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COLLECTION PUTE. La juge d’instruction (1/1)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/08/2023

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• Commissaire, si je fais appel à vous en vous donnant rendez-vous hors du Palais de Justice de notre ville, c’est que j’ai une aide très personnelle à vous demander.
Depuis que j’ai été nommé à ce poste de juge d’instruction, chaque fois que j’ai eu affaire à vous, j’ai bien senti que j’étais loin de vous être indifférente !
• Je dois reconnaitre que votre beauté m’a subjugé, surtout après votre prédécesseur dans ce poste de notre ville.
• Il arrivera à chacune d’entre nous d’arriver à l’âge de la retraite, mais je dois reconnaitre que Marie Dupond avait particulièrement un air revêche.
• Que puis-je pour vous Betty ?
Pardon, ça m’a échappé, je m’en excuse, madame la juge.
• Après ce que je vais vous dire, je te permets de me dire Betty et de me tutoyer lorsque nous serons en tête à tête.
• Je suis victime d’un chantage, on me réclame 10 000 €, mais j’ai peur si je cède à ce chantage que cette somme ouvre la porte à d’autres demande.
Regarde Charles, la lettre que j’ai reçue et qui parle de ce que l’on me reproche pour cette somme.

Charles, commissaire de police, il m’arrive de venir voir le procureur de la république lorsque j’ai certaines choses à lui demander ou lui parler des affaires qui touchent notre ville.
Dès que Betty a été nommée cette belle fille, moins de trente ans, m’a tapé dans l’œil.
Sans être un sérial niqueur, je me défends largement au sein de notre ville hors des forces de police côté gonzesses
Je dis bien hors des forces de police, car lors de mon premier poste avant mon mariage, les petites pétasses en uniforme, j’en ai largement profité au point qu’un jour les armes ont été sorties de leurs étuis.
Brigitte a su que je baisais Mélodie et jalouse comme elle l’était, en plein commissariat, elle a sorti son arme pour faire la peau à sa rivale.
Un coup est parti, non pas de bite, mais de son arme de service, par chance Mélodie était expert en arts martiaux et d’un coup sur sa main elle a dévié la balle.
Celle-ci est passée à quelques centimètres de la tête d’un inspecteur lui aussi à quelques jours de sa retraite et est venue se ficher dans l’œil du portrait du président de la République.
Sarco a fini sa carrière borgne jusqu’à perdre les élections présidentielles.
J’ai fait une demande à mes supérieurs de m’en fournir un autre, celui de Culbuto, son successeur est arrivé avant.
Mes troupes sont un peu potache à leurs heures, l’un d’eux a mis un bandeau de papier noir avec au-dessous du portais « Neunoeuil », faisant allusion à un autre personnage politique.
J’ai réussi à faire étouffer l’affaire, disant qu’une de mes policières avait malencontreusement appuyé sur la cagette en remontant son arme après nettoyage.
Nous avons eu les boeuf carottes inspecteurs de la police et par chance, Jacques, l’un d’eux était un membre de ma promo et je l’avais aidé à obtenir son diplôme.

• Et ce chantage a-t-il une base réelle ?
• Je dois le reconnaitre, « oui ».
• Tu m’avoues que tu t’es prostituée !
• Non, pas que « tu t’es », je me prostitue !

Heureusement, que nous sommes assis à quelques encablures du palais de justice de notre ville, car si j’avais été debout je serais tombé sur mon cul.

• Je vois que ma franchise te laisse sans voix, mais si je veux que tu éclaircisses cette affaire, je te dois la vérité sur ma vie depuis quelques années.
• Ok, où et quand, non, pourquoi te prostitues-tu, en tant que juge d’instruction tu dois gagner correctement ta vie ?
• Tu as raison, je gagne correctement ma vie et les heures que je passe à travailler au palais ou chez moi, me permets de blinder mon compte en banque.
• Tu te drogues et tu payes ta came avec ce que la prostitution te rapporte !
• Regarde mes bras, vois-tu des traces de piqures, il m’est arrivé de fumer un joint entre pote, mais jamais avec addiction !
Tu veux que je te montre mes doigts de pieds, de nombreux toxicomanes se piquent là pour cacher à leur famille qu’ils se droguent.
• Alors ou et pourquoi ?
• Je suis pupille de la nation, mes parents sont morts lorsque j’avais deux ans lors d’un attentat à Paris.
Ce que l’on me donnait pour vivre et faire mes études était loin de tout payer.
C’est une copine qui m’a fait connaître le réseau de call-girls que j’ai intégré.
Un coup de téléphone, une adresse, un taxi ou ma moto si c’est en banlieue ou grande banlieue et je me rends à leurs rendez-vous.
• Un réseau Internet ?
• Oui, mais les photos de mon visage sont floutées et il est impossible de me reconnaitre.
De plus, lorsque je rencontre un client, je suis maquillée et je porte une perruque blonde, il faut savoir que c’est moi pour me reconnaitre.
Au palais, je suis transparente, comme aujourd’hui ou j’évite de me mettre dans la lumière.
Lorsque je vais chez mes clients, je me maquille et avec la perruque blonde et mes fringues provocantes, je suis mise en valeur.
• Si je comprends bien, si je vais sous la table voir ta chatte, je trouverai une chatte épilée pour éviter que tes clients puissent voir que tu es brune alors que tu portes une perruque blonde.
• Tu vois, comment vous êtes, vous les hommes, il faut toujours que vous mettiez vos fantasmes en avant.
Pour te remercier de chercher qui veut me faire chanter, veux-tu que je te donne rendez-vous dans un de mes hôtels où je me prostitue en tenue de pute avec ma perruque blonde ?
• Quelle horreur, si je trouve une piste et que je fasse ce qu’il faut pour te sortir de la merde où tu es, un simple restaurant me suffira.
À la limite, je veux bien avoir à ma table une jeune femme blonde encore plus bandante que celle que j’ai devant moi en ce moment.

J’ai droit à une bise, et je quitte Betty pour aller faire des recherches, ce qui me prend peu de temps, l’individu la faisant chanter ayant laissé des empreintes digitales sur la lettre anonyme qu’il lui avait envoyée.
De plus, il est fiché dans la base de données de la police.

• Bonjour mademoiselle, j’avais rendez-vous avec Prune et je vois que c’est vous qui l’avez remplacée !
• Je vois que tu as trouvé mon nom d’escorte, as-tu pu résoudre mon problème ?
• Un jeu d’enfant, Fred la menace ignorait que nos spécialistes étaient capables de trouver de l’ADN et des empreintes sur une simple feuille de papier.
Il m’a été inutile de chercher l’ADN, ce qui aurait été plus difficile à faire passer, car ça prend un bras et surtout c’est assez long.
Il avait tellement tripoté la lettre que nous avions plus d’empreintes aux centimètres carrés qu’il nous en fallait.
• Tu l’as rencontré pour lui dire qu’il s’assied sur ses 10 000 € !
• Ça été facile, il était à Fleury-Mérogis dans une cellule depuis deux jours.
Il avait une dette d’honneur en ayant joué au poker.
Il t’a fait chanter pour la rembourser, mais comme ça lui prenait du temps et qu’il avait ses couilles en jeu, en attendant que tu payes, il a braqué une bijouterie.
Une patrouille à vélo passait par là, ils lui ont mis la main au collet et un de tes collègues du tribunal l’a mise hors d’état de nuire.
• Mais, même là-bas, il peut parler à d’autres détenus.
• Mal lui en prendrait, je te promets qu’il est devenu amnésique après la trempe qu’il a ramassée par un autre de ses congénères que j’avais à ma botte.
Dédé poing d’acier, boxeur dans la vie, s’est occupé de son portait.
Lorsque j’ai été à la prison, j’ai demandé à le rencontrer et je lui ai demandé ce coup de main.
Il avait une dette envers moi, dans le rapport sur son affaire par l’un de mes inspecteurs, un petit oubli volontaire de notre part a été fait et sa peine s’est retrouvée réduite de moitié.
C’est devenu un parfait indique sur une autre affaire.
S’il se souvient avoir vu Isabelle dans Prune sans un hôtel, tu as eu la malchance qu’il te choisisse sur Internet.
Il m’a même avoué avant de l’oublier, vu la gueule qu’il avait que tu étais un très bon coup, il est resté deux heures avec toi.

Voilà une affaire rondement menée, surtout que Prune que j’ai emmenée dans ma chambre me suce aussi bien qu’elle le faisait avec ses clients.
Qu’elle le faisait, car elle passe ses habits de femme fatale chaque fois que je le veux depuis notre mariage.
Je sais, elle s’est prostituée plus par plaisir que de besoin, on va croire que je suis un homme immoral.
Au contraire, j’ai été marié il y a quelques années.
J’étais jeune inspecteur dans ces années-là, lorsque j’étais en mission Olivia se faisait sauter par tous mes collègues qu’ils me savaient bloquer souvent en planque pour la nuit.
Il me rejoignait avant six heures le matin, les couilles vides et mes cornes ayant poussé un peu plus pour arrêter ceux que je surveillais.
Je l’ai surpris un jour alors qu’ils étaient deux à la baiser dans mon lit, un contreordre étant survenu.
J’ai divorcé et j’ai repris mes études pour devenir commissaire.
Ceux qui l’ont baisé sont maintenant sous mes ordres, ils peuvent toujours attendre pour monter en grade surtout au mérite, je m’occupe de leur cas.
Qui d’Olivia, qui m’a trahi, certes gratuitement, mais que j’habillais et que je nourrissais pour qu’elle se fasse baiser lorsque j’étais dans l’impossibilité de le savoir, ou Isabelle ?
Prune dans nos moments de délires sexuels lorsque je lui donne des billets dans une boîte à pute Belge.
Nous y allons une ou deux fois par an et je retrouve Margo, ma copine que j’ai connue sur une affaire en France et qui a continué dans ce pays où la prostitution en maison est toujours tolérée.
Pour le moment, je suis son seul client.
Il se peut que dans le futur je la fasse s’assoir sur un haut tabouret et que depuis derrière le bar, je la regarde agrapper un client et se diriger dans l’arrière-salle lui faire toutes sortes de cochonneries.
Je sais, ce sera dans ma tête alors que la bite qu’elle sucera comme elle suce la mienne en ce moment, car il me sera impossible d’être présent, quel client acceptera que je sois dans cette chambre avec eux.
Je suis près de penser que de fantasmer sur la levrette qu’ils feront après la fellation, pour moi, seront aussi jouissifs que si j’étais présent.
Sinon ils nous suffiraient d’aller dans un club échangiste et que je la regarde se dépenser avec d’autres hommes.
Non, si nous en arrivons là, je veux après toucher les billets que ses passes lui auront rapportés, les donner aux restos du cœur, l’argent nous en gagnions assez tous les mois.
Si j’arrive à réaliser ce fantasme qui pourra croire que Prune cette blonde capiteuse est la femme du commissaire qui se tient derrière le bar.












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Histoire de Chris71

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Commentaires du récit : COLLECTION PUTE. La juge d’instruction (1/1)

Le 07/08/2023 - 10:04 par OlgaT
Une suite aurait été bienvenue, cher Chris, pour un texte aussi excitant

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