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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (23/25)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 12/04/2024

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C’est dans la piscine que s’est terminée cette dernière journée qui fut riche en évènements.
Baiser Éliot Ness, c’était déjà un évènement exceptionnel, Michelle étant la commissaire de police de Cannes.
Avant, avoir fait avec elle un parcours de golf ayant réussi à percher une balle dans un arbre, coup parfaitement réussi, mais qui m’a fait perdre des points.
À mon retour, il y a Georgette, baiser la veille et que j’ai fini par réussir à coucher sans avoir besoin qu’elle me suce, une branlette au souvenir de Françoise l’ayant remplacée.
Un bain de minuit divin par cette chaude nuit de canicule.
Je finis par rejoindre ma chambre et me coucher.

• Christian, c’est moi, on vient de rentrer avec la voiture de papa, on a une surprise, on a découvert que ma grand-mère avait eu un enfant de Charles notre contremaître.
Leurs fils est trisomique, depuis que nous l’avons rencontré, il nous regarde, nous suit comme un gentil toutou, sans que nous ayons entendu le son de sa voix.
Je vois que tu dors seul, c’est bien, tu m’attendais, moi aussi je t’ai attendu et pourtant !

Aussi vite qu’elle m’est apparue lorsque me sautant sur le ventre Valentine m’a réveillé, elle saute du lit et s’en retourne vers sa chambre.
Au bruit dans la villa, ma porte étant ouverte, je passe un slip de bain, Victor est là, Pierre certainement aussi.
C’est de nouveau dans la cuisine, que je retrouve Nadia, Gabriel et un jeune garçon à qui je tends la main, il l’a saisi me regardant sans comme m’a prévenu Valentine prononcer le moindre son.

• Bonjour Christian, sais-tu où se trouve Georgette, je voudrais lui confier Victor, conformément à ce que m’a donné Charles comme instruction.
Je t’expliquerais, il y a des complications, Pierre et Victor sont restée à Limoges pour les régler.
Nous sommes revenus avec la Mercedes de Pierre, les hommes rentreront dans la voiture de Charles.

Comment dire à celle toujours aussi belle et que je sers dans mes bras retrouvant sa poitrine sur la mienne, que Georgette doit se trouver toujours au fond de son lit finissant de cuver sa mémorable cuite ?

• Je suis là madame, j’étais allé faire le lit dans notre logement.
Alors, c’est le petit garçon dont vous m’avez parlé au téléphone madame, vient Victor nous allons faire connaissance.

Je suis admiratif de Georgette, serais-je capable de « prendre un enfant par la main pour l’emmener vers demain. »
Pardon, la ritournelle composée et chantée par Yves Duteil va me trotter dans la tête toute la journée alors que comme me l’a dit Valentine, Victor suit Georgette comme un petit toutou.
Pourquoi dire à Nadia que Georgette s’est torché la nuit dernière avec l’armagnac de Pierre ?

• Je suis content de votre retour, je commençais à m’ennuyer.
• Je vais me baigner, tu viens avec moi Christian, je voudrais te parler !

Gabriel, étant là aussi, m’interpèle, me frustrant d’un contact plus prolongé avec Nadia.
C’est dans l’eau profitant de la fraicheur toute relative, que nous discutons assis sur les marches permettant de descendre sans sauter.

• Nous sommes partis si vite, l’autre jour avant que je puisse te remercier, de notre visite à Lauriane et Hugo.
• L’occasion faisant le larron, j’aurais pu me planter lorsque j’ai baisé Lauriane dans les vestiaires du club de golf.
Le plus drôle dans l’histoire c’est que j’ignorais qu’Hugo est complice des turpitudes de sa femme.
• Je l’ai bien compris, tu m’as montré qu’avec les filles et encore plus les femmes il fallait savoir foncer.
J’ai mis ce que tu m’as appris en pratique lors de l’enterrement de ma grand-mère, je devrais dire lors de sa crémation.
• Attention, tu deviens glauque !

Malgré son air grave, Gabriel éclate de rire, faisant se retourner Nadia, sortie sur la terrasse un verre d’orangeade à la main.
Nul doute, de toutes les femmes que j’ai eu l’occasion de serrer dans mes bras depuis mes premières conquêtes, surtout si je comptabilise Maggy la vieille anglaise, c’est la plus belle.
Elle s’installe sur une chaise, même ses lèvres lorsqu’elle boit une gorgée de liquide frais ont de la sensualité.
Gabriel pourrait voir ma queue, heureusement dans l’eau, Nadia me faisant bander.

• Tu te trompes, Christian, ma grand-mère a été incinérée, mais Odile est bien vivante.
• Qui est Odile ?
• J’y viens, c’est l’ordonnatrice des pompes funèbre que mon père avait choisi pour les différentes étapes de l’enterrement de grand-mère Marthe.
Parmi celles-ci, papa m’a confié la récupération de l’urne ou ses cendres ont été placées.
C’est Odile qui m’avait donné rendez-vous le lendemain de la crémation avec une procuration pour que je puisse lui rendre ce service.
Il y avait des papiers à signer, elle m’a fait assoir derrière son bureau, me présentant les pièces une à une.
Lors de la cérémonie, dans la chapelle du crématorium, j’avais vu qu’elle me regardait par moments avec insistance.
Sans toi et l’aplomb que tu m’as montré avec Lauriane, j’aurais ressenti l’intensité de son regard, mais il serait resté stérile.
Là, dans ce bureau, penché sur mon épaule, son parfum m’enivrait.
J’ai légèrement tourné la tête, la veille, elle avait comme à ce moment-là un chemisier blanc, mais boutonné jusque sous son menton.
Deux boutons étaient défaits me montrant la naissance de son sein libre de toute entrave, car ses pointes dardaient à travers le chemisier.
C’est à ce moment où tu es intervenu, je me suis demandé ce que tu ferais à l’invite qui m’était faite, son regard la veille en pleine cérémonie et ces boutons libérant le passage de ma main.
Je te voyais clairement franchir le pas, ce que j’ai fait, persuadé de prendre une baffe, mais j’y étais prêt.
Ta main est partie dans le décolleté, mince, tu vois, j’en arrive à croire que ma main s’était la tienne, sans qu’elle soit repoussée.
Tu vas rire, j’aurais pris une baffe, c’est toi qui l’aurais ramassé, mais elle m’a regardé elle aussi, a esquissé un sourire et c’est toi qu’elle a embrassé.
Enfin, moi, car après ton audace tu as disparu et j’ai pu reprendre la main sur cette nouvelle aventure que je devais mener à son terme seul.
• Donc, tu l’as baisée !
• Oui, je l’ai fait assoir sur le bureau, j’ai soulevé sa jupe très serrée, c’était la jupe de son tailleur dont elle portait la veste la vieille, mais qui à ce moment était posée sur le dossier d’une chaise près de l’entrée.
• Tu as été surpris, même si tu avais senti que la dame était prête à se faire baiser, que sous sa jupe, sa chatte soit libérée de toutes entraves !
• Comment l’as-tu devinée, tu y étais ?
• Je te rappelle que c’est ma main qui a plongé dans son décolleté t’ouvrant les portes de la chatte de cette femme.
En remarquant l’intérêt qu’elle te portait, tu as anticipé ce qu’il allait arriver dans son bureau en t’y rendant.

En même temps que je parle sourdement à Gabriel, ma mémoire me rappelle aux souvenirs de la veille.
Si je vois aussi clairement la situation, que me racontait Gabriel, c’est qu’à environ la même heure, je baisais Éliot Ness, Murielle dans l’intimité de son appartement avec moins de certitude dans mes pensées, si j’arriverais à la mettre sur le bout de ma queue.
Et en même temps, je vois Nadia se relever posant son verre, enlever sa robe se montrant nue devant nous dont son beau-fils et venir nous rejoindre en traversant la piscine pour arriver jusqu’aux marches.
C’est à mon cou que Nadia s’agrippe, son corps venant sur le mien sentant obligatoirement que je bande.

• Gabriel, tu parlais de tes exploits avec Odile, sans lire complètement sur les lèvres, j’ai saisi certains mots que vous avez prononcés, Odile en exemple et plus spécifiquement chatte.
• Comment as-tu fait le rapprochement avec le nom d’Odile, tu y étais ?
• Oui et non, si tu avais observé cette jeune femme, l’organisatrice avait un badge sur sa veste son prénom étant marqué.
« Pompes funèbres générales » avec son prénom Odile.
Mais oui, j’étais là derrière la porte lorsque tu l’as fait geindre de plaisir ta queue enfoncée dans son vagin.
J’ai loupé les premières étapes, étant en chemin.
• Je sais qu’avec papa vous êtes des libertins, venais-tu pour te la faire ?
• « Te la faire » ça c’est grossier, je venais, à la demande de ton père s’étant aperçu qu’il avait peut-être fait une erreur de t’envoyer, car tu es encore mineur pendant quelques jours
La lettre qu’il t’avait faite risquait de t’être refusé pour que notre organisatrice de la cérémonie te remette l’urne.
La deuxième, comme on dit, l’occasion faisant le larron.

Là encore, Nadia, le larron revient souvent dans cette histoire, c’est normal, l’occasion faisant le larron...

• Lorsque tu es parti, Odile était encore assise sur le bureau dans l’état ou votre baise l’avait mise.
Je suis entrée à mon tour discrètement et je l’ai fait repartir vers les sommets de son plaisir comme toi tu l’avais fait.
• Tu lui as bouffé la chatte !
• Un magnifique cunnilingus, lorsque je suis repartie, j’ignore si quelqu’un d’autre la baiser dans l’état d’excitation où nous l’avions mis.
Peut-être son patron, j’ai vu arriver une voiture lorsque je démarrais la mienne.
Mais dit donc, tu es comme Christian, tu bandes !

Lorsqu’elle nous parlait des exploits d’Odile, Nadia s’était facilement empalée sur ma queue.
Dans les derniers instants de ses explications sur l’âge de Gabriel étant mineur jusqu’à demain, sa main ayant plongé sous l’eau d’où ses « dits donc tu bandes. »
Le sperme que je vois surgir du fond de l’eau me montre que la main de sa belle-mère l’avait déstabilisé et qu’il avait éjaculé.
Demain étant un autre jour...




































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Histoire de Chris71

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