COLLECTION PUTE. Magalie, ma patronne (2/3)

Dans la première partie de mon histoire mise en images par Chris71 on voit mal la pute qui dort au fond du corps de cette sublime créature qu’est Magalie, ma patronne.
Tout juste avons-nous compris que cette très belle femme était portée sur les femmes, moi en l’occurrence.
Alors qu’étant jeune, bien que je sois encore jeune à ce jour.
J’avais grâce à Christian évité de sucer la chatte d’une copine au moment de notre bizutage à notre entrée en fac.
Aujourd’hui, il en est tout autre, l’inconnu des plaisirs lesbiens me tente.
Christian qui devait m’épouser et me faire deux beaux enfants.
Il est architecte et moi responsable de la comptabilité dans l’entreprise de Magalie.

Magalie à qui en ce moment, je suce la chatte.
Elle est assise sur mon bureau alors que je devrais être chez moi à finir les valises et partir en vacances tout le mois d’août.
Magalie qui me tient la tête comme si elle voulait que ma langue gagne encore de la distance au fond de sa grotte.
Mon visage est maculé diffusé par sa chatte.
C’est avec une grande joie que je sens son bouton bander sous ma langue.
Étais-je prédisposée à devenir lesbienne, Christian lors de mes 18 ans retardant l’échéance ?

• C’est bon Véronique, depuis le temps que j’avais envie de passer ce moment avec toi, c’est divin.

Elle a du mal à finir sa phrase, car j’arrive à la faire partir vers les sommets de son plaisir.
Un moment suspendu et elle reprend pied sur terre.

• Je m’excuse de t’avoir retardée dans ton travail !
• C'est loin d'être grave, le principal, c’est que je sois rentrée pour une heure, sinon Christian mon mari sera contrarié.
• As-tu mangé ?
• Oui, je suis descendu pendant la panne et prévoyant le retard que j’allais prendre Benoît m’ayant dit qu’il en avait pour deux heures minimums.
J’ai pris de l’argent liquide et je me suis acheté un sandwich que j’ai là dans mon tiroir.
• Je vais devoir y aller, si toi tu es en vacances j’ai de grosses journées avant d’aller en Pologne me reposer.
Voilà le numéro que tu appelleras quand tu auras fini, je t’offre le taxi.
Demande-lui une facture, tu me la donneras au retour des vacances je te rembourserai.
• Merci Magalie, à cette heure là à vélo libre, j’en aurais eu pour une heure de plus.
• Quand tu partiras, Joseph le gardien viendra fermer, le service de nettoyage sera là à 5 heures.
Bonnes vacances, reviens-nous en pleine forme.
Merci pour le bon moment que nous venons de passer.

C’est ainsi que s’étant rajustée Magalie me quitte.
Je finis mon travail, je bascule le bilan chez l’expert-comptable.
Je vais aux toilettes me laver la figure et refaire mon maquillage.
J’appelle le taxi, je paye avec ma carte bleue et il me donne ma facture.

• Te voilà, tout est près, la voiture est chargée, tu as dû la voir avant de monter.
Nous pouvons partir après que tu te sois changée !
Ta patronne a de la chance d’avoir une employée comme toi.
Dommage que tes mérites soient loin d'être reconnues, tu mériterais une augmentation.
Mais dit moi, tu as changé de parfum.

Mince, m’étant frotté à Magalie pendant presque une heure, son parfum enivrant se retrouve sur mes vêtements.

• Pour que je finisse plus vite ayant conscience qu’elle retardait nos vacances, ma patronne est venue à mes côtés.
• Vous vous êtes caressées !
• Pour qui me prends-tu, je suis choquée.
Souviens-toi de notre rencontre et de la situation d’où tu m’as sortie !
• Je rigolais chérie, dépêche-toi.
Je réveille les enfants et nous partons.
À nous le soleil et la plage sans oublier les siestes crapuleuses.
• Tu rigoles, chaque année nous prenons les mêmes résolutions, mais je reste sur ma faim.
• Cette année, ça va changer.
Jules, le pote qui m’a donné l’adresse de l’agence où nous avons loué la villa, m’a expliqué que sur la plage, il y avait un club Mickey.
Nous les inscrirons et à nous les moments d’intimité.
En plus, notre chambre est au rez-de-chaussée et les enfants à l’étage.
C'est loin d'être comme ici, nos chambres étant contiguës.

Nous prenons la route, je dors jusqu’au matin, quand je me réveille, le jour vient de ce lever.
Mes yeux refusent d'y croire, la mer est devant moi, d’un bleu à faire rêver.

• Nous sommes déjà arrivés, mon chéri, tu dois être crevé !
• Ça va, encore quelques kilomètres, je vais dormir dès que nous serons arrivés, à midi restaurant, nous sommes en vacances il faut profiter de la vie.

Nous arrivons, le soleil commence à monter, en cet été 2019, la canicule bat son plein.
Juin, juillet, tous les records sont battus.
Je m’étire comme une chatte, est-ce la séance avec Magalie ou le fait que Christian arrête notre voiture devant une maison très ancienne mais parfaitement entretenue.
À nous les bonnes vacances avec dans un coin de ma tête le moment où j’ai brouté la chatte de ma patronne.

Bonnes vacances, ça été le cas, nous avons pris nos marques dès notre installation.
Dans une famille il y a toujours des imprévus.
Certes, Paul va bien au club Mickey, la plupart du temps conduit par Laura pendant que je me repose.
Laura par compte me pose des problèmes.
14 ans, bientôt 15, le club, nous nous sommes heurtés à un refus catégoriquement et comme elle a le caractère de son père inutile de lui faire changer d’avis.
Je la surveille depuis la terrasse donnant sur la plage et où je peux me faire bronzée nue.
Les propriétaires ont eu la riche idée de placer une alarme sur le portail d’entrée, ça sonne quand on l’ouvre.
Je la surveille, car chaque jour elle rejoint un groupe de garçons boutonneux qui je le pense à cet âge aimerais bien lui parler en tête à tête.
Je me souviens que je l’ai fait avec Christian, j’avais 20 ans avec la chance d’avoir mes parents pour la garder.

• Allô docteur !

C’est après une conversation, mère fille, que j’ai pris rendez-vous chez le médecin de Saint-Palais.
Mieux vaut une bonne pilule que des petits pieds qui poussent.
Je la sais assez responsable pour choisir le moment.
Mais quand sur la plage Yann la serre de prêt dans son petit deux-pièces blanc, je sais que j’ai pris la sage décision qu’une mère devait prendre.
Surtout que Christian est à mille lieues de ce problème de fille ayant oublié depuis longtemps que je me suis retrouvée fille-mère.

Parlons des siestes, il y en a eu deux, sur les transats de la terrasse ou si la chaleur est trop accablante dans notre chambre.
Aujourd’hui ça va, la brise légère venant de la mer, nous pouvons profiter des transats.
Christian est mollement allongé, je le pompe avidement.
Comme c’est parti grâce à ma nudité, je vais m’empaler sur la bite maritale m’apportant rapidement l’orgasme qui me manquait tant pour notre plus grand plaisir.
Quand je jouis il décharge.

Les proprios avaient pensé au portail d’entrée mais pas au rocher jouxtant la terrasse.

• Pardons, nous voyons avec Yollande que nous vous dérangeons.
• Venez, merci pour la bouteille, nous venons de terminer !

Les voisins, Yollande et Gustave ont la cinquantaine et connaissent la région, ils sont propriétaires de la maison voisine de la nôtre.
Ils nous aident à connaître les petits coins sympas surtout Marennes Oléron ou nous allons manger des huitres.
Des huitres avec Paul trop petit pour rester, mais sans Laura.
Je suis anxieuse, je regarde sa plaquette tous les jours, je vais dans sa chambre et je surveille si elle prend sa pilule sans l’oublier.

Hélas, les jours de vacances se réduisent de plus en plus.
Une dernière bronzette à poil sur la terrasse avec Yollande.
Elle aussi est nue comme nos hommes.
Chaque fois que je la regarde ça me rappelle mon bureau et la chatte épilée comme elle de Magalie.
Que va-t-il se passer quand nous nous retrouverons ?
Voudra-t-elle reprendre nos jeux érotiques.
Bref, nous quittons nos amis le vendredi avec leur numéro de portable.
Hélas, ils habitent Limoges.
Nous promettons de rester en contact.
Retour de nuit après des pleurs de regret de Laura, Yann entre en fac à Bordeaux et était en vacances chez ses grands-parents.
J’ai tout prévu, avant de partir, j’ai acheté tout ce qu’il y avait sur la liste fournie par la grande école.
Son cartable est prêt.
C’est un homme maintenant comme sa sœur est peut-être une femme, il entre au CP.

Le samedi en début d’après-midi, Christian me quitte semblant bien énigmatique.
Comme je l’ai dit inutile de chercher à savoir.
Il est dix heures quand on sonne à la porte, je vais ouvrir.

• Bonjours madame, c’est la poste, vous avez un recommandé venant de Roumanie.

Qui peut m’écrire de ce pays ???…