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COLLECTION SOUMIS - SOUMISE. Ave Maria (4/7)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/05/2023

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Venu de Blois à Paris pour mes études avec mon amie Ludivine, moi qui ai été élevé dans le précepte de la robe blanche et de la perte de ma virginité le soir de mes noces. Ludivine me fait plonger dans le monde de la luxure et du sexe.

J’y plonge contrainte et forcée par mon amie qui dès le premier soir où nous nous sommes installées m’a fait perdre ces illusions de mariage vierge.
Savoir que c’est mon père, homme si à cheval sur les principes, qui l’a dépucelé, me fait perdre tous les tabous qu’il m’a enseignés tout au long de ces années.
Je deviens aussi salope, que la salope de Ludivine, ayant baisé sur la table de consultation du cabinet ou mon père reçoit ses clients.
Je devrais dire clientes, car la présence de capotes dans le tiroir de son bureau montre que Ludivine est loin d’être la seule qu’il se saute sur la table et sur sa chaise.
Le mois se termine dans le rouge et par chance Ludivine a un peu d’argent sur un livret.
Elle ramène 600 € qui nous permettent de tenir le coup jusqu’à l’arrivée de nos chèques envoyés par nos parents.

Octobre, toujours des rapports avec des hommes divers régulièrement.
La tension se fait sentir sur notre travail à la fac, mais je me sais assez bonne pour mettre un coup de collier et réussir ma première année.

Novembre, fin de mois, c’est la cata.

• Ludivine combien te reste-t-il sur ton livret, il faudrait couvrir notre compte.
• Mon livret, tu rigoles, mets ton manteau, je vais te faire voir comment en octobre, j’ai pu te ramener 600 €.
Prends ton portable, nous en aurons besoin.

Je sens le coup foireux arriver, mais malgré cette après-midi du samedi un peu froide, je décide de la suivre.
Elle se dirige vers les jardins du Luxembourg.

• Regarde comment l’on fait, en octobre c’était plus facile, il faisait plus chaud.
Première chose, tu observes, regarde ce vieux là-bas, trop mal attifé à oublier.
Lui là, beau pardessus, tout à fait la proie qu’il nous faudrait, hélas, il est assis sur une unique chaise, il nous en faudrait deux, continuons.
Regarde, près du bassin, ce vieux bien mis avec une canne à pommeau, assis, il y a deux chaises, tu t’assieds, tu l’ignores dans un premier temps.
Tu trouves le moyen d’engager la conversation, mais deux fois sur trois, c’est lui qui le fera.
Tu lui diras faire des études en médecine à la Sorbonne et que tu regardes un de tes cours que tu as enregistrés.
Tu profiteras du froid pour frissonner et dire au monsieur que tu as besoin d’un chocolat chaud.
En octobre, c’est un coca que je me suis fait payer.
Il te proposera de t’en offrir un dans un des abords du jardin.
Le reste, c’est facile, tu as assez d’expérience avec les hommes depuis la rentrée pour le faire cracher quelques billets contre un petit rapport chez lui.
• Tu veux que je me prostitue avec cet homme qui a certainement la soixantaine.
• Comment j’ai fait en octobre, je t’ai fait croire que j’avais un livret pour éviter de te choquer, tu manquais d’expérience avec les hommes ?
Baiser pour un plat de lentilles ou baiser pour de beaux billets, la différence est seulement dans ta tête.
J’ai demandé 500 € à mon vieux, il a été content de ce que je lui ai fait.
Il était content, il m’a donné 100 € de gratte au moment de le quitter, j’aurais pu les garder, mais je t’en ai fait profiter, à toi de jouer aujourd’hui.
De mon côté soi sans crainte, je vais bien en trouver un deuxième pour arrondir notre pécule et tenir jusqu’à Noël où nous prendrons le train pour Blois.
• Tu reverras mon père !
• File, le vieux va t’échapper, à leur âge et avec ce froid, j’ai peur qu’il rentre chez lui, tient en voilà un autre qui arrive, avec un peu de chance, il va s’assoir et je pourrais l’aborder.

Ludivine me montre le chemin à suivre, car l’homme qui vient de rentrer semble avoir plus près de quatre-vingts ans que les soixante à soixante-dix du mien.
Je vais m’assoir à ses côtés et je prends mon portable.
J’ai l’impression d’être une pute, cherchant son prochain client, bien qu’au fond de moi, je sais ce que je suis devenue.

• Mademoiselle, vous avez fait tomber votre gant !

Ça c’est mon approche, j’y ai pensé lorsque je l’ai enlevé pour taper sur mon clavier.
Le reste, à quelque chose près c’est comme Ludivine l’avait dit, à un détail près, je ramène 1 000 €.
Nous sommes directement allés chez lui, veuf depuis dix ans, des photos de sa femme remplissaient son appartement, il m’a dit avoir été fidèle à sa mémoire, mais que sa solitude sexuelle lui pesait.
J’avais pleuré sur la vicissitude du monde et des difficultés de vivre à Paris tellement la vie était chère.
Je lui ai mis ma main au paquet, il bandait, je lui ai demandé de m’aider, il a sorti un tas de billets de son portefeuille si j’acceptais de me faire sodomiser.
Comme pour Ludivine avec mon père, sa femme lui avait toujours refusé ce plaisir, d’où les 1 000 €.
Rentré à l’appartement je sûr que Ludivine sera satisfaite que j’aie franchi une nouvelle étape dans le stup et la luxure, ou est l’enfant de Marie que j’étais en arrivant à Paris.
Aucun pourboire, mais dans mon sac sa carte de visite avec son numéro dès que j’aurais besoin d’arrondir nos fins de mois.
Elle est arrivée deux heures après moi.
Après m’être prostitué en prenant son argent à Louis, je suis passé chez un traiteur et je lui ai préparé un très bon repas.

• Ça s’est bien passé, je vois que tu nous as préparé un petit dîner pour fêter ta première prise de guerre.

Je lui dis combien j’ai soutiré à mon vieux, un à zéro pour moi, elle nous ramène 400 €.
Elle a bien réussi à voir le vieux de soixante-dix-huit ans, c’est ce qu’il lui a dit, mais il a mis presque une heure à bander lorsqu’elle lui a fait une fellation.
Il avait seulement cette somme sur lui et elle a dû s’en contenter.

• Regarde, il m’a donné sa carte pour que je le rappelle en cas de besoin, il peut toujours courir, j’ai mal à la mâchoire à force de le sucer.

Je ferme ma gueule, inutile de lui dire que j’ai, moi aussi une carte, dont je me servirais en cas de besoin.

Et puis, viens le temps des vacances de Noël, je ressors de mon armoire mes vêtements de l’avant Paris et bien vu par papa.
Ludivine aussi met des fringues plus adaptées à la vie dans notre bonne ville de Blois, mais plus sexy que les miennes.
Tout le monde est content de nous retrouver, surtout maman qui veut tout savoir.

• Tu as changé de coiffure, ma fille, ça te va bien, il faudra voir pour t’habiller plus en rapport des jeunes filles de ton âge.

À la veille de Noël, je viens de faire les boutiques avec elle dans le centre de notre ville.
J’ai des vêtements plus en rapport de ce que je suis devenue, mais que maman ignore sans pour autant être des vêtements comme ceux que je porte lorsque je sors les soirs dans les boîtes où nous allons.

• Je te laisse, j’ai une visite à faire à une vieille dame grabataire.
C’est notre curé qui m’a demandé d’aller la voir une ou deux fois par semaine, car elle est seule sans famille.

D’un coup, je retrouve ma vie d’avant faite de curé et de bonnes œuvres.
Je l’embrasse pour les achats et je la quitte, je veux retrouver un peu du cadre de ma vie d’avant.
En déambulant, je passe devant le cabinet de mon père et de Charles père de Ludivine, comme il est indiqué sur leur plaque.
J’entre, je vais faire la bise à papa s’il a le temps.
La porte du cabinet du père de Ludivine s’ouvre et en sort une femme de l’âge de mes parents poussant un fauteuil roulant dans lequel un jeune homme semble avoir de sérieux problèmes.

• Tu as bien compris Jeanne, tu lui fais prendre son calament et s’il s’énerve continu la pratique habituel toutes les deux heures, ça le calmera.
• Oh ! elle est jolie la demoiselle, tu peux lui faire voir maman !
• Jules arrête d’importuner mademoiselle.

Mère et fils quitte le cabinet, c’est bien malheureux d’avoir un fils dans cet état.

• Marie, comment vas-tu, il m’a été impossible de venir vous accueillir hier à l’arrivée du train.
Entre, ton père est parti chez une vieille cliente qui est proche de la fin de sa vie, nous allons discuter cinq minutes, j’ai un trou de clientèle.
• La femme qui vient de sortir, Jeanne, c’est la femme du notaire et Jules, c’est son fils, j’ai entendu papa parler du malheur qui les a frappés à la naissance de leur garçon ?
• Oui, sans trahir de secret médical, lorsqu’il est né, son cordon était autour de son cou et son cerveau a manqué d’oxygène pendant plusieurs minutes.
Le temps que la sage-femme s’en aperçoive et le coupe, le mal était fait.
Il a survécu et sans pouvoir en dire plus en grandissant, les problèmes se sont multipliés.
Jeanne, sa maman est une sainte femme, pleine d’abnégation pour son fils.

J’entre dans son cabinet en face de celui de papa et il ferme la porte derrière moi.

• Mais dit moi Marie, j’ai pu discuter avec Ludivine seule à seule ce matin, ma femme se levant bien plus tard.
Elle m’a dit que tu avais sérieusement évolué depuis que tu es à Paris.
Je le vois dans ton attitude, tu es devenue une vraie femme, attention tout de même que tu veuilles profiter de ta jeunesse, c’est une chose, mais les études, c’est très important.

Disant ceci, il s’approche de moi, qu’est-ce que Ludivine a pu lui dire, la disculpant devant son père des pratiques sexuelles qu’elle m’a presque obligé à pratiquer ?

• Elle m’a dit que tu avais même amené un jeune homme chez vous et qu’elle avait dû se réfugier dans la salle à manger pour continuer ses devoirs.

La salope, en me chargeant devant son père, elle s’est disculpée de toutes ses turpitudes.
Je suis ç deux doigts de lui dire que sa fille est le contraire de ce qu’elle veut paraitre, mais avant que je puisse dire un mot, Charles m’enlace.

• Marie, puisque tu es une femme maintenant, laisse-toi faire, j’ai fortement envie de toi !...















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Histoire de Chris71

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