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Comment j'ai éduqué mon mari en un mois

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 13/09/2022

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Comment j’ai éduqué mon mari en un mois


Bonjour, je me prénomme Julie, je suis mariée à Jean depuis trois ans maintenant, c’est un homme très gentil au fond de lui mais qui fait un peu le macho.

En fait, c’est de ma faute, je fais tout pour lui être agréable, la cuisine, le ménage et tout le reste… Sexuellement, je suis disons disponible, mais je ne prend pas toujours mon plaisir car il est très égoïste, c’est quand il en a envie et c’est presque toujours le même scénario, il me réveille en pleine nuit car il se couche beaucoup plus tard que moi, pour se faire sucer et parfois tirer un coup comme il dit…

Au fait, j’ai 29 ans, brune, cheveux coupés au carré, pas très grande et mince, (1m62, 50kgs), je ne suis pas une reine de beauté mais ça va. De temps en temps, je sens le regard appuyé des hommes et puis, il y a un de nos voisins qui n’arrête pas de m’observer, comme s’il n’avait jamais vu de femme.
Je m’habille sobrement, le plus souvent en jupes au niveau des genoux et chemisier classique.
Jean a 32 ans, il est châtain, pas très grand non plus pour un homme, 1m70 pour 65 kgs, il est plutôt bien, assez musclé car il fait souvent du jogging, moi non, je ne fais aucun sport.

Il travaille comme vendeur chez un concessionnaire auto, moi, pour l’instant, je ne travaille pas, c’est un choix que nous avons fait.
En fait, j’étais aide-comptable dans une petite société, mais elle a fermé et je me suis retrouvée sans emploi. Pour être honnête, je ne cherche pas, j’aime trop mon confort, regarder des séries et lire. Comme Jean gagne bien sa vie et qu’on n’a pas d’enfants on s’en sort très bien comme ça.

Comme je vous l’ai dis, Jean est du type macho, pas vulgaire ni agressif, mais il ne pense qu’à lui et il a tendance a tout attendre de moi, du fait que je ne travaille plus, mais en fait c’est une mauvaise raison, car même quand je travaillais, il était comme ça.

Toutefois, il est plus attaché à moi que moi à lui. Nous nous sommes connus étudiants, nous étions sortis ensemble quelques semaines puis nous nous étions quittés puis retrouvés trois ans après tout à fait par hasard, il était libre, moi aussi, il ne me déplaisait pas, nous sommes ressortis ensemble, et puis voilà, nous sommes mariés.
Pas de grande passion mais pas d’amertume non plus, le train-train. Donc, comme je vous le disais, Jean a ce côté macho absolument désagréable, il a prit l’habitude de se laisser vivre. Quand il arrive le diner est préparé et la maison est clean, il baise quand ça lui fait plaisir et tout va bien. Tout ça commence sérieusement à me gonfler.

J’en arrive au faits.
Il a fait un truc inadmissible, c’était un dimanche soir, il regardait un match de foot et ça faisait plusieurs fois que je l’appelais pour venir diner, il me répondait pas. Au bout de 4 ou 5 fois, j’y vais et je lui dis:

Jean, y’en a mare, tu viens ou je dine toute seule.

Et il me dit quoi ?

Arrête de me faire chier putain, je regarde le foot tu vois pas ? Vas-y, dines toi seule j’en ai rien à foutre.
Quoi ? Tu me parles comme ça ?

Je prend la télécommande et j’éteins la télé. Il saute de son fauteuil pour me l’arracher des mains, je résiste et il m’envoie sur le canapé puis je glisse par terre, il reprend sa télécommande et rallume la télé sans me calculer alors que je suis affalée au sol.

Je me lève et je cours dans la chambre en pleurant, je reste là un bon moment, la tête dans les mains avec la rage au ventre. Lui, continue à regarder son match comme si de rien n’était.

Mes larmes sont séchées, la révolte boue en moi, je me lève et retourne au salon, j’arrive prés de lui, il ne me regarde même pas, alors, je lui fous une baffe magistrale, sa tête fait un quart de tour. Son premier réflexe est de mettre sa main contre sa joue chaude. Voyant ma rage, il ne répond pas.

Tu es folle ? T’as vu ce que t’as fait ? Je devrais te péter la gueule mais t’as de la chance que je frappe pas les femmes.
Ah oui ?

Je reviens vers lui et je lui fous une baffe aussi violente que la première sur l’autre joue. Il met son autre main sur son autre joue.

T’es vraiment cinglée ma parole ! Tu cherches quoi, que je te tape ?
Que tu me tapes ? Essaye pour voir !

Là-dessus, je reprend la télécommande, j’éteins la télé et je vais dans la cuisine, je prend les spaghettis bolognaise que j’avais préparé et je vide le plat dans la poubelle. Ensuite je retourne au salon, il ne bouge pas.

Ta bouffe est dans la poubelle, moi je vais me préparer et je vais faire un tour.
Tu veux aller ou ?
Si on te le demande, tu diras que tu sais pas.

Là-dessus, je prend mon manteau et je file vers la voiture. Il me suit jusqu’à la porte.

Attends… ça va, j’ai un peu déconné, y’a pas à en faire un drame. T ‘as pété un plomb, ça arrive, laisse tomber, on parle plus de ça.

Moi, en descendant l’escalier

On parle plus de ça ? On verra !

Je monte dans la voiture et je m’éloigne, je roule sans but pour me calmer. Au bout d’une demi-heure je me dirige vers le centre-ville, il est 22 heures maintenant, j’entre dans un bar et je commande un Martini. Il y a quatre ou cinq clients dans ce bar, aucun n’ose venir m’aborder mais je sens que ça les démange, ça me donne un sentiment de fierté de plaire aux hommes.

Ensuite, je retourne dans la voiture. Heureusement que j’ai pris mon paquet de cigarettes, j’en fume la moitié garée sur le parking.

Puis, vers minuit, je décide de rentrer.

Il est là, assis dans la cuisine sans rien faire. Je ne le calcule pas, je vais dans le salon et je me sers un Martini bien dosé. Il revient vers moi penaud.

Excuse-moi, j’ai un peu déconné tout à l’heure.

Silence…

Alors, c’est qui qui a gagné ce match ?
C’est l’OM, 3 à 2.
Quoi ? Après ce qu’il s’est passé, tu as continué à regarder le match ?
Mais…

Je me dirige vers lui et je lui fous un nouvelle baffe, moins forte mais claquante tout de même.

Arrête Julie !!
Sinon ?
Ça va, je me suis excusé, c’est bon…
Non, c’est pas bon !

Il se dirige vers le bar pour se servir un verre.

Laisse ça !
Pourquoi ?
Parce-que je te le dis c’est tout !

Voyant que je suis hors de moi, il repose la bouteille.

Bon, maintenant Jean, on va mettre les choses au clair.

Il ne répond pas.

J’en ai plein le cul de tout me taper ici, alors tu vas aller à la cuisine et tu vas tout ranger, les assiettes et le reste, ensuite tu vas aller vider la poubelle, elle est pleine. Moi, je vais me coucher et prie pour que je me calme.

Là-dessus, je me dirige vers la salle de bain pour prendre une douche. Je le vois se aller vers la cuisine et faire ce que je lui ai dis de faire. Ça me fait sourire.
20 minutes après, alors que je suis déjà couchée et que j’ai éteint la lumière, je le sens se glisser dans le lit.

Julie, excuse-moi, je sais que j’ai déconné.
Au fait, tes envies de baiser à volonté, tu oublies, si t’as des envies t’as qu’à te branler, pour moi c’est fini.
Mais…

Là-dessus je m’endors. Lui, je crois que non car le lendemain matin il est fracassé, le regard vitreux et des rides sous les yeux.

Alors, mon cher Jean, tu as bien dormi ?
Non, j’ai pas pu dormir.
Je vois… t’as beaucoup de choses à te faire pardonner.

Il ne me répond pas, les yeux bas.

Va préparer le café !

Sans dire un mot, il se lève. J’en suis très étonnée, il ne fait plus le fier et ça me rassure, finalement j’aurais dût être comme ça dés le départ.

10 minutes plus tard.

Il est prêt.
Il est prêt qui ?
Il est prêt Julie.
Porte moi une tasse.

Il arrive avec deux tasses.

J’ai pas envie de prendre le café avec toi, tu me donnes ma tasse et toi tu vas boire la tienne dans la cuisine.

Il ne dit pas un mot et il s’exécute.

Bon, je vais continuer à dormir un peu. Toi, tu te prépares et tu vas bosser.

Il rentre vers 19 heures, un petit bouquet de fleurs à la main, je suis assise sur le canapé en regardant une série.
Voilà Julie, on a …
Une moment, y’a une action en cours intéressante.

Il reste là, planté avec son bouquet de fleurs à la main. Trois minutes après, je met le film sur pause.

Oui ?
Euh… Je disais qu’hier soir on s’est énervés pour rien, mais au fond, ça m’a permis de comprendre combien je tiens à toi. Je t’ai apporté un petit bouquet de fleurs, j’aimerais que tout redevienne comme avant.

Ce disant, il me tend le bouquet que je pose sur la table basse sans y faire attention.

Que tout redevienne comme avant ?? Tu rêves Jean ! Tout va changer au contraire !

Il la regarde sans répondre.

Je vais ériger de nouvelles règles. Deux solutions, soit elles te conviennent, soit elles ne te conviennent pas. Si elles te conviennent on fera comme je dis, si elles ne te conviennent pas, tu te casses, tu t’en vas, tu te trouveras un autre appart et en attendant tu iras à l’hôtel, je ne voudrais plus entendre parler de toi, je ne suis même plus amoureuse de toi.
Moi oui…
Et bien c’est la différence.
Et c’est quoi ces règles ?
Je te les ferai découvrir au fur et à mesure, mais disons qu’en gros, dorénavant c’est moi qui mènerai la barque et toi, tu feras comme je te dis de faire. Tu es d’accord sur le principe.

Sans réfléchir.

Oui.
Oui quoi ?
Oui je suis d’accord.
Oui je suis d’accord qui.
Julie..
Alors ?
Oui, je suis d’accord Julie.
Ok. Bon, on va faire un essai et si ça ne te conviens plus, tu pourras partir à n’importe quel moment, j’en ai rien à faire !
Ça me conviendra…
Qu’est-ce que t’en sais ? Bon on verra, en attendant sers moi un Martini.
Oui chérie, je peux en prendre un aussi ?
Ok, pour te montrer que je peux être clémente.

La soirée se passa agréablement, J’avais préparé le repas mais je l’ai laissé débarrasser et faire la vaisselle pendant que je regardais un épisode de ma série.

Le soir au lit, il s’approcha de moi.

J’ai envie de toi Julie…
Pas de chance, moi j’ai pas envie de toi, ou plutôt si, bouffe moi la chatte.

Sans se le faire dire deux fois, il se baissa, embrassa ma chatte, la lécha, la suça et tout ça pendant un bon quart d’heure, jusqu’à ce que je jouisse. Sans commentaires, j’ai respiré de satisfaction, rajusté les draps, et je me suis tournée de l’autre côté en baillant. Il a mit sa main sur mon épaule.

Et moi…
Toi ? Tu veux dire quoi toi ? Ton plaisir ?
Oui.
Jusqu’à présent tu ne t’es guère soucié du mien de plaisir, alors ça aussi ça va changer, on fera l’amour quand j’en aurais envie et j’en ai pas envie très souvent, par contre, j’adore me faire bouffer la chatte longtemps ce que tu ne fais jamais, alors à partir de maintenant ce sera tous les jours, je veux que le matin peu de temps avant que je me réveille, tu me lèches la chatte, ce sera un réveil agréable pour moi, si j’ai envie d’aller plus loin je te le dirais sinon tu n’auras qu’à te branler, ça me gène pas. Ensuite, tu iras préparer mon café et tu me le porteras au lit.

J’ai dis tout ça sur un ton autoritaire qui n’admettait pas la réplique, il le compris et fis un signe de oui avec sa tête.

Dés le lendemain matin, il s’exécuta, ni lui ni moi ne firent de commentaires. Je constatais que mon plan se mettait en place et sans le brusquer les choses s’installaient car à côté de ça, je me montrai agréable avec lui, le gratifiant de petits « t’es choux » régulièrement. Je ne voulais pas qu’il se sente humilié, je voulais plutôt en faire un bon et loyal serviteur.

La semaine suivante, tout se passa bien, mais je devais souvent employer un ton ferme pour qu’il ne relâche pas ses efforts, j’ai du le priver de télé une fois parce-qu’il avait oublié de faire la vaisselle et une autre fois il s’était servi un apéritif sans me le demander, j’ai alors pris son verre et je l’ai vidé dans l’évier. Il a fait un grand geste en me traitant de folle, alors je lui ai filé une baffe et je lui ai dis de s’excuser. Il l’a fait… je le soupçonne d’y prendre un certain plaisir.


Une semaine plus tard, durant le repas.


Jean, je suis content de toi, tu progresses.
Tu ne me laisses guère le choix…
Tu veux me garder ?
Oui bien sûr Julie, je t’aime.
Et bien moi je ne t’aime pas ou pas éperdument, je t’apprécie mais ça c’est autre chose, alors si tu veux me garder tu devras faire des efforts.
Mais j’en fais Julie.
Tu devras en faire plus.
Il faut que je fasse quoi ?
Pour commencer, me complimenter, j’adore les compliments.
Sur quoi ?
Sur tout, à toi de voir.
Oui très bien.
Ensuite, je ne veux plus que tu m’appelles Julie.
Tu veux que je t’appelle comment alors.
Ma chérie, mon trésor, mon amour, ma beauté, je sais pas moi, quelque chose de gratifiant.
Oui mon trésor.
Moi je t’appellerai Minette.
Pourquoi Minette ?
Parce-que c’est mignon et ça t’ira très bien, mais attention, si je t’appelle Jean, ça voudra dire que je suis en colère contre toi, alors gare, privation de matchs.

Ça, il craint, il avala sa salive.

Oui…
Voilà, c’est tout pour l’instant.

A partir de ce moment-là, les choses allèrent en s’améliorant, nos rapports devinrent souriants, Jean avait intégré sa nouvelle façon d’agir, toutefois, il y a eu encore deux manques aux règles durant cette semaine et il fut puni de télévision le soir. A la place, il m’a massée toute la soirée.

Je m’occupais toujours de certaines taches ménagères mais pas toutes, le nettoyage de la cuisine et de la salle de bains c’était lui, et puis tout ce que je n’aimais pas faire, il n’était pas question de le martyriser mais de l’éduquer. Au contraire, je me montrais charmante et câline pour son plus grand bonheur.

Une dizaine de jours plus tard, un soir:

Minette.
Oui ma chérie.
Tu ne m’offres jamais de fleurs, pourtant j’adore les fleurs, je veux un bouquet de fleurs au moins une fois par semaine et tu mettras à l’intérieur un mot d’amour pour me montrer à quel point tu m’aimes.
Oui, ma beauté, tu es si adorable, je le ferai souvent je te le promet.
Bien. Et ce mot d’amour, je le veux sur papier rose parfumé.
Ce sera un bonheur pour moi de te satisfaire.
Bien.

Le reste de la soirée se passa agréablement et il pu me faire l’amour mais avec de longs préliminaires.

Quelques jours plus tard, alors que nous étions au restaurant, je le vis regarder la jolie serveuse. A partir de ce jour-là, je lui ai interdit de regarder une autre femme, il devait détourner le regard en présence d’une femme.

Quand je suis avec toi, je suis la seule qui compte, il n’y a que moi qui existe pour toi. Tu es d’accord avec ça ?
Mon trésor, je t’aime de plus en plus, tu es tout pour moi. Je t’aime.

Il était éduqué.

























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Histoire de Fantasmes secrets

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