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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Madame Dupond, prof d’anglais (2/2)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 26/10/2023

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Je m’appelle Abby, je suis prof d’anglais dans un lycée de Limoges...

• Appelez-moi, Abby au lieu de madame Dupond...

Ces deux phrases résument en partie la folie que je viens de faire, le jour de la rentrer scolaire dans mon lycée de Limoges ou j’enseigne depuis de nombreuses années.
Dans cette première phrase, le prénom d’Abby apparait, c’est le mien depuis ma naissance en France alors que maman est anglaise.
Elle a rencontré papa lors d’une sortie éducative et dans le dos des autres professeurs, ils ont été courir le guilledou.
Maman est toujours de ce monde, mais repartie à Londres retrouver sa copine Margareth, maman est bi-sexuelle.
Nous nous voyons peu, mais je lui téléphone régulièrement pour lui donner des nouvelles et prendre des siennes.
Nous nous contentons de parler de choses banales, car sa vie sexuelle m’importe peu.
C’est avec Pierre, mon mari, que les choses ont été les plus durs entre eux, comme je l’ai dit, il était surnommé Karl Marx à notre lycée vendant le journal, l’Huma.
Maman étant pro Margareth aussi bien la dame de fer que celle qu’elle met dans son lit.
Mélanger l’eau et le feu, c’est impossible, je sais de quoi je parle.

La deuxième phrase, je l’ai dit au jeune homme qui a frappé à la porte de la chambre d’hôtel avec vue sur la mer que je viens d’intégrer.
Mais vous le savez déjà si vous avez lu le début de mon histoire, plutôt de mon aventure.

Une fois le peignoir cachant ma nudité, moi qui même devant mon mari ai du mal à me mettre nue, j’ai demandé à cet homme ce qu’il me voulait.
C’est peut-être une partie de la cause de mon manque d’enfants, bien que des chenapans j’en aie des dizaines depuis des années dans mon lycée de Limoges tous les jours, sauf mes moments de repos.
En prononçant les mots de cette deuxième phrase, je m’assieds sur le lit, Victor étant devant moi.
Est-ce la douceur du peignoir qu’il a été me chercher, sur mes seins nus, mais je sens leurs pointes se durcir.
Comme je l’ai déjà dit, le sexe et moi, avec Karl, pardon, Pierre mon mari, ça a toujours été par parcimonie.
Mais depuis que j’ai pris cette décision de monter dans ce train, les choses sont entièrement différentes.
Comme ce que fait ce garçon bien plus jeune que moi, il tombe à mes genoux, ce qui va précipiter ma chute de femme, bon chic, bon genre.

• Merci Abby de me permettre de t’appeler par ton prénom, lorsque j’étais ton élève, tu as été la première fois où j’ai bandé pour une femme.
J’étais amoureux de toi, c’est pour ça que je travaillais l’anglais du mieux que je le pouvais, je voulais t’être agréable.

Il pose sa tête sur mes genoux qu’il enserre, je fais le geste qui déclenche tout, je lui caresse les cheveux.
Son souffle traverse mon peignoir, moi aussi pour la première fois, je sens mon sexe s’enflammer.

• Lorsque tu te promenais dans les allées entre nos pupitres, lorsque tu t’arrêtais pour voir ce que j’écrivais, je sentais ton parfum et ça m’envoutait.
• J’y mis le même aujourd’hui comme tous les jours depuis des années, mais le bain que j’ai pris, dois l’avoir atténué un peu.

J’attrape mon sac et je récupère mon pulvérisateur en mettant assez dans mon cou pour rafraichir son odeur.

• Merci Abby, dans la classe, j’avançais mon bassin sous mon pupitre pour cacher la trique que ton odeur dégageait en moi.

Disant ces mots, je suis étonnée d’apprendre que je faisais bander ce jeune puceau, du moins, puceau, je le pense à cette époque.
S’il avait eu des rapports sexuels avec d’autres jeunes femmes qu’aurait-il eu à faire de bander pour moi.
Il se relève, enlève la veste de son costume et descendant slip et pantalon, il me montre sa verge, entièrement bandée.
Il me l’approche de la figure, je tourne légèrement la tête.

• Que fais-tu, je sais qu’à notre époque, les jeunes femmes sucent les sexes de leurs partenaires, mais moi à part, comment, dit-on, à oui, le missionnaire, ces pratiques me sont inconnus ?
Ou alors apprend moi, si tu savais comme je suis novice dans le sexe, mon mari se contentait de se faire bander avec sa main et de me pénétrer.
• Alors, laisse-moi faire, je vais t’apprendre, après être passée par mes mains comme je l’ai fait dans tes cours d’anglais, tu seras une femme parfaite si tu retrouves, comment l’appelait-on ?
À oui, Karl Marx prof d’histoire, assez intéressant à mes yeux.
Allez, suce en me prenant la queue dans ta main !

Un lycée, une rue, une gare, un train puis un taxi !
Qui eut dit ce matin, lorsque je me suis levée, que dès cette soirée, je prendrais une bite inconnue en main pour lécher le bout bien gros d’ailleurs avec le peu que je peux comparer.
Je suis surprise, la texture est souple et forte à la fois, tellement mon ancien élève bande.
Victor me prend la tête un peu comme moi lorsqu’il l’avait posé sur mes genoux, et il se sert de ma bouche comme d’un puits sans fin.

• Tu vois Abby, tu apprends aussi vite que j’ai appris la langue que tu m’as enseignée, j’arrive à te faire faire une gorge profonde.

Ces mots, concernant le sexe, je les apprends en même temps que je les pratique.
C’est comme ci depuis des années, j’avais appris à mes élèves le vocabulaire et la grammaire en même temps.
Mais je l’accepte, premièrement, car j’aime et que j’ai beaucoup de retard à rattraper.
Rapidement, je prends le rythme et je le secoue avec ma main tout en l’aspirant manquant de m’étouffer avec ma bouche.
Est-il sur le point de faire sortir son sperme, lorsqu’il s’arrache à ma bouche et que m’attrapant les jambes, ouvrant mon peignoir, il plonge sa verge en moi.
Combien de temps me prend-il, finissant par me faire hurler de plaisir sous la jouissance qui me foudroie plusieurs fois ?
Il essaye de m’embrasser, je tourne ma tête, derrière la vitre de la chambre, dehors la tempête fait rage autant qu’elle fait rage dans mon vieux corps.
Je tourne ma tête, Victor est en suspension au-dessus de moi me pilonnant de plus en plus vite.
À quel moment m’a-t-il fait retourner pour que je me retrouve à quatre pattes et que sa queue recommence à me pistonner m’arrachant des cris de plaisir.
Seuls les voisins doivent le savoir s’il y en a encore dans cette fin de saison.
Un dernier frisson et je sens des jets sortir de ce pieu pour venir frapper le fond de mon vagin, c’est à ce moment que je prends conscience que nous avons baisée sans capote.
Nous faisons passer le message à nos jeunes de sortir couvert, j’ai été infoutu d’en faire de même.

• Abby, je voudrais te rassurer, il faut sortir couvert, c’est un des messages que vous les profs, vous nous donniez à la fac.
Je t’ai fait l’amour sans protection, mais je peux te faire voir les résultats d’analyse que j’ai pratiqué à la fin de la saison.
J’espère que tu comprendras qu’étant célibataire et directeur, je te le rappelle grâce à toi, j’ai pu prendre ce poste, en parlant plusieurs langues.
Français, Espagnol par mon papa, Victor Fernandez, Italien par maman, sur sa tombe, j’ai fait graver Maria Bianco épouse Fernandez, 1943-2023.
Maman étant morte avant la saison et l’ouverture de l’hôtel et bien sûr l’Anglais, je te le rappelle grâce à toi, j’ai eu quelques rapports avec des clientes.
Même si avec elles, je sortais couvert, j’ai préféré faire un test, nous pouvons faire l’amour autant de fois que tu le désires.
Tout ceci dans la limite de trois jours où je ferme ici pour monter dans les Pyrénées diriger mon deuxième hôtel pour la saison de ski, j’ouvre fin novembre.

Ce qu’il y a de simple avec les jeunes et je suis payé pour le savoir, c’est leur franc-parler, Victor me fait savoir que lui et moi, c’est maxi trois jours.
Trois jours que nous employons à approfondir ma connaissance du sexe.
J’aime énormément la levrette, on se souvient il y a quatre jours, lorsque mon amant m’a pris, à quatre pattes.
Victor faisait monter à manger par le roomservice, il a été jusqu’à faire monter une bombe de chantilly qu’il me faisait entrer dans ma chatte.
Il me la suçait autant que je le suçais dans ce qu’il appelait des 69, comme le numéro de la chambre.
Hier, il me prenait dans cette position lorsque j’ai accepté l’impensable, du moins sans dire « oui » lorsque sa verge que je venais de lui sucer, il s’est placé sur mon petit trou.
Un coup de rein de ma part et lorsque je monte dans sa voiture sans avoir rien avoir à payer, je me suis fait enculer, pardon, sodomiser, acte suprême de nos rapports de trois jours.
De prof dans la langue anglaise, je sortais de ces trois jours comme une vraie salope, mais je savais que ces moments de plaisir à mon âge ont été dus à des concours de circonstances.
Il m’a laissé à la gare de Bordeaux ou dans le train l’homme à qui j’avais demandé où nous allions m’avait répondu Bordeaux.

• Nous allons en direction de Limoges, chère madame.

Je reste à la place ou je suis arrivé en gare de Limoges, j’ai noté son numéro de téléphone comme il a noté le mien.
Au terminus, dans un premier temps, je retrouve Karl Marx, bien sûr, Pierre mon mari à qui j’ai envoyé un message de mon retour après ce que le médecin appelle mon burn-out.
Il m’envoie trois mois en maison de repos dans les Pyrénées, il cherche à me faire déraper une nouvelle fois.
Avant de partir, je rejoins la chambre 69 de l’hôtel de la gare de Limoges, Vincent m’attend.
C’est l’homme du train, le temps du voyage, nous avons constaté qu’il avait été mon élève comme Victor, mais trois ans après.
J’ai du temps, après ma cure, je suis mise en retraite anticipée, Alicia ma jeune remplaçante après qu’ils aient constaté mon absence devient titulaire.
C’est la femme de Sofiane, le nouveau Karl Marx qui a remplacé Pierre, mon mari.
Bref, j’ai fait pousser des cormes sur le tard à mon mari, je compte bien les entretenir tant que mon corps suivra et que ces messieurs auront toujours quelque chose à m’apprendre côté sexe.
J’ai feuilleté le kamasoutra, il y a de quoi faire, j’étais madame Dupond, prof d’anglais.








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Histoire de Chris71

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