ACCUEIL > Hétéro > Récit : COLLECTION PUTE. Perverse jusqu’à me prostituer (2/5)

COLLECTION PUTE. Perverse jusqu’à me prostituer (2/5)

+8

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 28/07/2023

Découvrez les filles coquines près de chez vous :



Dans le premier chapitre j’ai mis 4, mais ce sont 5 chapitres qui formeront cette histoire. Chris71

Je suis folle, j’ai bien envie d’essayer, même j’ai entendu dire « pute un jour, pute toujours, » ce qui m’affole un peu.

C’est ce que je pense et je me dis après avoir découvert que July, ma nouvelle voisine, vie de ses charmes dans notre immeuble.
Jolie blonde de vingt-cinq ans, célibataire élevant son fils Jules un an plus jeune que Sandrine notre fille que j’ai eue avec Romuald hors mariage.
Ce hors mariage défini ma légère frustration au lit, il est à ce jour le seul garçon que j’ai connu, pour lui il m’a toujours dit que c’était un coup de maître.
Un moment j’ai eu tendance à prendre un amant par simple expérience, ce fut le cas au super-marcher lorsqu’un homme m’a abordé.
Je l’ai repoussé ayant peur d’entrer dans une relation durable finissant toujours très mal et souvent en queue de poisson.
Faire l’expérience de me prostituer une seule fois, règlerait ces problèmes, je reçois le client, je fais ce qu’il a envie de faire, il repart et moi je retourne auprès de mon mari.
Cette envie se concrétise lorsque July me propose de recevoir ce seul client dans la chambre d’amis qui est disponible chez elle.
J’ai mis deux jours à me décider, un moment « oui » je vais le faire, un moment « non » l’instant d’après, y prendre goût est à ce moment mon dilemme.

• Je comprends ton hésitation Céline, j’ai fait moi-même une première rencontre avec un premier homme après lui avoir proposé de coucher avec moi pour quelques billets.
Nous étions dans un bar et lorsqu’il m’a offert un verre, je lui ai dit ce que je projetais de faire pour élever mon fils.
Il lui fallait mettre de côté les billets pour me payer sans que sa femme s’en aperçoive.
Je lui ai donné le numéro ou me joindre et j’ai eu trois appels avant de décrocher.
• Et tu es payé combien pour coucher avec eux ?
• Ça dépend de la prestation, 50 pour une fellation, 200 pour une pénétration vaginale avec capote, je les reçois toujours alors qu’ils sont couverts et 500 pour une vaginale avec anale.
• Anale, tu veux parler de sodomie !
• Oui, je comprends ton étonnement, sache que 80 % de mes clients viennent pour cela, leur femme refusant cette pratique.
Et toi, ton mari te sodomise, soit entièrement franche, à ton étonnement je pense qu’il te baise dans la position du missionnaire, ce qui semble te frustrer !
• Tu lis en moi comme dans un livre, c’est exactement ça, ta proposition m’intéresse avec deux écueils, tromper Romuald, malgré ses carences au lit, c’est un mari souvent prévenant.
Et le deuxième, j’ai peur d’y prendre goût, mais je refuse la sodomie.
• Je t’arrête tout de suite dans ta deuxième réserve.
Il y a assez de travail pour deux surtout avec nos enfants, de plus tu serais ce que l’on appelle une occasionnelle pouvant arrêter quand tu le souhaiterais.
Pour ma part, je dois payer notre toit avec mon fils, c’est pour cela que je compte sur toi pour garder mon secret sur ce que je considère comme mon travail.
Quant à la sodomie, de nombreuses prostituées refusent cette pratique et gagnent bien leur vie tout de même.
Il te suffit de dire au client qu’il sera hors de question de le faire s’il te le demande, c’est toi qui disposes de ton corps.

J’éclate de rire, lorsqu’elle me demande de garder son secret.
Je suis à deux doigts de me livrer à elle en me prostituant pour voir l’effet que cela fait de se vendre et c’est elle qui a peur de me voir dévoiler à tous dans l’immeuble qu’elle se prostitue.

C’est cette après-midi que j’accepte cette expérience unique en son genre et son nombre de fois.
Je suis de même taille et de même corpulence que July qui me prête une guêpière avec des fermetures rapides.
Lorsque je me regarde dans la glace de sa salle de bains, ma petite touffe bien entretenue est mise en valeur par ce vêtement.
J’ai des bas blancs comme la couleur de la guêpière sur des hauts talons eux aussi de même couleur.
Ça sonne, July m’a dit que c’était un nouveau client envoyé par un de ses habituels en qui elle a toute confiance.
Presque toute sa clientèle est faite d’habitués à qui elle autorise de donner son numéro de téléphone à des naufragés sexuels si nombreux dans notre pays.
Je découvre que les hommes sont comme moi à l’autre bout de la chaine qui nous lit, je suis frustrée sans le dire à Romuald qui lui aussi l’est peut être.
Je regarde par l’œilleton, tête inconnue, July est dans la cuisine en guêpière rouge prête à prendre ma place si je connais une défaillance ou si je me rétracte.
Je débloque le verrou, comme si je me jetais à l’eau sans savoir nager.

• Bonjour, heureuse de vous recevoir, j’espère que l’on va passer un agréable moment ensemble.

C’est d’une voix un peu chevrotante que je parle à cet homme qui si dans un bar m’avait abordé, je l’aurais suivi sans échange d’argent.
Il est en costume trois-pièces avec son attachée caisse, certainement un homme ayant une bonne situation.
Je suis à deux doigts de lui dire d’entrer au salon prendre un café, mais je sais que le temps m’est compté, July à un client dans moins d’une heure.

• Entrez dans ma chambre, posez vos affaires sur cette chaise, avant d’aller par cette porte dans la salle de bains laver ce qui va nous permettre de passer un agréable moment.

La toilette intime, avant pose d’une capote, c’est ce qui m’a fait finir par accepter de recevoir cet homme marié, ce couillon ayant enlevé son alliance malgré la marque par manque de soleil à son annulaire.

• Mais avant, réglons la partie la plus embêtante de notre prestation, que voulez-vous que nous fassions.

Je passe les tarifs, il sort 200 € de sa poche avant d’ôter son pantalon.
C’est la première fois que je vois un homme ôté le sien et le poser bien plier sur la chaise.
J’étais au côté de July lorsqu’elle a pris le rendrez-vous, elle a parlé des 200 oubliant volontairement les 500 pour éviter à mon client d’avoir des envies du côté de mon anus.
Il passe dans la salle de bains et en revient la queue propre prête à être couverte.
Je le prends en main, et j’essaye de lui mettre une des capotes qui sont sur la table de nuit.

• Fais-moi une fellation que je bande plus dure, sinon il sera impossible que tu me l’enfile.
• La fellation, c’est 50 € de plus.
• Je croyais que s’était compris, attends, je récupère mon portefeuille.
• C’est inutile, je te fais confiance, tu me les donneras quand nous aurons terminé.

J’ai réuni assez de courage pour me vendre à ce client qui sera le seul.
J’ai beaucoup aimé lorsque ses billets sont passés de sa main à la mienne comme j’ai aimé être exposé la chatte à l’air lorsque j’ai ouvert la porte.
Là, s’il repart chercher cette argent, j’ai peur de prendre conscience que je vais me vendre avant de courir vers July afin qu’elle finisse ce que j’ai commencé.
Première verge où je lèche la grosse tête, bien plus grosse que celle de Romuald.
Heureusement, que la sodomie est hors sujet, j’aurais peur de voir mon anus défoncé à tout jamais.

• Arrête de me sucer, je veux te prendre, mets-moi ma capote.

Je croyais que de m’occuper d’un client, c’était facile, je pensais qu’il me suffisait d’ouvrir mes cuisses et de me laisser pénétrer la chatte.
Commencer par une fellation avec beaucoup de mal à la faire entrer tellement elle est imposante, alors mettre la capote, c’est pour moi un véritable calvaire.
Pour autant j’y arrive, hélas, une nouvelle épreuve est là à m’attendre.

• Place toi sur le lit en levrette, j’adore vous prendre dans cette position.

Je vois d’où vous êtes, beaucoup d’entre vous éclater de rire mesdames, mais moi dans mon couple je suis loin de toutes ces positions sexuelles.
Si je connaissais tout cela avec Romuald, inutile de me poser des questions, sans le vouloir, mon client qui se nomme Jacques, viens à mon secours.

• Dépêche, à quatre pattes, je risque de débander et ton petit cul me fait envie.

Lorsque Jacques parle de mon petit cul, j’aurais dû me méfier, mais trop contente de savoir comment le satisfaire et être une parfaite pute, je m’empresse de suivre sa directive.
Je sens son gland venir écarter mes grandes lèvres, mais je me trompe, c’est sa langue qui prend ce chemin.
Il me lèche de mon clitoris jusqu’à mon petit trou, je suis sans défense, sans voix, car je dois reconnaitre que j’adore ce qu’il me fait.
Je suis toute mouillée et lorsqu’il se redresse qu’il me prend par les hanches, c’est en aimant ce qu’il me fait qu’il entre en moi centimètre par centimètre.
Il doit être entièrement en moi, car je me sens rempli comme jamais.
Il me pilonne doucement au début et de plus en plus vite, me soudant à lui.
Même la capote, je la supporte surtout qu’il passe sa main sous moi et qu’il titille mon clito.
Je me mets à jouir comme une folle, c’est à ce moment qu’il en profite pour sortir de moi et de pousser son sexe vers mon anus.
J’ai un moment de lucidité, je devrais le rembarrer, mais les mots qui sortent de ma bouche sont seulement les suivants.

• Eh ! par là, c’est 500 de plus.
• Comme pour la fellation, je te les donnerais après...
















8 vote(s)


Histoire de Chris71

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : COLLECTION PUTE. Perverse jusqu’à me prostituer (2/5)


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :