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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (11/15)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/03/2024

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Les revoilà, mais qui peut venir déjeuner ce midi ?
C’est ce que je me dis lorsque nous entendons la cloche du portail retenti.

• Tu sais que Charles est absent, peux-tu aller ouvrir ?

C’est en maillot et en tong que je descends l’allée, menant au portail.

« Ding Dong »

• Merde, ça vient, vous pouvez être patiente !

J’ouvre la porte, un cycliste est là, casqué et avec des lunettes, il m’est impossible de voir à qui j’ai affaire.
Nadia m’a fait couper des légumes, une fraction de seconde je crois que c’est un livreur de pizza.

• C’est plaisant de se faire recevoir par le mot de Cambronne.
• Excusez, j’ignorais que ma voix portait derrière ce mur.

C’est à ce moment que je comprends que ce cycliste est une cycliste et que c’est notre invitée.
Principalement lorsque je vois son maillot d’une marque de cycle bien connue, même si sa poitrine est comprimée, impossible de penser que j’ai devant moi un homme.
Pour confirmer mon impression lorsque, mes yeux se portent sur son cuissard, pas de bosse moulant un sexe masculin comme mon maillot de bain me moule.

• Je m’excuse, Charles qui vient ouvrir en temps normal se trouve être de repos avec sa femme aujourd’hui et je suis venu vous ouvrir.
Nadia doit se débrouiller seule, nous avons même préparé le repas ensemble.
• Je peux laisser mon vélo le long de ce mur Christian !
• Vous pouvez, Nadia nous attend sur la terrasse près de la piscine.

La jeune femme pose son vélo et nous remontons l’allée difficilement pour elle, ses chaussures de cycliste avec des cales lui rendant sa marche hésitante.

• Mon amie, tu es montée en vélo !
• Non, je viens de faire plus de quatre-vingts kilomètres dans l’arrière-pays cannois, tu sais que pour mon activité, je dois me maintenir en forme.

Les deux femmes tombent dans les bras l’une de l’autre et s’embrassent.
C’est la première fois que je vois deux femmes se rouler une pelle avec la langue.
Je suis surpris de constater que Nadia semble aimer aussi bien les hommes que les femmes.
Bien qu’après ce qu’elle m’a appris sur sa vie de libertine, cela doit conduire à ce genre de pratique.

• Veux-tu prendre une douche, je vois que tu es en sueur ?
• Inutile de salir ta salle de bain, il fait assez chaud pour que je me douche dehors à celle de ta piscine avant, si tu permets de plonger une tête.
• Viens au salon poser tes affaires et baigne-toi autant que tu le veux, nous avons tout notre temps.

Les deux femmes entrent dans le salon.
Pendant que je suis allé au portail, Nadia a amené sur la table, un seau à champagne en verre où je vois de la glace et une bouteille de rosée.
Il y a un gros cep de vigne servant de tire-bouchon, je prends la bouteille et je m’attelle à la déboucher.
Je me sens obligé de remplacer Georgette qui en temps normal fait le service.
Elles ressortent et je peux admirer notre invité, rousse aux yeux verts, comme l’on dit, l’une et l’autre sont extrêmement bandantes.
Cheveux courts à la garçonne, environ de la taille de la maîtresse de maison, ses seins plus petits que ceux de Nadia et une chatte plus fournie.
Voir ses deux déesses à la portée de ma main me fait comprendre la suite de ses vacances de rêve.
Mouillée, elle plonge directement la tête la première à l’endroit où l’eau est la moins fournie, j’ai peur pour sa tête, mais tel un dauphin avançant par des bonds successifs elle réapparait quelques mètres plus loin.
Je sais faire la brasse, le crawl, mais la nage papillon, j’ai essayé, mais au bout d’une moitié de longueur d’un bassin olympique, j’ai abandonné.
Elle, elle fait cinq à six allées et retours de ce bassin de vingt-cinq mètres avec en plus des virages.
Je m’attends à ce qu’elle s’arrête avant de sortir, mais en une fraction de seconde, comme les otaries ou les phoques du zoo de Vincennes elle se jette sur le bord atterrissant à quelques mètres de moi.
Elle serait sortie quelques centimètres sur sa gauche, sa bouche serait arrivée à la hauteur de ma verge ayant comme les femmes, enlevée mon maillot.
Dans le mouvement elle se relève et viens s’assoir à mes côtés m’arrosant de millier de gouttelettes d’eau froide.

• Éloise, veux-tu du rosé, Christian nous a ouvert la bouteille.
• Un doigt, car ton vin de ton petit viticulteur de l’arrière-pays, est délicieux, mais je dois redescendre en vélo jusqu’à mon bateau.

Éloise, je crois qu’entrainé par la beauté de ces deux femmes, j’ai oublié de dire que ses lunettes et son casque enlevé, j’ai reconnu la jeune femme qui sortait du voilier de Pierre.
Je sers trois verres et nous trinquons.

• Nadia, as-tu dit à Christian, la vérité sur nos relations à tous les trois ?
• Oui, il sait tout, tu avais raison, il avait remarqué la capote que Pierre avait retirée et laissée au bord de la cuvette de la petite pièce d’eau sur notre voilier.
Il pensait que Pierre me trompait avec toi.
• Je vais rétablir un point de vérité, c’est moi qui ai enlevé la capote à Pierre.
Je l’ai posé sur le lavabo avant de sucer sa queue pour la rendre propre avant que nous nous remettions en tenue décente.
Après nous sommes sorties de la cabine au moment où vous nous avez vus et nous l’avons oublié.

En disant cela naturellement elle me met sa main sur ma queue.

• Nadia, tu permets, maintenant que ton invité sait qui nous sommes, je t’ai dit qu’il me faisait mouiller et tu m’as proposé de venir déjeuner aujourd’hui sachant que tes beaux enfants étaient absents.
• Tu peux si Christian est partant, nous avons fait l’amour deux fois depuis que je lui ai appris que nous sommes des libertins.
J’ignore s’il le sait, mais si tu mouilles, je mouille aussi.

J’ai l’impression d’être un jouet pour toutes ces femmes, un sextoy à leur disposition.
Mais après ma vieille anglaise dans l’hôtel où je me suis fait dépuceler baiser Lauriane, Nadia, elle, j’ai un coup de cœur et maintenant Éloise, dans un cadre idyllique que demander de plus ?
Si toutes ces femmes veulent faire de moi, un gode sur pied, je suis à leur disposition.
Ma chaise reculée, l’une à droite, l’autre à gauche, les deux bouches qui me sucent me faisant bander à en avoir mal.
C’est divin et dire qu’à un moment j’ai eu peur d’un « non » de maman à Nadia pour ces premières vacances de rêve.

• Les filles, vous voulez mort, j’aimerais manger un morceau sinon je vais mourir sur place, déjà que tu m’as fait préparer des légumes, pas de quoi rassasier mon appétit.

Les filles me libèrent et Nadia se redresse.
J’ai sa chatte à hauteur de mes yeux, j’ai faim, mais je me verrais bien lui sucer le clito juste à bonne hauteur, par chance, elle s’échappe vers la cuisine avant que je l’attrape.
Éloise se redresse aussi abandonnant ma queue, qui je dois le reconnaitre souffle un peu.
J’ai un oncle qui vit avec deux femmes à demeure, je me demande comment il fait pour les satisfaire chacune sans qu’elles aillent chercher ailleurs.
Je me crois libéré, mais Éloise s’assoit sur mes genoux écrasant ma verge.
Ses bras entourent mon cou, et elle m’embrasse goulûment.
Ma main se glisse entre ses jambes, un doigt, deux et enfin trois et mon pouce sur son clito, je la masturbe et rapidement elle commence à roucouler sous ma bouche.
Je sens que son bas-ventre s’échauffe tellement elle mouille et qu’elle se tortille au bout de mes doigts.

• À table, Christian, j’espérais que nos rapports tourneraient comme ils sont en train de s’écouler, j’avais demandé à Georgette de prévoir un repas costaud pour toi !
Un steak de 500 grammes et des frites, je pense que tu vas reprendre des forces.
• Attends Nadia, j’y suis presque, les doigts de Christian sont divins, j’ai bien fait d’accepter ton invitation.

Elle a quitté ma bouche pour parler à Nadia, mais c’est pour mieux éructer son plaisir lorsque mes doigts déclenchent un orgasme.
Je sens ma main recevoir comme un jet puis un second encore plus important.
Je vois la terrasse mouillée presque comme si une averse se soit abattue dessus.

• Merde, depuis combien de temps, la femme fontaine que j’étais était restée cachée au fond de moi.
• Cambronne quand tu nous tiens, tu vois, toi aussi tu sais l’employer à des moments opportuns.

Je récupère mes doigts, l’odeur des frites m’attire comme un aimant.
Éloise me libère et replonge dans la piscine, suivi de Nadia, mais elle les pieds en avant.
Rapidement elle nage de concert pendant que j’attaque mon plat.
Le steak est à mourir, je le coupe presque sans couteau, les frites coupées dans de vraies patates, certainement préparé par Georgette.
Le temps qu’elles cuisent, Nadia étant dans l’impossibilité de les éplucher et de les couper en si peu de temps.

Dans le même temps, mes femmes, j’emploie cette phrase avec un brin d’humour, ce sont retrouver là où elles ont pied.
Vais-je assister à un échange lesbien entre elles, ce serait un premier pour moi d’admirer cela...

































































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Histoire de Chris71

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