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COLLECTION SOUMISSION. Commissaire de police (4/4)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 27/02/2023

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« Merde, si Françoise avait raison. »

C’est ce qui me vient à l’esprit lorsque je découvre cet indice primordial.
Ma paire de menottes marquées de mes initiales « DD » par l’amant de ma mère lorsque je suis venue les montrer après ma réussite à mon examen de commissaire de police.
Je lui avais téléphoné remarquant leur disparition pour qu’elle regarde dans ma chambre.
Bien sûre, elle avait démenti les avoir trouvés.
La salope, excusez du terme pour une mère, mais j’ai failli avoir de graves problèmes depuis mes débuts avec l’administration.
Par chance, j’avais eu un rapport sexuel que je dirais hygiénique avec un adjudant et c’est lui que j’ai appelée pour lui demander comment faire.
Il pouvait me dépanner, mais souhaitait me les apporter personnellement.
Je savais ce que cela voulait dire et c’est en levrette évitant de voir son gros ventre que je me suis acquitté de cette corvée.
Ces menottes et ces initiales ont débloqué mon cerveau.
Je me vois petite fille me réveillant, car j’avais oublié ma poupée dans la soupente.
Tremblante de peur d’être découverte, je me suis glissée hors de la maison pour me rendre dans la dépendance.
Je venais juste de récupérer Martine, nom de ma poupée et des livres que je lisais dans ces années-là.
J’allais retrouver ma chambre quand le bruit de la porte s’ouvrant m’a fait trembler de peur.
Ma mère est entrée avec un homme vu pour la première fois, elle avait dû sortir le récupérer au bistrot de notre village.
Il l’a rapidement accrochée avec une corde autour de ses mains.
Depuis, j’ai eu à faire une enquête ou un couple pratiquait ce que j’ai appris le bondage, mais ce jeu avait mal fini pour la suppliciée.
L’enquête a démontré qu’elle l’avait fait cocu et voyant rouge, la corde en plus de ses mains et de ses seins s’est retrouvée autour de son cou.
Dans la grange, j’ai dû graver dans ma mémoire les croquis que j’ai faits de Françoise, transposant la soumission de ma mère avec la sienne, vue là soumise qu’elle était déjà dans ces années-là au collège.
Je devais être visionnaire puisque c’est le chemin qu’elle a pris quelques années plus tard pour devenir une pute soumise.

Nous avons fini le séjour et chacun dans notre voiture nous avons repris le chemin de la capitale et des truands parisiens.
À partir de ce jour et conformément au plan que nous avions établi nos vies, ont pris deux directions bien distinctes.
Les moments dans la maison de ma mère ou François était notre maître à Françoise et à moi.
Paris, ou il est fréquent d’entendre des hurlements sortir de la cage où je me trouve lorsque je dirige ce commissariat.

• Inspecteur François...

Comme pour les curés avec l’obligation de réserve, je suis tenue, moi aussi au même devoir.
Je garde pour moi les motifs de mes colères toutes liées à des problèmes dans les enquêtes en cours.

Chez Françoise, rapidement un déséquilibre se fait jour entre elle et moi, ses anneaux vaginaux et à ses seins.
François dans sa grandeur de maître de nos corps lui suspend ses poids qu’elle a sortis de ses cartons.
J’aspire à ressentir sur mes grandes lèvres et les pointes de mes seins les mêmes sensations qu’elle doit ressentir lorsque les poids les tires vers le bas.
Côté sexe, tout va bien, François après nous avoir martyrisés avec les fouets ou autres systèmes de tortures, nous baise là encore à nous faire hurler de plaisir.
Je résiste autant que je peux, mais je veux leur faire voir que je suis capable de suspendre à mon sexe les mêmes poids que ma mère se servait.
Je le rappelle, ils font cinq cents grammes.
C’est lors d’une patrouille avec mon équipe nous faisant passer par Pigalle, que j’ai vu la boutique ou sur la vitrine étaient marqués « Tatouages » « Piercings ».
Nous devions intervenir dans le café voisin, mais j’avais eu le temps de lire sans que les deux inspecteurs dont François voient ces inscriptions.
C’est de façon anonyme que je suis revenue me faire poser les anneaux et les piercings de seins eurent aussi avec des anneaux.
Me prenant au jeu, j’en ai profité pour me faire un tatouage de soumission, avec des chaines autour de mes deux seins.
Seul notre maître et Françoise ont pu admirer cette œuvre d’art lors de notre visite suivante dans notre lieu de plaisir.

Mais lorsque tout semble rouler comme les grains de sable à la marée montante, il suffit de peu pour qu’un monde parfait s’écroule.
Au commissariat, je suis découverte, ça aurait pu, mais non quoi que !
C’est François qui est ce grain de sable, celui qui cède au vent faisant effondrer tout le château qu’un enfant dans la journée avec passion.
Je reçois sa nomination pour Bordeaux, il préparait le concours de commissaire et a été reçu.
Je pourrais baisser les bras et essayer de trouver un autre maître pour la Bourgogne.
C’est en allant faire une intervention dans la rue où officiait Françoise, un panneau « à vendre » est posé sur une fenêtre.
J’appelle Françoise, c’est bien elle qui vend.
Elle a hésité entre louer ou vendre maintenant qu’elle a quitté Paris.
Mon idée fonctionne et je donne ma démission de la police.

• Entre espèce de merde, maitresse Domi va bien s’occuper de toi.

Maîtresse Domi, oui c’est moi, nous sommes à Paris et grâce à Internet où j’ai un profil de dominatrice, je trouve rapidement de nombreux clients.
Au prix que je pratique, et grâce à l’aide de Françoise sur les appareils de tortures que j’emploie, ma liste de soumis s’allonge.
C’est espèce de merde, c’est un sénateur de la république française.
Dans ma tenue de cuir et ma cravache dès que je le fais entrer, il devient ma chose donc ma merde.
Son plaisir, c’est d’être pendu par les couilles, ça demande un certain doigté surtout que je lui mets des plugs plus ou moins gros dans le cul.
Je rigole les mercredis à la télé lorsque je le vois poser des questions grandiloquentes à la tribune.
J’ai aussi plusieurs membres de ministère dont l’un des chefs de cabinet de celui de la défense.
Paris, lundi, mardi, mercredi, jeudi.
Chez Françoise, elle je la domine gratuitement, c’est normal avec l’aide qu’elle m’a apportée et ces grâce au croquis que j’en ai fait, que je suis devenue la dominatrice que je suis.
En Bourgogne aussi, Internet m’amène des clients en plus de Françoise.
Principalement la mairesse du village où je suis née, elle venait chez ma mère et les deux femmes se faisaient dominer par les amants de cette dernière.
Je la reçois chaque dimanche, car le samedi elle a des mariages.
Les anneaux sur les chattes des deux femmes, je continue à leur suspendre des poids, elle est plus forte que Françoise, 200 plus 500, 700 grammes, elle aspire à se faire suspendre un kilo.
Je voudrais bien la dissuader, mais je suis maîtresse Domi et une maîtresse femme contrôle toujours la situation.

Si vous aimez être dominé et que vous en avez les moyens, pour Paris, sur Internet vous aurez mon 06.
Si vous aimez être dominé et que vous en avez les moyens, en Bourgogne près de Beaune, sur Internet, vous aurez mon 07.
À l’un ou l’autre de ces numéros je saurais vous dominer, je commencerais par vous passer les menottes ou dessus les initiales « DD » sont gravées.


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Histoire de Chris71

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Commentaires du récit : COLLECTION SOUMISSION. Commissaire de police (4/4)

Le 27/02/2023 - 13:21 par OlgaT
Voilà une nouvelle vocation!

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