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COLLECTION SM. Accro au sexe violent (1/6)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 27/01/2023

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Lorsque je décide de raconter mon histoire, j’ai vingt-cinq ans, mariées, un fils de deux ans et un mari prof de gym au collège de la ville où nous habitons et où nous sommes nés.
J’ai une vie que certains pourraient dire de rêves, mais la partie sombre de cette dernière fait qu’au lit je suis sérieusement frustrée.
Cette addiction au sexe violent a commencé dans ma dix-huitième année.
Enfin, un peu plus tard, mais ce besoin de sexe hard est monté au fil des mois où je suis devenue le modèle de Ludovic photographe de mode à la base.
Dix-huitième année où j’ai réussi mon bac avec mention, très bien, quatre jours avant ma majorité.
Maman m’a élevé seul, mon père nous ayant quitté après leur divorce après trois ans de mariage.
Ma gentille maman est secrétaire de mairie dans ce même village où je vis avec Sylvain et où je vous ai dit avoir un fils Jules.

Après mon bac, nous savions avec maman qu’il faudrait que nous nous séparions pour que j’aille faire mes études en fac dans la plus grande ville voisine.
Je voulais devenir prof d’économie et de social.
En préparation de cette séparation, maman m’a fait faire la conduite accompagnée que j’ai réussie là aussi du premier coup, code et conduite, six mois avant ma majorité.
Une vieille femme de notre village apprenant ça a proposé de nous vendre la voiture de son mari décédé, la mémé étant sans permis.
Depuis mes seize ans, je travaillais dans un supermarché pendant les vacances et le dimanche matin, afin de me constituer un petit magot pour en acheter une.
Cette Twingo qu’elle nous proposait pour 2 000 € correspondait très exactement au moyen que j’avais prévu de mettre dans ce moyen de transport.
Je l’ai mise dans la cour de notre maison et le jour de mes dix-huit ans, j’ai pu enfin prendre le volant seule dans notre belle campagne.
Avant de démarrer, j’ai mis ce « A » magnétique montrant que j’étais une débutante au volant et encore plus dans ma vie amoureuse.
À la sortie du village, voulant me promener dans les vignes, j’ai croisé Sylvain faisant son jogging, sans savoir qu’un jour nous nous marierons et que nous aurions notre fils.

Arriva le moment de rejoindre le petit studio dans cette résidence pour étudiant juste en face de la fac que maman avait pu obtenir pour un loyer assez faible avec les aides de l’État.
J’ai rapidement pris mes marques, car les cours commençants, la charge de travail seule dépassait tout ce que j’avais imaginé même si nous avions été préparés.
Je rentrais chez maman tous les week-ends et rapidement j’ai vu malgré les bourses et les aides la cherté de la vie.
Un mercredi ou notre prof d’éco était absent je me suis rendu en ville au petit supermarché près de la gare à trois kilomètres de la fac et de mon logement.
J’oubliais de dire, que ma surprise a été totale, d’apprendre que Sylvain ayant comme moi son bac, avait intégré la même fac section sport et avait la chambre voisine de la mienne.
Ce qui était drôle c’est que ce grand échalas était timide, un peu comme moi il est vrai.
Revenons à notre mercredi, il y avait un Mac Do, endroit inconnu de moi, la curiosité de la nouveauté m’ont poussé à entrer pour manger un de leurs sandwiches et faire comme les rares copines que j’avais au lycée.
Ma boulimie d’apprendre afin de rapidement soulager maman dans mon éducation, m’ayant empêché de m’y rendre bien plus tôt.
Je me suis retrouvée devant ce panneau de commande sans savoir comment cela fonctionnait.
C’est à ce moment que j’ai entendu parler dans mon dos.

• Appuyé sur l’écran !

Je me suis retournée, découvrant un très bel homme, la quarantaine se trouvant là, j’ai tout de suite remarqué l’appareil photo qu’il avait autour de son cou.

• Oui, pouvez-vous m’aider ?

Il l’a fait me demandant ce que j’aimerais, sandwich, frite, sauces et glace en dessert le tout avec du coca bu là aussi pour cette première, chez nous maman un peu écolo sur les bords la bannissait.
Il a continué à taper, un moment je me suis demandé combien cela allait me coûter lorsqu’il a sorti sa carte bleue et a tout payé.

• Je pense que vous êtes étudiante, je sais que c’est dur de faire des études à notre époque, permettez que je vous invite, tenez assayons-nous là, ils vont nous amener notre repas.

Sur le coup, j’ai pensé à un dragueur de sandwicherie, mais j’ai découvert un garçon charmant qui rapidement m’a mise à l’aise.

• Je vois que tu regardes mon appareil photo, je suis photographe professionnel, j’ai installé un atelier à quelques centaines de mètres d’ici, derrière la gare.
C’était un vieil atelier du temps de la splendeur de la ville où se trouvaient des usines sidérurgiques.
Il en reste quelques-unes encore, mais la ville s’est reconvertie.
Je suis ici pour chercher des modèles pour un catalogue de vêtements pour jeunes femmes comme toi.
200 € la séance ça t’intéressent, voici ma carte, réfléchi, soit sans crainte, je suis loin d’être Barbe-Bleue, seul ton sourire et ta silhouette m’intéresse.
Tu verras c’est facile, je te guiderais et je suis sûr que tu feras vendre de nombreux vêtements.

Il avait fini son repas, je suis restée assise regardant ce carré de carton, à mon oreille, la somme de 200 € la séance on fait tilt dans mon cerveau.
De retour dans ma chambre, j’ai posé le bristol sur le coin mon bureau.
Je l’avais oublié m’étant remise à mes devoirs, je savais que trois mois avant les partielles s’étaient très courts.
Deux jours plus tard, il y a eu un orage, je voyais les éclaires zébrer le ciel et d’un coup le vent se lever.
J’avais un peu peur bien que je sache que j’étais tranquille dans cette chambre.
Tout orage a une fin et d’un coup le soleil a percé les derniers nuages.
Un rai de lumière est venu frapper le carton comme s’il avait voulu me rappeler sa présence.
J’ai pris mon portable, à ce jour, depuis que je l’avais mes conversations s’étais cantonné exclusivement avec maman.

• Ludovic ?
• Oui Ludivine, j’ai ton nom sur mon portable, j’avais oublié de te le demander avant que nous nous quittions.
As-tu réfléchi à mon offre ?
• 200 €, net ou brut, cette rémunération pour combien de temps de pose ?

On reconnaît là le début de mes études en économie et social.

• Disons 200 net, je m’occupe de tous pour une ou deux heures.
Surtout pour la première séance où il faudra que je te montre les gestes à faire afin que les photos soient réussies pour mes acheteurs et se retrouvent dans leur catalogue.

Disons 100 € de l’heure, le ratio est bon, chez Mac Do, il y avait une affiche « cherche du personnel, 35 heures payées au smic horaire. »
35 heures, temps interminable risquant de me faire perdre mon année pour une misère, le smic étant à 11 € 07, brut, soit 8 € 76, net, une misère.
Mes cours d’éco me servant dans la vraie vie.

• Mercredi après-midi, à 14 heures, c’est possible, je voudrais faire un essai !
• 14 heures, sans problème, tu connais le Mac Do où nous nous sommes vus, tu poursuis jusqu’à la gare à deux cents mètres et sur le côté il y a un vieux bâtiment.
Sur la façade il y a encore visible « forge de l’enfer. »
Je sais ça peut faire peur, mais c’est l’intérieur qui était important pour moi, j’y ai mon studio, ma chambre noire de développement et un coin habitation si je finis trop tard, sinon j’ai un appartement en ville.

Je suis à l’heure, je sonne à une petite porte dans une plus grande ou les pièces devaient sortir après fabrication dans le temps ou c’était une forge.
Ludovic vient m’ouvrir.

• On s’embrasse, je vois que tu es tendu, ça décontractera l’atmosphère !

Nous nous bisons et je pénètre dans ce lieu qu’il m’a décrit au téléphone.
Un coin avec des projecteurs, un paravent et un appareil déjà installé.

• Veux-tu un verre de whisky, ça va te décontracter, j’aime en boire un avant de débuter une séance, ça me permet de m’éclaircir les idées ?

Coca, il y a peu, whisky, je sens que je m’émancipe même si le goût est étrange pour cette première fois.
C’est un peu guilleret, que Ludovic me fait passer derrière le paravent où se trouve une table avec divers vêtements.
Même s’il retourne vers son appareil, je suis un peu anxieuse de me mettre nue sauf ma petite culotte que je garde avant de choisir une robe dans les trois articles posés là.
Je me présente devant le photographe, qui me regarde et qui donne son jugement.

• Retourne enlever ta culotte, la marque de l’élastique est visible et les photos seront invendables pour ce modèle, je t’ai dit que tu pouvais avoir confiance.

Je suis retourné derrière le paravent, j’ai hésité, mais j’ai fini par faire glisser ma culotte.
Je me suis de suite sentie nue, mais l’appât du gain et la chaleur de l’alcool ont eu raison de ma pudeur, je suis revenue vers Ludovic.

• Oui, tourne la tête, relève tes cheveux, fait ressortir tes hanches, vas-y bouges, oui c’est ça, attends, je prends mon appareil en main.
Parfait la robe qui vole autour de toi, voilà c’est fini pour ce vêtement.

Un peu épuisée, je suis allée changer de vêtement short avec débardeur et une casquette américaine me donnant un air voyou.
Tout est reparti, j’étais crevée, mais Ludovic semblait satisfait de moi avec le pyjama prévu dans les pages des vêtements de nuit.

• Prends un verre et une clope pendant que je vais développer ces trois rouleaux de pellicules, après nous verrons si parmi elles il y en a des exploitables.

L’oeil du photographe, je devais découvrir que dans ce métier le hasard était sur la pellicule pas dans la vie.
Un whisky, oui, une clope, le temps semblant interminable, j’en prends une, la première celle qui fait tousser, mais qui vous appâte.
Ludovic ressort de sa chambre noire avec les trois rouleaux de pellicules développé.
Il les pose sur une table bien éclairée et prend une loupe.

• Mince, Ludivine, regarde celle-là, elle est inexploitable dans le catalogue que nous préparons.

Il me fait mettre mon œil sur la poupe, la robe vole et nous voyons ma chatte.
Je suis rouge de confusions...















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Histoire de Chris71

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Commentaires du récit : COLLECTION SM. Accro au sexe violent (1/6)

Le 27/01/2023 - 15:24 par OlgaT
Je suis impatiente de lire la suite!

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