Compréhensive et capricieuse

Elle, c’est Karima, 33 ans, 1m60 pour 55Kg. C’est la femme de mon meilleur ami Stéphane.

Lors de notre première rencontre je suis tombé amoureux d’elle secrètement mais néanmoins instantanément. Je sais qu’elle sait et elle aime en jouer…

Nous ne nous voyons pas souvent, mais à chaque fois que nous nous retrouvons (dans un cadre de société), je ne peux m’empêcher de me masturber plusieurs jours durant, en pensant à elle à posteriori.

Marocaine du sud à l’origine, elle a ce teint très mat caractéristique ainsi qu’un visage aux traits fins avec de grands yeux d’un noir profond. Sa grosse poitrine est un cadeau du ciel, elle laisse deviner des tétons généreux et réactifs aux teintes ambrées. Sa paire de fesses est simplement parfaite, nul doute que beaucoup d’hommes fantasment et la convoitent. Là aussi elle en joue…

C’est une caractérielle au sang chaud. Elle aime crier pour un oui ou pour un non lorsque quelque chose la tracasse, et j’avoue que dans ces moments-là une envie de la baiser sauvagement m'envahie subitement. Je ne sais pas si elle apprécierait. Certainement. Car sous ces faux airs de femme loyale et stricte se cache une libertine en devenir. Voilà pour la description.

Il y a 3 ans j’étais en vacances, hébergé chez eux près de Lyon. Cela faisait longtemps que je ne les avais pas visité alors je débarquais avec un carton de bon vin issu de ma région. Connaissant la passion de Stéphane pour les grands crus, nos retrouvailles n’en seraient que plus enthousiastes.

J’entrais donc dans leur demeure, j’y déposais ma valise et allais saluer Karima, plus belle encore que dans mes souvenirs. Le sourire qu’elle arborât réussit presque à trahir mon émoi devant tant de charme (je me disais intérieurement que j’allais me payer une bonne branlette un peu plus tard et je photographiais l’instant mentalement). Elle sentait bon et s’affairait aux préparatifs de l’apéro dinatoire.

Echanges de banalités, nous trinquâmes ensuite aux vieilles amitiés.
Ils furent tous deux étonnés d’apprendre ma rupture d’avec Cécile 2 ans plus tôt, d’autant que j’étais célibataire depuis tout ce temps-là.

La soirée se déroulait le mieux du monde et la discussion déviât gentiment sur le sexe, les choses que l’on appréciait, celles qu’on détestait…
Je leur confiais mon amour pour les lingeries féminines odorantes, lui me décrit sa passion pour les lieux insolites et elle nous avoua ses envies de dominer des inconnus.

De plus je la savais heureuse mais pas comblée. Une coquine pareille en veut toujours plus...
Je voulais la posséder tout au long de la soirée et ses nombreux coups d’œil vers mon entrejambe rendaient mon imagination fertile.

L'heure d'aller au lit se fit sentir, le vin aidant. Je leur fis part de mon désir d'aller me laver, ce que je fis après que Karima se démaquillât.
En entrant dans la salle de bain: sublime surprise! Elle m'avait laissé un cadeau somptueux soigneusement plié sur la corbeille à linge. Un petit string noir à dentelle imprégné de ses fluides corporels. Frêle porte entravant l'accès de délices interdits à l’odeur envoûtante, ce qui me laissa penser que nos discussions érotiques avaient porté leurs fruits.

J'en jubilais, mais je prenais mon temps. Je me lavais donc et une fois rafraîchit j'emportais ce présent inespéré avec moi dans la chambre d'ami. J'entrepris de me soulager manuellement tout en humant ce tissu motivant. Une odeur forte mais envoûtante disais-je, j'en imprégnais mes poumons et j'étais le plus heureux. J'inspirais à un rythme fou en me branlant la verge sans ménagement. Des va et viens soutenus et amples, rarement je n'ai bandé aussi fort…

Les yeux clos j'imaginais que je possédais cette femme tel un animal en rut. Que je la besognais sans répit en lui susurrant des commentaires avilissants.

Malgré mes efforts je déchargeais rapidement, trop rapidement! Je me vidais comme jamais à l’intérieur même de la dentelle. Une semence impressionnante d’abondance recouvrit la culotte. J’en étais gêné mais tout chamboulé. Ce fut une des meilleures jouissances de ma vie !

Je replaçais le string où je l’avais trouvé sachant que je serais probablement démasqué… Mais après tout!