces pourris de rosbif si nos chattes ont peur de leurs petites bites. »

J’avais dû taper juste concernant la taille de leur bite, car c’est ainsi que j’ai pris Orléans devenant devant l’histoire la pucelle d’Orléans.
Grâce à cette victoire, je suis partie vers Reims afin de persuader le roi de prendre la couronne de France.
J’étais devenue une icône, à mon plus grand regret, les coups de bite se faisant plus rares.
Jusqu’à son sacre à Reims où j’ai eu le droit à la verge royale en catiminis, car la reine Marie d’Anjou était très jalouse et veillait sur son mari.
On me connaît, j’ai su déjouer ses plans, mieux même j’ai réussi à l’emmener aux portes de Paris, ce qui, hélas, m’a été fatal.
Hélas, à Compiègne étant lâché par les troupes royales, les Bourguignons alliés des Anglais et qui tenaient Paris m’ont fait prisonnière.
Ils m’ont vendu à leur allié.
Nous voici arrivés à l’évêque Cauchon et non Cochon et pourtant.
C’est lui qui est chargé de conduire mon procès dont je connais déjà l’issue dès que je le rencontre.

• Si tu veux, la vie sauve, viens me sucer, il paraît que tu es une gourmande malgré ton surnom de « la pucelle. »
• Plutôt crever que de vous sucer la bite, j’ai eu quelques amants dans ma jeune vie.
J’ai tué des Bourguignons et de nombreux anglais étant même plusieurs fois blessés.
Mais vous sucer, monsieur, c’est au-dessus de mes forces.
Dans l'histoire future un homme va vous dire ce mot qui restera célèbre.

« Merde. »

Voilà un point d’histoire rétabli, beaucoup disent que c’est un chef de guerre à Waterloo qui l’a dit, non c’est moi qui ai dit merde aux Anglais.

Le résultat, on le connaît, j’ai fait un magnifique rôti sur mon bucher à Rouen lieu de caserne de ceux qui toute au long de l’histoire du monde nous auront fait chier.
Voilà la vraie histoire de Jeanne de Domrémy même si certains esprits chagrins contesteront ma version.
Qu’ils sachent que c’est ma chatte en cramant qui emporte la vérité cachée au monde entier.







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Histoire de Chris71

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Commentaires du récit : COLLECTION FOLLE DU CUL. La vraie vie de Jeanne la pucelle (1/1)

Le 26/10/2023 - 16:45 par OlgaT
Une intéressante interprétation de l'histoire!

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