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COLLECTION VENGEANCE. Je sacrifie ma vertu pour la dette de mon mari (3/5)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 14/08/2023

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• Marie, je te prends pour épouse dans le bon et le mauvais jusqu’à ce que la mort nous sépare.

C’est les mots que Jean prononce le jour de nos noces.
Rapidement, dès le soir même c’est le pire qui devait me rattraper du moins au début.
Mon mari me propose de m’offrir à François le Duc son voisin ayant flaché sur ma virginité.
Il aurait pu l’envoyer promener, mais le Duc me recevant dans sa chambre éclairée par de multiples bougies m’apprend que ceux que je croyais être ma nouvelle famille sont, en fait un ramassis de salopard de la mère au fils.
Cette dette qu’ils prétendent avoir contracté pour rénover le toit de leur maison ancestrale a été empruntée pour rembourser une dette de jeu au casino de leur commune.
Pourquoi d’un coup, je suis sûr que le Duc dit vrai par rapport à mon mari qui m’a conduite devant la porte de celui qui dans un sens aurait acheté ma virginité ?
Au moment où j’étais sur le point de me prostituer auprès de cet homme monstrueux avec toutes ses brulures, il veut se lever pour me laisser dormir sans consommer.
J’aurais été obligé de céder à celui que je considérais comme un monstre, jusqu’au matin ou mon mari serait venu me rechercher.
Ma réaction est immédiate, je suis novice dans le sexe actif, mais j’ai vu bien des choses sur Internet.
Aussi, c’est en me jetant à ses genoux que je lui fais une fellation.
Il aurait pu me baiser comme un soudard, mais plein de prévenance, il va dans sa salle de bains récupérer des ciseaux.
Les gestes qu’il fait en découpant ma robe représentant ma pureté du bas vers le haut me montrant la signification de la duperie de celui qui voulait faire de moi une salope de pute.
De même ma petite culotte livrée aux ciseaux se rend sans résistance, offrant ma blondeur à celui dont j’ai totalement oublié les cicatrices de son corps.
Mon corps, vierge de toute sollicitation car je l’ai voulu ainsi, s’embrase quand cette bouche que je viens d’embrasser sans la moindre répulsion met ma fente en fusion, alors je m’abandonne en écartant largement mes cuisses.
C’est à mon clitoris que sa langue vient rendre hommage.
À ce moment, il serait venu sur moi pour me prendre comme un soudard, je me serais donnée sans la moindre retenue.
Mais j’ai affaire à un gentleman qui fait passer mon plaisir avant le sien.
Mon clito s’embrase autant que mon corps lui est tout de go offert.
Jean voulait que je sois l’équivalent d’une femme de petite vertu, dans quelles minutes, quand cette verge que je masturbe doucement pour éviter de la blesser me prend sauvagement.
Jean a épousé une jeune femme qu’il voulait qu’elle devienne pute pour sa première fois, cette jeune femme aimante entre les bras du duc se donne à celui qu’elle prend comme amant.

• François permet moi de t’avouer quelque chose.
• Je vous écoute ma mie !
• François, je me donne à toi pour le meilleur, laissant le pire à celui qui doit bien rire avec sa mère sur le tour qu’il m’a jouée.
• Tu crois sincèrement à ce que tu dis alors que tu as vu de moi, la partie qui par chance a été épargnée dans mon aventure.
• Qui t’a embrassé sans aucune retenue et, pourtant ton visage est très marqué.

Avant qu’il ait le temps de réagir, étant à genoux entre mes cuisses, je prends son peignoir que j’ouvre.
Un instant je crois avoir présumé de mes capacités à voir l’innommable.
Par une force de ce qui se fait jour en moi, je passe ma main sur les plaies que le feu a provoquées.
Lorsque je le touche, ses boursoufflures disparaissent comme par magie et sentant le moment venu, je veux sa peau sur ma peau ce qu’il fait en s’allongeant sur moi.
C’est moi qui glisse ma main entre nos corps, je sens qu’un dernier scrupule de me faire femme le retient.
J’ai mal certes, mais bien moins que ce que le duc a dû ressentir lorsqu’il a été livré aux flammes.
Et lorsqu’il commence à me pilonner doucement, je le bloque avec mes jambes entourant ses reins.
Devant derrière, il a été brûlé, car je sens sur ses fesses, les mêmes boursoufflures que sur le devant.
Je reprends sa bouche qu’il m’offre sans la moindre appréhension.
Nos salives se mélangeant, c’est comme du miel qui coule en moi.
Cette verge au fond de mon vagin est bien loin de celle que je pensais recevoir cette nuit, mais je suis certaine de gagner au change quand d’un petit début de jouissance, c’est un orgasme qui me dévaste.
J’ignore si celui que j’ai épousé est encore derrière la porte lui montant une petite femme docile qu’il croit avoir épousée, mais mes cris de plaisir doivent lui faire croire que je suis une parfaite comédienne.
Je suis certaine que dans son esprit malade, jouir sous la queue d’un tel monstre est hors de question.
C’est le moment où pour la première fois mon vagin est rempli de sperme.
Il s’écroule à mon côté, instinctivement il referme son peignoir, mais je le laisse faire.
Nous avons dû dormir quelques minutes, tellement nous nous sommes donnés du plaisir.

• Merci Marie, vous m’avez redonné goût à la vie.
Voulez-vous rejoindre votre mari ?
• Pas le moindre au monde, je suis bien près de toi.

Je le tutoie, il continue à me vouvoyer.

• Puisque vous décidez de rester, puis-je vous offrir une coupe de champagne.
• Sans aucun problème.

Le Duc prend son téléphone et appel un de ses serviteurs, malgré l’heure avancée de la nuit.
Quelques minutes plus tard, un homme d’une cinquantaine d’années frappe et entre dans la chambre.
Sur un plateau il porte une bouteille et deux coupes.
Je me suis glissée sous les draps, j’ai beau avoir été transformé en pute par mon mari, j’ai encore de la pudeur.
Il ouvre la bouteille, il fait le tour de la chambre et allume quelques nouvelles bougies.

• Je m’excuse, monsieur Jean dort sur le sofa dans votre vestibule, dois-je le réveiller et lui dire de partir.
• Inutile, Arsène, arrangez-vous seulement pour qu’il se réveille, ça vient juste de commencer pour lui.

Comme un diable, je passe mon joli minois de dessous le drap.

• Bien madame, je vais faire tomber mon plateau, l’argent lorsque ça arrive au sol, cela va faire assez de bruit pour le réveiller.

Arsène nous salue et se retire.
Comme il a dit, je sursaute lorsqu’il fait tomber son plateau.
Je sais que Jean m’attend, je décide de commencer ma vengeance.
Je parle assez bas pour que seul le Duc comprenne les mots que j’emploie.

• François, as-tu un carnet de chèques à disposition dans cette chambre ?
• Oui, dans ce secrétaire près de la fenêtre.
• Si tu me fais confiance, fais-moi un chèque de 100 000 €.
Tu vas voir, comment je vais le faire valser, il va voir ce que la petite Marie est capable de faire pour se venger de leur perfidie à sa mère et à lui.

Sans me poser plus de question, le jeu semblant l’amuser, il se lève, je le vois écrire et venir me tendre le chèque plein de 0, c’est la première fois que j’en vois autant.
Je l’attire à moi, je sors, sa verge et ma bouche la retrouve avec envie.
Lorsqu’il bande suffisamment je me place en levrette lui tendant ostensiblement mon cul et assez fort pour être entendu du vestibule, je lui intime l’ordre.

• Duc, encule-moi, je rêvais de me faire sodomiser lors de ma nuit de noces.
• Ma mie, cette pratique est d’un autre âge.
• Avec ce que tu viens de me donner, tu as bien mérité de me prendre par l’anus.

Assez fort pour que mon souteneur entende et tous bas seulement pour le Duc.

• Si tu veux me revoir, encule-moi sans plus te poser de questions.

Voilà, c’est fait, dans cette nuit bien étrange pour une jeune mariée, j’ai perdu tous mes pucelages, bouche, chatte et anus sans compter mes mains qui se sont baladées tous le long de sa verge.

• Bien, je m’en retourne près de mon mari, j’espère que tu tiendras parole sur la dette de ma belle-mère, aurais-tu une robe de chambre à me prêter.

Enveloppé dans une robe de chambre bien trop grande pour moi, j’embrasse François amoureusement, lorsque je sors de sa chambre, je retrouve Jean, vert de rage, ma vengeance commence.

• Toi, tu vas comprendre qui je suis, pourquoi lui avoir cédé ton anus et te faire enfiler par ce fumier, ta chatte lui suffisait.
J’avais prévu dans notre chambre que ce serait moi qui te déflorerais l’anus !
• Et ça, pour t’aider, ça valait bien que je lui donne mon anus !
• Merde, un chèque de 100 000 €, l’élève a dépassé son maître, donne-le-moi.
• Chéri, j’ai un maître à la hauteur.
Ce chèque, permets-moi de le mettre sur mon compte demain dans la journée, j’aurai l’impression d’être riche quelques jours, je te restaurai la totalité rapidement.
Tu peux compter sur moi pour tout te rendre, tu me l’as dit nous sommes mariés pour le pire, c’était dans la chambre que je viens de quitter.
Le meilleur, c’est tes dettes presque effacées.

Nous reprenons notre voiture et nous arrivons là ou en début de soirée, je pensais me faire dépuceler.
Je me douche remettant mon corps en état.
Je trouve mon lit avec envie, ayant passé une soirée pleine de rebondissements.
Mon mari parti à la douche après moi vient se coller à moi, je sens qu’il bande.

• Je t’ai prouvé que je t’aimais cédant à ta demande de faire l’amour avec un monstre.
Il était tellement bien monté que ma chatte et mon anus vont devoir attendre plusieurs jours pour que j’aie le plaisir de me donner à toi.
• Mais je bande, fait quelque chose...
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Histoire de Chris71

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Commentaires du récit : COLLECTION VENGEANCE. Je sacrifie ma vertu pour la dette de mon mari (3/5)

Le 14/08/2023 - 09:50 par OlgaT
Ce mari ne perd rien pour attendre, non?

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